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LA GARDEN PARTY DE PÂQUES-
Qui ne connaissent pas les fameuses Garden-Party de Pâques qu'organisait annuellement feu sa majesté la reine Charlotte ? En son honneur, la famille royale a décidé de perpétuer cette tradition ! Viendrez-vous nous rejoindre pour une chasse aux œufs ou une ballade en barque ? Venez Participer à la fête....
Quand ma bonne amie m’apprend que sa mère semble avoir des projets avec Lord Nightingale, je lui réponds qu’il n’a pas de chance d’avoir Lady Seymour qui s’acharne autant sur lui car je vois bien que l’homme n’a pas envie de se fiancer, tout du moins avec moi, enfin de ce que j’en pense.
- Je n’en doute point de vous et de votre mère. Merci à vous ma chère amie d’être à mes côtés.
Je lui offre un sourire avant que s’installe Lord Nightingale à mes côtés et que nous entamions une discussion au sujet de la chasse qui attend l’homme dans quelques minutes à présent. - Je l’espère pour vous dans ce cas.
J’imagine qu’être assis toute la journée sur un cheval ne doit pas être très confortable. J’espère pour eux qu’ils trouveront quelques bêtes afin que la journée ne soit pas trop ennuyante de leur côté. Quant à nous, j’espère avoir un bal, mais j’imagine qu’après la journée, les hommes n’auront certainement pas l’envie de valser. Cela ne sera que partie remise. Le compliment me fait doucement monter le rouge aux joues et je baisse la tête légèrement gênée.
- Vous êtes également bon danseur Lord Nightingale.
Accrochée au bras d’Ulysse, j’observe les différentes personnes se rendre au niveau des chevaux afin de regarder les hommes partir à la chasse. Nous arrivons au niveau des cheveux et je remarque mon amie rejoindre son futur époux et un doux sourire se glisse sur mes lèvres.
- Effectivement. Ils possèdent de très beaux chevaux.
Je regarde l’homme monter sur sa monture et je m’avance pour caresser doucement l’animal avant de lui chuchoter de faire prendre soin de l’homme qui la monte.
- Je vous souhaite également une bonne journée et ça sera un plaisir de converser avec vous à nouveau. Faites attention à vous.
Je sors alors mon mouchoir avec mon initiale dessus avant de lui tendre, un petit sourire sur les lèvres. - Prenez-le, en espérant qu’il vous porte un peu chance.
Résumé:
Résumé : Apolline discute avec @Ulysse Nightingale avant de le suivre pour le voir partir à la chasse. Elle lui offre son mouchoir avant qu'il s'en aille.
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() / Lun 13 Fév - 0:45
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Partie de chasse royale ou un moment de plaisir
Eva avait beau avoir une saison derrière elle, elle se sentait à peine plus à l’aise au milieu de la noblesse qu’au premier jour de ses débuts. Elle feignait mieux toutefois. Si elle pouvait paraître arrogante et parfois un tantinet mordante, c’était surtout pour se protéger au milieu de tous ces gens bien nés dont certains n’hésitaient pas à lui rappeler toujours subtilement que tout l’or et les pierreries du monde ne vaudraient jamais un titre. Elle s’y était accoutumée, c’était à prévoir. Cela ne l’empêchait pas, parfois, de fulminer intérieurement. En vérité, ce dont elle manquait cruellement, c’était d’alliés pour affronter le labyrinthe des mondanités. C’est pourquoi elle fut tant ravie de retrouver Matthew et ses taquineries.
“Sa Majesté est une femme de goût, elle ne pouvait manquer de constater que votre thé est le meilleur de Londres.”
La demoiselle picora encore dans son assiette avant de reprendre la conversation un ton plus bas.
“Vous y prendrez vite goût vous verrez. N’ayant pas de fils pour l’accompagner, mon père m’a formée à ce noble art. Bien que je sois supposée feindre de ne rien y connaître. Un conseil cependant, faites attention de ne pointer personne avec votre fusil. Ou alors uniquement le Comte de Surrey. Un accident est si vite arrivé…”
Ce fut ensuite au tour de Matthew de la taquiner, remarquant son trouble royal. Le rose lui montant aux joues.
“Une simple petite rêverie sans conséquence j’en ai peur.”
Les deux compères terminèrent ensuite rapidement leurs victuailles.
“Il semblerait qu’il soit temps de vous préparer pour la chasse. Laissez nous vous accompagner.”
Accompagnés de Lady Applebaum, les deux bourgeois rejoignirent donc leur noble compagnie. Tandis que Matthew préparait sa monture, Eva recula de quelques pas. Elle entendit alors la voix de Lord Lightwood et pris conscience qu’il se tenait en selle juste derrière elle. La jeune femme était bien décidée à l’ignorer mais Arès semblait en avoir décidé autrement. Ce dernier poussa en effet le bras de la jeune femme en quête d’attention. Ainsi, il fit craqueler le manque d’indifférence de la demoiselle qui éclata d’un rire cristallin. “Arès, voyons !” Flattant le chanfrein du cheval, elle se demanda comment elle allait bien pouvoir se dépêtrer de la situation maintenant qu’elle avait attiré l’attention sur elle. Lady Applebaum, après un discret claquement de langue agacé, profita de l’occasion pour présenter sa protégée. Elle qui se vantait de connaître tout le monde, il était temps de le prouver. “Milords, Miladies, vous connaissez peut-être Miss Eva DeLucey? C’est sa première partie de chasse voyez vous.” Se détachant du cheval, Eva salua tout ce beau monde avec grâce. Un charmant sourire éclairant ses lèvres. “Je suis ravie de vous rencontrer et j’espère que cette chasse vous sera fructueuse.” Sur ces dernières paroles, elle osa un regard en direction du Comte, sans sourire se faisant, pour une seconde, un brin plus prédateur.
Résumé:
Eva continue de discuter avec @Matthew Wilson. Ils se dirigent ensuite vers les chevaux. Pendant que Matthew se prépare, Eva recule de quelques pas et entend la voix de @William Lightwood. Bien décidée à l'ignorer, Arès -son cheval- contrecarre ses plans. Un brin contrariée, par la situation, Lady Applebaum présente ensuite sa protégée aux Lewes ( @Abelia Lewes), @Emil d'Aetheling, @Alistair Graham et @Laszlo St. John (J'ai eu un peu de mal à suivre tous les messages donc j'espère n'avoir oublié personne dans le groupe, si c'était le cas, c'était involontaire et Eva les a bien entendu salué également)
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() / Lun 13 Fév - 8:53
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PARTIE DE CHASSE ROYALE
Juliet se leva de table, saluant rapidement les quelques personnes autour d’eux qui en faisaient de même et évitant soigneusement de regarder le docteur dans les yeux alors que cet homme qu’elle voulait appeler son fiancé venait d’évoquer un mariage entre elle et lui, avec trop peu d’assurance à son goût. Il la connaissait mais elle ne voulait pas flirter ouvertement avec un autre devant lui alors qu’elle voulait qu’il lui mette la bague au doigt, ce serait quand même fort stupide de sa part. Puis elle saisit le bras du colosse, le regard envoûté par sa personne.
Les choses se précisaient enfin… Mais qu’attendait-il ?! D’un autre côté, elle voulait lui faire un dernier aveu avant qu’il ne demande sa main et peut-être tout ruiner se faisant... Plus le temps passait, moins l’occasion se présentait, et plus elle avait envie de se débiner…
« Oh Mylord, il suffirait pourtant d’enlever quelques mots pour que votre manque ne soit plus qu’une histoire ancienne, fit-elle un peu énigmatique avec un sourire de Joconde. Les jeunes femmes n’étaient pas censées évoquer le mariage elle-même, ni pousser les hommes à les épouser, ce n’était pas correct soit-disant… Mais avec Aloïs, Juliet n’avait pas peur de montrer ce qu’elle voulait. Et puis elle baissa d’un ton pour que lui seul puisse l’entendre : Quoique, quand vous enlèverez ces mots, je crains d’engendrer un manque encore plus grand… »
Et maintenant, elle espérait bien qu’il serait troublé toute la journée et que son imagination serait aussi fertile que la sienne. Il n’y avait pas de raison qu’elle soit la seule à souffrir de son absence, ni de ce tissu qui se mettait entre eux. Ensemble, ils sortirent sur la terrasse puis se dirigèrent vers un magnifique cheval gris, absolument hors-norme.
« Belle bête ! » Juliet regarda Aloïs avec un large sourire, toujours bien décidée à le torturer de toutes les manières possibles jusqu’à ce qu’il demande sa main. Et pendant qu’il vérifiait son harnachement et montait en selle, la jolie blonde fut attirée par une conversation non loin. Elle reconnut le diamant de la saison et sa servante, parlant d’une demoiselle ayant reçu une robe de la part de ce cher Lightwood. Elle devina immédiatement de quelle blonde il s’agissait et chercha Lady Berkeley du regard, prête à passer la journée à raconter des commérages avec elle. Peut-être que la journée serait bonne malgré tout…
Malgré le fait qu’elle rêvait d’embrasser l’homme perché sur son cheval au lieu de toutes ces politesses prudes et agaçantes.
« Bonne chance Mylord, que la chasse soit bonne et le dîner d’autant plus… » Et vivement la suivante, en tête à tête dans la forêt.
Son regard en disait long… Juliet lui tendit sa main dans son fin gant brodé… Puis elle recula pour laisser le passage.
Juliet porte une robe lavande avec un spencer plus foncé et une coiffe en extérieur.
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() / Mar 14 Fév - 3:27
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Partie de chasse royale. Tour 3
- Je comprends tout à fait, l’intersaison qui vous attends semble être aussi chargée et intéressante que ne le fut la saison elle-même.
Elle lui offrit un doux sourrire.
- Moi de même.
Cependant, avant que la jeune Miss Macartney ne puisse continuer de discuter de la partie de chasse avec celle qu’elle considérait comme la plus capable de devenir sa première véritable amie en Angleterre, l’attitude de cette dernière changea du tout au tout. Alors que la vue des hommes armés sur leurs fiers destriers attiraient le regard discret mais bien présent de celle pensant déjà à sa prochaine saison, Miss Blooming ne semblait pas partager cette attention pour l’activité allant se dérouler et s’excusa vivement auprès de Jane Macartney, avant de s’éloigner aussi rapidement même.
Miss Macartney fut étonnée de ce départ si soudain, ne comprenant pas ce que Miss Blooming pouvait bien reprocher à la pratique de la chasse mais décida de ne pas prendre ce départ trop à cœur. Les deux jeunes filles se retrouveraient sûrement plus tard durant le séjour, voilà qui était certains.
Cependant, se trouvant à présent seule, Jane Macartney ne put que rejoindre le reste des jeunes femmes qui attendaient le départ des hommes à la chasse. Elle observa alors au loin qu’Emma Smith Stanley se trouvait là et alla la rejoindre pour la saluer, se demandant si sa famille se trouvait aussi parmi les invités car il lui faudrait alors rendre ses hommages.
Résumé des actions
Spoiler:
Jane Macartney discute encore un peu avec @Cordelia Blooming avant que cette dernière ne se retire à l'intérieur. Alors elle se déplace et fait signe à @Emma Smith-Stanley
Léopold Howley
Prêtre
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() / Mar 14 Fév - 11:18
Léopold Howley
Chasse ou contente toi d'être une proie
Le déjeuner se poursuivait, calmement, tranquillement, au son des couverts sur les assiettes et des discussions étouffés qui s'échangeaient un peu partout dans la salle. Pour le prêtre, cela consistait plus particulièrement à observer les petits groupes formés, les sourires sur les visages et bien sûr, discuter avec la douairière qu'il appréciait sincèrement, malgré un certain caractère. La discussion sur les mariages venant, il ne put que citer le tout récent mariage forcé de sa pauvre amie avec le pire goujat d'Angleterre, qui fut bien vite repoussé dans les tréfonds de sa mémoire par la curiosité, toujours aussi vive qu'acéré de la douairière. Souriant d'un air amusé, léger, il l'observa une seconde avant de jouer ce jeu qu'il aimait tant.
« Voyons Lady Berkeley. Vous ne me ferez pas croire que vous ne savez pas de quels couples je parle. Je sais que vous êtes au courant de tout ce qui se passe à Londres. J'en viendrais même à me demander si vous ne seriez pas cette chère Whistledown parfois. »
Un compliment déguisé, une façon de lui faire comprendre qu'il ne parlera pas, car s'il sait certaines choses, beaucoup sont de l'ordre du soupçon ou de la confession. Ce qui signifie qu'il ne peut en parler ouvertement. Néanmoins, quant à la question du mariage du petit-fils de la douairière, il fut ferme. Il savait qu'elle souhaitait le voir marier, mais se refusait à aller trop vite en conjecture, bien que de ce qu'il comprenne, l'idée de faire la cours à Miss Blooming soit une peine perdue... Vraiment, toutes celles qui avaient su attirer un tant soit peu son attention étaient déjà courtisée par bien meilleur parti que lui.
« En effet, elle fera une marquise des plus exquise. »
Que dire de plus ? Il avait déjà perdu Georgiana, il pouvait bien laisser filer Juliet et toutes les autres et aller s'enfermer dans un monastère ou son père cesserait de le harceler pour qu'il prenne épouse ! La cloche sonnant pour le tirer de cette triste pensée, il finit rapidement son thé, se levant pour offrir son bras à son interlocutrice, qu'il conduisit à pas tranquille vers l'extérieur, jusqu'à ce lieu ou tant de dames se rassemblaient, la laissant sur un siège avant de s'excuser.
« Veuillez me pardonner Lady Berkeley, je vois là-bas un ami que je souhaiterais saluer. Je vous reviendrai plus tard. »
Lui offrant ce sourire emplit de gentillesse et de douceur qui était désormais sa marque, il fit à pas lent, la distance qui le séparait du petit groupe d'hommes qu'il avait aperçu et qu'il s'était décidé à rejoindre en voyant celui qu'il ne souhaitait pas croiser en ce jour, partir.
« Docteur Healey, quel plaisir de vous voir. Ferez-vous partie de ceux qui resteront en arrière avec moi-même ? Et qui est donc ces personnes qui vous accompagne ? Enchanté monsieur, Milady, je suis le père Howley, »
Il fit un signe de tête aimable à l'inconnu qui, de par son allure l’intriguait quelque peu, espérant que le docteur ne l'enverrait pas voir chez la douairière, s'il y était.
( Pando )
Résumé:
discutant avec la douairière, Léopold cherche à la laisser en suspens sur ses questions, réagissant malgré tout à sa remarque en complimentant @Juliet Blooming tout en se disant qu'il avait encore perdu une dame qui l'interessé un tant soit peu. La cloche sonnant, il rejoint l'extérieur avec la douairière, la laissant sur un siège avant de rejoindre @Mark Healey, @Giulia Visconti &@Theobalt Faulkner apres le départ de @Jacob Evans, les saluant et se présentant à ceux qu'il ne connait pas.
Emploi : Journal ayant pour unique but de faire frémir par les rumeurs qu'il colporte et entretient.
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() / Mar 14 Fév - 13:31
Whistledown
PARTIE DE CHASSE ROYALE 4ème tour
La brume matinale s'estompe du paysage à mesure que le soleil, de plus en plus haut dans le ciel, réchauffe l'atmosphère de cette douce journée estivale. Les aboiements impatients des chiens se font de plus en plus forts alors qu'ils présentent l'imminence du départ. Les laisses sont à présent tendues et les canidés au garde à vous, prêts à filer. Les cavaliers, désormais tous en selle, se rassemblent ! Mesdemoiselles si vous désirez choisir votre "champion" et lui offrir un gage de votre confiance en ses compétences chasseresses, c'est le moment ! Car d'un instant à l'autre, sur ordre de Son Altesse, le cor retentira et les chevaux piaffants d'impatience, se lanceront au galop !
Les dames se groupent car personnes ne souhaitent manquer le départ de cette chasse qui rassemble le gratin de la Cour ! Que de beaux et altiers cavaliers n'est-ce pas ? Voilà qui donne matière à s'éventer ! Certains échangent sont déjà murmurés derrière les éventails actifs sur les visages aux joues rosies. D'ailleurs, Miss Linvingston et Miss Dewit ne se disputeraient-elles pas afin d'offrir toutes deux leur mouchoir au même gentleman ? La lutte est timorée mais acharnée mais nous n'aurons jamais le dénouement de cette querelle comme elles finissent toutes deux les fesses dans l'herbe.
Après quelques derniers échanges et conversations très distinguées ponctuées de bonne humeur, le cor raisonne enfin ! Les chiens sont lâchés et s'élancent, tous comme les chevaux qui manquent de se désarçonner certains des cavaliers sous la force de leur poussé. Les dames encouragent ce départs à coups d'applaudissements et de cris d'encouragement. La terre tremble presque sous les retentissements des sabots qui portent les chevaux vers le bois au loin du domaine.
Lorsque les cavaliers sont enfin hors de porté de vue, les domestiques royaux s'avancent et invitent ces dames à rejoindre le coin du parc où tout le confort nécessaire a été installé. Certaines s'empressent de rejoindre l'ombre, refusant de risquer gâter leur peau, alors que d'autres se font déjà servir un autre thé malgré le petit déjeuner à peine passé. Pour le reste de ce charmant groupe, et bien un peu de patience ! Les activités prévues ne tarderont pas à vous être proposées !
Aides : * Les jeunes filles peuvent confier leur mouchoir à un des chasseurs ! * Les domestiques demeurent avec leurs maîtres respectifs qu'ils soient chasseurs ou non. * Les cavaliers s'élancent vers les bois
A NOTER : * Les prochains posts se feront en deux parties ! Une pour les chasseurs, une pour ceux et celles restés au domaine !
Rappel des règles : * les posts ne doivent pas dépasser les 500 mots * vous pouvez poster plusieurs fois en respectant néanmoins le tour de chacun. Attendez 2 ou 3 posts avant de participer à nouveau afin de laisser sa place à tout le monde ^^ * postez un petit résumé de votre action après vos post et pensez à tag les personnes avec qui vous interagissez.
Lyana Clayton
Pupille de la Reine
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() / Mar 14 Fév - 14:07
Lyana Clayton
La partie de chasse royale Tour 4
La voix d'Octavian s'éleva, indiquant que le départ approchait. Lyan esquiva un dernier coup de langue d'un des chiens tout en le gratifiant d'une caresse et d'un sourire affectueux, puis frotta sa robe désormais couverte de traces de pattes. Qu'à cela ne tienne. Elle garda son menton haut, s'en moquant comme d'une guigne bien que certaines mères et jeunes filles paraissaient horrifiées. La pupille de la Reine s'avança au milieu des cavaliers sans craindre le moindre coup de sabots et salua les gentlemen qui croisaient son regard et lui présentaient leurs homages. Ses yeux chocolats rencontrèrent alors ceux de Lord Graham. Son coeur manqua un battement sous le coup de la surprise. Voilà longtemps qu'elle ne l'avait pas vu. Un instant, à la perspective de ce futur mariage qui la terrorisait totalement, elle se demanda si elle n'aurait pas du accepter de l'épouser finalement... A l'époque elle lui avait apposé un refus face à cette demande qu'il lui avait faite de lui accorder sa main et au même égard que Wilhelm, elle commençait à regretter que cela ne se soit pas fait... Toute autre option aurait été meilleure que ce qui se profilait pour elle aujourd'hui... Pourquoi Lewisham ? La nouvelle n'était pas encore officielle à la Cour mais Lyana n'était pas pressée de la partager. Tant que l'information demeurait privée, ce n'était pas encore réellement concret.
