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LA GARDEN PARTY DE PÂQUES-
Qui ne connaissent pas les fameuses Garden-Party de Pâques qu'organisait annuellement feu sa majesté la reine Charlotte ? En son honneur, la famille royale a décidé de perpétuer cette tradition ! Viendrez-vous nous rejoindre pour une chasse aux œufs ou une ballade en barque ? Venez Participer à la fête....
Partie de chasse royale. Le joyaux de Bonne Espérance va-t-il briller face à la couronne?
Miss Macartney avait toujours apprécié être le centre de l'attention de ceux l'entourant, se distinguer des jeunes filles de son âge par son esprit et sa beauté indéniable et ainsi prendre la tête de chacune des amitiés qu'elle voit pu former. Ce n'était pas en soit un mauvais trait, elle était une amie de bonne discussion et avait si souvent aidé sa plus proche amie que nul ne pouvait douter de l'affection qu'elle lui portait. Comprenant très jeune son rôle au sein de la société du Cap, Miss Macartney avait offert guidance et protection pour celles qui n'étaient que filles de marchant ou noble ruinés, n'exigeant en échange seulement que d'être accepté de tous comme celle à qui rendre honneur.
Mais la société de Londres était bien différente de celle qu'elle avait connue au Cap, où elle était sans le moindre doute la plus éminente et accomplit des jeunes filles de la ville. Ici, elle se rendait compte qu'il existait bien d'autres jeunes filles représentant d'aussi bon parti qu'elle, et certaines plus encore. Évidemment, une partie d'elle avait bien des difficultés à accepter ce fait, elle avait si longtemps vécue en petite reine de sa société qu'elle en avait oublié la réalité de son statut. Mais Jane Macartney avait un trop fort caractère pour se laisser abattre d'une telle nouvelle. Et elle apprenait vite.
Alors la jeune femme s'était décidée à apprendre à vivre dans l'ombre des autres, à profiter de cette nouvelle situation pour observer ce qui se déroulait autour d'elle et ainsi apprendre au mieux de celles qui pouvaient lui apporter. Elle trouva notamment certaines personnes qu’elles connaissaient bien en train d’échanger
Entendant son propre nom soufflé contre son cou, Miss Macartney dut se retenir pour ne pas attirer l'attention de tous en sursautant, et se tourna presque furieuse de savoir qui lui avait fait une telle farce. Mais très vite, elle se força à reprendre une expression plus sympathique pour l’homme face à elle.
"Lord Hamilton, n’êtes vous pas un peu grand pour jouer ainsi à surprendre les demoiselles?"
Elle pinça les lèvres et se donna un air taquin pour saluer Lord Hamilton, sa réprimande n’était pas bien méchante mais plus un moyen de lui retourner la farce qu’il avait tenté de lui jouer. Peut-être serait-il offensé mais, en vérité, il devait bien s’attendre à une réponse avec autant de caractère lorsqu’il avait essayé de se moquer de Miss Macartney.
"Ce ne serait pas très correct pour une jeune femme n’ayant pas encore fait ses débuts. Je crains de devoir attendre encore quelques mois avant de démontrer mon aptitude à la danse."
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() / Dim 14 Mai - 22:01
Invité
PARTIE DE CHASSE ROYALE
Un sourire fort amusé vint agripper les lèvres mutine du lord lorsque celle-ci se retourna abruptement et tenta de lui rendre la pareille. Elle était jeune et pensait pouvoir quelque peut l'irriter en faisant remarquer son page et ses jeux quelques peu déplacés. Mais Aidoneus savait qu'il n'était plus un homme aussi jeune et frêle que la douce Jane. Peut-être que dans une autre vie il aurait pu aimer et apprécier la courtisé. Elle avait ce petit truc dans le regard, cette flamme qui 'animait lorsqu'il croisait son regard. Elle aura tant à offrir au monde lorsqu'elle pourra en faire totalement partie.
- Le monde ignorera une fois de plus ce qu'il manque, complimenta-t-il la jeune femme.
Puis il fronça quelque peu les sourcils en pensant à tout ces diktats qui comprimaient, étouffaient les jeunes gens, en particulier les femmes. En vivant un temps à l'autre bout du monde, le lord avait oublié à quel point les règles étaient stupides. A quel point il n'en avait cure alors que pourtant elles avaient régit sa vie jusque là, le privant du seul amour qu'il avait connu. Aujourd'hui il balaye tout d'un revers de main, mais il ne souhaiterait en aucune manière être celui qui ternirait la réputation d'une jeune femme. Alors comme tout le monde, les règles il les respectait tout en les méprisant ardemment.
- Comme tout devient rapidement inconvenant ici à Londres... pointa-t-il sans plus de manière. Dans quelques mois vous dites ? Le tout Londres va se bousculer à votre porte Miss Macartney, je me ferai un plaisir d'être votre protecteur... Il prit avec délicatesse la main de la jeune femme pour y apposer un très léger baiser en signe de bonne foi, prêt à lui offrir la protection qu'elle méritait si un malvenu venait à troubler sa quiétude. Si vous le souhaitez bien sûr... Il offrait en quelque sorte un œil bienveillant ou un coup du droit bien placé si un malotru se mettait en tête de la déstabiliser.
Résumé:
Aidoneus échange toujours quelques palabres avec @Jane Macartney lui offrant même sa protection pour la saison à venir.
Wendy Manners
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() / Dim 14 Mai - 22:34
Wendy Manners
Partie de chasse royale ou un moment de plaisir
Un bal. Voila qu’elle ne s’y attendait que peu. Elle en avait participé à quelques uns en Italie, mais point depuis qu’elle était arrivé en Angleterre. Après tout, elle n’avait pas encore été introduite officiellement à la société. Enfin, selon Lady Manners. La saison prochaine et cela malgré son âge avancé, serait son entrée dans cette société compliquée dont elle avait appris un peu les moeurs. Son regard se portait sur son jeune frère qui venait d’inviter une sublime demoiselle, quand dans un détournement de tête, Giulia aperçut le fameux docteur se diriger vers elle. Ou plutôt vers ses protecteurs. Quand il tendit sa main vers elle avec un sourire pour lui proposer cette première danse, avant d’ajouter quelques mots d’italien. Des excuses pour l’avoir abandonner en pleine conversation.
La demoiselle eut un sourire, avant de tourner un regard vers les Manners, qui hochèrent la tête. Puis, Giulia prit la main qu’on lui offrait.
- C’est avec plaisir que j’accepte, Docteur.
Et alors qu’il s’éloignait, elle ajouta en un italien parfait.
- Ne vous excusez-pas. Vous êtes un homme très sollicité, cela va de soit. Et puis, profitons de cette danse pour apprendre à nous connaître voulez-vous? On dit dans mon pays que la danse est un moyen de communication très révélateur.
Résumé »:
Giulia est surprise que @Mark Healey lui demande une danse, mais accepte sans prétention. Elle commence à discuter en sa compagnie.
Aidan Percy
L'Homme de la lune
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Emploi : duc, mais travaille d'arrache-pied pour atteindre la chambre des Lords
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() / Dim 14 Mai - 22:54
Aidan Percy
Partie de chasse royale ou un moment de plaisir
- Devrais-je? Vous me ravissez rien qu’avec ces mots. Vous devoir une danse à chaque bal sera un plaisir. Bien que j’espère en avoir plus.
Danser sans contraintes avec celle qu’il aimait véritablement? Rien de plus beau à l’esprit de celui dont les joues avaient rougies au compliment de la lady. Heureusement qu’ils étaient bien loin quand il avait prononcé ces mots et surtout la suite qui concernait la duchesse. Arielle s’en amusa.
- Seriez-vous entrain de me suggérer telle votre mère, de discuter avec le marquis pour avantager autant ma place que celle d’Apolline?
Le jeune homme eut un sourire taquin. Est-ce que cette jeune femme prenait deja son rôle d’épouse et d’amie très à coeur? Sûrement.
- Je le ferai plus tard si cela est votre souhait. En attendant, notre danse est toujours ma priorité. Comme vous.
Le comte continua de sourire au milieu de la foule de gens.
Résumé »:
Aidan discute avec @Arielle Seymour qui est à son bras pour la première danse.
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When the moon meets the sun
Octavian de Hanovre
Prince
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Emploi : Prince d'Angleterre, Duc d'York et d'Albany, Comte d'Ulster.
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() / Lun 15 Mai - 9:40
Octavian de Hanovre
Partie de chasse royale
Le bal
Un honneur. Ce mot, il l’entendait dans la bouche de nombre de gens depuis qu’il avait vu le jour. Il n’en prenait cependant jamais ombrage, connaissant son rôle, son titre ; son avenir, son fardeau. Envié de beaucoup, jamais vu réellement tel qu’il est ; jamais questionné sur ce qu’il souhaite réellement de cette existence. Octavian, pourtant, jamais ne se plaint ; jamais ne fait de faux-pas. La main qui se glisse à son bras, lui fait offrir un sourire plus sincère et plus engageant que ceux qu’il offre ordinaire ; que celui de circonstance. Un signe de tête grâcieux et royal aux protecteurs de la jeune femme. Alors, il emmène la grâcieuse vers le centre de la piste de danse, là où est sa place. Au milieu de tous, sous leurs yeux, toujours dans la lumière, depuis le premier jour et jusqu’au dernier. Le teint sombre de sa peau comme contraste absolu à cela. Il risque un regard à son cousin, levant un sourcil accusateur, haussant une lippe amusée.
La mesure prise, le prince exécute la révérence de circonstance. Puis, il se rapproche de sa cavalière, place sa main avec délicatesse sur la taille dessinée d’Elinor et l’emmène dans une série de pas en règle. Pas de faux pas, pas de fausse mesure. Un silence afin de laisser les corps prendre leur envole sur cette piste et finalement, réglementairement, la discussion. « Avez-vous passé une bonne après-midi, Lady Elinor ? » Demande-t-il alors, focalisant son attention sur la demoiselle ; complimentant sa personne de son seul regard. « Permettez que je vous présente mes condoléances, même tardives, pour tout ce qui est arrivé à votre famille cette année. Vous m’en trouvez fort désolé. » Non pas qu’il ait réellement connu les gens en question, mais en tant que prince, que duc et futur monarque, c’était là un devoir qu’il devait remplir, comme tout le reste.
résumé:
Tout en dansant avec @"Elinor Gilderstone, Octavian entame la conversation d'usage.