Lya sourit à Alistair tout en l'interrogeant sans mot sur sa santé alors qu'elle gratifiait sa monture d'une caresse. Elle écouta sa réponse avec plaisir, puis prit congé. Ils auraient le temps d'échanger plus tard. Tous allaient bientôt partir. Elle rejoignit Octavian et surtout Wilhelm, qu'elle n'avait pas encore croisé ce matin. Comme si elle ne s'était pas transformer en petite tornade courroucée la veille dans ses appartements des suites de son refus de prendre l'initiative de l'inviter à la chasse, elle lui adressa son sourire le plus radieux avant de remarquer ce fusil qu'un domestique près de lui tenait entre ses bras. Ses grands yeux s'écarquillèrent et elle le saisit instantanément afin de l'observer. C'était une oeuvre d'art ! Il était gravé aux initailes du prince. WVH... Ca ne pouvait définitivement pas passer pour ceux de Lyana Clayton, même avec toute la meilleure volonté du monde. Déception, elle ne pourrait pas la lui voler comme elle le faisait depuis petite des objets qu'il possédait et qui lui plaisaient. Qu'à cela ne tienne, elle lui ferait ses yeux de faon malade afin de la lui emprunter demain pour l'essayer ! Il devait déjà la voir venir avec ses gros sabots !
Lyana regarda Octavian avec une expression équivoque. Il avait évoqué un cadeau tout à l'heure ! Elle n'avait pas oublié ! Il avait intérêt à tenir la comparaison avec cette arme merveilleuse !
Résumé:
Lyana évolue entre les cavaliers sur le départ et croise @Alistair Graham qu'elle salue en se demandant si elle n'aurait pas du l'épouser afin de s'éviter le mariage qui l'attend. Elle rejoint ensuite les princes remarque l'arme que @Octavian de Hanovre a offert à @Wilhelm de Hohenzollern. Elle ose espérer que son cadeau à elle évoqué plus tôt sera au moins tout aussi splendide !
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'Cause we were just kids when we fell in love, Not knowing what it was.
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() / Mar 14 Fév - 16:18
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PARTIE DE CHASSE ROYALE
Emilia ne savait plus où donner de la tête. Après avoir défié l’autorité de son cher parrain dans le simple but de le provoquer un peu en rejoignant Lady St John, l’arrivée fracassante de la pupille avait mit un terme à leurs échanges et la jeune Fitzroy se retrouva alors bloqué dans les mains de ses parents, toujours pleins de conseils et de leçons de moral à faire pâlir davantage son teint de porcelaine.
Une voix masculine et particulièrement séduisante vint sortir la jeune femme de ses rêveries et étirer un large sourire sur le visage de la Duchesse. Emilia se retourna avec délicatesse, adressant une révérence courtoise à son nouveau sauveur. Les nobles dans ces jardins étaient décidément bien charitables ! Volant à son secours sans qu’elle n'ait besoin de faire ses yeux de chiens battus Faisait-elle peine à voir, ballotée entre les différents membres de sa famille ?
Lord Hamilton, quel plaisir de vous voir ici. Dit-elle les joues rougies, manquant de s’étouffer.
L’homme en question avait eu le plaisir de croiser l’effronté dès ses premiers jours à Londres, tentant de se faire la belle par les jardins du domaine loué par le Duc et la Duchesse. Par chance, il avait conservé son secret et en cela, elle lui était redevable. Évidemment ignorante de cet incident, Lorely Fitzroy en Mère carnassière poussa discrètement sa jeune fille dans le dos afin qu’elle accepte l’offre qui venait de lui être faite. Chose qu’elle aurait fait, évidemment. Elle préférait être de partout plutot qu'avec eux !
Je serai ravie de vous accompagner jusqu’à votre cheval, j’ai une profonde affection pour ces animaux.
Quelle chance ces hommes avaient-ils de pouvoir chevaucher une bonne partie de la journée alors qu'elle devrait se contenter de sympathiser ou à minima de ne pas se faire d’ennemis avant le début de la saison. Aussi, elle glissa son bras autour de celui qui lui était tendu, rêvant de clore le bec de son cher parrain qui doutait de ses capacités à plaire à un homme.
Je vais vous être redevable toute ma vie à ce rythme là. Je vous remercie d’avoir gardé le silence lors de notre rencontre à Londres. Et de venir à ma rescousse aujourd’hui… Lequel est le vôtre ? Dit-elle en admirant la rangée de chevaux déjà équipés. Aimez-vous la chasse ? Je n’ai jamais eu l’opportunité d’essayer cela. Ce n’est sans doute pas une activité convenable pour une dame, je vous l’accorde. Dit-elle, avec amertume.
Le second fils du Duc d’Abercon avait tout pour plaire et d’ailleurs, il ne passait pas inaperçu. S’il n’était pas l’héritier principal, sa cote de popularité au sein des débutantes n’avait guère faibli. Il fallait l’admettre, il était très bel homme et Emilia, déjà redevable de plusieurs services, ne se sentait pas de jugement dans son regard. Et ça, c'était bien rare ! Sans doute n'était-il pas au courant des rumeurs à son sujet, mais cela lui importait peu, il restait sympathique.
Le départ était imminent, la meute de chien n’attendait plus qu’à être lâché et la brunette redoutait déjà cet instant, où elle serait seule face à cette armée de demoiselles resplendissantes…
Je ne voudrais pas vous mettre en retard. Peut-être aurais-je le plaisir d’entendre le récit de cette partie de chasse à votre retour ? Je vous souhaite d'être chanceux !
Résumé : Emilia est sauvé par @Aidoneus Hamilton et l'accompagne jusqu'à sa monture avant que le départ ne soit sonné. Elle espère bien qu'@Alistair Graham l'apercevra aux côtés d'Aidoneus, pour lui prouver qu'elle n'est pas si mal élevée que cela.. en espérant qu'il ne connaisse pas le tempérament de l'homme en question, plus indomptable encore que la jeune Fitzroy...
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() / Mar 14 Fév - 22:08
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PARTIE DE CHASSE ROYALE
C’est bien la première fois que je me retrouve dans ce genre d’endroit et j’avoue ne pas être fort à mon aise. Je suis donc heureux de retrouver quelques visages qui me sont familiers tel que Miss Eva, à qui je réponds qu’elle n’a rien à craindre car je ne suis pas là pour la surveiller. En effet, notre thé ayant fait bon impression auprès de la Reine, nous voilà donc invité à certaines réceptions.
- Je vous remercie pour le compliment ma chère amie. Je vous attends toujours pour prendre le thé d’ailleurs.
Domaine que je gère bien mieux que la chasse qui m’attend derrière. J’ai déjà eu l’occasion de participer à quelques moments de chasse en compagnie de mon « père » mais jamais nous étions aussi nombreux et je n’ai jamais réellement apprécié ce genre de moment. J’écoute alors la jeune demoiselle m’expliquer qu’elle sait manier l’arme avant de me donner un conseil qui me fait légèrement sourire.
- Je pense que je devrais réussir à suivre ce conseil. Mais je ne compte pas faire de mal au Comte de Surrey car c’est un très bon ami.
Sans doute le seul même. Nous nous connaissons depuis un bon moment et c’est toujours un plaisir de partagé un verre en sa compagnie. Je vois alors que le regard de mon amie se poser sur une personne au loin. Un sourire taquin sur les lèvres, je lui fais alors un petit commentaire sur cette personne et elle m’apprend alors que c’est qu’une simple rêverie qui ne mènera à rien. Je peux comprendre, après tout le titre joue beaucoup, ayant fait l’expérience avec Abélia.
- Je comprends...
La cloche sonne annonçant alors le départ pour la chasse et Eva me suit alors jusqu’à la monture que l’on m’a prêté pour l’événement. Je remarque alors qu’il y a déjà de nombreuses personnes et je prépare donc ma monture pour éviter de partir en retard. J’entends alors des voir qui me sont familières à nos côtés et je vois alors Miss Eva se glisser dans le petit groupe. Je m’approche alors et salut d’un sourire le Comte de Surrey avant de le perdre en voyant Abelia.
- Bien le bonjour Miladies, Lord Lightwood, Messieurs. Etes-vous prêt à partir à la chasse ? Le temps est agréable en tout cas.
Au moins un visage familier à la chasse. J’espère que je pourrais rester près de William pendant l’événement.
« Vos parents sont les bienvenus quand ils le souhaitent ! Et vous aussi bien sûr Lord Lightwood. Quant à venir chez vous, quand vous voulez ! Nous adorons voyager et je suis certain qu’Abélia serait ravie de découvrir la campagne du Surrey. N’est-ce pas ma petite colombe ? »
Abélia s’inclina, n’osant affronter le regard de Lightwood qu’elle devinait sur elle depuis le début, jusque-là sur sa nuque, brûlant sa peau plus que l’astre solaire, et qu’elle savait qu’il ne serait pas celui qu’elle attendait. Elle acquiesça timidement puis se contenta d’observer les différents échanges, tournant le dos au Comte. Elle regardait tour à tour les hommes montés sur leurs chevaux, leurs visages si expressifs baignés par les doux rayons matinaux et regrettait comme toujours son carnet à dessin… Qu’elle ne pourrait probablement jamais sortir en société, ce qui annonçait bien des heures frustrantes pour l’avenir. Elle ne put s’empêcher de sourire à la proposition du Marquis sur cette entraide masculine. Dans toute cette agitation, elle eut à peine le temps de saluer Emma et ses parents qui repartirent aussitôt, ce qu'elle regretta mais elle irait trouvé la demoiselle dès que possible... Elle n'avait curieusement pas envie de s'éloigner pour le moment.
« Père, soyez prudent. »
Bien vite elle se retrouva un peu seule avec sa mère au milieu de ces grands chevaux, un animal qu’elle ne connaissait que peu encore et qu’elle trouvait impressionnant. Et puis une nouvelle arrivée attira son attention. Sa mère s’occupa des présentations, ce qui surprit agréablement Abélia qui s’inclina poliment à nouveau. « Miss DeLucey. » Profitant de l’occasion et du départ de plus en plus proche des chasseurs, elle s’excusa envers ces messieurs et se rapprocha de la jeune brune, découvrant alors derrière son cheval une de ses vieilles connaissances et pas des moindres…
« Matthew… Mr Wilson… »
Abélia s’inclina encore, polie et discrète comme toujours, bien que gênée par sa soudaine familiarité en public - elle ne s’y ferait sans doute jamais - puis elle regarda autour d’elle, voyant que certaines femmes donnaient des mouchoirs de bonne fortune à des cavaliers. Elle caressa doucement celui qu’elle tenait dans sa main, pensive et silencieuse, distraite, continuant d’observer la foule. Elle ressentait bien des choses et n’en comprenait pas la moindre.
Emploi : Lieutenant dans la Royal Navy, mais il est de retour en Angleterre et à Londres depuis Janvier 1813 pour assister son frère aîné dans les affaires familiales et à l'aider à faire le bon choix d'une épouse. Il n'a aucune ambition de ce genre pour lui-même. Cela lui semble terriblement fastidieux déjà d'essayer d'aiguiller correctement son frère...
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() / Mer 15 Fév - 11:46
Edward Stanhope
Partie de chasse royale 4e tour
titre ou sous titre ou citation
Alors que les cavaliers se préparent, que certaines dames donnent leur mouchoir à quelques cavaliers qui visiblement ont l'affection de leur cœur, Edward monté sur sa monture attendant dignement sur sa selle le début de la chasse. Cela n'était pas la première fois qu'il prenait pas à une partie de chasse et c'était la première fois depuis son retour en Angleterre. Dieu qu'il se sentait seul parfois. Il avait besoin de la mer comme un amoureux en mal d'amour. Cavaler sur un cheval lui fournirait un peu de la liberté dont il avait grandement besoin en ce moment. Il n'y avait pas l'air marin certes, mais cela le distrairait de ses pensées plus ou moins tortueuses depuis le décès de son frère – dont il portait d'ailleurs encore le deuil ainsi que sa mère. Edward avait été poussé par sa mère pour venir aujourd'hui et si cela avait été lui, il serait resté chez lui avec un bon verre de bourbon dans la main et un journal. Il évoluait dans le monde avec toute la société autour de lui et pourtant il semblait bien seul dans sa tête...
Il jeta un coup d'oeil à trois personnes en conversation plus loin, non désireux de prendre part mais néanmoins curieux. Pas très loin de lui, trois jeunes hommes qui sont vraisemblablement de la même famille se chamaillent gentiment quant à celui qui ramènera le plus de trophée de la chasse. C'est alors que le cor retentit, sonnant le début de la chasse et c'est une hâte extrême qu'Edward entendit ce son si familier qu'il n'avait pourtant pas entendu depuis longtemps. Les aboiements commençèrent alors que les chiens furent lancés et Edward fut dans les premiers à donner un petit coup de talons à son cheval pour le mettre en route, tenant les rennes fermement dans ses mains expertes de cavaliers. La terre trembla sous les sabots des chevaux qui s'élançèrent en direction du bois et Edward se sentit automatiquement envahit par l'euphorie du moment ; le sentiment de liberté dû au fait de galoper l'embrassa tout entier alors qu'il se dirige vers le bois du domaine.
Résumé:
Spoiler:
Edward attend le départ de la course, bien nostalgique, et s'élance avec les autres au son du cor, talonnant sa monture et chevauchant avec dextérité.
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() / Mer 15 Fév - 15:01
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La partie de chasse royale 4ème tour
Sous l'impulsion donnée par mon frère, notre famille s'approcha de notre hôte et de sa compagnie. N'ayant pas encore eu le plaisir de faire sa rencontre, nous saluons la pupille de sa Majesté d'une révérence emprunte de respect (tout autant que nous l'aurions fait si elle était née princesse et non pupille). Celle-ci avait dans ses mains le fusil qu'elle avait un peu plus tôt pris des mains du domestique accompagnant le prince de Prusse. N'étant pas loin nous avions pu remarquer la scène se dérouler sous nos yeux. La témérité de la jeune femme m'avait fait sourire. J'étais admirative d'un tempérament aussi prononcé et surtout assumé de la part d'une personne de la même condition que moi. Elle avait de la chance de pouvoir se montrer toujours elle-même quand nous devions au contraire nous montrer en permanence au meilleur de nous-mêmes.
- Quelle beauté votre Altesse. De quelle manufacture provient-elle ? Dit mon frère à l'adresse du prince de Prusse concernant l'arme.
Rapidement leur conversation fut interrompue par notre hôte qui annonça que le départ de la chasse était maintenant imminent. Je profitais de ce moment de diversion pour passer rapidement entre le cheval de mon frère et celui du prince de sorte que j'étais cachée aux yeux de la plupart des convives.
De nature timide et réservée lorsque je suis entourée d'inconnus, je prenais cette fois mon courage à deux mains. Je pris délicatement la main du prince dans la mienne pour y placer mon foulard en mousseline bleu qui était assorti à ma tenue.
- Pardonnez ma témérité votre Altesse mais acceptez mon foulard en gage de bonne fortune pour cette partie de chasse. Lui dis-je en lui souriant avant de rapidement retirer ma main et de retourner à ma place aux côtés de ma mère et de ma belle-soeur sous le regard hébété de mon frère. Mon coeur battait la chamade comme si j'avais couru un sprint et mes mains tremblèrent mais je tachais de n'en rien montrer. Je n'osais pas regarder le prince de peur de peur de lire dans les traits de son visage du rejet ou pire encore.
Alors que les cavaliers se rapprochaient, nous souhaitèrent bonne chance à mon père et mon frère lorsque nous avons été rejoints par Jane Macartney venue nous saluer et que nous avons accueilli avec le plaisir que les amis ont à se retrouver. Avant de nous mettre en chemin pour rejoindre l'espace réservé aux dames. Je pris le bras de mon amie et alors que la pression redescendait dans ma tête et mon coeur, je lui demandais souriante.
- Jane c’est tellement plaisant de voir un visage résolument amical dans cette assemblée féminine. Avez-vous apprécié votre petit déjeuner et retrouvé quelques amis que vous avez rencontrés à Londres?
Nous nous placèrent de façon à être en mesure de pouvoir voir le départ et d’encourager au son du cor qui leur permit de lancer leurs chevaux.
RÉSUMÉ:
La famille d'Emma s'approcha du groupe formé par leur hôte et saluèrent @Lyana Clayton d'un révérence. Mon frère complimenta le prince de Prusse pour son fusil. Profitant de l'annonce du prince Octavian, Emma se glisse entre le cheval de son frère et celui de @Wilhelm de Hohenzollern pour glisser son foulard dans sa main avant de retrouver @Jane Macartney et de rejoindre l'espace réservé aux dames.
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() / Mer 15 Fév - 16:15
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PARTIE DE CHASSE ROYALE
« Et vous voilà désormais l’homme le plus envié de cette chasse, Lord St-John. » Alistair était à la fois taquin et sincère, bien qu’il ne se sentait pas l’âme d’avoir une épouse qui aime tant se faire remarquer, il était difficile d’ignorer et de ne pas apprécier la belle relation qu’entretenaient les deux époux. De quoi inspirer plus d’un célibataire ici présent. Et en parlant de fille discrète, la jeune et très belle Miss Lewes semblait être en tout point l’opposée de Lady St-John. Elle avait l’air timide, presque trop effacée… Il aurait presque pu se demander quel était le timbre de sa voix d’ailleurs. Son joli sourire et la surprise - aucun point de ressemblances avec ses parents qu’il trouvait parfois presque grossier - lui donnaient envie d’en apprendre plus sur elle, même si ses origines laissaient à désirer.
Le Marquis avait proposé à Lord Percy de l’aider à aller voir sa fiancée, mais il put rapidement constaté par lui-même que ce ne serait pas nécessaire et il adressa alors à sa cousine un petit signe de tête. « Lady Arielle. » Puis il salua également les Smith-Stanley, soulevant son chapeau dans leur direction. Décidément, toutes les jeunes femmes semblaient se précipiter sur le Comte de Surrey. Alistair se tourna vers Emil avec un air entendu qui voulait bien dire : l’appât est tout trouvé et puis il s’en amusa tout seul.
« Sur ce, je vais saluer ses majestés. Me suivez-vous Norfolk ? »
Sans attendre de répondre, Alistair ordonna à sa monture d’avancer parmi la foule. Il tomba rapidement sur deux demoiselles en train de se disputer pour un mouchoir et dévia sa course, croisant alors Lyana Clayton à qui il offrit un sourire chaleureux et sincère.
« Lady Clayton ! Cela fait si longtemps. Je vais bien merci, j’espère qu’il en est de même pour vous. Vous en avez l’air en tout cas. »
Il était toujours impressionné par sa capacité à se faire comprendre même sans le moindre mot, même s’il n’était certainement pas le plus doué. Il ne la connaissait que très peu finalement, l’avoir courtisé et avoir demandé sa main avait été avant tout politique, même s’il l’appréciait et la trouvait très belle. Il s’était toujours demandé s’il aurait été possible de la connaître vraiment un jour, malgré son mutisme et en ignorait la réponse. Lady Clayton n’était pas vraiment une femme discrète en toute cas.
Après qu’elle soit repartie, Alistair s’arrêta pour saluer le Duc et la Duchesse du Gloucestershire, discutant un instant avec eux pour la retrouver un peu plus tard auprès des deux Princes.
« Vos Altesses, quel plaisir que de partager cette chasse avec vous ! Merci de votre invitation. Le Duc m’a chargé de vous présenter ses excuses, et nous souhaite une excellente chasse. » Alistair s’inclina. Les mots de son père avaient été plus humoristiques en réalité.
Bien que le comte de Surrey ne soit pas un homme de foi, il ne put s’empêcher de croire que s’il existait un Dieu quelque part, celui-ci lui en voulait. Alors que son attention était discrètement focalisée sur une jolie blonde délicate et polie, son fidèle destrier, lui, était intéressé par une créature bien plus sauvage. Eva Delucey était de retour, bousculée sans ménagement par son nouveau complice du moment ; Arès. “T’es censé être de mon côté ! Saleté de cheval !” pensa-t-il à l’égard de sa monture. Quoi de plus sympathique qu’une petite réunion tous ensemble ; Abelia, Eva, Emma et son ami Matthew ! Tous réunis dans un périmètre particulièrement étroit à son goût. Depuis son arrivée, il n’avait pas cessé d’éviter la présence de celui qu’il considérait comme un frère, après s'être souvenu d'une conversation lors d'une soirée trop arrosée.. Une discussion épineuse se profilait…
Matthew Wilson ! Quel plaisir ! Il me manquait justement un acolyte pour cette partie de chasse !
Il se retrouvait de nouveau dans une fâcheuse posture, pris au piège sur sa selle.
Je vois qu’il ne vous a pas oublié. Que dis-je, vous êtes fait pour vous entendre ! Dit-il à Eva, alors même que l’animal montrait son mauvais caractère en piaffant d’impatience.
Mal à l’aise, William tenta de garder la face sans montrer le moindre signe de gêne. Tout devait sembler parfaitement normal, pour sa propre santé mentale. Il chercha du regard le soutien de l’un de ses confrères du jour, qui pourrait lire entre les lignes et monopoliser son attention, en vain. Tous étaient pris au piège ou volontairement accaparés par les jeunes femmes qui entouraient désormais les cavaliers sur le départ. Son regard noir croisa celui d’Abélia, rempli d’un étrange mélange de jalousie, de colère à cause de secrets sagement gardés sous silence et d’admiration, pour une raison qu’il ignorait.
Après tout, ils ne s’étaient rien promis et son égo était piqué à vif car la demoiselle ne lui accordait guère plus d'attention qu'un autre, baissant même le regard pour ne point croiser le sien. Eva était une rivale de taille, son parfait opposé mais néanmoins une très belle femme, qui attirait sans mal les regards sur son passage et celui du Comte depuis le bal de la Reine.
J’imagine que vous ne me souhaitez pas bonne chance, n’est-ce pas ? dit-il en riant, à Miss Delucey.
Il adressa un dernier salut de la tête à ses amis les Smith-Stanley et notamment à Emma qu'il redoutait d'affronter également.
L’étalon bai, malgré les kilomètres avalés ces derniers jours attendait lui aussi le top départ avec une énergie difficilement canalisable. William avait chuté de nombreuses fois du dos de l’intrépide, mais il était hors de question d’offrir un tel spectacle avec tant de public. Avant de se faire surprendre par un demi-tour trop brusque, il choisirait de lancer l'assaut de sa propre volonté.
Les quelques demoiselles audacieuses offraient leurs présents au cavalier de leur choix, accompagnés de quelques encouragements polis, quelques rires aussi parfois et au milieu de ce spectacle, se trouvait un Comte, plus sombre et agacé que jamais...
Résumé : William est rejoint par @Eva DeLucey et @Matthew Wilson se met à cheval non loin de lui. Un piège ! Il lance un regard plein de jalousie à @Abelia Lewes qu'il affrontera à son retour. Il salut également @Emma Smith-Stanley tout en essayant de contenir sa monture impatiente. Sans doute Arès pouvait-il sentir l'anxiété grandissante de son cavalier..
Ps ; Sorry, 500 mots c'est très court. Willi revient bientôt pour quelques apartés !
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() / Ven 17 Fév - 2:28
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Partie de chasse royale. Tour 3
Alors que Jane Macartney approchait de son ami Emma Smith-Stanley, elle trouva que cette dernière s’éloignait avec un pas bien pressé et une expression timide sur le visage. Remontant la trace de son lieu de départ, qu’elle ne fut pas la surprise de Miss Macartney que de trouver le prince lui-même à cette place, une touche de peinture blanche glissée entre ces doigts. Et bien, voilà qui était d’une grande surprise de la part de cette chère Emma qu’elle avait cru plus timide que cela, et avant même que cette dernière n’ai fait ses présentations à la cour. Il faudrait que Jane Macartney prenne garde, car il semblait que même les agneaux les plus tendres pouvait se révéler de féroces louves.
- Le plaisir est partagé Emma.
Elle lui sourit, amusée de découvrir son amie à l’expression quel que peu chamboulé et plus ravie encore de pouvoir en imaginer la raison.
- Il semble que je ne suis pas aussi résistante au voyage terrestre que je le suis de celui maritime, et je me suis levée plus tard que je ne l’aurais espérée et n’ai pas pu discuter avec beaucoup d’autres que vous… Mais j’ai pu retrouver Miss Cordélia Blooming et il me semble avoir aperçu sur son destrier notre connaissance commune Lord Lightwood.
Acceptant le bras que lui offrait son amie retrouvée, les deux jeunes filles se mirent doucement en route vers l’espace réservé aux dames qui avait été dressé directement au milieu du parc. Là elles purent prendre une place afin d’observer le départ des hommes à la chasse sans craindre de voir leurs teints abimés par le soleil qui régnait en ce jour, et bien installée dans le confort d’un fauteuil de rotin alors Jane Macartney put faire signe à un valet de lui servir une tasse de thé dont elle avait si grandement besoin après avoir raté le petit-déjeuner du fait de son accident matinal.
Miss Macartney fut bien heureuse de trouver un tel ombrage pour discuter, car plus encore que les jeunes filles du vieux pays elle craignait constamment ce que les ravages du soleil sur sa peau. Voilà qui était une chose partagée par toutes les jeunes filles avec qui elle avait grandit au Cap de Bonne-Espérance, car dans ce pays au soleil si constant il était un signe de beauté accepté de tous que d’avoir la peau aussi blanche que le lait. Et dans ce département la douce Jane Macartney s’était toujours distinguée comme une perle de beauté.
- Avez-vous eu le plaisir d’offrir votre bonne fortune à un des cavaliers du jour ? Je crains de n’avoir eu le temps de discuter avec nul autre chasseur que monsieur Stauton qui est mon gardien ici.
Miss Macartney finit sa question d’une gorgée du thé que l’on venait de lui apporter, feignant de ne pas connaitre la réponse à sa propre question.
Résumé des actions
Spoiler:
Jane Macartney observe @Emma Smith-Stanley lorsqu'elle donne son mouchoir au prince mais fait semblant de ne rien savoir lorsqu'elle discute avec elle.
Elinor Gilderstone
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() / Ven 17 Fév - 9:26
Elinor Gilderstone
PARTIE DE CHASSE ROYALE 4ème tour
Toujours aux côtés de Francès, Elinor piaffait en silence contrairement aux montures qui commençaient tout juste à se regrouper. Voir les nobles destriers se mouvoir avec une telle élégance laissait rêveur ! Mais bientôt, la brunette renouait avec sa précédente rencontre à la mine d'ange face à laquelle elle ne s'était pas présentée.
"Miss Elinor Gilderstone. Je suis ravie de vous retrouver ici, d'autant plus si nous avons le point en commun que vous venez si justement de citer."
Un brin de conversation, une amie en devenir, qu'il était bon de sortir des murs ! Libre de s'exprimer, libre de vivre, la demoiselle sentait un souffle nouveau la gagner au fil des mots.
"Et vous êtes Miss... ?"
Tour à tour, les voilà qui se questionnaient comme deux enfants. Cela avait le mérite de dévier des responsabilités d'adultes, quoique le fardeau ne pouvait disparaître si aisément. Tandis que la brune attendait une réponse, elle retint son souffle en songeant que la chasse allait bientôt se lancer. Un doute monta en elle à mesure que ses phalanges récupéraient son mouchoir. Les yeux rivés sur les délicats traits de son interlocutrice, elle caressa les fibres de coton distraitement.
Le courage devint une vague indomptable qu'il était inutile d'enrayer. Si Elinor avait la liberté d'agir à sa guise, elle ne pouvait s'en priver.
"Miss, fit-elle à l'intention de sa comparse, vous allez croire que je vous fuie, mais j'aimerais donner un rien à un de ces messieurs. Acceptez-vous de me retrouver ensuite pour que nous bavardions convenablement ? Je vous ai fait faux bond par deux fois, mais je saurais me faire pardonner courant de cette journée."
La chose était facile à comprendre. Posant une paume réconfortante sur le bras laiteux de sa nouvelle amie, Elinor afficha un sourire.
"Ce sera bref."
Francès aurait sûrement aimé questionner sa fille en amont à ce sujet, mais elle n'en eut pas le loisir. Fendant la foule, Elinor se pressa pour rejoindre la robe noire. Souffle court, cœur affolé, elle se tint près de sa Majesté, la poitrine oppressée par un étau.
"Votre Majesté, souffla t'elle dans une révérence appliquée."
Ils allaient tous la voir. Cela ne fut pas suffisant pour interrompre son geste !
"Voilà de quoi vous souhaitez bonne fortune."
Le carré de tissu se dévoilait enfin et il fut soigneusement déposé dans la paume qui semblait prête l'accepter. Le bleu s'opposa au noir d'encre des iris qu'elle ne savait pas lire. Trembler ne servait à rien. Elinor avait fait un choix, pourquoi le redouter ? L'héritier saurait faire de son geste une réussite, elle en était quasiment convaincue.
Dans un dernier mouvement courtois, elle s'effaçait pour rejoindre sa place près de sa mère et sa nouvelle rencontre.
"Allons dans le parc, chantonna t'elle finalement face à sa génitrice devenue muette."
résumé:
Elinor continue de converser avec @Lucinda Conisburgh jusqu'à ce qu'elle ne décide de confier son mouchoir à un de ces messieurs. Rassemblant toute sa hardiesse, elle s'excuse auprès de sa nouvelle connaissance en promettant de la retrouver ensuite puis se faufile jusqu'à @Octavian de Hanovre. La demoiselle lui remet donc son "gage de confiance" avant de retrouver sa mère et @Lucinda Conisburgh.
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() / Ven 17 Fév - 10:23
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PARTIE DE CHASSE ROYALE 4ème tour
Cordelia savait qu’elle n’avait peut-être pas agi au mieux, mais elle était soulagée de se promener un peu au lieu d’assister au départ d’une activité qu’elle désapprouvait tant, et même qu’elle trouvait choquante. Marcher lui permit de se calmer l’esprit et en vérité son absence avait été courte car en s’approchant du lieu réservé aux dames, elle put voir qu’il commençait peu à peu à se remplir. Elle put même apercevoir Jane au bras d’une jeune demoiselle qu’elle ne connaissait pas encore. S’approchant d’elles d’un pas tranquille, elle se promit d’expliquer ses motifs à Miss Macartney si jamais il s’avérait que celle-ci lui en voulait, ou même s’interrogeait. Elle se rendit compte qu’elle aurait détesté voir se flétrir si vite une amitié naissante, et par conséquent qu’elle commençait sincèrement à apprécier la compagnie de la jeune femme, ce qui était suffisamment rare pour être souligné.
Rejoignant les deux jeunes femmes qui étaient alors installées, elle s’adressa en premier lieu à celle qu’elle espérait devenir une amie. « Miss Macartney, veuillez me pardonner de vous avoir ainsi quittée, j’avais besoin de prendre l’air. » Elle décida de s’en tenir là et de livrer d’autres explications par la suite si cela s’avérait nécessaire. Puis elle se tourna bien sûr vers l’inconnue, qu’elle salua avec la politesse requise. « Bonjour Mademoiselle. Miss Cordelia Blooming, ravie de faire votre rencontre. » Elle fit de son mieux une fois de plus pour adoucir ses traits et se donner un air aimable, mais contre son regard naturellement froid, elle ne pouvait pas grand chose.
« Permettez-vous que je me joigne à vous ? » Il était plutôt insolite pour elle de non seulement rechercher la compagnie d’autrui, mais en plus le faire avec désir de converser et de lier connaissance. Peut-être était-il temps qu’elle s’ouvre davantage en préparation de la prochaine saison. Celle-ci serait sans aucun doute bien plus agréable avec quelques alliées de son côté.
RÉSUMÉ:
Après une promenade nécessaire, Cordelia rejoint le lieu réservé aux dames. Elle rejoint @Jane Macartney, auprès de qui elle s'excuse une fois de plus et salue @Emma Smith-Stanley qu'elle ne connait pas encore. Elle demande aux deux jeunes femmes l'autorisation de se joindre à elles.
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() / Ven 17 Fév - 11:53
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La partie de chasse royale 4ème tour
" Il semble que je ne suis pas aussi résistante au voyage terrestre que je le suis de celui maritime, et je me suis levée plus tard que je ne l’aurais espérée et n’ai pas pu discuter avec beaucoup d’autres que vous… Mais j’ai pu retrouver Miss Cordélia Blooming et il me semble avoir aperçu sur son destrier notre connaissance commune Lord Lightwood."
-Oui je me souviens que vous ne m'aviez parlé qu'en bien de cette miss Blooming. Je suis ravie que vous ayez pu la retrouver. Peut-être que j'aurais le plaisir de la rencontrer dans la journée.
Alors que nous nous installions dans un coin ombragé pour que Jane ne développe pas de rougeur disgracieuse, je me sentais à nouveau détendue et normal. On nous apporta du thé dont je me délectais, la nervosité m'ayant noué la gorge.
- Avez-vous eu le plaisir d’offrir votre bonne fortune à un des cavaliers du jour ? Je crains de n’avoir eu le temps de discuter avec nul autre chasseur que monsieur Stauton qui est mon gardien ici.
Heureusement que je n'étais pas entrain de boire une gorgée lorsque Jane me questionna au sujet du foulard sinon j'aurais été capable d'avaler de travers. Je l'interrogeais du regard et remarquais son air malicieux et comprit qu'elle m'avait vue et donc qu'elle avait connaissance de mon geste. La rougeur monta à mes joues mais je pris une profonde respiration afin de calmer la nervosité qui revenait en moi. Dans le même temps je prenais le temps de trouver une réponse adéquate à apporter à mon amie. Mentir n'était pas une option, ce serait bien inutile et par ailleurs devais-je avoir honte de ce que j'avais fait ?
J'ouvrais la bouche pour répondre à Jane quand je fus interrompue par une jeune femme qui vint s'excuser auprès de mon amie. Je ne savais pas qui elle était mais je bénissais déjà son existence. Son interruption avait provoquée une bouffée d'air chez moi et je sentais soudainement toutes les tensions de mon corps se relâcher.
« Bonjour Mademoiselle. Miss Cordelia Blooming, ravie de faire votre rencontre. Permettez-vous que je me joigne à vous ? »
Je n'eus pas besoin de me forcer pour lui sourire aimablement, elle qui venait de me sortir d'une situation délicate sans même le savoir. Peu importe qu'elle ait un regard plutôt froid. Néanmoins désormais je pouvais mettre un visage, joli qui plus est, sur un nom.
-Bonjour à vous miss Blooming, miss Emma Smith-Stanley. Tout le plaisir est pour moi. Bien sûr je vous en prie, Jane m'a dit beaucoup de bien de vous. Vous vous êtes contrées à Londres si je ne me trompe pas, c'est bien cela ?
À dessein, j'initiais une conversation afin de ne pas laisser à Jane l'opportunité de reprendre son questionnement. Quoi qu'il en soit, je doutais que Jane ait poursuivi publiquement cette conversation sans être rayée définitivement de mes proches amis. Connaissant bien son tempérament je savais qu'elle en était capable mais pas envers quelqu'un qui avait son estime. J'espérais simplement que les années n'avaient pas raison de cette qualité que j'avais trouvé enfant en elle.
RÉSUMÉ:
Questionnée par @Jane Macartney Emma comprend que son amie a été témoin de mon geste mais elle est sauvée sans le savoir par @Cordelia Blooming venue s'excuser. Emma est heureuse de faire sa connaissance et de pouvoir changer de conversation.
Arielle Percy
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() / Ven 17 Fév - 17:58
Arielle Percy
"Une partie de chasse Royale"
Hunting is not a sport. In a sport, both sides should know they're in the game - Paul Rodriguez
Un frôlement de doigts, alors que le Comte prenait délicatement le mouchoir, l'observant un instant avant de le ranger dans un sourire charmeur. Ce n'était que peu de chose, que ce gage d'affection ou de bonne fortune pour la chasse, mais elle fut ravie de voir que ce geste était suivie par d'autres demoiselles, qui, s'approchant de montures aux cavaliers émérites, offraient leurs gages de confiance. Chacun avait sa supportrice au final et c'était là, chose fort agréable et sympathique, que chacun puisse recevoir un peu d'attention et de soutiens d'une dame. Ne disait on pas que derrière tout homme se cachait une femme ? Certes, elles ne pourraient rien faire pour la chasse, chacun devrait y aller de son talent, mais savoir qu'ils avaient le soutiens de quelques ladies jouant à quelques jeux, buvant le thé ou discutant de choses et d'autres pourrait aider.