➳FEAT. ...
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Love is a better teacher than duty.
Kindness and faithfulness keep a king safe, through kindness his throne is made secure.
Luisa Hammond
Bourgeoise
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() / Lun 15 Mai - 11:20
Luisa Hammond
Partie de chasse royale.
Bal
Un regard échangé avec ses bienfaiteurs, Luisa sourit plus humblement, cachant un peu de cette dentition parfaite, qui pourtant peut illuminer les cœurs lorsqu’il s’ouvre ; qu’il se déploie telles les ailes d’un papillon. Elle repose son attention sur son cavalier, son regard à la marquise douairière ne lui échappe pas, mais elle fait comme si. Pourtant, il n’y pas trace de moquerie dans les yeux verts de Luisa, uniquement de la bienveillance et surtout, de la tendresse ; une tendresse amie et presque fière.
Emmenée sur la piste, la Mexicaine écoute l’homme de Dieu qui la remercie et qui, dans le même temps, justifie par avance les faux-pas qu’il fera. La jeune fille ne cesse pourtant de sourire, encore très loin de porter un quelconque jugement sur celui qui avait eu l’audace de l’invité à danser. «Padre, vous êtes très bien tel que vous êtes. » Dit-elle alors, pour couper court à toutes autres formes de justification. La perfection n’existant après tout, étant le seul apanage de Dieu en personne, elle se satisfaisait très bien d’un cavalier peu harmonieux dans ses pas, tant qu’elle pouvait danser et ce même si elle devait en avoir ensuite mal aux pieds. Il est des prix qu’on est prêt à payer pour faire ce que l’on aime après tout.
Faire la conversation tout en dansant. Un exercice peut familier, elle doit l’admettre. Dans son pays natal, les danses sont plus enflammées qu’en Angleterre, ne laissant guère le temps aux paroles et surtout, pas le souffle nécessaire. Ici tout est bien plus calme et plus facile pour les poumons. « Vous ne me dérangez jamais, Padre. J’aime beaucoup la campagne anglaise, je lui ai trouvé un charme certains, même si ça ne vaudra jamais ma terre natale, je le crains. » Dit-elle avec un sourire aimable. « Pour autant, je m’y sens mieux que je ne me sentais en ville. Et vous n’aviez pas menti, en cette saison, c’est même assez beau. »
Une fois sur la piste, Luisa prend position et se laisse alors emporté par la musique, autant que par les directives de son cavalier. À ses paroles, son sourire s’élargit à son paroxysme, faisant également pétiller ses yeux de joie et d’une pointe de malice aux souvenirs du Mexique ; de ses danses enflammées sous les arbres auxquels on attachait des lampions. « Il est toujours avec moi, même si parfois il brille moins. »
résumé:
Luisa danse avec @"Léopold Howley, ravie de pouvoir le faire et de profiter de la soirée.
(made by voodoo doll)
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Dos oruguitas enamoradas
Ay mariposas, no se aguanten más Hay que crecer aparte y volver Hacia adelante seguirás Ya son milagros, rompiendo crisálidas Hay que volar, hay que encontrar Su propio futuro
Ulysse Nightingale
Marquis
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Emploi : Ex marin marchand, ex capitaine pirate devenu marquis.
Messages : 126
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() / Lun 15 Mai - 13:44
Ulysse Nightingale
Partie de chasse royale
Bal.
Enchantée de danser avec vous… Heureusement qu’Ulysse avait appris à se tenir, parce qu’il aurait bien rit sinon. Peut-être cependant, que cela était vrai, il ne savait après tout pas lire dans l’esprit des gens. Pour autant, Lady Sutton ne sentait-elle pas elle-même la pression de laquelle, ils étaient tous les deux victimes ? Si, elle avait pu, la duchesse du Gloucester aurait prit la jeune femme par la main, pour venir directement lui poser dans la sienne. De cela, Nightingale n’était absolument pas dupe. Mais bon, il avait évité l’incident diplomatique en se déplaçant sous la menace latente. Prenant la main d’Apolline Sutton dans la sienne, l’ancien marin croisa le regard de Lady Seymour, non sans y laisser apparaître une pointe discrète de contrariété. L’homme n’aime pas être forcé à quoi que ce soit et surtout pas à danser, alors qu’il a des ecchymoses à cause de cette satanée chute de cheval ! « Tout le plaisir est pour moi, lady Sutton, comme toujours. » Prenant alors le chemin de la piste, il se reconcentre sur ce qu’il a à faire.
Après le salut d’usage, il prend place pour mener la danse, non sans un regard incendiaire à son majordome, avant de regarder à nouveau Apolline. La chasse… Évidemment qu’elle allait parler de la chasse ! Cet enfer… « Quelques-unes, oui, Lady Sutton, mais je crains ne jamais devenir un véritable chasseur digne de ce nom. Je préfère les cibles plus grandes. » Dit-il en faisant référence aux bisons d’Amériques, qu’il avait chassé à l’époque. « Sans parler du fait, que je suis bien plus à l’aise sur la terre ferme ou sur un bateau, que sur le dos d’un équidé quelconque. » Faire la conversation et danser en même temps… Il faudrait vraiment que quelqu’un lui explique qui a inventé cette double torture… « Et vous, Lady Sutton, avez-vous trouver des divertissements à votre goût aujourd’hui ? »
Résumé:
Ulysse discute de la journée avec @Apolline Sutton tout en dansant.
codage par aqua
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Oh, what a day, what a lovely day
I am the one that runs both from the living and the dead. Hunted by scavengers, haunted by those I could not protect. So I exist in this wasteland, reduced to one instinct: survive.(c)flotsam.
Mark Healey
Médecin
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Emploi : Principalement médecin. Baronnet à en devenir. Tuteur de son frère et de sa soeur à Londres.
Messages : 303
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() / Lun 15 Mai - 14:03
Mark Healey
Partie de chasse royale
Le Bal.
◊ ◊ ◊
Cette saison, Mark n’avait pas été le plus brillant des prétendants, car après tout, il avait surtout à charge de chaperonner sa sœur et son frère. Dès lors, il n’avait que peu honoré la piste de danse. D’abord parce qu’il avait dû garder ses deux yeux sur Ophélia, qui n’avait pas manquer une occasion de faire la capricieuse, au point qu’ils avaient dû sévir de concert avec son père. Ensuite, parce que la saison avait été plus compliquée que prévu sur le plan médical. Sans être le meilleur des cavaliers, Healey appréciait cependant l’exercice et s’y pliait bien volontiers en général. Son frère étant plus ou moins en bonne voie pour son avenir marital, sa sœur étant de retour sur leurs terres et hors de son devoir de chaperon, il pouvait dès lors profiter de ce bal ci. Aussi est-il ravi que la jeune lady Visconti accepte d’être sa cavalière pour cette danse. « J’en suis enchanté, Lady Visconti. » Conclu-t-il avant de, selon l’usage, saluer ses bienfaiteurs et de l’emmené sur la piste de danse.
Prenant position, il entraîne alors la jeune femme au gré de la musique, tout en conversant avec elle en italien. « Un peu trop sollicité par moment, je le crains.» Dit-il avec une pointe d’amusement, mais également d’agacement. Après tout, il était venu pour profiter de l’évènement de prime abord et non soigné une ribambelle de domestique maladroit. « Si, en Italie c’est le cas, je crains que les danses anglaises soient bien plus rigides et moins expressives. Tout est une question d’étiquette, de distance, de courtoisie et surtout, de bavardages. » Tout en faisant cela, il glisse un regard vers Neal, qui a prit sa pseudo menace au sérieux et cela le fait sourire, avant qu’il ne retourne son attention entière sur Giulia. «Cette journée aura-t-elle été riche en découverte pour vous, Lady Visconti ? »
(c) oxymort
résumé:
Ravi, Mark emène donc @Giulia Visconti danser et discute avec elle dans sa langue natale.
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It doesn't hurt me. Do you want to feel how it feels? Do you want to know, know that it doesn't hurt me? Do you want to hear about the deal that I'm making? You, it's you and me ☾☾
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() / Lun 15 Mai - 20:00
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Partie de chasse royale. Le joyaux de Bonne Espérance va-t-il briller face à la couronne?
Lord Hamilton était un homme bien charmant, la chose ne pouvait être niée. Il était de carrure imposante et une chevelure blonde qui lui donnait cet air noble mais, surtout, il avait cet air taquin qui brillait constamment dans son regard et laissait deviner l'intelligence autant que l'espièglerie de ce dernier. Tout à fait ce que Miss Macartney recherchait chez un homme, quelqu'un avec qui elle pourrait se révéler dans sa véritable nature, intelligente, curieuse et parfois taquine, sans crainte le jugement ou la réprimande. Ah si seulement il n'était pas si mauvais parti, avait-elle cependant pensé en menant ses propres recherches après leur dernière rencontre. Seulement second fils d'un duc sans la moindre propriété terrienne, on lui avait de plus rapporte la réputation de coureur de jupon et d'irrésistible bachelor de ce dernier, le genre dont il ne vaut mieux pas trop s'approcher lorsqu'on est une jeune fille convenable.
Le baiser que l'homme déposa si délicatement sur sa main la prit de surprise et la laissa plus affectée qu'elle ne l'aurait souhaité, et la peau si blanche de ses joues prit une teinte rosée qui n'était pas due à une poudre de maquillage.
"J'espère que vos paroles me porteront chance plutôt que le mauvais œil, Lord Hamilton."
Elle devait se reprendre, ce n'était après tout qu'une simple marque de politesse et cela n'avait aucune valeur de la part d'un incorrigible coureur de jupon.
Mais Miss Macartney n'était encore qu'une jeune fille pour qui les hommes et le désir n'était que des choses inconnues, dont elle avait à peine entendu parler lors de quelques échanges discrets avec quelques amies de son âge. Certaines bien sûr avaient déjà connu l'amour et le désir mais Jane Macartney n'en était pas, elle avait vécu en maîtresse de maison droite et sérieuse pour faire honneur à son père et à la place de ce dernier au Cap. Elle avait bien sûr observé quelquefois le regard désireux d'un homme ou d'un autre se poser sur sa personne mais n'avait jamais rendu une telle affection à qui que ce soit. En soit, de corps comme de cœur, Miss Macartney était parfaitement vierge. Alors à côté d'un homme comme Lord Hamilton, elle se trouvait bien désemparée et éprouvait des difficultés à garder sa contenance.