Laissant la Comtesse de Cumberland les rejoindre, saluant rapidement les personnes alentour avant d'offrir au comte ce chapeau qu'il avait oublié, la jeune fille des Gloucester rougit un instant au clin d’œil des plus extravagant que lui offrait le comte, qu'allait donc dire sa mère de ce comportement ? Laissant l'homme et sa monture s'éloigner, elle rejoint celle-ci, cherchant à rester digne alors que la duchesse, de son sourire aimable lâchait une bombe à mi-voix, l'air de rien. Qu'est-ce qu'elle pouvait bien trouver à ce comte ? Étais ce seulement justifiable ? Explicable ? Gardant la tête haute elle répondit qu'elle lui trouvait des qualités qui n'étaient visible que de ceux qui ne jugeaient point les autres à la couverture et s'en allant, laissant sa mère à quelques mètres derrière pour aller saluer sa famille qui était prête à prendre monture au passage de leur cousin avec qui, ils discutèrent un instant avant que tous ne se mettent en place et que, quelque peu agacée par sa mère, la demoiselle ne prenne les devant, s'en allant rejoindre comme tant d'autres dames en robe délicate l'espace qui leur est réservé pour observer le départ de la chasse, applaudir ou saluer les cavalier et bien sur. Néanmoins, elle fut un instant surprise de croiser un visage amical, non vu depuis bien trop longtemps. S'avançant quelque peu, elle intercepta celle-ci, lui souriant à pleine dent, bien trop ravi de la croiser ici.
« Elinor, quelle joie et bonheur que de te croiser ici ! Lady Gilderstone, c'est un pur plaisir également ! Comment allez-vous ? Le voyage jusqu'en ces lieux vous fut il agréable ? »
Elle ne put s’empêcher de saisir un instant la main d'Elinor pour la serrer en signe d'affection, bien trop ravie de la retrouver, attendant les réponses pour oser un discret.
« Aurais-tu offert un gage de chance à l'un de ces cavaliers ? Je t'en prie, dit moi lequel si c'est le cas ! »
Code by Sleepy
Résumé:
Arielle après avoir donnée son mouchoir à @Aidan Percy est quelque peu gênée par le clin d’œil qu'il lui offre et se prend une réflexion de sa mère qui les mette quelque eu en froid. Prenant ses distances de celle ci, elle alla saluer en compagnie du reste de la famille leur cousins @Alistair Graham avant le départ de la chasse, puis, prend la direction du lieu prévu pour les dames, croisant au passage son amie @Elinor Gilderstone qu'elle intercepte pour la saluer et lui poser quelques questions.
Emploi : Principalement médecin. Baronnet à en devenir. Tuteur de son frère et de sa soeur à Londres.
Messages : 304
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() / Sam 18 Fév - 9:54
Mark Healey
Partie de chasse royale
4ème tour.
◊ ◊ ◊
Le médecin n’a guère le temps d’allumer une nouvelle cigarette, que déjà les mouvements changent. Les hommes s’en iront bientôt à la chasse, tandis qu’il resterait ici en compagnie des quelques pauvres hères privé de celle-ci, que ce soit par manque de compétence ou problème de de santé. Il observe d’un œil relativement amusé, le balais des demoiselles qui donnent leur ‘gage’ de confiance à ces messieurs, commentant en lui-même, la futilité de tout ceci. Mais c’est alors, qu’un nouveau duo entre dans celui qu’il formait avec monsieur Faulkner. Healey glisse alors sa cigarette non allumée dans sa poche et se fend d’une révérence. « Lady Manners, c’est un plaisir de vous recroiser. Cela faisait bien longtemps. Je puis dire sans rougir, que je me porte comme le temps aujourd’hui et vous-même ? » Et le temps était absolument radieux et splendide, et bien que Mark ait bien des soucis en tête, il ne pouvait dire qu’il se sentait mal. Ses yeux sombres se posèrent alors sur la jeune pupille de Lady Manners et il lui offrit son plus beau sourire et le même salut respectueux. « Milano ? Sono io che sono incantato, Lady Giulia. Vi piace l'Inghilterra?» Son italien était peut-être un peu rouille par manque de pratique, mais c’était après tout le moment de s’y remettre. Il observa un instant, la beauté singulière de la demoiselle, en appréciateur de femmes qu’il se trouvait être dans le plus grand secret.
C’est alors, qu’arriva celui qu’il ne pensait pas venir les retrouver. Après tout leur première entrevue avait été... étonnante à bien des niveaux. Pour autant, Mark n’était pas homme à laisser seul un camarade d’infortune au milieu de toutes ces dames. Car n’en doutons pas, ils seront bientôt les seuls représentants masculins d’ici peu. « Mon père, le plaisir est partagé. » Dit-il par politesse pure, n’étant pas encore tout à fait sûr de sa façon d’aborder la présence d’un ecclésiaste auprès de lui. « En effet, il serait fâcheux, que le médecin se blesse à la chasse. » Ironise-t-il. « Eh bien, permettez que je vous présente Lady Manners et sa jeune pupille, Lady Giulia Visconti. Et Monsieur Faulkner, qui est un homme de savoir. » Un instant encore, le médecin observe le prêtre, avant de revenir au spectacle des cavaliers, jetant également un œil sur son frère. « J’ose espéré ne pas devoir dispenser de mon art aujourd’hui, je vous l’avoue bien volontiers. » Finit-il par dire, posant un regard légèrement plus appuyé sur Léopold, avant de hausser les épaules. « Mais je n’en serais pas pour autant particulièrement surpris. »
(c) oxymort
résumé:
Discutant avec @Theobalt Faulkner, Mark est rejoint par Lady Manners et @Giulia Visconti dont il fait la connaissance. Rejoinds également par @Léopold Howley, il converse également avec ce dernier.
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It doesn't hurt me. Do you want to feel how it feels? Do you want to know, know that it doesn't hurt me? Do you want to hear about the deal that I'm making? You, it's you and me ☾☾
Heathcliff Howard
Duc
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Emploi : Duc de Norfolk, Comte Maréchal d'Angleterre et 1er pair héréditaire de la chambre des Lords. En outre, sa famille est connue pour son élevage de chevaux.
Messages : 358
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() / Sam 18 Fév - 15:07
Heathcliff Howard
4ème tour.
Partie de chasse royale.
Emil ne releva pas la remarque de Lord Percy, quant à ce qu’ils feraient sans les femmes, car depuis ce matin, il n’avait de cesse de se dire que son esprit serait bien plus tranquille. Entre le remue-ménage pour l’habillement de Victoria, toutes ces mères et filles à marier pullulant aux alentours et maintenant, le croisement de regard avec Arya. Vraiment a cette question rhétorique, il serait capable de répondre qu’il aurait au moins la paix et la tranquillité. Et qu’il en avait diablement besoin d’ailleurs. Mais finalement, il préféra ne rien en faire et se contenter de devenir spectateur un moment de tout ceci. Il salua les nouveaux arrivants, avec peut-être une once de chaleur en moins, car plongé dans ses pensées, mais non moins sans sourire de façon avenante, jusqu’à ce que son cousin lui suggère de le suivre. « Bien évidemment, Graham. » Répondit-il avant de saluer la compagnie. « Mesdames, que la journée vous soit agréable. Messieurs, à tout de suite pour le départ. »
D’un mouvement souple, il fit avancer son étalon baie à la suite de son cousin pour rejoindre les Altesses royales d’Angleterre et de Prusse. Ce faisant, il ne put que dissimulé son hilarité et sa réprobation quant au spectacle parfois ridicule de deux demoiselles se disputant pour offrir leur gage. Quelle drôle d’époque par instant. Après tout, Emil n’a jamais été un grand romantique dans l’âme, plutôt pragmatique et rationnel, donc tout ceci l’étonnerait sans doute toujours. Son regard s’arrêta également un instant sur la pupille de la reine, qu’il salua avec respect, mais tout en silence. Peu connu pour être loquace, personne ne lui tiendrait rigueur. De loin, Norfolk reconnaît alors la silhouette massive d’Aloïs sur son cheval aux proportions aussi insolites que le cavalier. Cheval qu’il connait tout aussi bien, puisqu’issu de ses écuries. Il avait ri à l’époque en songeant qu’une telle bête n’avait pu naître que pour le Marquis de Berkeley. Et en effet.
Rejoignant enfin son cousin et les princes réunis, d’Aetheling salua son grand ami Wilhelm avec un sourire chaleureux, et offrit le même salut protocolaire à Octavian, qu’il connaissait moins bien. « Vos Altesses. C’est toujours un plaisir d’être votre invité, surtout à cette chasse en l’honneur de mon grand ami, le prince de Prusse. Quel malheur de vous savoir bientôt reparti. » Dit-il sincèrement, avant de regarder les jeunes femmes s’approcher des princes. Lady Emma offrant son gage à Wilhelm, tandis qu’à sa grande surprise, Lady Elinor en faisait de même avec le prince d’Angleterre. Une once de sympathie glissa dans ses yeux bleus, car Emil conservait le souvenir ému de son frère Andrew, un de ses bons amis disparu lui aussi.
Out on the wily, windy moors. We'd roll and fall in green. You had a temper like my jealousy. Too hot, too greedy. How could you leave me when I needed to possess you? I hated you, I loved you, too
Aloïs Berkeley
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() / Sam 18 Fév - 15:31
Aloïs Berkeley
Partie de chasse royale
Juché sur son imposante monture, mais non moins de qualité, Aloïs esquissa un sourire mutin à la jeune femme qui l’accompagnait jusque-là, se penchant quelque peu en avant, afin de conserver une certaine intimité, comme dans leur précédente conversation. Ses yeux verts scrutant avec ravissement les visages de Juliet, le laissant songeur comme chaque fois qu’elle jouait de son charme avec lui. « Il ne suffirait surtout que de quelques mots, mais surtout, d’une journée moins mouvementée que celle-ci. » Et moins protocolaire. Il serait tout bonnement scandaleux de demander officiellement la main de la demoiselle à un tel évènement, volant ainsi la vedette au prince de Prusse. Le sourire qui se dessina sur son visage aux dernières paroles de Juliet, alluma également les flammes de son imaginaire dans le fond de son regard. Ah Juliet… « Vous me punissez ainsi de mon absence à vos côtés ce jour ? Ou vous vous assurez que je ne pourrais jamais faire en sorte que vous ne quittiez mes pensées ? » Demande-t-il de façon plus rhétorique qu’interrogatif. « Ou voulez-vous me punir, pour autre chose, ma très chère Miss Blooming ? Peut-être le temps que vous trouvez trop long ? »
Berkeley se redressa alors en selle et mis son couvre-chef de circonstance, avant de prendre la main de la jeune femme dans la sienne et de se pencher à nouveau pour porter ses doigts délicats vers ses lèvres. « Bonne journée, Miss Blooming, qu’elle soit fructueuse et pleine de conspiration avec ma chère grand-mère. J’ose vous retrouver aussi belle et gracieuse à mon retour, afin de vous avoir à mon bras ce soir pour le dîner. » Si fait, il relâcha la main de la demoiselle pour s’en aller rejoindre les autres chasseurs.
Escortée par le prêtre, Lady Berkeley lança à ce dernier un regard profondément outré – bien que faussement évidemment -. « Qu’allez-vous donc chercher là, mon père. Moi, Whistledown ? Je ne suis qu’une dame sur le déclin, qui cherche encore un peu d’amusement dans ce monde, mon cher. » Faisant résonner sa canne sur les dalles, la vénérable dame observe cependant le monde d’un œil intéresser et critique. Privilège de son âge, elle peut remettre qui elle veut à sa place après tout. « Je sais que votre père veut vous voir marier, mon cher père Howley. Une tâche bien ardue, j’en conviens. Ne désespérez donc pas. » Pour autant, la douairière lui aurait bien assurer que Miss Blooming n’était nullement le genre de dame à se satisfaire d’être épouse d’un pasteur. Foi de Lady Berkeley, elle lui dresserait sans doute une liste de potentielle cette après-midi. Adélaïde acquiesça lorsqu’il dit vouloir aller saluer un ami et la laissa sur un siège confortable. « Tenez cette parole, mon père, où je serais votre pire cauchemar, vous le savez. » Dit-elle pour le taquiner, avant d’observer les demoiselles de son air sévère et calculateur.
résumé:
Aloïs discute encore un moment avec @Juliet Blooming qui semble apprécié le torturez de ses mots et ses sourires.
Adélaïde avertit @Léopold Howley que sa présence à ses côtés est plus que requise, avant de rester à observer les autres, en silence.
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() / Sam 18 Fév - 18:45
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PARTIE DE CHASSE ROYALE 4ème tour
Aodh sourit doucement aux dires de la jeune femme et non sans sincérité, il lui répond. "Vous savez... Je ne vois pas de différence entre les femmes. Pour moi, elles sont toutes d'un rang si grand..." Il en devient pensif. Le Loup a cette tendance, cette tendance d'ériger les dames au sommet. Luisa fait preuve d'une bienveillance sans nom. Aodh en est fort aise, apréciant la chaleur qu'elle lui apporte. Des rencontres qui lui sont agréales bien plus qu'il ne l'aurait imaginé. "Il est certains que l'organisation a été rondement menée." Aodh ne renchérit pas sur les paroles de Miss Hamond. Il ne saurait l'emporter avec lui dans sa noirceur, alors il se contente de sourire.
Elle déteste le thé et là, la carcasse se secoue d'un spasme amusé. "Le thé est un breuvage fort spécial, comme le café." Il marque une pause avant de reprendre "Je devrais les remercier de vous avoir conduit ici alors." Pour les remercier de cette dose d'apaisement de bon matin, en ce temps d'incertitude.
Les corps en déplacement, l'appel de la chasse, Wolf la rassure quant à sa conversation. "- Vous ne m'embêterez jamais, quelque soit le sujet de conversation. La vie a fait que je suis devenu une oreille." Bon gré surtout, Aodh s'était toujours voulu à l'écoute de ses dames sans concessions. "Le Mexique hein ? Vous me mettez dans un grand suspens. Je ne suis plus sûr de vouloir aller à cette chasse." Préférant les conversations paisibles.
Ils prennent une pause un instant. "- Non, il a été rappatrié en avance sur mes terres, il est encore bien jeune et très peu entrainé pour la chasse. Je vais donc emprunté l'une des montures de notre grâce, fort avenant de nous les confier" Il se détache de la jeune mexicaine et lui adresse une révérence. "- Ce fut un plaisir de partager ces mots et ces courts pas avec vous. Je vous souhaite une belle matinée."
Aodh s'écarte de Luisa avec un large sourire. Il en avait oublié le reste Le reste.... Un regard vers Edward et le sourire se détruit doucement. Wolf déglutit avant de se diriger vers le cheval qui lui est attribué. Se faisant aider par le valet, il se hisse sur la monture avec un stress naissant. Le départ est donné, et c'est le coeur palpitant bien trop vite qu'ils s'élancent dans cette chasse. Et déjà, alors que les arbres défilent sous ses yeux... Les ombres dansent et le narguent. Et déjà alors que les morts filent sous son âme... Les Ténèbres le prennent et le gardent...
Spoiler:
Aodh poursuit sa discussion avec @Luisa Hammond puis ils se quittent pour débuter la chasse. Aodh sent cette peur naître en lui en posant son regard sur @Edward G. Lovewell.
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() / Sam 18 Fév - 23:06
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PARTIE DE CHASSE ROYALE
Nous rejoignons donc l’extérieur de la bâtisse afin de retrouver la cour et les cavaliers qui se préparent à monter sur leur cheval. J’avoue que cela me manque de ne plus pouvoir pratiquer cette activité. Néanmoins, je continue d’aller voir nos chevaux et de leur parler. Mais ne plus sentir cette sensation de liberté quand on va au galop dans les prés me fait de la peine. Enfin il faudra que je m’y fasse car je pense que plus jamais je ne pourrais remonter sur un cheval.
Le cor résonne afin de lancer le départ et les chiens partent en premier suivi par les premiers chasseurs. Quelques domestiques nous annoncent alors que des tables sont installées dans un coin du parc. Je regarde alors Nailys avant de lui offrir une révérence et j’en fais de même envers sa sœur.
- Je vous laisse rejoindre le parc avec ces dames, je m’en vais rejoindre mon frère. Je vous retrouve tout à l’heure, en espérant que vous passerez une bonne journée.
Après lui avoir offert un sourire, je laisse les demoiselles rejoindre le parc avant de me diriger, d’un pas lent, vers mon frère qui semble en bonne compagnie.
Une fois à leur hauteur, je leur offre un sourire avant de me présenter et d’offrir une révérence envers la jeune demoiselle. - Messieurs, Lady, bonjour à vous. Neal Healy, enchanté de vous rencontrer. Le petit déjeuner s’est bien déroulé ?
Edward se tenait à distance raisonnable, alors qu'il suivait sagement Aodh et cette dame avec qui il discutait. Elle était indéniablement belle, osa penser Edward le temps d'une seconde et dont le visage restait stoïque. Cette dame, dont il ignorait le nom, dégageait un sentiment de bonté et d'apaisement.
Il faisait bon dehors. Edward ferme un instant les yeux et profite des premières lueurs du jour qui viennent chauffer son visage. Mais comme le café, ce n'était guère suffisant pour chasser ce brouillard persistant. Il se retient de soupirer, mais le cœur y était. Edward était déjà las à cause de cette mauvaise nuit, mais il avait un rôle à tenir, en aucun cas il devait faire honte à son ami qui a eu la bonté de l'embaucher.
Aodh se sépare de cette dame et Edward le suit. Il aide à monter à cheval et profite de cette courte proximité pour lui murmurer :
— Il semblerait que cette rencontre vous ait apaisé, Mylord.
Edward s'assure que le cheval était bien sellé, le mord correctement mis et il règle les étrillés pour qu'Aodh soit à l'aise sur cette monture. Il caresse l'encolure de cette dernière. Le pelage était doux sous ses doigts. Edward croise le regard de son ami et remarque le stresse qui y naissait. Au début, il ne comprend pas ce changement d'humeur, jusqu'à que son regard dévie en direction des fusils de chasse. Edward déglutit alors.
Dans quel merdier ils venaient de se mettre ?
Il n'eut guère le temps d'en parler avec Aodh. Le départ est donné. Le son du cor résonne en lui. Une réminiscence qui n'avait rien de bon. Les chevaux s'élancent et Edward dut le suivre à pied.
Résumé:
Il suit à bonne distance @Aodh Wolf et @Luisa Hammond. Puis il aide Aodh à monter et s'assure que le cheval est bien sellé, avant de régler les étrillés. Il fait remarqué à Aodh que sa rencontre avec miss Hammond l'a apaisé, avant de remarquer son stress et de comprendre d'où vient sa source. Lui même n'est pas très serein.
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() / Dim 19 Fév - 13:22
Ulysse Nightingale
Partie de chasse royake
3ème tour.
Juché à présent sur la jument blanche de race anglaise, Ulysse observe un instant le monde autour de lui, non sans une certaine appréhension. Les armes à feu, il connait plus qu’à son tour. Monter un cheval lui est une épreuve qu’il espérait largement ne pas avoir à supporter, mais c’était ainsi. Un sourire aimable se peint sur son visage, lorsque la jeune lady lui affirme qu’il est bon danseur. Disons qu’il s’en sort surement mieux là-dedans, que dans l’exercice qu’il s’apprête à mener. Enfin, pense-t-il sincèrement. Pour le reste, l’anxiété gagne du terrain en lui et lui noue désagréablement l’estomac. Et si tout cela se finissait mal ? Il n’était pas revenu sur terre pour mourir bêtement à une partie de chasse, toute royale soit-elle. Son regard trouve celui de Charles, qui peut y lire toute la désapprobation qui émane de lui et de ses muscles contractés sur ce pauvre cheval.
Finalement, la voix de la jeune femme revenant chanter à ses oreilles, le pousse à reprendre une attitude plus ouverte et plus agréable. Sincèrement touché qu’elle semble s’embêter du fait qu’il reste en ‘bonne santé’ durant cette partie de torture, il lui offre un sourire gentil et doux. Sans le montrer, il s’étonne du don de son mouchoir, mais ne proteste pas et le prend délicatement de sa main gantée de cuir. « Je vous remercie Lady Sutton. Je ferais au mieux pour revenir en état. » Ironise-t-il d’abord avant de continuer. « Mais avec la chance que vous me donnez, je suis désormais certains que ce sera le cas. » Relevant un quart de seconde ses yeux en direction de la duchesse de Gloucester, il revient à Apolline et sourit de nouveau. « Bonne journée, Lady Sutton. » Tirant sur les rênes gentiment, il mit l’animal au pas, suivit par Charles pour s’éloigner des dames et rejoindre les chasseurs.
« Diantre, Charles, pourquoi m’a-t-elle donné son mouchoir ? » Marmonne-t-il en confidence, alors qu’ils sont assez loin. « Qu’est-ce que je dois faire avec ça ? » Le rire discret de son majordome ne lui dit absolument rien de bon et il le fusille du regard. « MyLord, c’est le gage de sa confiance en votre réussite. Mettez-le simplement dans votre poche. » Le marquis s’exécuta alors et rangea l’objet brodé dans sa poche intérieur avant de secouer la tête. « Vous avez de ces coutumes dans ce pays… Un mouchoir… » Charles haussa les épaules avant de conclure. « Elle vous apprécie sincèrement et c’est une bien aimable demoiselle, vous savez… » Le regard de l’ancien pirate devient tempêtueux. « Pas un mot de plus, ou vous le regretterez. J’ai déjà bien assez à supporter sa bienfaitrice. Ne vous y mettez pas ! »
Résumé:
Ulysse termine sa conversation avec @Apolline Sutton et prend son gage de confiance. Après quoi, il a une conversation très privée sur le sujet avec son majordome.
codage par aqua
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Oh, what a day, what a lovely day
I am the one that runs both from the living and the dead. Hunted by scavengers, haunted by those I could not protect. So I exist in this wasteland, reduced to one instinct: survive.(c)flotsam.
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() / Dim 19 Fév - 14:20
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PARTIE DE CHASSE ROYALE
Me préparant à partir, je remarque alors William qui se trouve derrière moi et Eva et je m’avance pour le saluer, ainsi que les autres hommes en sa compagnie. Néanmoins, je ne m’attendais pas à ce qu’il soit en compagnie d’Abelia et mon sourire s’efface en la voyant. Je la salue alors poliment tout comme les hommes qui sont présents. Ceux-ci s’en vont par la suite vers leur monture et je m’approche alors de William, heureux de connaître un visage dans cette foule.
- Je serais ravi d’être votre acolyte pour cette partie de chasse mon cher ami.
Tandis que mon ami semblait embêter Miss Eva, je regarde alors Abélia, la voyant légèrement gênée par cette situation. Je m’avance alors vers ma monture et j’en profite alors pour lui demander en passant à ses côtés.
- J’espère que vous avez fait bon voyage pour venir jusqu’ici.
Je monte sur le cheval qui m’a été prêté pour l’occasion et lui offre une légère caresse avant de m’approcher de mon ami. J’observe alors les alentours, voyant les demoiselles offrir leur mouchoir aux cavaliers. Aurions-nous cette chance de recevoir un mouchoir avant de partir ?
Le cor résonne alors et je me tourne vers William, un sourire sur les lèvres. Je dois avouer être un peu heureux de participer, même si je ne suis pas à l’aise avec les armes à feu.
- Nous devrions y aller mon ami, certains sont déjà partis. Miss Delucey, Lady Lewes, je vous souhaite une bonne journée et nous nous retrouverons plus tard.
J’offre une légère révérence avant de partir à la suite des hommes qui sont déjà à la poursuite des chiens. Espérons que tout se passe bien durant cet événement.
Résumé:
Résumé: Matthew discute avec @William Lightwood, heureux de voir un visage familier. Il se sent légèrement mal à l'aise en compagnie @Abelia Lewes mais lui souhaite une bonne journée ainsi qu'à @Eva DeLucey avant de partir à la chasse.
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() / Dim 19 Fév - 15:25
Invité
PARTIE DE CHASSE ROYALE
La cloche retentit, indiquant aux hommes qu’il est temps pour eux de rejoindre leur monture afin de partir à la chasse. Je marche donc aux côtés de Lord Nightingale jusqu’à sa monture avant de lui tendre, timidement, mon mouchoir afin de lui souhaiter bonne chance, en espérant bien évidemment qu’il revienne sans soucis. Je lui rends son sourire, les joues légèrement rosies quand il me dit que ça ira avec la chance que je viens de lui donner.
Je me décale ensuite pour le laisser partir et une fois qu’il se trouve assez loin, je me tourne alors afin de me rendre dans le parc que les domestiques nous indiquent. Le sourire aux lèvres, je m’avance vers le lieu, cherchant du regard mon amie Arielle. Mais je remarque alors un mouchoir tomber sur le sol et je m’avance alors pour le ramasser avant de m’avancer vers la demoiselle qui se trouve juste devant.
- Bonjour. Excusez-moi, il me semble que vous ayez fait tomber ceci. Cela serait dommage de le perdre, il est très beau.
Résumé:
Résumé : Apolline offre son mouchoir à @Ulysse Nightingale avant de le regarder partir. Puis elle ramasse le mouchoir d'une jeune demoiselle @Luisa Hammond.
Wendy Manners
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() / Dim 19 Fév - 16:12
Wendy Manners
Partie de chasse royale ou un moment de plaisir
Est-ce que la jeune femme était impressionnée? Pas le moins du monde. Giulia aimait rencontrer des gens, mais pas quand Lady Manners était dans les parages. La duchesse avait une manière de la présenter…comme une inculte étrangère. C’était parfois un peu désagréable. Giulia tentait de rester en retrait quand le médecin répondit à la Lady, bien qu’elle ne pouvait s’empêcher de penser qu’il était très bel homme. Eh bien si les anglais l’étaient tous…peut-être resterait-elle plus longtemps.
- À merveille, merci de vous en inquiétez. Je pense que mon mari devrait vous rejoindre sous peu après la chasse. Vous savez son arthrite lui faisant des misères…J’ai bien essayé de lui dire que cavaler aux cotés d’Antonio ne serait pas une si bonne idée, mais les hommes…
Pourtant, Lady Giulia arrêta d’écouter le blablatage de sa marraine quand elle entendit son language de la bouche de l’inconnu. Elle plongea alors ses yeux dans les siens et sourit encore plus amusée.
- È un bellissimo paese, grazie dottore. - En anglais ma chère. Ne fatiguez pas ces hommes à user de votre language. - Oui, Lady Manners.
Soudainement, un autre homme se rajouta à la discussion. La demoiselle s’inclina, avant de comprendre que c’était un ecclésiastique.
- Mon père, c’est un honneur de vous rencontrer. - Père Howley, je suis heureuse de vous voir! Votre sermon de l’autre jour était très appréciable. Ma pupille n’a malheureusement pas eu y assister, mais il faudra que vous la confessiez un jour, n’est-il pas ma chère? De plus, celle-ci est très pieuse, une bonne paroissienne.
Giulia ne répondit pas, se contentant de retenir ses commentaires. Etait-elle clairement entrain de la vendre comme un bout de viande? Certes, ces hommes n’étaient pas déplaisants mais quand même! Il ne fallut pas longtemps pour qu’un autre homme se joigne à eux.
- De même, entama la jeune femme. Le petit déjeuner fut tout à fait à notre goût, merci de vous en soucier. Et le votre?
Résumé »:
Giulia continue sa discussion avec @Mark Healey et @Theobalt Faulkner ainsi que Lady Manners, avant que @Léopold Howley et @Neal Healey ne débarquent. Elle a l’impression d’être mis en avant comme un bout de viande par la duchesse qui tente de lui trouver un mari.
Luisa Hammond
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() / Dim 19 Fév - 16:41
Luisa Hammond
Partie de chasse royale.
3ème tour.
Luisa garda son sourire angélique et aimable tout au long de cet échange avec le baron, qui lui semblait au final, être un homme des plus agréable. Peu prompte de toute façon à juger qui que ce soit, surtout sur la seule apparence d’un physique. Ses joues légèrement rosies lorsqu’il affirme mettre toutes les dames sur le même piédestal. « Bien que cela soit charmant, monsieur, la société désapprouvera. Mais merci, je me sens moins insignifiante grâce à vous. » Luisa est solaire, l’a toujours été, même si elle n’a jamais rêvé de toucher l’astre radieux. Sa grand-mère lui disait toujours qu’elle était le soleil. Mais le soleil est couvert de nuage ces derniers temps. Cela ne l’empêche pas de vouloir réchauffer les cœurs et les âmes autour d’elle. « Ils seront sans doute étonnés de savoir que quelqu’un éprouve de la gratitude à devoir me faire la conversation. » Ironise-t-elle alors, avec une large pointe d’humour. D’ailleurs, à peine la jeune femme a-t-elle aperçu les St John aujourd’hui. Non pas qu’elle s’en offusque en quelque façon d’ailleurs.
Le chemin parcouru est bien court, mais la journée est belle ; les rayons du soleil glissent enfin salvateurs sur la peau de la Mexicaine, lui rappelait avidement qu’il existait encore. L’homme était une oreille, cela la fit sourire. Ironie qu’elle soit une bouche avide de parler, qu’on tente parfois de muselée. « Vous êtes une oreille et moi je suis un flot de parole. Nous serions nous bien trouver dans ce cas ? » Dit-elle en s’amusant de la situation, tout en étant parfaitement attendrie. Sous sourire devient plus vague, plus discret, alors que danse derrière ses yeux, les souvenirs de sa patrie ; que parviennent à ses narines, les spectres de ses odeurs. « Dans ce cas, Lord Wolf, vous aurez une raison de venir me faire la conversation après la chasse et je vous parlerai de mon pays. » Son pays, sa vie, son coeur… son âme.
S’arrêtant enfin devant les chevaux gracieusement prêtés par leur hôte, la jeune Hammond caresse les naseaux de l’un d’eau, gouttant leur douceur singulière, avant de saluer son camarade d’un instant volé. « Bonne chasse, Lord Wolf. Rappelez-vous, qu’il y a toujours le soleil derrière les nuages. Ce n’est qu’un moment à faire passer dans votre existence. » Puis, elle offrit le même sourire aimable au domestique du baron. Si fait, elle les suivit du regard vers les profondeurs des bois. Un instant songeuse, la jeune femme sursauta, lorsqu’une voix féminine vient à son oreille. « Oh, je vous remercie. » Dit-elle en reprenant son mouchoir brodé de fleurs du Mexique. « Magnifique même. Je ne pensais pas un jour trouvé l’Angleterre aussi jolie, que sous le soleil. » Dit-elle avec un sourire radieux, observant la jeune femme à son côté. « Oh, je suis distraite, miss Luisa Hammond et vous êtes ? » Demande-t-elle alors, avec douceur et bienveillance.
résumé:
Clôturant sa discussion avec @Aodh Wolf, Luisa le salue lui et @Edward G. Lovewell en leur souhaitant une bonne chasse. Perdant son mouchoir, il est ainsi source de la rencontre avec @Apolline Sutton
Tenue:
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Dos oruguitas enamoradas
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Octavian de Hanovre
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() / Dim 19 Fév - 17:00
Octavian de Hanovre
Partie de chasse royale
1er tour.
La meute rassemblée, les chevaux également, Octavian regardait avec un sourire amusé le spectacle des dames et de leurs gages pour les hommes. L’éclair d’un fantôme passa dans ses yeux sombres ; souvenirs fugace de sa bien-aimée Louise. Qu’il est loin ce temps… Revenant aux mondes aux paroles du futur Duc de Montrose, bien vite suivi de celui de Norfolk, le prince d’Angleterre offre un remerciement à ceux-ci d’un signe de tête. « Vous remettrez mes amitiés à votre très cher père, Lord Graham. Je suis de même ravi que vous ayez été si nombreux à répondre à cette invitation. » Puis observant Aetheling, il ajouta : « Vous l’avez si, un véritable malheur, mais comme nous tous, mon bien-aimé cousin à des obligations dans son propre pays. Au fait, avez-vous bien amenez le cadeau pour mon adorée Lyana, Norfolk ? » Demande-t-il, en observant la jeune femme du coin de l’œil, avec un sourire satisfait. La réponse du Duc étant bien entendue positive. Il fit comprendre à la pupille, qu’elle aurait droit à son cadeau, si elle se montrait sage et raisonnable. Un sourcil levé pour appuyer le sérieux de ce que ses doigts racontaient en silence.
Le Duc d’York et d’Albany observa l’audace de la jeune Smith-Stanley d’offrir un gage à son cousin, un sourire cependant bienveillant peignant les traits de son visage, avant d’être lui-même surpris par une voix de son côté. L’azur du regard de la jeune Gilderstone percuta l’obscurité chaleureuse du sien. « Lady Elinor. » La salua-t-il alors, avant de tendre sa main ganté et de saisir le mouchoir de la demoiselle, sur lequel ses doigts se refermèrent délicatement. « L’attention me touche, mademoiselle. » Dit-il alors, remontant sa main à la poche ornant sa poitrine où il glissa le gage de confiance. L’audace était grande, mais la témérité et le courage encore plus. Le sourire sur son visage était à la fois teinté de surprise et d’une forme de bienveillance tendre, tandis qu’il regardait la dernière Gilderstone fendre la foule en sens inverse.
Finalement, reprenant le cours de ses pensées, il offrit un dernier salut prononcé à sa chère Lyana, avant de taquiner les flancs de sa monture de ses talons. De l’arrêt, Arion prit de l’allure, atteignant en un instant sa vitesse de course en direction des bois, alors que le cor de chasse raisonnait pour signifier le début de celle-ci.
Miss Macartney fut bien amusée d’observer du coin de l’œil la réaction que fut celle d’Emma Smith-Stanley à la question portant sur la bonne fortune qu’elle avait offert au Prince. Continuant tranquillement de boire sa première tasse de thé de la journée, tant appréciée après avoir manqué au petit-déjeuner, elle observa la nervosité qui prit son amie, le rouge à ses joues et sa respiration agitée, et qui révélait bien des choses. Eh bien ! Emma était peut-être un plus courageuse que ne l’avait cru sa camarade, mais pas assez pour pleinement assumer son âge.
Mais avant que Jane ne puisse entendre la réponse à sa question, que cette dernière soit vérité ou mensonge, Cordélia Blooming se joignit de nouveau à elle et offrit une excuse inespérée à Miss Smith-Stanley. Alors il lui faudrait espérer obtenir sa réponse une prochaine fois il faut bien croire, bien que le silence de son ami soit déjà en quelque soit une réponse pour Miss Macartney.
- Miss Blooming, n’ayez aucune crainte je n’ai pris aucune offense. J’espère simplement que vous vous sentez mieux à présent.
Son sourire fut amical et, la chose était malheureusement assez peu courante, complètement honnête. Si la fierté de Miss Macartney pouvait souvent se révéler son pire ennemi, la jeune enfant prenant facilement offense de certains comportements de ceux l’entourant dans la bonne société, et surtout haissant au plus haut point que l’on puisse remettre en question son statut de jeune fille aussi savante qu’accomplie, elle pouvait se montrer clémente avec des écarts de ses amis.
Eva n’avait pas oublié la promesse faite à Matthew de venir prendre le thé en sa compagnie. Elle avait été si occupée par sa fin de saison à papillonner partout et à intriguer contre le Comte de Surrey qu’elle en avait négligé son ami. Il fallait à tout prix qu’elle y remédie. Dommage que son ami et l’objet de ses foudres semblent bien s’entendre. Après tout, le démon savait se montrer charmant. Elle même s’y laissait parfois prendre avant de relire le pamphlet le concernant et d’affermir sa résolution à protéger son père de ses entourloupes. En tant que rares bourgeois à fréquenter les soirées des puissants, Matthew et elles comprenaient bien que leurs aspirations ne pourraient jamais coïncider avec les leurs. C’était un jeu auquel il fallait jouer avec raison et, parfois, le tempérament de feu d’Eva la desservait.
L’intervention d’Arès et quelques présentations plus tard, Eva se retrouvait au milieu d’un groupe bien fourni, tâchant d’associer les visages aux titres de noblesse. Le tout, afin de ne commettre aucun impair. Ce fut l’adorable petite blonde qui retint son attention. La parfaite débutante avec ses cheveux couleur des blés et son teint de porcelaine. “Miss Lewes, c’est un plaisir.” Eva était son parfait opposé, teint olive et cheveux noirs. Un indice discret sur les origines qu’elle cachait au monde et que son père faisait passer pour italiennes. Leurs différences tant physique que de statut n’empêcha pas Eva de lui offrir un charmant sourire. Son attention fut néanmoins vite détournée par le Comte qui ne put s’empêcher de lui lancer quelques pics tout en nuances. C’était de bonne guerre, elle devait bien l’avouer. “La chasse est un art dans lequel la chance n’a que peu de place. Et puis, vous avez mon champion avec vous.” Sans autre forme de procès, Eva noua son mouchoir aux rênes d’Arès avant de déposer un petit bisous sur ses naseaux. Le petit sourire d’Eva était éloquent. Si son cavalier l’exaspérait toujours autant, l’animal avait su gagner ses faveurs. Peut-être devrait-il en prendre de la graine. Sa chaperonne ne put retenir un soupir désabusé. “Pas de bêtises” chuchota la demoiselle à l’animal. L’équidé ou le Comte, ça, chacun pourrait se faire son opinion. Déjà, le moment pour les cavaliers de quitter ses dames était arrivé. Eva s’était -comme bien trop souvent- laissée distraite de sa chasse au mari par cet homme insupportable. Du regard, elle chercha sa nouvelle connaissance, Abélia, du regard. Elle semblait en conversation avec Matthew. En bonne commère, elle l’interrogerait plus tard à ce sujet. Il était temps de laisser ses Messieurs à leurs affaires d’hommes. “Monsieur Wilson, Lord Lightwood. Ma nouvelle amie et moi comptons sur vous pour ramener de belles prises.”