"Et j'accepterais en effet votre protection avec plaisir."
Elle lui offre un sourire polie avant de s'éventer du bout des plumes de ce dernier. Son regard se posait sur chacun et chacune des invités du soir, cherchant à percer en plein jour un secret que certains partageaient, une affection, un amour profond…
"Si vous n'avez promis de danse à aucune jeune fille, me feriez-vous le plaisir de rester un peu pour converser. Je crains de m'ennuyer à mourir pendant que tout le monde danse et je suis sur que vous avez bien des discussions amusantes."
Miss Macartney jouait avec le feu, et seul le destin dirait si elle allait s'y brûler.
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Invité
() / Jeu 18 Mai - 11:10
Invité
PARTIE DE CHASSE ROYALE
William Lightwood n’était pas très doué pour mettre des mots sur ses sentiments, en vérité, lui-même ne savait pas vraiment ce qu’il ressentait vraiment. Sans cette récente rencontre avec Miss Lewes, il n’aurait sans doute pas hésité un seul instant à épouser la splendide fleur qui se tenait devant lui et qui parvenait à lire en lui comme dans un livre ouvert, une mission pourtant complexe. Abélia hantait ses pensées malgré le fait qu’elle ait décidé de l’ignorer. Se trompait-il ? Faisait-il fausse route ? L’heure était à la fête et pour une fois, il comptait profiter de l’instant présent sans se poser mille et une questions existentielles.
Je suis donc un homme chanceux. Allons sur la piste, je vous prie.
Il se saisit de la main gantée de la demoiselle pour l’escorter jusqu’au centre de l’attention, là où tous les regards seraient bientôt braqués. Sans attendre, le duo nouvellement formé se fit remarquer et William ne put s’empêcher de sourire en remarquant l’attention portée au prince.
Avez-vous fait la connaissance du Prince de Prusse ? Lui et moi nous connaissons peu, mais il semble avoir retenu votre attention, n’est-ce pas ?
Il n’était pas dupe et ne pouvait s’offusquer du fait qu’Emma Smith détourne son attention sur un autre homme car après tout, il n’avait pas été des plus démonstratifs ni explicite face aux ambitions de la demoiselle et de sa chère mère.
Regardez-moi. dit-il, un léger sourire aux lèvres, provocateur. Il vous regardera, j’en suis persuadé. Vous êtes l’une des plus belles femmes de cette soirée, faites-vous désirer.
Il plongea ses pupilles sombres dans l’azur des yeux d’Emma. Si le comte avait montré un entrain plutôt modéré lors de la dernière Saison, la suivante serait différente, il était déterminé à prendre son destin en main et serait marié avant la fin.
J’ai bien peur de ne pas être un grand chasseur. Mon seul exploit a sans doute été de ne pas finir au sol, désarçonné par ma monture. Je me suis malgré tout beaucoup amusé, cela faisait bien longtemps que je n’avais pas ri de la sorte. Et vous ? Votre journée s’est-elle passée comme vous l'espériez ?
Les premières notes de musique retentirent et William entraina Miss Stanley dans les premiers pas de cette danse. Mauvais chasseur, mais bon danseur, il ne la quittait pas des yeux un instant pour ne commettre aucun impair qui pourrait la mettre mal à l’aise. Une chute ou un mauvais pas serait particulièrement inconvenant…
Je.. Emma. Je voulais m’excuser de ne pas avoir su trouver les mots justes lors de mon séjour dans votre demeure. J’ai longuement réfléchi à nos échanges et il ne fait aucun doute que vous êtes une femme merveilleuse et que vous seriez une épouse parfaite. Voyez-vous.. j’ai, j’ai besoin d’y voir plus clair sur mes sentiments. Il m’est insupportable d’imaginer une vie sans vous et sans votre famille à mes côtés et j’espère que quoi qu’il arrive, nos chemins resteront liés d’une manière ou d’une autre..
Résumé : William rejoint la piste avec @Emma Smith-Stanley. Il continue d'ignorer @Abelia Lewes pour ne pas se laisser submerger par ses émotions, sa colère et son incompréhension. Il profite également de la danse pour éclaircir certains points avec son amie d'enfance qui à créée une confusion certaine dans son esprit.
Arielle Percy
Duchesse
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Emploi : Duchesse! Ce qui implique l'aide à la gestion du domaine et divers oeuvres de charités.
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() / Jeu 18 Mai - 14:56
Arielle Percy
"Une partie de chasse Royale"
Hunting is not a sport. In a sport, both sides should know they're in the game - Paul Rodriguez
La façon dont le comte demanda si il devrait ou non offrir à sa promise une danse pour chaque bal, la fit glousser quelque peu. Sans compter son commentaire suivant qui la fit sourire avec cet air aussi jovial qu'énigmatique. Après tout, il y avait certaines convenances qui disparaissaient une fois le mariage officialisé devant le prêtre.
« Au moins une danse tant que nous ne serons pas uni devant Dieu avec mon fiancé. Ensuite j'accepterai de laisser une danse à mes frères de temps à autres, car toutes les autres seront pour mon époux. Vous le connaissez ? C'est un homme charmant. »
Elle avait dit cela sur un ton plaisant et quelque peu amusé. Après tout, elle jouait déjà de ce jeu que toutes les dames faisaient, de celui que sa mère lui avait appris depuis des années. Coment mettre en valeur celui qu'elle épouserait.
Discutant par ailleurs du marquis de Northampton et des plans que sa mère avait, la dame ne put qu'offrir son soutien à la duchesse. Bien qu'elle ne soit pas du genre à apprécier ce genre de plans, elle savait qu'Apolline prenait de l'âge et que sa mère s'était jurée de la mettre à l'abri. Elle en avait fait la promesse sur la tombe de feu son grand père et la voyait depuis comme sa propre fille.
« Je ne vous dit point d'avantager la place d'Apolline, elle n'a besoin de personne pour cela. Apolline est une rose délicate qui mériterait jusqu'au prince en d'autres circonstances. Néanmoins, je connais votre situation et votre réputation. Fausse certes, mais qui perdure. Avoir le marquis pour ami pourrait vous aider avec celle ci. »
Un sourire de plus alors qu'il promettait de le faire, d'aller discuter avec l'homme aux cheveux poivre et sel, en le reléguant malgré tout au second plan. Cela l'amusa, bien qu'elle tenta de garder un tant soit peu son sérieux.
« Je connais ce sentiments, j'éprouve le même. »
Code by Sleepy
Résumé:
Arielle danse en compagnie d'@Aidan Percy , riant et souriant à ses mots, lui rappelant qu'il doit se faire quelques contact pour l'aider avec sa réputation tout en lui réaffirmant qu'il est une de ses priorité.
Souriant, je pars en compagnie du marquis sur la piste de danse. Après le salut d’usage, nous nous mettons en position pour la danse qui arrive. J’en profite alors pour demander à l’homme si la partie de chasse s’est bien passée, en espérant que mon mouchoir ait pu lui porter chance.
- Cela viendra avec le temps et l’expérience j’imagine. Des cibles plus grandes ? Vous chassiez aussi quand vous voyagiez sur les mers ?
J’imagine qu’il doit davantage se débrouiller pour pêcher du poisson que pour chasser, mais il doit savoir manier les armes à feu, je suppose.
- Ce n’est pas le même équilibre que sur un bateau effectivement, mais je suis sûre qu’avec de l’entraînement, vous deviendrez très bon par la suite.
Je lui souris tandis que nous continuons de danser au rythme de la musique. La conversation est orientée vers moi à présent et je dois dire que je n’ai pas fait de nombreuses activités durant l’après-midi.
- Je n’ai pas réalisé beaucoup d’activités je dois dire. Je me suis baladée dans les jardins et nous avons joué à Colin Maillard en attendant votre retour. Les jardins sont très beaux d’ailleurs, je vous conseille de les visiter si vous avez un peu de temps.
Ils sont magnifiques et très bien entretenus. J’ai beaucoup apprécié la balade et le fait qu’il y ait quelques arbres sur le chemin permet de conserver un peu d’ombres et de fraicheur.
Décidant d’inviter Miss Fitzroy, je m’avance donc vers elle et sa famille avant de les saluer convenablement et je souris en voyant sa révérence. Je lui demande si elle accepte de se joindre à moi pour cette première danse et elle accepte ma proposition. Sa main dans la mienne, je l’amène jusqu’à la piste de danse avant de lui offrir un salut d’usage et de prendre position pour la danse. Je lui offre un sourire tandis que la musique commence et nous entamons les premiers pas de la danse. Elle me demande alors comment s’est déroulée la chasse, et je dois dire que je suis assez fier de moi.
- Cela s’est plutôt bien passé. Je me suis plutôt bien débrouillé. Nous avons été attaqués par des sangliers, mais au final, plus de peur que de mal.
Personne n’est rentré avec de grosses blessures, ce qui est une bonne chose en soi. Je ne m’attendais pas néanmoins à faire de belles prises car cela faisait un petit moment que je n’avais pas chassé. Il faut croire que cela ne se perd pas trop finalement.
- Et vous, avez-vous passé un agréable après-midi ?
Souriez Miss Lewes, lui répétait souvent la douairière. Elle disait que c’était le meilleur moyen d’attirer les rencontres, que cela valait n’importe quel mot d’encouragement, surtout pour une jeune femme timide comme elle. Abélia devait bien admettre que cela devait marcher car le gentilhomme à qui elle avait souri s’approchait et elle en fut soulagée alors que la plupart des demoiselles de l’assemblée avaient déjà trouvé leur cavalier. Lord Lighwood invitant son amie Emma ne lui avait d’ailleurs pas échappé, mais elle essayait de ne pas se laisser atteindre en les ignorant autant que possible.
« Enchantée Lord Wolf. » Elle s’inclina doucement, songeant que s’il n’avait pas l’air d’un loup, elle avait tout de la brebis égarée. Il était visiblement mal à l’aise ; au moins avait-il cela en commun. « Je vous en prie, ce n’était rien. » La journée était passée entre-temps, et elle n’était même pas sûre de se rappeler de quoi il s’agissait et encore moins si cela méritait des excuses. Elle se souvenait par contre qu’il avait dit que tout ceci était nouveau pour lui, ce qui expliquait sa maladresse présente et passée. Ils étaient dans le même bateau, mais Abélia, elle, s’évitait l’embarras en ne tentant rien, contrairement à lui.