Résumé:
Eva se chamaille gentiment avec @William Lightwood alors que @Matthew Wilson et @Abelia Lewes discutent près d'eux. Elle offre son mouchoir à Arès -Pas à William, non, non,non-. Elle souhaite ensuite une bonne chasse aux deux hommes
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Invité
() / Mar 21 Fév - 8:59
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PARTIE DE CHASSE ROYALE
Réservée et particulièrement pas dans son élément, Abélia peinait à décrocher un mot. Il fallait dire qu’il y avait tout le temps quelqu’un pour parler pour elle : la douairière ou ses parents, ce qui était pratique et pénible à la fois. Elle avait envie de se terrer quelqu’un part, surtout maintenant qu’elle réalisait que Matthew connaissait William, et même plutôt bien. Et puis il y avait des mots qui faisaient l’effet d’une lame enfoncée en plein cœur, sans qu’elle ne sache pourquoi.
Vous êtes fait pour vous entendre !
La douce blonde ne put s'empêcher de relever alors le regard vers le Comte, avant de le rebaisser, plus blessée que jamais. Il l'avait prévenu de sa façon d'être, et c'était pour cela qu'elle l'avait soigneusement évité jusque là, pour s'épargner ce genre de tracas. Elle avait beau savoir, elle lisait dans son regard une rage qu'elle interprétait comme de la haine et qu'elle ne comprenait pas... Encore moins après le compliment glissé un peu plus tôt. Heureusement Matthew était là pour attirer son attention ailleurs, que ce soit volontaire ou non.
« Le voyage fut très plaisant ; tant de magnifiques paysages ! Si bien que mon père va nous organiser un voyage dans le Lake District à l'automne. » La voix peu assurée, elle avait enfin un semblant de conversation, de quoi la détourner de la jalousie qui grandissait en elle alors que la jolie brune accrochait son mouchoir aux rênes du cheval du Comte.
Les hommes étaient à cheval, et Abélia pensait encore tenir son mouchoir alors qu'elle se rapprochait de Miss Delucey pendant que sa mère allait donné le sien à son époux, inspirée par les autres demoiselles. En réalité, il était tombé au sol.
« Bonne chasse messieurs. » La jolie blonde hasarda un dernier regard sur chacun des deux cavaliers. Elle aurait voulu le donner à Matthew en gage d'amitié, mais redoutait qu'il ne le prenne autrement, quand son cœur voulait le donner au Comte, seulement pas devant des spectateurs. Alors elle restait paralysée, incapable d'entamer un geste vers l'un ou l'autre.
Ils s'en allèrent et elle découvrit son mouchoir, piétiné par les fers des chevaux, sale et déchiré mais qu'elle ramassa tout de même avant de revenir à côté de Miss Delucey en soupirant. Au moins étaient-ils partis, rassemblés et prêts au départ, annonçant une journée entre demoiselles. L’occasion de se faire des amies, de retrouver la jeune demoiselle du déjeuner aussi.
« Miss Emma est repartie si vite... Avez-vous vu des connaissances à vous, ici présentes, Miss Delucey ? Je connais si peu de monde... Mais je me réjouis de passer la journée avec d'autres demoiselles. »
Ses doigts jouant avec son mouchoir en piètre état, elle regarda en silence le grand départ des cavaliers et des chiens, bien trop assourdissant pour elle.
Résumé : Abélia se sent étrangement trahie par l'échange entre @William Lightwood et @Eva DeLucey . Heureusement, @Matthew Wilson est là pour lui changer les idées. Elle les regarde rejoindre les autres cavaliers sans avoir su se décider pour donner son mouchoir, et réalise alors qu'il était tombé et qu'il s'est fait piétiner par les chevaux des deux hommes. Elle le ramasse puis reste aux côtés d'Eva jusqu'au grand départ.
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Lyana Clayton
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() / Jeu 23 Fév - 16:53
Lyana Clayton
La partie de chasse royale Tour 4
Lyana gratifia legroupe approchant d'un salut chalheureux. Elle avait retrouvé sa bonne humeur et ses yeux pétillaient, l'euphorie de la chasse approchant la contaminant grandement. La pupille était une adoratrice de ce sport ! L'adrénaline était une drogue à laquelle elle était accro et il n'y avait pas plus grisant pour elle que de galopper à bride abattue à travers les bois et de battre ces messieurs au tir pour lequel elle avait quelques dons. Raison pour laquelle sans doute la Reine refusait qu'elle participe à cette chasse. Il ne fallait pas froisser le sexe fort... Mais le retentissement des sabots, le vent sur son visage, le tambour de son coeur dans sa poitrine ! Il n'y avait que dans ces moments là qu'elle était capable de les ressentir. Son corps anticipait cette chasse, bien qu'elle en était privée. Elle trépigna sur place à l'évocation de son futur cadeau d'Octavian, telle une enfant peinant à contenir son excitation. Norfolk était réputé pour son élevage de chevaux et elle devinait que le présent de son cousin ne pouvait être que l'un des protégés d'Aetheling ! Depuis le temps qu'elle réclamait un cheval à elle ! Elle montait régulièrement les mêmes montures lors de ses sorties équestres, mais elles n'étaient pas réellement siennes. Elles appartenaient à l'écurie royale.
Son sourire disparut à l'approche de deux convives ayant le malheur d'être du même sexe qu'elle. Lyana était possessive envers ses cousins et aimait les garder pour elle lorsqu'elle était en leur compagnie. Cela lui rappelait ses frères qui l'entouraient toujours avant que ce feu ne les lui prenne... Il lui sembla que Miss Gilderstone avait perdu le sien il y a peu, ce qui lui valut un élan de compassion de la part de la pupille qui la regarda avec d'avantage de tolérence proposer son gage à Octavian. Lyana tendit l'arme qu'elle tenait entre ses mains à Wilhelm et s'apprêtait à lui confier son mouchoir. Etant récemment fiancée, il n'y avait qu'à lui ou Octavian envers qui elle pouvait avoir ce geste. C'était sans compter sur Miss Smith-Stanley. Son oeil fusilla la demoiselle qui osait s'immiscer entre eux avec une audace qui la fit se raidir toute entière. Elle n'aurait pas eu l'air plus coite si elle avait reçu une gifle. Comment osait-elle le toucher de la sorte sans y avoir été invitée ? C'était son privilège à elle que de pouvoir faire preuve de tant de familiarité avec lui ! Lyana la regarda s'éloigner, l'outrance toujours peinte sur ses traits alors que ses doigts se crispaient sur son mouchoir qu'elle donna malgré tout à son cousin. Non mais alors !
Le cor s'apprêtant à être sonné, Lya s'approcha du domestique et le lui prit des mains. Si elle ne pouvait y aller, elle pouvait au moins lancer cette chasse ! Avec un petit sourire aussi espiègle que complice pour Octavian, elle souffla de toutes ses forces dans l'instrument.
Résumé:
Lyana salue le petit groupe qui rejoint sa compagnie ainsi que celle de ses cousins. Elle n'apprécie pas que @Elinor Gilderstone et @Emma Smith-Stanley s'immiscent. Elle se souvient que Elinor a perdu plusieurs membres de sa fratrie et la regarde avec d'avantage de tolérance offrir son mouchoir à @Octavian de Hanovre. En revanche elle n'apprécie pas du tout que @Emma Smith-Stanley se permette de prendre la main de @Wilhelm de Hohenzollern sous son nez alors qu'elle s'apprêtait elle-même à lui donner son mouchoir. Elle confie quand même le sien au prince puis s'en va sonner le départ pour la chasse.
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Elea Leveson-Gower
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() / Ven 24 Fév - 21:57
Elea Leveson-Gower
La partie de chasse royale Tour 4
L'excitation s'emparait tout le monde. Arya pouvait l'éprouver à même sa peau. Son coeur battait fort dans sa poitrine, l'euphorie autour de cette chasse la gagnant elle-même. Elle avait hâte d'assister au départ qui s'annonçait très impressionnant ! Les chiens autant que les chevaux s'impatientaient. Les cavaliers semblaient trépigner à l'idée d'enfin pouvoir lancer leurs montures et les demoiselles se pressaient afin de confier leur mouchoir en gage de bonne fortune à celui dont elles espéraient sans doute gagner les faveurs. Bien qu'elle se réservait, silencieuse et discrète légèrement en retrait de sa belle-mère et de sa cadette, ses grands yeux curieux ne perdaient pas une miette de ce qui se passait autour d'elle, avides de découverte et de savoir, observant ce ballet romantique presque avec envie. Ce n'était pas sa place que d'aller confier son carré de soie à un cavalier et pourtant que Dieu lui pardonne, à voir toutes les autres demoiselles le faire, elle en mourrait d'envie et le destinataire était tout trouvé...
Inlassablement, irrévocablement, malgré l'effervescence qui l'entourait, son coeur la ramenait toujours vers Emil. Il avait si fière allure. Sa tenue était élégante, bien que moins formelle qu'à Londres, la ramenant dans le Norfolk en ce temps où il n'était que son Arthur. Leurs mains s'étaient si souvent trouvées là bas... Il était douloureux de devoir se restreindre ici. De se dire qu'il lui était interdit quand elle était toute à lui, autant qu'il lui avait assuré être tout à elle. Mais comme elle le lui avait assuré dans ses lettres qu'elle lui avait écrite depuis leur séparation, elle ne ferait jamais rien qui risquerait de le compromettre. Elle se fit donc violence et serra doucement son poing contre sa cuisse car tout ce qu'elle pouvait faire était de garder la brûlure de sa main dans le secret de sa paume jusqu'à la prochaine fois où elle pourrait ressentir le bonheur de son touché.
- Arya ! - Madame ? tressauta-t-elle en se rendant compte que la Comtesse s'adressait à elle. - Accompagne Lucinda auprès du Duc !
Arya avait déjà entendu le bruit de son coeur se briser lorsque Emil lui avait révélé la vérité quant à son identité et que de par ce fait, elle se l'était vu arracher. Ca ressemblait à du verre qui se fissure. Elle l'entendit à nouveau alors qu'elle voyait sa soeur sortir son mouchoir. Tout cela devenait bien trop réel. Lucinda avait jeté son dévolu sur Emil et tout ce qu'elle pouvait faire, était d'en être spectatrice... La jeune femme suivit Lucinda jusqu'aux chevaux. La sachant craintive de ces bêtes impressionnantes, elle se vit confier le mouchoir à remettre tandis que Luci exprimait sa requête au duc de l'accepter. Tournant le dos à tous, Arya se permit de regarder Emil tout en lui tendant le mouchoir. Ses doigts effleurèrent délibérément les siens. Sa chaleur la consuma instantanément.
Résumé:
Arya se laisse gagner par l'euphorie de la chasse et observe tout avec une curiosité avide. Elle observe @Emil d'Aetheling discrètement jusqu'à ce que sa belle-mère ne l'interpelle afin qu'elle accompagne @Lucinda Conisburgh auprès de lui dans le but de lui confier son mouchoir. Elle le donne à Emil à la place de sa sœur, comme elle a peur des chevaux.
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Can you hear me echoing ?
Here comes a wave meant to wash me away A tide that is taking me under Swallowing sand, left with nothing to say My voice drowned out in the thunder
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() / Sam 25 Fév - 9:13
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PARTIE DE CHASSE ROYALE
A vouloir jouer avec le feu, William commençait à se brûler les ailes et le karma le rattrapait malgré lui. Quelle drôle de situation de retrouver à terre Eva Delucey et Abelia Lewes sur le point de devenir amies. Si la fougueuse brune ne tarda pas à accrocher son présent aux rênes de l’étalon qu’elle aimait tant, la blondinette qui occupait ses songes resta de marbre, immobile, adressant à peine un mot cordial aux deux hommes, sans la moindre distinction.
William serra la mâchoire, vexé par son indifférence qu’il avait lui-même provoquée. Un comble. Comment les choses auraient-elle pu être différente alors que son regard sombre trahissait sa colère. Une bien drôle de façon d’exprimer sa joie de la retrouver. Se souvenait-elle ? De cet homme souriant aux idées farfelues ? De cet homme enfantin qui s’extasiait devant les vagues et qui courait pieds nus dans le sable sans crainte ni pudeur ? Un souvenir qui semblait s’effacer au fil des minutes, laissant place à celui qu’il avait toujours été en public ; un homme froid, hautain et colérique.
Les doigts crispés sur ses rênes, il ne prit pas la peine de faire une de ses cinglantes remarques qui lui vaudrait bien des tourments et des représailles. Cela n’en valait pas la peine et gâcherait sa journée.
“Pas de bêtises” Un mince sourire étira son visage renfermé à l’entente de ce murmure. Si Eva ne manquait pas de remettre le comte à sa place lorsqu’il dépassait les bornes et si elle était d’une extrême méfiance à son égard, impossible pour lui de croire qu’il était le seul à apprécier sa présence. Il caressa l’encolure du cheval bai en guise de récompense à l’animal qui avait cessé de gigoter pendant quelques minutes.
J’espère qu’il vous écoutera. Le concernant, rien n’était moins sûr.
Une ultime tentative, un dernier regard en direction d’Abélia qui resta vain. Impossible de trouver le moindre signe réconfortant ni même une once de complicité, elle était pétrifiée, enfermée dans une posture polie et distante. Il n’aurait pas ses faveurs, pas son mouchoir, il fallait se rendre à l’évidence.
Je vous souhaite une agréable journée Miss Delucey.
Il marqua une courte pause.
Ainsi qu’à vous, Ab..Miss Lewes. Vous êtes en beauté.
Ainsi, il espérait qu’elle ressente quelques remords de ne point lui avoir adressé la parole.
Matthew le rappela à l’ordre car l’heure du départ venait de sonner et plusieurs chevaux s’étaient déjà élancés. Il rattraperait son retard, Arès était vif et rapide et les quelques mètres qui le séparaient des autres seraient avalés en un rien de temps.
J’espère que votre monture est rapide mon ami ! Il va vous falloir un peu de condition pour me suivre. dit-il, provocateur à M. Wilson.
Sans un mot de plus, il tira sur sa rêne pour faire tourner l’étalon qui comprit instantanément ce que l’on attendait de lui. Sa croupe s'abaissa en quête de puissance avant de s’élancer à pleine vitesse rejoindre ses compagnons. Un animal plein de ressources, au tempérament complexe, à l’image de son cavalier…
Résumé : William salut @Eva DeLucey, appréciant recevoir son mouchoir. Sans doute destiné à Ares plus qu'à lui, mais qu'importe. Il adresse quelques mots à @Abelia Lewes, espérant ainsi créer le doute dans son esprit déjà embrumé avant de prendre le départ aux côtés de son ami de jeunesse ; @Matthew Wilson
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() / Dim 26 Fév - 12:26
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PARTIE DE CHASSE ROYALE
Rejoignant mes amis, je ne m’attendais pas à croiser à nouveau Miss Lewes. Mon cœur bat légèrement plus fort en sa présence, n’ayant pas encore fait le deuil que je ne pourrais plus l’épouser. Néanmoins, je m’approche d’elle afin de lui demander si le voyage s’est bien passé.
- Il est vrai que les paysages étaient très beaux. C’est une bonne nouvelle alors. J’espère que vous en profiterez bien.
Je lui offre un faible sourire, baissant légèrement la tête. Puis je me tourne alors vers William et je remarque qu’Eva glisse son mouchoir aux rênes du cheval. Je crois que je partirais sans mouchoir pour ma part car je ne pense pas qu’Abelia m’offre le sien.
- J’espère que vous passerez une bonne journée.
Dis-je à Abelia avant de rejoindre William pour lui indiquer que nous devrions prendre la route car certains sont déjà partis. Je monte donc sur ma monture avant de venir me placer à ses côtés avant de souhaiter une bonne journée à ces demoiselles.
- Je dois avouer que je n’en sais rien, ce n’est pas le mien. Mais j’imagine que le prince possède de bons chevaux.
Voyant mon ami partir au galop, je donne un petit coup au mien afin de lui indiquer la marche à suivre. Rejoignant mon ami assez rapidement, je lui offre un sourire.
- Je crois que mon cheval est capable de vous suivre, mon cher.
Nous ralentissons quand nous voyons que nous avons rejoint les autres hommes afin de savoir ce que nous devons faire à présent.
- Je ne savais pas que vous connaissiez Miss Lewes. En tout cas, vous êtes toujours aussi proche de Miss Delucey.
Suivi d’un petit sourire taquin. En même temps, c’est une très jolie femme.
Résumé:
Résumé: Matthew discute avec @Abelia Lewes avant de partir avec @William Lightwood tout en souhaitant une bonne journée à @Eva DeLucey et Abelia. Puis il discute avec William tout en attendant la suite des événements.
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() / Dim 26 Fév - 20:15
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PARTIE DE CHASSE ROYALE PART IV
Il avait réellement perdu l'habitude de toutes ses manières là depuis son départ, de la lourdeur de tout ce cérémonial. Mais il allait bien falloir s'y réhabituer maintenant qu'il était de retour. Il espère en tout cas ne pas avoir commis d'impair avec Jacob ou sa femme car il est un peu rouillé et entame une discussion avec le médecin. Qui a l’œil aiguisé et devine qu'en effet, il est blessé, ce qui lui arrache un léger sourire. « En effet oui, j'ai survécu a une attaque de tigre. Je suis un miraculé... enfin sous réserve que l'on croit à ces choses là. » répondit-il à l'aîné des Healey alors qu'ils sont rejoint par Lady Manners et sa protégée, celle-là même qui se trouvait un peu plus loin quand il donnait son explication plus tôt avec le garçonnet. Il salue ces dames et incline poliment la tête à son introduction, se félicitant d'être venu ici malgré la douleur, car ceci confirmait son intuition qu'une telle occasion lui permettrait sûrement de faire des connaissances qui pourraient lui être utiles par la suite. « Mylady, Miss Visconti. » place-t-il simplement, n'osant pas s'imposer plus avant dans cette discussion. Puis vient un autre convive, qu'il devine être assez important à la réaction de tout le monde et quand il entend son titre, il en a la confirmation. Il le salue à son tour et se contente d'écouter les échanges, qui à ses oreilles sont presque des ragots puisqu'il n'est plus au fait de tout ce qui a pu et se passe actuellement dans ce monde là, les nouvelles ne parvenant que rarement jusqu'en Inde, à part les plus importantes évidemment. Il sourit à nouveau lorsque Mark évoque la possibilité de devoir exercer son art vu l'activité du jour, ce qui forcément le renvoi un peu à son état même si pour sa part, son attaque n'était pas dû à la pratique de la chasse, plus à la malchance de s'être trouvé au mauvais endroit au mauvais moment. « Espérons bien que vous n'ayez pas à le faire, cela donnerait un tout autre retentissement à cette partie de chasse que celle espérée par le Prince je présume. » énonce-t-il en observant le rassemblement de tous les cavaliers, s'apprêtant à se lancer incessamment sous peu. Cela avait de l'allure, il ne pourrait pas le nier, entre ces messieurs sur leurs montures et les dames vêtues de leurs plus belles parures de circonstance, cela le changeait définitivement des tenues auxquelles il s'était habitué en vivant aux Indes. Là-bas on privilégie le confort et le côté pratique. Quand il voit ces pauvres dames engoncées dans leurs corsets, il a mal pour elle, au point même de ressentir sa propre blessure compatir pour elles.
Spoiler:
Résumé :Theo converse un peu avec @Mark Healey , notamment au sujet de sa blessure que ce dernier à très vite déceler dû à sa déformation professionnelle, et reste un brin en retrait après avoir été introduit à @Giulia Visconti et Lady Manners, puis à @Léopold Howley et @Neal Healey . Il observe le rassemblement des cavaliers du coin de l’œil.
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() / Dim 26 Fév - 21:02
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PARTIE DE CHASSE ROYALE Tour IV
Oh oui, notre cher vicomte est bien comptant de ne pas être lui aussi une proie parmi ces acolytes en ce jour de chasse, car croyez bien, qu'aujourd'hui, il n'y aura pas qu'un seul type de gibier qui sera pris pour cible. C'est bien sûr aussi à ça que cet événement servait, mais là oui, de ne pas avoir à être soumis à cette pression là n'était pas négligeable pour lui. « Qui est le chasseur et qui est la proie, en ce jour, les réponses peuvent clairement varier dépendant de quel point de vue l'on se place. » se permet-il simplement de commenter, tout en continuant à observer les autres s'affairer autour et les allées et venues auprès de ces dames de certains d'entre eux. Lorsqu'ils sont rejoints par Jacob, il salue ce dernier d'un signe de la tête et d'un sourire, qui se change en moue surprise quand celui-ci annonce qu'il venait justement de parler de lui. « Quel plaisir de vous revoir Jacob et j'espère que cela fut en bien alors. » réplique-t-il, esquissant un léger sourire amusé malgré tout.
Alors qu'Aidan s'en retourne brièvement auprès de sa belle, c'est une autre jeune femme qui les rejoint, accompagnée de Lady Applebaum, qu'il salue bien sûr comme il se doit et en fait de même avec la jeune femme qui lui semble tout à fait charmante. Comme quoi, il y avait toujours de nouvelles têtes à découvrir en de telles circonstances et se dire que si tout allait bien, Luisa allait en faire de même et enfin peut-être, alléger sa mélancolie. Se reconcentrant sur le cercle qui l'entoure, il salue Matthew lorsque celui-ci se joint à eux et en fait de même en retour et il rit du commentaire d'Alistair. « Ah je ne sais pas si je suis le plus chanceux, mais je peux clairement vous dire que je ne suis pas le plus malheureux des hommes non plus. » Non, il aurait pu être bien plus misérable si sa femme n'était pas aussi sa meilleure amie et complice, il le sait bien.
Quand le cor retentit pour annoncer le départ imminent, Laszlo suit le mouvement, et se met en place avec tout les autres. Il espérait bien que tout se passerait sans encombre, car il sait qu'une chasse peut très bien mal se passé car après tout, ce sont des animaux sauvages qu'ils vont traqués, ça n'était pas sans risque même s'ils y allaient en nombre et armés. Il tente de localiser Esmée du regard au loin, espérant que sa frustration en serait pas trop grande de ne pouvoir l'accompagner mais ne la trouvant pas, il se concentre sur sa monture et s'élance donc lorsque le départ est donné, Adhémar plus que ravi d'enfin pouvoir être lâché pleinement.
Spoiler:
Résumé :La conversation continue entre le petit groupe ( @Emil d'Aetheling@William Lightwood@Alistair Graham), Laszlo s'amusant de la "détresse" de certains et plaisantant sur son propre statut alors qu'ils sont ensuite rejoint par @Eva DeLucey et Lady Applebaum, puis par @Matthew Wilson et une fois le départ donné, il se lance avec les autres, non sans avoir juste avant tenté d'apercevoir sa femme.
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() / Dim 26 Fév - 21:29
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PARTIE DE CHASSE ROYALE
Une fois que les hommes s’en vont à la chasse, je pars dans le sens que nous indiquent les domestiques vers le parc aménagé pour l’occasion. Cherchant du regard Lady Arielle, je remarque alors un mouchoir tombé au sol et le récupère avant de le donner à la demoiselle qui se trouve en face de moi.
- Je suis d’accord, il fait un temps magnifique aujourd’hui, nous sommes gâtés pour cette journée.
Je lui offre un sourire tout en marchant à ses côtés avant que celle-ci ne se présente et je me rends compte que je n’ai pas pris le temps de le faire avant.
- Désolée je ne me suis pas présentée. Je m’appelle Lady Apolline Sutton. Enchantée de vous rencontrée Miss Luisa. J’espère que vous avez fait bon voyage pour venir jusqu’ici ?
- Miss Lucinda Conisburgh, se présenta-t-elle à son tour auprès de Miss Gilderstone, qui semblait devoir de nouveau la quitter. Je vous en prie, je vais moi-même aller offrir mon soutien à l’un de ces messieurs. Je vous retrouve avec joie dans quelques instants.
Elle offrit un sourire bienveillant à la jolie brune avant de l’observer se frayer un chemin jusqu’au Prince. Lequel se trouvait justement en pleine conversation avec son gentleman de cœur, si élégant et d’une aisance toute naturelle sur sa monture. Le regard de Lucinda glissa du duc à sa mère, comme pour recueillir dans son regard un consentement silencieux. Cette dernière hocha légèrement la tête avant d’ordonner sans ménagement à Arya d’accompagner sa fille auprès du Duc.
Nerveuse, le cœur battant à mesure qu’elle approchait non seulement de l’élu de son cœur mais aussi de leur hôte, qui n’avait surement pas oublié sa maladresse de la veille, elle sentit soudainement dans son dos les naseaux de l’un des chevaux, dont elle avait dû passer trop près, la repousser en piaffant d’impatience. Surprise, elle s’écarta d’un bond de la créature avec un petit cri étranglé, attrapant machinalement le bras de sa sœur avant de le relâcher tout aussi vite.
- Mon dieu, cette vilaine bête m’a fait peur, souffla-t-elle, la main sur le cœur, avant de reprendre prudemment sa marche, veillant à rester le plus éloignée possible des chevaux jusqu’à arriver à hauteur du petit groupe. Arya ! fit-elle brusquement. Va remettre ceci au Duc d’Aetheling de ma part, lui ordonna-t-elle à mi-voix en lui glissant dans la main un mouchoir de batiste portant son monogramme et bordé de dentelle, d’où se dégageait un doux parfum de lavande.
Restant légèrement en retrait, elle commença par saluer leur hôte d’une profonde révérence avant de faire de même avec les autres hommes présents. Puis se tournant vers Emil, le rose aux joues et les cils battants :
- Votre Grâce, puisse ceci vous porter chance et protection pour cette journée, fit-elle en baissant modestement les yeux avant de couler au Duc un regard enjôleur tandis qu’Arya s’acquittait de sa tâche. Vos Altesses, Vos Grâces, permettez-moi de vous souhaiter à tous une excellente chasse, fit-elle enfin dans une dernière révérence avant de prendre congé.
S’éloignant des groupes de cavaliers, elle revint sur ses pas pour retrouver Miss Gilderstone, qui l’accueillit avec une joyeuse invitation à se promener dans le parc.
- Avec plaisir, accepta Lucinda en prenant sa nouvelle amie par le bras. Je n’ai pu m’empêcher de remarquer que vous aviez offert votre gage au Prince ! lui souffla-t-elle, impressionnée. Je crains de ne lui avoir fait mauvaise impression à mon arrivée, avoua-t-elle avec un petit rire gêné, j’espère arriver à faire oublier ce faux pas. Pardonnez mon audace Miss Gilderstone mais êtes-vous proche Son Altesse ?
Sur ces entrefaites, elles furent rejointes par une autre jeune fille, manifestement une connaissance de Miss Gilderstone, qui assaillit cette dernière de questions. Souriante, Lucinda attendit d’être présentée à la nouvelle venue.
Qui diable avait eu l’idée de faire naître pareille tradition dans le cœur des femmes ? Wilhelm savait très bien que depuis des siècles, les femmes se pressaient autour des cavaliers pour voler leur cœur et laisser une empreinte sur les hommes encore en lice dans la course à l’amour, ou plutôt au mariage. Par contre, rarement il ne l’avait vécu de telle manière. A peine avait-il eu le temps de remercier son cousin pour son précieux cadeau et se mettre en selle que les demoiselles se pressaient autour d’eux pour venir leur souhaiter leur bonne grâce pour la chasse à venir. Un regard vers Lyana qui n’avait pas manqué de se rapprocher des chiens, après tout elle aimait ces bêtes là comme s’il s’agissait de ses propres enfants, qu’elle les connaisse ou non. Ducs et autres nobles se rapprochèrent d’eux, chevaux impatients de partir et piétinant le sol tant l’attente et la pression devenait trop forte pour eux. Wilhelm regarda le Duc de Norfolk, grand ami de son cousin qui s’entendait sur un cadeau pour Lyana, cadeau que Wilhelm aurait beaucoup aimé connaitre, mais qu’il préférait se garder la surprise pour plus tard. Elle était terriblement belle quand elle était surprise. Son cœur rata un battement quand il senti sa main toucher un gant de soie, et qu’un mouchoir soyeux y prit place. Il tourna la tête pour apercevoir Miss Emma, qu’il avait rencontrée un peu plus tôt, détourner le regard après lui avoir souhaité bonne chance. Il ne put retenir un sourire, après tout, peu de demoiselles avaient l’audace de le toucher de la sorte.
« Nul doute qu’il me portera bonheur dans cette chasse Miss Smith-Stanley. Je vous remercie. »
La jeune fille s’écarta de lui non sans un autre regard, mais il devina qu’elle devait sans doute être aussi rouge qu’une tomate. Les princes de Prusse faisaient souvent cet effet. Lyana arriva très vite à leurs côtés, et son visage trahissait la jalousie qu’elle rencontrait contre la jeune fille qui venait de le quitter. Après tout, ils avaient une relation forte tous les deux, et ils avaient vécu beaucoup de choses qui rendaient leur lien…. Indescriptible. Lyana lui donna elle aussi son mouchoir, et Wilhelm s’empressa de la remercier avec un sourire. Il décida de les accrocher aux rennes de son cheval pour les avoir au plus près de lui et regarda Lyana qui ne manqua pas l’occasion de rappeler à quel point elle faisait partie de la famille royale. Elle attrapa le cor que le domestique s’apprêtait à faire crier, et souffla dedans de toute ses forces, gonflant ses joues. Wilhelm ne put s’empêcher de rire de ce spectacle. Elle ne finirait jamais de l’étonner. Flame était intenable, il voulait y aller autant que Wilhelm et les invités de son cousin, de bons hommes qu’il lui tardait d’apprendre à connaitre. Cette chasse serait le dernier évènement qu’il vivrait en Angleterre cette année, alors il en profiterait au maximum.
Pando
RESUME:
Spoiler:
Les hommes commencent à affluer autour des princes, et Wilhelm est étonné de voir autant de demoiselles venir donner un mouchoir aux cavaliers. Il sursaute quand @Emma Smith-Stanley lui attrape la main pour lui remettre le sien, et la remercie, saluant son audace. Il accueille avec plaisir celui de @Lyana Clayton , compréhensif de sa jalousie et rit de la voir voler le cor au domestique pour souffler dedans. Il a hâte de rencontrer les invités de son cousin et compte profiter au maximum de ce dernier évènement anglais de l'année.
PS: Désolée, j'ai été tagué par trop de monde pour pouvoir tout faire rentrer dans un seul rp.
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() / Lun 27 Fév - 21:45
Whistledown
PARTIE DE CHASSE ROYALE 5ème tour
Le cor de chasse raisonne à travers le vaste parc du domaine de chasse royal ! Le son porte si loin que quelques oiseaux s'envolent au loin, sans doute surpris par ce son portant qui vient troubler leur tranquillité. Les chiens dressés sur deux pattes, sont lâchés et filent à toute allure en direction des bois. Certains chevaux s'élancent sans attendre le signal de leur cavalier, manquant les désarçonner quand d'autres se lèvent sous la puissance de leur poussée. Le retentissement des sabots est aussi assourdissant que grisant ! Le groupe de chasse s'éloigne, déterminé à rapporter le gibier qui sera servi plus tard au dîner ! Une table royale se doit d'être abondamment garnie de mets succulents, il ne s'agirait donc pas de décevoir qui que ce soit !
Les dames observent le spectacle, agitant leurs mains en signes d'aurevoir autant que d'encouragements, dressées sur leurs pantoufles afin que la porté de leur yeux leur donne d'avantage de minutes de contemplation. Certaines débutantes s'éventent avec fièvre alors que le porteur de leur gage file sur sa monture. Elles l'imaginent sans doute déjà grand favori de cette chasse, bien qu'il s'agisse là d'un événement tout à fait bon enfant et non centré autour d'une compétition.
LES CHASSEURS : Vous profitez de cette galopade revigorante dans les plaines jusqu'à attendre les bois ! C'est le moment où jamais de laisser filer vos montures à leur guise ! Pourquoi pas une course, pour ceux que cela amusent mais attention à l'approche des fourrés qui ne sauraient tarder ! Les discussions vont bon train quand à qui souhaiterait ramener quoi. Il va de soi que plusieurs prises seront nécessaires, mais quelle sera la pièce maîtresse du festin ? Sa Majesté aura probablement le dernier mot quant à ce sujet. En attendant, vous suiviez les chiens qui commencent à flairer différentes pistes ! Des serviteurs vous suivent de prêt afin de recharger les fusils le moment venu mais pour l'heure, l'instant est à la traque ! D'ailleurs, voilà qu'après plusieurs minutes de cavalcades la luxuriante forêt du Yorkshire vous entoure. Ouvrez donc l'œil et sachez observer les chiens ! Il ne s'agirait pas de pister un renard au lieu d'un cerf !
LES NON-CHASSEURS : Bien que le petit déjeuner soit encore très proche et présent dans les estomacs de chacun et chacune, une table de mets généreusement garnie est mise à disposition de toutes et tous. Des rafraichissements accompagne ces mignardises fort appétissantes. D'élégantes petites tables de jardins sont dressées sous des tentures de tissu afin de protéger les peaux délicates du soleil. Libre à vous d'y prendre place afin de profiter de cette belle journée qui commence, ou ne vous approcher des quelques jeux prévus afin d'animer votre matinée ! Ainsi près d'un des bassins, quelques domestiques attendent avec des petits bateaux prêts à être mis à flots et guidés à l'aide d'une longue brindille de bambou. Vous pouvez cela dit leur préférer le pall mall ! Des maillets attendent d'être choisis près d'un circuit de petits arceaux, ainsi que leurs balles assorties. Il est également possible de préparer quelques élégantes compositions florales ! Après tout, ces demoiselles aussi peuvent participer à garnir la table royale en vue du dîner de ce soir ! Choisissez vos jeux !
Aides : * Les chasseurs peuvent enfin laisser libre cours à leurs ardeurs équestres durant ce galop les menant du domaine aux bois qui entourent le domaine de chasse. Une fois dans la forêt, il faut commencer à ouvrir l'oeil et être attentif aux chiens afin de pister le bon gibier ! * Les dames et messieurs étant restés au château peuvent profiter des activités mises en places. Déguster une collation en sirotant de la limonade, faire naviguer quelques bâteaux, jouer au pall mall ou encore s'atteler à la décoration qui onera ce soir la table du dîner royal !
A NOTER : * Les prochains posts se feront en deux parties ! Une pour les chasseurs, une pour ceux et celles restés au domaine !
Rappel des règles : * les posts ne doivent pas dépasser les 500 mots * vous pouvez poster plusieurs fois en respectant néanmoins le tour de chacun. Attendez 2 ou 3 posts avant de participer à nouveau afin de laisser sa place à tout le monde ^^ * postez un petit résumé de votre action après vos post et pensez à tag les personnes avec qui vous interagissez.
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() / Mar 28 Fév - 8:49
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PARTIE DE CHASSE ROYALE - CHASSEURS
Le Marquis était bienheureux de participer à cette chasse et de pouvoir le faire aux côtés de temps de personnes qu'il estimait, tels que Norfolk ou son Altesse Octavian, et tout autant de pouvoir faire un peu plus ample connaissance avec le Prince de Prusse et d'autres gentilshommes. Alors que les demoiselles donnaient leurs bons vœux à certains messieurs, il n'avait que plus envie d'entendre le cor et de s'élancer au galop. Athéna devait sentir son impatience, car cette jument pourtant d'un très appréciable caractère commençait à trépigner elle aussi. Elle sentait le départ approcher, la nervosité de son cavalier qui n'allait pas aller en s'arrangeant d'ailleurs et l'écossais dû raccourcir ses rênes pour la maintenir relativement sur place.
Alistair n'attendait les faveurs d'aucunes demoiselles et cela lui allait très bien ainsi, mais qu'en était-il de son cousin ? Quoiqu'il en pensait, celles-ci vinrent à lui de toute façon, sous la forme d'une très belle et jeune rousse dont la ressemblance avec sa mère trahissait son nom : Conisburgh, évidemment. En la voyant s'avancer vers le Duc, Alistair ne put s'empêcher de sourire, goguenard. Dans la catégorie des mères, Lady Conisburgh était sans aucun doute la plus coriace de toutes, et il semblait évident qu'elle aurait dirigé sa fille vers le Duc de Norfolk. Qui d'autre ? Lui-même le considérait comme un excellent choix à tout point de vue.
Si l'approche de la jeune femme fut assez rapidement perceptible, il la vit prendre peur d'un cheval, puis confier son mouchoir à sa domestique. Et alors le sourire d'Alistair s'effaça pour une mine bien plus contrite et gênée. Elle ! Le souvenir de cette femme essayant de le soulever lors d'une danse le mortifiait au plus haut point et elle s'approchait d'Emil en plus ! Alistair détourna le regard très rapidement et décida d'ignorer complètement la scène.
C'est là qu'il tomba sur sa filleule, Emilia, au pied du cheval d'une autre connaissance, une connaissance peu recommandable... Avait-elle un don pour s'entourer des pires personnes possibles ? Le visage toujours rouge de honte se crispa un peu plus alors qu'il fusilla du regard non pas la demoiselle mais le cavalier qui recevait ses attentions.
Le cor retentit, et le Marquis élança son cheval sans attendre une seconde de plus, fonçant vers la forêt en suivant les chiens. Il adorait la chasse, que ce soit en groupe comme cela, ou en petit commité, voire en solitaire. Et il avait bien l'intention de ramener un beau faisan au Prince.
Résumé : Alistair est content de cette chasse à venir en compagnie de @Octavian de Hanovre et @Wilhelm de Hohenzollern qu'il espère apprendre à connaitre. Il s'amuse de voir @Lucinda Conisburgh se diriger vers @Emil d'Aetheling jusqu'à ce qu'il aperçoive @Arya Harrington . Alors il détourne le regard et tombe sur @Emilia Fitzroy et @Aidoneus Hamilton , ce qui le met définitivement en colère. Il s'élance au son du cor sans perdre de temps et fonce à la suite des chiens sur sa belle monture alezane au caractère docile.