Sans doute que bien des demoiselles de bonne famille se seraient offusquées d’une telle invitation, par orgueil, ce n’était pas son cas. Elle lui sourit à peine plus largement, pleine d’appréhension d’entrer sur la piste et à la fois contente de ne pas rester sur le bord.
« Cela serait un honneur de danser avec vous Lord Wolf. Elle posa délicatement sa main gantée dans la sienne et le suivit sur la piste, non sans manquer de prendre une grande bouffée d’oxygène, au cas où. J’espère que vous pardonnerez mes éventuels faux pas, il s’agit de ma toute première danse dans un événement comme celui-ci et je dois avouer être très nerveuse… »
Face à lui et le visage très concentré, elle identifia le nom de la danse et puis se mit en mouvement en même temps que son cavalier, anticipant chaque pas avec l’angoisse de se tromper.
- Avez-vous fait la connaissance du Prince de Prusse ? Lui et moi nous connaissons peu, mais il semble avoir retenu votre attention, n’est-ce pas ?
En d’autres circonstances j’aurais rougi à l’évocation de mon éventuel intérêt pour un autre que mon interlocuteur. Encore aurait-il fallut que je me sente en faute de quelque façon que ce soit. Or tel n’était pas le cas puisque hormis pendant ce dîner à Chatsworth, lord Lightwood n’avait pas manifesté une quelconque attention envers moi, bien au contraire. Toutefois je me sentais quelque peu contrariée car je pensais pourtant avoir été suffisamment discrète.
- J’ai été présentée à son altesse royale avant la chasse. Il semblerait que ma famille fasse des affaires en Prusse. Je sondais l’attitude du prince surtout afin de m’assurer de ne pas avoir commis d’impair.
Regardez-moi. Sous cette invective, je levais mon regard pour le sonder du mien. Comme si je cherchais là la suite qui allait inévitablement arriver. Il vous regardera, j’en suis persuadé. Vous êtes l’une des plus belles femmes de cette soirée, faites-vous désirer.
Je ne savais trop quoi penser entre son sourire provocateur, son compliment qui en d’autres circonstances, m’auraient laissée avec un sourire béa et des étoiles dans les yeux pendant des jours ou son conseil qui me laissait un goût amer. Était-ce là le but de sa venue, de ses compliments et de cette danse. Au fond recherchait-il seulement l’attention de miss Abélia plus que la mienne ? Si tel était le cas c’était très peu flatteur pour ma personne. Je ne savais que faire de toutes ces pensées.
C’est fort à propos que la musique s’éleva de l’orchestre, intimant aux danseurs de commencer à danser. Il ne me fut pas utile ainsi de répondre et je m’en gardais bien. Laissant en suspens ce qui me tiraillait intérieurement.
J’ai bien peur de ne pas être un grand chasseur. Mon seul exploit a sans doute été de ne pas finir au sol, désarçonné par ma monture. Je me suis malgré tout beaucoup amusé, cela faisait bien longtemps que je n’avais pas ri de la sorte. Et vous ? Votre journée s’est-elle passée comme vous l'espériez ?
- Heureusement vous semblez plus doué pour la danse. Répondis-je amusée. Je pouvais imaginer assez facilement William s’amuser et rire à coeur joie. J’avais été privilégiée d’avoir eu l’occasion de le voir jouer étant plus jeune. Sans doute le poids des obligations et des affaires l’empêchait désormais de pouvoir se montrer léger.
- J’ai eu l’occasion de faire quelques connaissances durant cet après-midi. Certaines ont participé à des jeux ou on fait des bouquets mais je dois admettre que je n’étais pas vraiment d’humeur. En outre j’ai le sentiment que miss Lyana est une femme particulièrement compétitive et j’aime plus m’amuser que forcément chercher à gagner.
À mesure que la danse nous emportait je remarquais que son regard ne semblait pas me quitter. Était-ce là une technique particulière pour éviter de marcher sur les pieds de sa partenaire? Plus je l’étudiais et plus je me perdais dans ces yeux noir au regard intense. Mes yeux se perdirent littéralement et alors qu’ils étaient absorbés, j’avais le sentiment que plus personne n’existait. Il n’y avait plus de foule, plus de danseurs. Plus rien d’autre que nous et la musique. Je repris mes esprits lorsqu’il reprit la parole.
Je.. Emma. Je voulais m’excuser de ne pas avoir su trouver les mots justes lors de mon séjour dans votre demeure. J’ai longuement réfléchi à nos échanges et il ne fait aucun doute que vous êtes une femme merveilleuse et que vous seriez une épouse parfaite. Voyez-vous.. j’ai, j’ai besoin d’y voir plus clair sur mes sentiments. Il m’est insupportable d’imaginer une vie sans vous et sans votre famille à mes côtés et j’espère que quoi qu’il arrive, nos chemins resteront liés d’une manière ou d’une autre.
- Je vous remercie de vos compliments qui me touchent et je vois que votre âme et votre coeur semblent tourmentés. Le temps s’avère être un allié précieux lorsqu’il s’agit de s’accorder avec ses sentiments. Mettez fin à vos tourments, parcourez le chemin qui mènera votre coeur à la raison et lorsque vous saurez quoi me dire, vous trouverez en moi une oreille attentive. Rassurez-vous, la vie réserve parfois des surprises inattendues, nos chemins se recroiseront certainement d’une manière ou d’une autre.
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() / Mer 24 Mai - 16:07
Elinor Gilderstone
PARTIE DE CHASSE ROYALE le bal
Une révérence puis l’instant gracieux de la danse. C’était un rituel élaboré qu’Elinor avait répété plus d’une fois par le passé. Il y avait eu ce décalage avec son aînée, celle qui aimait à parfaitement se tenir à chaque pas sur le parquet, et elle, un brin plus désobéissant. Avec le temps, tout ceci s’était effacé. Maintenant, que c’était son heure d’être irréprochable, le cœur de la débutante se gorgea d’une sensation douloureuse, presque tiraillée. Elle entendait Mary la corriger au loin, là où elle ne pouvait plus la voir, ni même la deviner. Alors, fuyant ce fantôme encore jeune, la brunette se concentra sur l’unique chose ayant de l’attrait à ses yeux ce soir : son cavalier. Celui-ci la bénit d’une question dont elle s’empara sans attendre.
“Oui, votre Majesté. La journée dans sa totalité m’a plu. J’ai même eu le plaisir de faire une composition florale qui se trouve non loin de là.”
Le menton désignait bien vite le mélange de boutures et d’herbes dans les teintes d’un jaune intense et d’un noir étonnant qui jurait avec le reste des bouquets plus délicats. Oui, cela n’avait définitivement pas de grands sens dans ce décor, mais elle en était heureuse. Le sourire aux lèvres, le minois d’ivoire se reporta sur les traits de l’héritier jusqu’à ce que les commissures de sa bouche se fanent.
Le deuil, quel compagnon cruel lors de cette année…
Prenant une profonde inspiration, la survivante retint un rictus rempli d’une douceur polie. C’était le début de sa réponse à l’intention de celui qui la guidait sur la piste.
“Je vous remercie pour ces mots. Qu’ils surviennent aujourd’hui n’est aucunement dérangeant puisqu’ils apportent un soutien supplémentaire dont je perçois la sincérité.”
Virevoltant comme un roseau que la brise faisait chanceler, la jeune femme fit une courte pause. Bientôt, ses prunelles plongeaient dans celles d’une obscurité profonde, jusqu’à s’y perdre un bref instant.
“Perdre fait malheureusement partie de l’existence, n’est-ce pas ? Que cela soit un être cher, une opportunité, un bien… Aussi ai-je choisi d’en faire une leçon pour l’avenir. Je serais prête quand une triste nouvelle arrivera.”
Elle dansait encore quand la joie passa sur le masque de ses traits.
“Vivre est une aventure. J’espère donc faire de la mienne une plus belle histoire depuis ce jour où j’ai tant perdu.”
Mais s’attarder sur sa situation ne lui plaisait guère, car le malheur est un poids, une charge, un fardeau, dont elle espérait se débarrasser.
“Pardonnez-moi cet écart inutile. Je parle trop, fit la jeune femme en riant tout juste avant de retrouver son sérieux. J’aimerais davantage savoir si la chasse vous a plu ? Et de même pour cette soirée ? Êtes-vous satisfait votre Majesté ? Nous avons répondu à votre invitation avec joie, mais j’espère que cela vous a réjoui autant que nous.
Que moi…
Il l’avait arraché à une angoisse certaine après tout.
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() / Mer 24 Mai - 16:43
Whistledown
PARTIE DE CHASSE ROYALE Le Bal vous attend...
Les corps se frôlent et les instruments continuent leur litanie mélodieuse tandis que les robes se plissent. Tout autour, on s’épie les uns et les autres, par-delà le rebord d’une coupe gorgée de vin ou au-dessus d’un éventail. Voilà un jeu surprenant que celui de la haute, mais il est plaisant de s’observer afin de mieux connaître les autres. Parfois, à force de plisser les paupières, on devine une conversation, un émoi, un interdit et cela délie les langues dans une valse de rumeurs passagères. Tandis que certains couples captives, d’autres amusent. Dans ce bruissement de société couvert par les violons, chacun trouve sa place. Il y a ceux qui ne disent rien, ceux qui jasent, ceux qui sourient et ceux qui écoutent. Les plus modestes comme les plus aisés se partagent l’espace dans les heures les plus profondes du jour. La nuit est là. Elle surplombe les enfants de cette terre qui n’est rien qu’un tableau à ses yeux.
Mais voilà que la première danse se clotûre. Cette fois-ci, il sera indispensable de changer de partenaire mesdames ! Car la règle est la suivante : afin de reposer les braves chasseurs, on leur épargne ce quadrille afin de proposer un moment uniquement féminin. Aussi, chères dames et demoiselles, veuillez choisir celle qui vous accompagnera pendant ce court instant de divertissement. Messieurs, quant à vous, prenez place sur le côté, un verre à la main. Vous pouvez faire ce qu’il vous plaira jusqu’à la dernière danse !
Allons, pressons, pressons ! La piste n’attend plus que les plus audacieuses !
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() / Mer 24 Mai - 19:47
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Partie de chasse royale. Le joyaux de Bonne Espérance va-t-il briller face à la couronne?
Londres était une société régis par des règles et des codes bien strictes, et face à celà l'on pouvait généralement classer les hommes et femme composant cette société en deux catégories; d'une part ceux respectant ces convenances et de l'autre ceux qui prennaient plaisir à s'en jouer. Miss Macarrney ne savait encore trop où se placer entre les deux.
Elle n'avait pas voulu se joindre à ceux dansant sur la piste par crainte du jugement de ceux l'entourant, n'avait-elle pas une réputation à tenir en tant que fille unique d'un comte jadis récompense par sa majesté elle-même pour son service rendu à la patrie? Lady Macartney souhaitait conserver son statut afin de se garantir un mariage avec un homme de son rang qui lui garantit une vie paisible mais qui surtout permettrait à son père de pouvoir trouver le repos lui qui s'inquiétait tant pour sa seule enfant, afin de le rendre fière de la seule manière qu'une fille peut le faire pour son père. Pourtant dans son cœur brûlait en vérité l'envie d'autres choses et c'est avec bien du mal que Miss Macartney calmait ses véritables envies, ses rêves de voyage et de découverte. Elle observait les gens danser avec une envie qui lui transperce le cœur de vives aiguilles, l'envie d'être l'un de ces couples en compagnie d'un homme qui la comprendrait et l'accepterait dans l'entièreté de sa personne. Pourtant Mids Macartney continuait de se réfréner autant qu'il était possible, pas pour la société mais simplement pour son père.
Mais alors que Miss Macartney continuait d'observer avec un intérêt prononcé, et surtout cette certaine envie qu'elle n'osait encore trop s'avouer, les couples qui dansaient ensemble au centre de la pièce, la première danse prit fin. A peine le temps fut-il donné aux partenaires de se remercier mutuellement que déjà on annonçait la prochaine. Cette fois-ci ce serait un quadrille, une danse aussi amusante qu'énergique, qui se ferait uniquement entre ces dames et demoiselles pour laisser aux chasseurs le temps de se reposer de leur éreintante journée. Voilà qui laissait à la jeune Miss Macartney une bonne occasion de se dégourdir les jambes et de converser avec ses camarades. Une en particulière avait toute son attention.
"Lord Hamilton, vous m'excuserez de vous abandonner ainsi, mais il est temps pour moi de danser."
Elle salua Lord Hamilton avant de s'éloigner en direction de la piste de danse, ne pouvant s'empêcher d'espérer qu'il observerait danser tout en réfrénant par automatisme cette idée saugrenue.
Alors rejoignant les autres femmes qui avaient déjà dansé ou s'apprêtaient à le faire, Miss Macartney offrit un large sourire à son amie qui se trouvait là.
"Miss Smith, me ferez vous le plaisir de partager cette danse."
Voilà qui serait l'occasion de discuter, si Emma Smith voulait bien s'ouvrir à sa personne, des observations que Miss McCartney avait pu faire aujourd'hui et qui annonçaient une fructueuse première saison pour son amie.
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() / Jeu 25 Mai - 12:54
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PARTIE DE CHASSE ROYALE
Excellent pianiste à ses heures perdues, le Comte de Surrey aimait la musique sous toutes ses formes. Il aimait les notes enjouées, celles plus calmes, les solo tout comme les orchestres de renom dont les invités profitaient ce soir là. Bercé par les premières notes parfaitement maîtrisées, il se laissa porter par l’instant présent en compagnie d’Emma Smith qu’il ne quittait pas des yeux tant elle resplendissait. Sans doute une façon de faire amende honorable après son silence face à la proposition de la jeune femme, poussé par sa tendre mère. Qui d’autre que Miss Emma pouvait se vanter de le connaître aussi bien ? Ses bons côtés, comme l’obscurité qui voguait tout autour de lui et l'avait rendu aussi riche. Unir les Smith-Stanley et les Lightwood par un mariage serait un gage de pouvoir certain, de fortune et de prestance. Le genre de mariage qui ferait parler de lui, comme le désiraient leurs parents respectifs.
Mais le timing était complexe et le compte nourrissait des pensées secrètes envers une autre jeune femme. Son ignorance était douloureuse et l’amenait à penser qu’il pouvait s’être trompé à son sujet, faire fausse route depuis le jour même de leur rencontre. Et si la femme qu’il devait épouser se tenait là, devant lui, à tourner avec grace ? Et si..si Adelina Bridgerton ne parvenait pas à contracter un mariage favorable lors de la prochaine saison ? Dans ce cas..il devrait l’épouser, en dépit du bon sens et de toute morale… Agir dans la précipitation n’aiderait pas. William avait encore du temps devant lui ; une saison précisement.
J’ai déjà entendu dire que Miss Lyana avait un sens prononcé de la compétition, c’est exact. Et il serait tout à fait malvenu de contrarier la pupille de la Reine. Dit-il, compatissant. La journée de son amie ne s’était visiblement pas déroulée comme elle l’avait espéré et William en fut peiné.
Si cela peut vous rassurer, j’ai manqué de clairvoyance et suis tombé à l’eau comme un débutant ! Un pari stupide et oh combien gênant…Une chance qu'il y ait eu d'autres chutes pour noyer l'affaire.
Souhaitant que cette malheureuse chute reste un secret entre homme, il glissa ces quelques mots réconfortants à voix basse, lorsque la jeune femme se rapprochait suffisamment de lui entre deux pas pour que personne d'autre n'entende ses propos.
Où est donc passé la jeune enfant fouineuse cachée derrière les portes pour écouter les secrets de son cher frère ? Vous avez tant évolué ces dernières années, me prodiguant à présent les conseils les plus avisés que j’ai entendus. Ma chère mère est redoutable et trépigne d'impatience de voir un mariage se profiler, mais le temps m’aidera.. je l’espère.
La première danse touchait à sa fin et cette petite parenthèse entre amis, entre alliés, lui avait donné du baume au coeur pour poursuivre cette soirée dans les meilleures conditions.
Je ne vais pas m’accaparer vos faveurs toute la soirée, je sais votre carnet de bal bien rempli. Si vous avez besoin de moi, Miss Smith-Stanley, n’hésitez pas.
Peu importait l’issue de la saison à venir, la famille Stanley tenait depuis toujours une place importante dans sa vie et les choses ne changeraient pas sur ce point là. William saisit la main gantée de la jeune femme, il la souleva délicatement et s’inclina d’une révérence polie avant de quitter la piste de danse.
Résumé : William poursuit ses échanges avec @Emma Smith-Stanley avant de libérer la demoiselle pour qu'elle puisse rejoindre les invités.
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() / Ven 26 Mai - 0:09
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PARTIE DE CHASSE ROYALE
Les boucles luisent doucement sous la lumière. La robe scintille. Nul doute, elle ne peut rester sur le bord. L'entrée dans le monde est un bien lourd tribu, les ladies sont les pions des mères. Et ces dernières ne sont parfois que peu indulgente. Exigeante. Aodh ressent cette tension, celle qui fait penser combien on rame dans son malaise. Le baron n'est pas adroit, non. Il essaie de convenir en restant lui même. Mais ce n'est qu'un échec lamentable, c'est cuisant. Il ignore ce qu'il espère en lui tendant la main. Le Loup pourrait bien finir comme cette journée a débuté, tel un idiot.
Et pourtant, la jeune demoiselle passe du baume sur ses erreurs et accepte. "- L'honneur est mien." Main dans la sienne, elle se dresse aux yeux du monde, Miss Lewes. Politesse. Ils s'avancent vers la piste. La surprise se glisse sur son visage lorsqu'elle lui confie ses inquiétudes. Sa première danse ? "- Votre nervosité est compréhensible. Il y a peu encore, je ne connaissais point certaines danses." Il eut un sourire doux. "- Il n'y a rien à pardonner, vous serez le cygne dansant avec un bien vilain canard." Si venaient les critiques, il s'en exposerait seul détenteur. "- Laissez vous bercer. La nuit est belle, la saison s'apprête à faire halte. Et vous serez là, danseuse sous les étoiles. "
Les corps se joingnent à la danse. Et la transe les mène. L'unisson est particulier, comme hâchée au début puis plus fluide. La dame n'a pas à envier les autres. Elle se débrouille bien, et ce plus que lui. Pendant cette danse, le baron imagine bien des choses. Un tourment, un torrent. Des ondulations de cheveux, tantôt brun, tantôt roux reviennent le blond des boucles d'Abelia. Les chimères s'effaçent autant qu'elles le glacent. Elles sont injustes, elles l'ont toujours été. Les soupirs le mènent ailleurs, le souffle se coupe et la musique cesse.
Les prunelles papillonnent. Wolf reprend ses esprits et s'incline face à la belle qui n'avait pas à rougir de sa danse. "- Miss Lewes. Ce fut un réel ravissement que de partager cette danse avec vous." Il sourit sincèrement à sa partenaire de danse puis se redresse. Alors ne tarde pas l'annonce de la seconde danse, féminine cette fois. "- Oh ? Voilà qui peut se révéler amusant. " Il se souvient alors avec nostalgie, de ces danses là. Ces danses où il n'y avait pas de place pour l'homme, et seulement pour les femmes, touchant de leur phalanges, la voute céleste. "- Souhaitez vous y participer ou voulez vous que je vous raccompagne pour un raffraichissement ? "
Résumé Ma gueule:
Aodh tente de rassurer @Abelia Lewes et danse avec cette dernière. Des flammes du passé atteignent ses pensées. La danse se termine et la seconde danse est annoncée. Ne souhaitant la laisser seul comme un malotru, il lui propose de la quitter ou bien de la raccompagner.
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() / Ven 26 Mai - 9:23
Invité
La partie de chasse royale 6ème tour
J’ai déjà entendu dire que Miss Lyana avait un sens prononcé de la compétition, c’est exact. Et il serait tout à fait malvenu de contrarier la pupille de la Reine.
Cela avait été également ma pensée. Quasiment mot pour mot. Qu’il la prononce me surprit et me ravit également. De sorte que je ne puis qu’acquiescer en un sourire radieux.