Léopold Howley
Prêtre
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() / Mer 1 Mar - 13:57
Léopold Howley
Chasse ou contente toi d'être une proie
La façon dont la marquise douairière avait réfuté être la fameuse Lady Whistledown n'avait pu que tirer un sourire au prêtre. Bien sûr qu'elle ne l'avouerait pas si elle l'était et il doutait qu'elle le soit, mais cela avait eu belle façon de terminer une conversation, bien que son allusion au mariage rende son sérieux à l'homme qui se contenta de hocher solennellement la tête, avant de la laisser et de retrouver son sourire à sa mise en garde. Rejoignant le docteur Healey après le départ de celui dont il cherchait à garder ses distances dans un souci de discrétion, il fut ravi d'apprendre que celui-ci se portait pour le mieux, saluant chaque personne qu'il lui présentait, riant à ses mots sur son art et son manque d'envie d'en faire usage.
« Je vous comprends parfaitement. Bien que je doute pouvoir échapper à une quelconque messe que j'officierai d'ici à la fin de ce séjour, je suis bien plus intéressé par l'idée de simplement profiter de cet instant de calme loin de l'agitation de Londres. »
Cette partie de chasse était après tout, telles de petites vacances pour lui et s'il avait pris le temps de communier avec le seigneur tôt dans la matinée, il n'avait point envie de faire une cérémonie. Laissant ainsi Lady Manners se présenter, parlant avec un ton qu'il ne connaissait que trop pour avoir un tant soit peu côtoyer Lady Seymour, il offrit un sourire charmeur à la pauvre demoiselle.
« C'est un plaisir que de faire votre connaissance Lady Visconti. Néanmoins, je me demande de quel sermon vous me parler Lady Manners. Est ce celui sur le fait de ne point juger autrui ou celui sur le mariage et la nécessité de laisser à Dieu le plaisir de choisir ceux qu'il veut voir célébrer ? »
Son sourire s'accentua, délicatement. Il n'appréciait point qu'on lui dise qu'une personne avait besoin de se faire confesser, pas plus qu'on prend ce ton mielleux pour lui présenter une jeune fille. Il venait d'essuyer un revers des plus cuisant avec celle qu'il courtisait ce n'était pas pour se remettre en selle immédiatement. Néanmoins, son sourire s'adoucit à la vue de la jeune italienne qui n'y pouvait rien.
« Je serai ravi de vous recevoir en mon église quand vous le souhaiterait Lady Giulia. »
À peine ses mots prononcés qu'ils furent rejoints par le jeune frère Healey qu'il salua bien sûr, mais avant de pouvoir répondre à sa question à la suite de la demoiselle italienne, le cor sonna et la chasse se lança, chacun saluant les fiers destriers tandis que le groupe resté sur place se voyait proposé bien des activités. Le prêtre observa chacune d'elles, avec intérêt avant de porter son regard sur l'une des tables installé sous une tente.
« Que diriez-vous d'aller prendre place à l'une de ces tables ? Monsieur Faulkner, je serai des plus intéressé par votre histoire. Vous m'en direz plus une fois installé, j’espère. »
( Pando )
Résumé:
Saluant tous ceux qui lui sont présenté (@Giulia Visconti,@Theobalt Faulkner), il discute un instant avec @Mark Healey du fait de devoir exercé en ces lieux avant de remettre gentiment lady Manners en place, puis de saluer @Neal Healey. Le cor de chasse sonnant, il observe les chasseurs partir puis propose à tous d'aller s'installer à une table en demandant à @Theobalt Faulkner de lui parler plus avant de lui.
Lucinda et ses manières impécables ne cesseraient jamais de l'épater. Si dans le secret des murs de la maison elle s'averrait parfois - souvent - être une petite furie, en société elle ne commettait jamais le moindre faux pas, laissant Arya admirative et fière. Contrairement à bien des demoiselles empressées, Luci salua en priorité les princes ainsi que le reste du groupe avant de s'adresser à Emil en le priant élégament d'accepter son mouchoir. A l'abri du tissu qui couvraient leurs doigts, Arya savoura la chaleur de ceux de Emil pour quelques secondes volées puis recula. Son coeur se débattait dans sa poitrine, comme si il refusait cet éloignement et se démenait pour retourner auprès de son double aimant duquel il s'était vu privé depuis bien trop longtemps mais elle s'interdit de s'arrêter. Arya s'inclina tout comme Lucinda afin de présenter ses respects à tout le noble groupe mais alors que sa cadette était déjà toute occupée à autre chose et s'en allait retrouver les autres demoiselles, les yeux de la fille illégitime du Comte de Cambridge s'attardèrent sur son aimé, dans le secret de quelques mèches de cheveux que le vent soufflait.
Le cor de chasse - sonné par une dame ! - qui retentit la fit sursauter et lui rappela qu'elle devait s'éloigner si elle ne voulait pas risquer être bousculée. Ses jupes en mains, elle trottina jusqu'à Luci qui avait retrouvé Miss Gilderstone mais elle garda son attention tournée vers le départ de la chasse qu'elle ne voulait surtout pas manquer. Le spectacle ne la déçut absolument pas ! Emerveillée, elle regarda tous ces chevaux s'élancer dans un retentissement d'écho de sabots qui raisonnèrent sous ses pieds jusque dans son ventre ! Elle sourit de toutes ses dents, incapable de refoulée cette sensation incroyable et vivifiante qui la prenait à bras le corps !
Les cavaliers désormais loin, un doux sourire aux lèvres Arya tendit son visage vers le soleil en inspirant profondément, savourant la chaleur des rayons sur sa peau. La Comtesse désapprouverait car l'astre diurne gâtait la peau, elle le répétait souvent à Luci lorsqu'elle ne voulait pas s'encombrer de son ombrelle pour sortir. Mais c'était si plaisant ! Finalement, Arya retrouva sa place auprès de sa soeur, son regard courant partout autour d'elle. Il y avait visiblement beaucoup d'activités de prévues afin d'occuper le groupe étant resté au domaine ! Son intérêt à elle alla vers le bassin sur lequel on pouvait faire naviguer des bâteaux. Voilà qui avait l'air fort amusant ! Parmi les personnes n'étant pas parties chasser, Arya reconnut le père Howley. Elle mordilla sa lèvre inférieure, soudain nerveuse. Bien qu'elle n'avait à aucun moment mentionné Emil, elle s'était confessée au prêtre quant à son cœur en douleur après qu'elle avait cru l'avoir perdu.
Pourvu qu'il ait oublié...
Résumé:
Arya confie le mouchoir de @Lucinda Conisburgh à @Emil d'Aetheling non sans s'abandonner un instant à la chaleur du contact de leurs doigts. Elle observe le départ à la chasse avec des yeux d'enfant, puis rejoint sa cadette et observe les activités proposées. Les bateaux sur le bassin semblent l'attirer. Elle remarque alors la présence de @Léopold Howley auprès duquel elle s'était confiée quant à ses sentiments avoir découvert la vérité sur Emil.
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Here comes a wave meant to wash me away A tide that is taking me under Swallowing sand, left with nothing to say My voice drowned out in the thunder
Lyana Clayton
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() / Jeu 2 Mar - 14:47
Lyana Clayton
La partie de chasse royale Tour 5
La pupille gonfla ses poumons et souffla jusqu'à ce qu'ils soient vides de toute trace d'air ! Un large sourire à ses lèvres elle regarda Octavian et Wilhelm le menton haut, toute fière d'elle en se balançant sur ses pieds. Les chevaux s'élancèrent presque d'un seul mouvement, devancés par les chiens. Lyana regarda le groupe s'éloigner jusqu'à ce qu'il soit hors de porté de vue, puis rendit le cor au domestique avec un peu plus de brutalité qu'elle l'aurait voulu. Elle s'excusa d'un regard et il s'inclina avant de prendre son congé. Elle n'avait pas voulu être sèche mais elle demeurait quelque peu frustrée de ne pas pouvoir aller chasser elle aussi... Octavian lui avait promis qu'ils iraient demain seuls avec Wilhelm mais en attendant, elle devait se monter résiliente et patiente. Deux notions avec lesquelles elle n'était pas vraiment en bons termes !
Lyana se tourna vers le reste du groupe et déglutit. Elle était seule avec eux désormais. En l'absence de ses cousins, elle était l'unique figure royale présente. Elle allait devoir tenir son rang et se montrer une digne hotesse. La pupille inspira profondément, puis afficha son air le plus assuré afin de s'avancer et choisir sa première activité en faisant de son mieux pour dissimuler le fait que se retrouver sans ses pilliers habitiuels pour assurer ses arrières la destabilisait. C'était un saut de l'ange ! Et cette fois il n'y avait pas de bras pour la rattraper. Elle allait devoir battre des ailes quoiqu'il arrive !
Compétitrice dans l'âme et friande des jeux stimulant l'activité du corps, elle alla naturellement vers les maillets de pall mall et choisit le rouge. Elle aimait cette couleur depuis toujours et s'arrangeait pour ajotuer cette nuance sur elle dès qu'elle en avait l'occasion ! Ne serait-ce que fut-ce à l'aide d'un simple objet ! Le regard défiant, elle appuya sa main sur sa hanche et attendit que d'autres joueuses s'avancent ! Et espérait-elle, de sérieuses concurrentes !
Résumé:
Lyana adresse un regard complice et fier à @Octavian de Hanovre et @Wilhelm de Hohenzollern puis prend un instant pour se donner le courage d'aller affronter tous les invités de son cousin sans personne pour l'assister. Elle se compose une expression assurée, puis se dirige vers les maillets de pall mall ! Elle attend que d'autres joueuses arrivent.
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'Cause we were just kids when we fell in love, Not knowing what it was.
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() / Sam 4 Mar - 14:56
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PARTIE DE CHASSE ROYALE 5ème tour
Une bien agréable rencontre que celle avec la jeune femme. Luisa rayonne et Aodh n'en est que plus apaisé. Dans ce monde qui ne lui est guère familier, il a trouvé cette âme qui a bien voulu le guider. Vous n'êtes pas insignifiante, vous êtes remarquable." non peu fier de son petit jeu de mot à double sens il sourit. Il la laisse poursuivre et lui répond "Et bien il en faut peu pour les surprendre. Un bon public."
L'extérieur est d'une magnificence, et la vue des fleurs le bouleverse autant qu'elle le sécurise. Bercé entre ses pensées diverses, les dames perdues dansent dans son encéphale. Car oui... Tu les perds toutes, y compris Georgie. Elles te sont toutes enlevées, maudit que tu es. Le regard s'assombrit puis redevient lumineux pour la demoiselle à son bras. "Il est évident que nous sommes complémentaires sur ce point"
L'homme monte sur sa monture et regarde la miss un instant. "Si vous le voulez bien, évidemment. Je ne saurais m'imposer à vous." il marque une pause et reprend "Cependant, j'en serai ravi." La sincérité s'extirpe de ses lèvres alors qu'il la salue. L'âme semble s'effacer mais Luisa le rassure encore. "Je vous remercie, Miss Hammond. Je vous dis, à plus tard alors."
Ils s'éloignent et Edward s'approche alors puis murmure. Le sourire d'Aodh s'élargit alors, un léger rictus. La tête se baisse puis se redresse, les lippes se pincent. "Rien ne t'échappe mais effectivement... Cette rencontre et cette conversation ont été des plus agréables et apaisantes."
La respiration des chevaux est forte, l'amplitude de leur foulée également. Le sourire arrime finalement les lippes de Wolf, qui pose un regard sur Edward ... La puissance les propulse à travers les plaines juste avant d'atteindre les bois. Et voilà que reviennent les Ténèbres. L'atmosphère est soudainement changeante, les légers cris de certains transforment l'environnement, l'assombrissent. Des flammes ondulent et l'obscurité tombent subitement. Les flash envahissent les prunelles d'Aodh qui freine alors des quatre fers son cheval à l'entrée de la forêt.
Reprenant ses esprits, Aodh laisse sa monture trépignant poursuivre son chemin, au petit trot puis finalement au pas. Les aboiements au loin résonnent et claquent dans l'air comme une avertissement.
Spoiler:
Aodh termine sa discussion avec @Luisa Hammond puis part avec @Edward G. Lovewell et les autres à la chasse mais s'arrête à l'entrée du bois, pris par des flash et des hallucinations légères. Il reprend cependant sa route à allure légère
Mark Healey
Médecin
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Emploi : Principalement médecin. Baronnet à en devenir. Tuteur de son frère et de sa soeur à Londres.
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() / Sam 4 Mar - 15:50
Mark Healey
Partie de chasse royale
5ème tour.
◊ ◊ ◊
« Un tigre. Eh bien, on peut dire que vous êtes un véritable miraculé, monsieur Faulkner. Et croyez-moi, j’en parle en homme de science et non en croyant. » Ce que Mark n’est définitivement pas et un certains père Howley le sait désormais mieux que quiconque dans ce pays. « Si jamais vous souffriez trop ce jour, n’hésitez pas à me faire signe. Si je peux vous aider, c’est avec plaisir. » Et sa bonté naturelle le perdra un jour très certainement, mais c’est un autre débat.
Comme il l’avait si éloquemment dit à son jeune frère dernièrement, on dissociait assez peu Mark de son rôle de médecin. Encore plus à ce genre d’évènement, qui pouvait comporter son lot de surprise, intérieurement, le praticien soupira au discours de Lady Manners, ne l’écoutant que d’une oreille très distraite et préférant largement détaillé la beauté singulière de Miss Visconti. Mais pour autant, il répondit à la dame. « Oh Lady Manners, il fait un temps splendide et agréablement chaud, je pense que cela ne fera pas de mal à votre époux. Et quand bien-même, je suis certains que personne ne lui en voudra s’il s’arrête avant les autres. Pour le reste, les onguents que je lui ai prescrits et un bain chaud le soulageront des courbatures occasionnées. » Un sourire se dessina sur ses lèvres, lorsque la demoiselle lui répondit dans sa langue si chantante, avant que son regard ne s’obscurcisse aux paroles de sa chaperonne. « Lady Giulia ne me fatigue nullement, chère lady Manners, j’aime particulièrement l’italien, vous savez. C’est plus une chance à mes yeux de pouvoir converser dans cette langue, qu’une épreuve. » Non mais vraiment… Elle est épuisante cette bonne femme.
Saluant l’arrivée de son frère d’un signe bref du menton, Mark replonge un instant dans le spectacle que donne les cavaliers, avant de sourire aux paroles de Théobalt. « Autant que faire se peut, je préfèrerais n’avoir qu’à dispenser des prescriptions de bains chauds pour les courbatures. » Pour autant, il était assez préoccupé par la pathologie chronique d’un des hommes en particulier. Il répondit alors à Léopold en haussant les épaules. « La rançon de nos métiers, mon père. Jamais vraiment dissociable d’eux et quand bien même, je pense que je ne pourrais pas l’être même si je le voulais. » Le médecin cacha son envie de rire au mouchage en règle de Lady Manners par le prêtre. Il devait au moins lui reconnaître ça, il avait l’art et la manière. « J’en pense que c’est une fabuleuse idée, père Howley. Surtout si vous comptez échapper à Lady Berkeley. » La compagnie précédente du prêtre ne lui avait pas échappé., « Lady Visconti, vous joignez vous à nous ? Nous ne voudrions pas être ennuyeux, surtout vu le nombre d’activité prévu par son Altesse Royale. Et vous, mon frère, venez-vous refaire le monde ou vous promènerez vous dans le parc ? »
(c) oxymort
résumé:
Mark en apprend plus sur l'état de @Theobalt Faulkner, avant de moucher légèrement Lady Manners en prenant la défense de @Giulia Visconti. Il converse un instant avec @Léopold Howley appréciant son idée et invitant son frère @Neal Healey a rester avec eux.
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It doesn't hurt me. Do you want to feel how it feels? Do you want to know, know that it doesn't hurt me? Do you want to hear about the deal that I'm making? You, it's you and me ☾☾
(
Emil ne releva pas la remarque de Lord Percy, quant à ce qu’ils feraient sans les femmes, car depuis ce matin, il n’avait de cesse de se dire que son esprit serait bien plus tranquille. Entre le remue-ménage pour l’habillement de Victoria, toutes ces mères et filles à marier pullulant aux alentours et maintenant, le croisement de regard avec Arya. Vraiment a cette question rhétorique, il serait capable de répondre qu’il aurait au moins la paix et la tranquillité. Et qu’il en avait diablement besoin d’ailleurs. Mais finalement, il préféra ne rien en faire et se contenter de devenir spectateur un moment de tout ceci. Il salua les nouveaux arrivants, avec peut-être une once de chaleur en moins, car plongé dans ses pensées, mais non moins sans sourire de façon avenante, jusqu’à ce que son cousin lui suggère de le suivre. « Bien évidemment, Graham. » Répondit-il avant de saluer la compagnie. « Mesdames, que la journée vous soit agréable. Messieurs, à tout de suite pour le départ. »
Rejoignant enfin son cousin et les princes réunis, d’Aetheling salua son grand ami Wilhelm avec un sourire chaleureux, et offrit le même salut protocolaire à Octavian, qu’il connaissait moins bien. « Vos Altesses. C’est toujours un plaisir d’être votre invité, surtout à cette chasse en l’honneur de mon grand ami, le prince de Prusse. Quel malheur de vous savoir bientôt reparti. » Dit-il sincèrement, avant de regarder les jeunes femmes s’approcher des princes. Lady Emma offrant son gage à Wilhelm, tandis qu’à sa grande surprise, Lady Elinor en faisait de même avec le prince d’Angleterre. Une once de sympathie glissa dans ses yeux bleus, car Emil conservait le souvenir ému de son frère Andrew, un de ses bons amis disparu lui aussi. 
Juché à présent sur la jument blanche de race anglaise, Ulysse observe un instant le monde autour de lui, non sans une certaine appréhension. Les armes à feu, il connait plus qu’à son tour. Monter un cheval lui est une épreuve qu’il espérait largement ne pas avoir à supporter, mais c’était ainsi. Un sourire aimable se peint sur son visage, lorsque la jeune lady lui affirme qu’il est bon danseur. Disons qu’il s’en sort surement mieux là-dedans, que dans l’exercice qu’il s’apprête à mener. Enfin, pense-t-il sincèrement. Pour le reste, l’anxiété gagne du terrain en lui et lui noue désagréablement l’estomac. Et si tout cela se finissait mal ? Il n’était pas revenu sur terre pour mourir bêtement à une partie de chasse, toute royale soit-elle. Son regard trouve celui de Charles, qui peut y lire toute la désapprobation qui émane de lui et de ses muscles contractés sur ce pauvre cheval. 