« Si cela peut vous rassurer, j’ai manqué de clairvoyance et suis tombé à l’eau comme un débutant ! Un pari stupide et oh combien gênant…Une chance qu'il y ait eu d'autres chutes pour noyer l'affaire. »
Lorsqu’il me confia à voix basse sa mésaventure je dus réprimer un éclat de rire en me pinçant délicatement les lèvres. Cela n’effaçait pas pour autant le sourire amusé qui s’était dessiné sur mon visage. Je profitais à mon tour d’un rapprochement pour lui glisser.
- Voilà une image qui fait ma journée, je vous remercie. Il me semblait pourtant qu’après le dernier incident vous étiez résolu à ne plus faire de paris.
Je faisais référence à leur pari stupide qu’ils avaient conclu ivres. Ils devaient escalader le mur d’enceinte de la propriété et le redescendre et forcément, mon frère s’était cassé la jambe… De toute évidence il y avaient certaines choses contre lesquelles ce n’était pas la peine de lutter.
« Où est donc passé la jeune enfant fouineuse cachée derrière les portes pour écouter les secrets de son cher frère ? Vous avez tant évolué ces dernières années, me prodiguant à présent les conseils les plus avisés que j’ai entendus. Ma chère mère est redoutable et trépigne d'impatience de voir un mariage se profiler, mais le temps m’aidera.. je l’espère.
- J’ai grandi en votre absence sans pour autant vous oublier. Il est parfois dur de se le rappeler mais celles qui aiment leur progéniture veulent avant tout leur bonheur. Nous avons tous deux cette chance. Répondis-je en retrouvant mon sérieux. Je me sentais chanceuse que lord Lightwood se confie ainsi à moi, à coeur ouvert. C’était une preuve de confiance et je me doutais que peu de femmes pouvaient se vanter de cela, lui qui est de nature si secret et mystérieux. Sans doute se sentait-il à l’aise en ma présence et cela était précieux à les yeux. Plus qu’il ne pouvait le penser.
J’étais tout absorbée par notre danse, par son regard qui ne quittait pas ma personne, par son visage calme et apaisé presque jovial et doux qu’il ne montrait que très rarement. Pourtant c’était ainsi que je le préférais. Lorsque la danse prit fin et que nous réalisions les derniers pas il me fallut quelques clignements de paupières afin de réaliser que la danse s’achevait.
Je ne vais pas m’accaparer vos faveurs toute la soirée, je sais votre carnet de bal bien rempli. Si vous avez besoin de moi, Miss Smith-Stanley, n’hésitez pas.
- Je vous remercie beaucoup pour cette danse fort agréable lord Lightwood
Il saisit alors ma main ganté dans la sienne et je m’inclinais en même temps que lui. Je le laissa me ramener au bord de la piste de danse.
À peine m’eut-il quitté que je fus rejointe en trombe par Jane avec qui j’avais passé l’après-midi.
« Miss Smith, me ferez vous le plaisir de partager cette danse. »
- Avec plaisir miss Macartney. lui répondis-je tout sourire, amusée par l’attitude de mon amie.
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() / Jeu 1 Juin - 12:44
Arielle Percy
"Une partie de chasse Royale"
Hunting is not a sport. In a sport, both sides should know they're in the game - Paul Rodriguez
La danse s’était terminée, tel un rêve merveilleux. La demoiselle avait apprécié ce moment volé au bras de son fiancé, avoir pu tournoyer et discuté quelque peu, même quelques mots échangés la ravissait toujours. Après tout, ils ne se verraient que fort peu durant l’intersaison et si ils échangeraient à n’en point douter quelque correspondance puisque que le duc de Gloucester l’avait permis, il était normal au sens de la jeune dame de se languir quelque peu de son promis. Pourtant, quand la danse se termina, elle savait fort bien qu’une seconde, immédiatement serait inconvenante. Ou plutôt que sa mère préférerait qu’il y ai une danse d’appoint entre deux danses. Histoire de montrer qu’elle n’avait pas que ce monsieur en tête, ce qui était absolument faux. Aussi, fut-elle ravie d’entendre les règles de la prochaine danse. Une danse des dames, voila qui était amusant et plaisant, sans compter qu’elle s’était mainte fois entrainer avec Elizabeth. Du moins quand James ou Simon n’étaient pas disposé à danser avec leur sœur, frères ingrats qu’ils pouvaient parfois être. Ainsi, la fille du Duc se mit elle en recherche d’une cavalière. Elle pensa de prime abord à Apolline, mais se dit qu’elles vivaient déjà ensemble et passait un certain temps accolé l’une à l’autre. Aussi, se dit elle qu’Elinor serait un choix plus sûr, après tout, sa meilleure amie était là et elles ne se voyaient pas tant qu’elles le souhaitaient. Pourtant, son attention fut attirée par une remarque de sa mère. Sur le fait que le père Howley avait dansé avec une jeune demoiselle qui semblait fort timide et qu’elle ne connaissait pas. Bien sur, Arielle n’avait aucune idée de qui elle était, mais elle se rappela ne pas l’avoir vu fréquenter grand monde durant les activités des dames du matin et se demanda donc si elle avait beaucoup d’amie en ces lieux. Il n’en fallait pas plus, pour qu’a peine le prêtre ai laissé la demoiselle, la future comtesse de northumberland rejoigne la brune avec un large sourire aux lèvres. Le bon père Howley eu la délicatesse de faire les présentations, car il aura été mal vue qu’une demoiselle se présente seule, puis avec douceur la rousse tendit une main ouverte à la délicate demoiselle.
« Miss Hammond, c’est un plaisir de faire votre connaissance. Accepteriez vous de m’accorder cette danse ? »
Code by Sleepy
Résumé:
Arielle après sa danse en compagnie de @Aidan Percy, la demoiselle cherche quelle demoiselle invitée avant de porter son dévolu sur @Luisa Hammond et de l'inviter apres présentation de Léopold
Emploi : Compagnie pour l'épouse de celui qui l'héberge, le temps qu'elle se trouve un époux.
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() / Ven 2 Juin - 0:09
Luisa Hammond
Partie de chasse royale.
Bal
La jeune femme était ravie de pouvoir se mêler aux gens ; de pouvoir participer à la danse. D’autant plus lorsque cela se fait au bras d’un ami. Elle était dès lors très reconnaissante au père Howley de l’avoir invité à rejoindre la piste et de s’adonner à cet exercice qu’elle appréciait tant dans son pays d’origine. Même si, ce type de danse lui était bien moins coutumière, que celles plus rythmées, au son des guitares, du Mexique. Toutefois, les enseignements de la vicomtesse portaient leurs fruits et la demoiselle ne fit que quelques rares faux-pas. Elle ne négligerait pas de travailler cela durant cette intersaison, afin d’être mieux armée pour la suite. Enfin, elle l’espérait ; elle ne voulait après tout pas décevoir ses bienfaiteurs, que ce soit Lady ou Lord St. John.
La danse se terminant, elle remercia chaleureusement son cavalier et s’apprêtant à rejoindre la compagnie de ses bienfaiteurs, car elle ne connaissait définitivement personne parmi les jeunes femmes et se voyait mal s’imposer à qui que ce soit. Quelle ne fût donc pas sa surprise, lorsqu’une jeune rousse à la beauté indiscutable, vient vers elle et étant présenté comme la fille du duc de Gloucester par son ami le père Howley. Et qu’en plus, elle l’invitait à danser. Le rouge flamba quelque peu les joues de la Mexicaine, qui après les salutations d’usages effectuées dans le respect dû à la jeune femme, tendis sa main vers elle et la posa dans la sienne. « Lady Arielle, c’est un plaisir partager et un honneur pour moi d’accepter de danser avec vous. »
Dès lors, les deux jeunes femmes se rendent de concert sur la piste afin de se plier à cet exercice peu commun, mais tout aussi divertissant pour la jeune femme, que le précédent.
Ay mariposas, no se aguanten más Hay que crecer aparte y volver Hacia adelante seguirás Ya son milagros, rompiendo crisálidas Hay que volar, hay que encontrar Su propio futuro
Ulysse Nightingale
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() / Ven 2 Juin - 0:33
Ulysse Nightingale
Partie de chasse royale
Bal.
Avec le temps et l’expérience… Oui sans aucun doute, mais peu de chance que Northampton décide de chasser de nouveau en ses propres terres durant l’intersaison. Ou alors, c’est Charles déguisé en cervidé, qu’il chassera ! Juste pour lui faire payer ce traquenard ci, en le faisant courir dans les jardins ainsi affublés ! Vengeance, vous dis-je ! « Je n’ai pas toujours été en mer, Lady Sutton, il m’a bien fallu rester sur terres pour trouver les mines qui ont fait la fortune de ma famille. Eh oui, parfois, lors d’escale, nous nous adonnions à la chasse. Après tout, on se lasse assez vite de toujours manger du poisson, vous savez. » Oh pour sûr, il était assez heureux qu’on ne lui ait pas proposer une partie de pêche à la place. Doué pour cela, il l’aurait été à n’en point douter, mais manger du poisson, désormais, il s’en passait assez bien. Sans parler du fait que les poissons d’eaux douces n’ont absolument pas le même goût que leurs cousins de la mer. Ah… la vase…
« Je ne partage guère votre optimisme sur ce sujet, Lady Sutton, car, voyez-vous, je n’ai que peu d’affection pour les chevaux. J’aime autant ne pas avoir à monter dessus. » Vraiment, c’était une véritable torture. Et son dos allait se souvenir de cette partie de chasse sans aucun doute ! Il maudissait par avance, le voyage de retour secoué dans la voiture avec les courbatures que tout ceci allait occasionner. Et dire qu’il y en a qui envie la position de noble. Franchement, ils feraient mieux de s’abstenir ! Tout en continuant de danser, l’ancien marin écoute alors le récit de la jeune femme, en acquiesçant. « Je ne sais si j’en aurais encore l’occasion, mais je prends votre conseil à cœur, lady Sutton. »
Cette danse achevée, Ulysse espéra pouvoir se reposer et, il faut croire que les dieux l’avaient entendu, car on annonça une danse des dames. Quelle joie ! Quelle libération ! « Lady Sutton, je vous remercie de votre compagnie pour cette danse. Je gage que votre compagne prochaine sera fort heureuse de vous avoir à son bras. » Et la saluant selon l’usage, il retrouve Charles pour récupérer son verre, qu’il vide d’un trait. « Vous n’imaginez pas le prix de ma vengeance sur vous, Charles… quelques idées me sont venues et elles ne vont pas vous plaire. »
Résumé:
Entre danse et discussion avec @Apolline Sutton, Ulysse la libère ensuite de sa compagnie pour la danse des dames et annonce à son majordome qu'il va morfler au retour dans son domaine.
codage par aqua
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Octavian de Hanovre
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() / Ven 2 Juin - 0:54
Octavian de Hanovre
Partie de chasse royale
Le bal
Le regard sombre glisse de l’abysse océanique de celui de sa cavalière, en direction de la composition florale, que le menton discret avec désigné ainsi avec grâce et souplesse. Composition remarquable et se démarquant des autres par ses couleurs ombres. Octavian sourit un rien d’avantage, avant que ses yeux ne regagnent leur point d’ancrage initiale. « C’est donc vous. » Dit-il avec un brin de mystère dans sa voix trop calme, trop placide. « Les Lionhearts sont mes fleurs préférées. » Confie-t-il avec un brin de malice et un rien d’innocence, qu’on ne peut lui attribuer ordinairement. « Mais peu de gens le savent, aussi je vous prierais de garder cela pour vous. » Noir et jaune ; noir et or. Au premier abord, couleurs très royales. Mais le prince y voyait bien plus que cela. La lumière menant à l’obscurité ; l’obscurité appelant la lumière. Car l’un cherchera toujours l’autre.
Les mesures se suivent, les pas s’enchaînent et la discussion continue. Les mots restent en silence derrière ses lèvres qui ne sourient plus tant, reprenant la gravité qu’on sait bien plus naturelle chez le duc. L’homme écoute, absorbe et retient les mots. Ces mots qui heurtent et qui trouvent pourtant écho à sa propre tristesse ; sa propre douleur. « Ma sincérité est d’autant plus vrai, Lady Elinor, que je danse moi-même encore souvent avec les fantômes de mon propre passé… » N’avait-il pas perdu un père après tout plutôt dans l’année, le poussant ainsi à bouder la saison pour des raisons évidentes et excusables. Tristesse, gravité et douleur ne devraient pas transparaître dans des traits si jeunes ; si angélique. Pourtant, la force de conviction que semble mettre Elinor dans ses mots le force à sourire à nouveau, moins franchement, avec bien plus d’empathie et de compassion. « Je vous le souhaite, Lady Elinor. Je vous le souhaite… »
Un rien de laissé aller, le duc d’York et d’Albany esquisse un rire en écho à celui de la jeune femme. Un acte étrange sortit de son âme avec une facilité déconcertante. « À mon sens, vous ne parlez pas assez. » Ironise-t-il alors, avant de reprendre son sérieux. « Oh… vous devriez savoir, que je ne suis pas l’homme qui parle le plus de lui dans ce royaume. » Commence-t-il par répondre, avant de poursuivre. « Je suppose qu’à bien des égards, je devrais pointer du doigt tout ce qui n’a pas été, mais… je suis satisfait, oui. Très satisfait. » Un temps de pause et il conclut. « Encore plus, en cet instant, Lady Elinor. » Mais la musique s’achève. Octavian salue donc sa cavalière et avec un sourire espiègle ajoute : « J’espère que cet interlude féminin, vous amusera, Lady Elinor. » Prenant son congé, il rejoint alors son cousin, afin de boire un verre de champagne bien mérité en sa compagnie.
résumé:
Clôturant sa danse avec @Elinor Gilderstone, le prince s'en va retrouver son cousin pendant la danse des dames.
➳FEAT. ...
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Love is a better teacher than duty.
Kindness and faithfulness keep a king safe, through kindness his throne is made secure.
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() / Ven 2 Juin - 12:12
Invité
PARTIE DE CHASSE ROYALE
Quelle naïve je fais. Evidemment qu’il n’a pas passé son temps sur la mer et qu’il descendait à terre de temps à autre. Franchement Apolline, tu aurais du réfléchir un peu.
- Je ne peux que vous croire. Mais effectivement, il faut bien que vous descendiez à terre de temps en temps.
Il est vrai que sa famille a fait fortune dans les mines et pour le coup, il ne risque pas de les trouver sur la mer. Ma pauvre Apolline… La conversation reprend avec le cheval et il me dit qu’il a plus de difficulté dessus. J’imagine qu’avec un peu d’entraînement, il sera très bon mais il ne semble pas partager mon opinion avant de me dire qu’il n’apprécie que très peu les chevaux et que, s’il peut éviter de monter dessus, il est plus heureux ainsi.
- Je comprends. J’apprécie que très peu les chevaux je dois dire donc je vous comprends.
Ils sont parfois très imprévisibles dans leur comportement, donc si je peux y rester le plus loin possible, cela me convient très bien. Je lui explique alors le peu de choses que j’ai réalisé durant la journée avant de lui dire que, s’il a l’occasion, de se rendre dans les jardins qui sont vraiment somptueux. Je souris alors quand il me dit qu’il prend mon conseil.
La musique alors touche à sa fin et on nous indique alors que les demoiselles ont le droit de danser entre elles pour la prochaine danse. J’offre une révérence au marquis avant de répondre.
- Je vous remercie pour cette danse, Lord Northampton. En vous souhaitant une agréable soirée.
Je lui offre un sourire avant de repartir, pensant inviter mon amie Arielle mais je vois qu’elle a déjà invitée la jeune demoiselle avec qui j’ai passé un peu de temps auparavant. Je rejoins donc Lady Seymour, attendant donc qu’une demoiselle que je connaisse soit seule pour l’inviter.
Résumé:
Résumé : Apolline finit de danser avec @Ulysse Nightingale avant d'attendre qu'une jeune femme soit seule pour danser avec.
Whistledown
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() / Sam 3 Juin - 10:30
Whistledown
PARTIE DE CHASSE ROYALE Le Bal vous attend...
Les dames se pressent. D'une œillade, elles choisissent leur compagne d'une danse, car il est plus facile d'inviter une personne de son propre sexe. Tantôt, on choisit une amie, tantôt, on choisit une des nouvelles rencontres du jour afin de ne laisser personne de côté. Les couleurs des robes et des parures se mélangent pour donner lieu à de charmants bouquets. Peu à peu, les duos se forment tandis que les instruments à cordes se préparent à donner de la voix.
Et voilà que l'on s'élance sur la piste pour la seconde danse. Les belles invitées glissent avec élégance, s'amusent et rient sous le regard bienveillant de ces messieurs trop occupés à profiter de cet instant de répit.
Dans ce moment hors du temps, des amitiés se renforcent et d'autres s'épanouissent. À la faveur des lueurs du soir, on s'émerveille autant que l'on se divertit, car il est bon de profiter de ces dernières festivités avant la fameuse intersaison. Mais il ne restera plus qu'une danse avant le grand final de cette soirée ! Car déjà approche l'instant fatidique du repos bien mérité. Pour cette dernière, et ultime valse, ces messieurs seront conviés une fois de plus, car il ne faudrait pas les laisser trop bavarder sur le côté.
Tandis que les bougies chancellent et que les cœurs soupirent, la partie de chasse se rapproche d'une fin à l'odeur sucrée du dessert et du vin que l'on goûte.
Léopold Howley
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() / Sam 3 Juin - 10:46
Léopold Howley
Chasse ou contente toi d'être une proie
La main de la jeune Miss Hammond dans la sienne était chaude et douce, un plaisir qui lui avait fait battre le cœur un peu plus fort, le temps d'un instant, lui qui ne savait pas quelle personne pourrait accepter de danser avec...eh bien, une personne aussi peu intéressante que lui. Après tout, il n'était qu'un prêtre, bien loin des Princes, Ducs et Marquis qui pouvaient peupler la soirée. Certes, il avait un nom et une importance en tant que fils de l’archevêque de Canterburry, peut être même viendrait il à porter lui même cette charge à l'avenir, mais cela ne faisait pas rêver les demoiselles. Après tout, la vie avec un ecclesiaste n'était pas ce qui était de plus magique, on n'avait pas de titre, pas de domaine a proprement parlé. Simplement une paroisse, une communauté et oui, le temps que l'époux soit de ce monde une certaine sérénité. C'était certainement pour cela que la marquise de Budhaven l'avait repoussé pour son nouvel époux. Il n'était pas assez bien. Aussi, danser avec Miss Hammond lui réchauffa t il le cœur. Il lui demanda si elle passait un agréable moment, si elle avait apprécié les activités et la campagne anglaise avant de la complimenter sur ses pas de danses. C'était naturel pour lui, de parler ainsi avec elle. Il la voyait telle une amie et au regard que la douairière Berkeley lui lancer, elle voyait plus que cela. N'avait il pas conseiller au prince d'ouvrir les yeux il y a quelques temps ? Peut etre devrait il s'approprier son propre conseil... La danse terminée, il ramena sa cavalière a son tuteur et fut ravi de voir une demoiselle venir l'inviter pour cette danse des dames. Les présentations faites, il observa la demoiselle partir avec sa rousse compagne tandis qu'il observait le comte Saint John.
« Si par aventure, je souhaitais faire ma cours à votre pupille lors de la saison prochaine....l'accepteriez vous ? »
LA question était lancée. Il faudrait en reparler car ce n'était pas le lieu mais...il ouvrait les yeux. Observant chaque personne danser, souriant au quadrille des dames, admirant la beauté des tenues et la grace des danseuse, le pretre oublia un instant ses soucis et le monde pour simplement etre present, etre lui, dans cette fête. Un verre de limonade plus tard, la danse se terminée et une dernire valse s'annonçait. Homme de parole, il s'avança, sans aucune honte, ni hésitation jusqu'à la marquise douairière et lui tendit sa main dans un sourire radieux.
« Lady Berkeley, je crois que cette danse nous était promise. Me ferez vous l'honneur ? Avec l'accord du marquis bien évidemment. »
La vieille dame était un symbole de cette société et une amie pour le prêtre qui ne pourrait décemment pas, se passer d'une danse avec celle qui semblait prete à devenir sa bienfaitrice en terme de noces.
( Pando )
Résumé:
Léopold fu ravi de danser avec @Luisa Hammondet lui fit la conversation durant leur danse. Celle ci fini, il la présenta à Arielle qui l'emmena danser et profiter de l'instant pour demander à @Laszlo St. John l'autorisation de faire sa cours à celle ci lors de la saison prochaine. Buvant un verrre de limonade durant la dansez des dames, il le fini pour aller inviter lady Berkeley à danser tel qu'il lui avait promis @Aloïs Berkeley
Bien qu'ils ne soient pas toujours sur la même longueur d'ondes concernant les bals et les règles de la noblesse, la compagnie de Matthew Wilson était toujours agréable.
Une attaque de sanglier !? Ce sont des animaux très dangereux, c'est une chance que vous soyez tous revenus sans blessure !
La demoiselle marqua une courte pause pour réfléchir à cette première journée au sein des grands noms de Londres. Rien d'exaltant, rien de compliqué non plus. Elle resta dubitative.
Je dirais que ce n'était pas si horrible que je le pensais. Ce n'était pas génial non plus, j'imagine que vous vous doutez que je ne suis pas une fervente adepte des compositions florales et autres activités de ce genre, mais ce fut une belle journée sans incident. C'est déjà un bon début, j'imagine..
A en juger par le radieux sourire de la Duchesse Fitzroy, ça l'était. Emilia n'avait pas commis d'impairs, pas en public du moins, et c'était déjà un exploit très satisfaisant !
En rythme avec l'orchestre, Emilia profita des derniers instants de la chasse pour danser avec élégance et montrer à tous ceux qui comméraient encore à son sujet qu'elle n'était pas un vilain petit canard et qu'elle avait quelques talents cachés... en plus des fugues, soit. Les dernières notes retentirent et il fut temps pour elle de remercier son cavalier afin de laisser la place à une horde de demoiselles euphoriques, séduite par l'idée d'être admiré par les plus séduisants célibataires du coin. Les plus riches également, cela va de soit.
Monsieur Wilson, il semblerait que les messieurs aient le droit à un peu de calme à présent. Ce fut un plaisir de danser à vos côtés. Nous nous recroiserons prochainement, la Saison approche à grands pas...
Courtoise, élégante et polie, à mille lieux de la jeune effrontée rebelle cachée dans la réserve à Thé d'un commerçant, Emilia adressa au jeune homme sa meilleure révérence avant de se retirer pour trouver une cavalière. Ou boire un verre de champagne discrètement...
Résumé : Emilia profite d'une danse avec @Matthew Wilson pour lui confier son ressentit sur cette première immersion. Une fois la chanson terminée, elle quitte la piste pour se réfugier auprès d'une coupe de champagne. Elle est disponible pour danser si quelqu'un souhaite clôturer la chasse à ses côtés, Mesdames!
MADE BY @ICE AND FIRE.
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() / Dim 4 Juin - 20:44
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Partie de chasse royale. Le joyaux de Bonne Espérance va-t-il briller face à la couronne?
Alors que les premiers musiciens lançaient la danse et que les jeunes filles présentes sur la piste de danse se mettaient à suivre le mouvement entrainant, prêtes à s’amuser au bras d’une amie même si ce n’était que pour quelques minutes, prêtes aussi à profiter de cette danse pour partager quelques petites informations dont toutes les jeunes femmes étaient friandes. Et de cela, Miss Macartney était aussi coupable alors qu’elle se saisissait du bras de sa compagne en affichant un large sourire complice.
« Je suis ravie de voir que vous avez passez cette soirée en très charmante compagnie Miss Smith. »
Elle n’exigeait aucune réponse de la part de Miss Smith et souhaitait simplement pouvoir tâter le terrain, espérant quelques petites informations de la part de la jeune femme sur ce qu’il s’était déroulé pour elle durant la journée. Car il était évident que derrière son apparence de douce et timide jeune fille, Miss Smith n’avait aucun problème à partager la compagnie et la discussion de charmants jeunes hommes. Mais que savait-elle… Miss Macartney suivait aisément le rythme mais il était évident qu’elle avait plus d’intérêt de pouvoir discuter avec son amie que pour la danse, et ses pas se faisaient donc peu sérieux ou appliqués.
Mais Miss Macartney pouvait sentir dans l’atmosphère changeante que la musique parvenait bientôt à sa fin et que les deux jeunes filles seraient de nouveaux séparées par le tumulte constant qu’était ce genre de soirée. Chacune serait emportée par une autre discussion, une autre personne, et la vie reprendrait son rythme.
« Je crains qu’il nous reste peu de temps à partager avant que s’achève cette soirée mais si vous le souhaitez ma chère amie, je serais ravie de vous revoir avant la prochaine saison. Votre famille a été si charmante de me recevoir et je serais ravie de vous accueillir à mon tour lorsque nous aurons ouvert notre maison de campagne. »
Elle offrit un sourire à la jeune fille.
« Vous m’êtes une très bonne amie Emma, et j’aimerais beaucoup pouvoir vous revoir au calme de la campagne avant que nous soyons toutes les deux emportées par le tumulte de la saison. »
La musique prit fin et les deux jeunes femmes durent alors s’éloigner pour retrouver d’autres compagnies, et Miss Macartney salua une dernière fois son amie avant de la libérer de sa compagnie et espérant que son invitation trouverait une réponse positive.
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() / Jeu 8 Juin - 18:05
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PARTIE DE CHASSE ROYALE Le Bal
La musique s'élevait dans les airs et nous nous mirent toutes en cadence. Nos robes glissant sur le parquet installé pour l'occasion, les regards amicaux et les sourires fusaient. Quoi de plus agréable que de danser en charmante compagnie. J'appréciais beaucoup Jane d'autant plus quand mon autre amie Abélia ne m'apportait que tristesse car sa seule vue me déchirait le coeur jusqu'à maintenant. Quoi que cet état s'était assez facilement dissipé suite à la danse que je venais de partager avec Lord Lightwood qui n'aurait pas pu plus me surprendre ce soir.
Après avoir observé leur attitude et leur échange un peu plus tôt avec miss Abélia, j'étais persuadée qu'il m'avait instantanément oubliée comme si je n'avais eu aucune importance. Cette perspective, outre qu'elle soit particulièrement vexante m'attristait surtout. Mais là cette danse, ces mots prononcés, tout cela m'avait mis du baume au coeur et redonné espoir. Ainsi, je me sentais aussi légère qu'une plume et je n'avais aucun mal à afficher un air radieux et un sourire resplendissant à qui voulait le voir.
« Je suis ravie de voir que vous avez passez cette soirée en très charmante compagnie Miss Smith. »
- Je vous remercie, c'est très aimable à vous Jane de vous réjouir de mon plaisir. Et vous, appréciez-vous votre soirée ? Je vous ai vue en grande conversation avec un gentleman. Lui répondis-je dès qu'un rapprochement me l'a permis tout en lui lançant un petit air espiègle. Si la jeune femme m'observais, la réciproque était vraie.
« Je crains qu’il nous reste peu de temps à partager avant que s’achève cette soirée mais si vous le souhaitez ma chère amie, je serais ravie de vous revoir avant la prochaine saison. Votre famille a été si charmante de me recevoir et je serais ravie de vous accueillir à mon tour lorsque nous aurons ouvert notre maison de campagne. » Après un sourire des plus sincères, ma compagne de danse ajouta. « Vous m’êtes une très bonne amie Emma, et j’aimerais beaucoup pouvoir vous revoir au calme de la campagne avant que nous soyons toutes les deux emportées par le tumulte de la saison. »
- Croyez bien que votre amitié est tout aussi précieuse à mes yeux Jane. Néanmoins je crains de ne pouvoir répondre favorablement à votre demande, ma mère ayant soigneusement préparé à la minute près mon emploi du temps jusqu'à notre arrivée à Londres. Toutefois nous pourrions nous y retrouver si vous le souhaitez ? Après notre participation à cette chasse particulière à plus d'un titre, je n'imagine pas que la prochaine chronique de cette fameuse lady Whistledown n'évoque pas l'évènement. Peut-être y ferons-nous notre première apparition. Nous pourrions nous retrouver dans un parc pour la lire ensemble entre amies ?Lui suggérais-je en saccadé en fonction des séparations et retrouvailles dues à la danse.
Finalement la musique toucha à sa fin et la mélodie incita les danseuses plus gracieuses les unes que les autres à ralentir leurs mouvements jusqu'à s'arrêter les unes en face des autres, le sourire aux lèvres et le coeur battant la chamade, plein de contentement.
La musique terminée, je m'inclinais face à ma partenaire avant de saluer les musiciens par des applaudissement comme le reste des danseuses avant de quitter la piste de danse et de retrouver ma famille dans la foule des nombreux convives. J'observais à nouveau les convives, me demandant qui m'inviterait pour une dernière danse. J'avais envie de me laisser charmer par la surprise après une soirée aussi agréable.
Résumé:
Emma profita d'une danse agréable pour convier @Jane Macartney à se retrouver à Londres pour lire la prochaine chronique de lady Bridgerton ensemble. La danse terminée, Emma rejoignit sa famille et se trouve libre pour la prochaine danse
Edward Stanhope
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Emploi : Lieutenant dans la Royal Navy, mais il est de retour en Angleterre et à Londres depuis Janvier 1813 pour assister son frère aîné dans les affaires familiales et à l'aider à faire le bon choix d'une épouse. Il n'a aucune ambition de ce genre pour lui-même. Cela lui semble terriblement fastidieux déjà d'essayer d'aiguiller correctement son frère...
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() / Jeu 8 Juin - 23:13
Edward Stanhope
Partie de chasse
La partie de chasse avait continué de se dérouler puis il y avait eu le bal. Edward s'était fait plutôt discret durant toute la durée du bal. Il était prioritairement resté aux côtés de sa mère pour être à ses petits soins. Depuis le décès de son fils aîné, elle avait souvent des petits instants de faiblesse et Edward tenait beaucoup trop à sa mère pour la laisser seule dans des moments où elle avait besoin de toute son attention. Sa mère, c'était ce qu'il y avait de plus précieux pour lui. En tant que fils, il se devait d'être là à ses côtés à n'importe quel moment pour prendre soin d'elle. Il ne s'était éloigné d'elle que quelques minutes seulement durant tout le bal pour aller lui chercher un verre d'eau et quelque chose à manger.
Alors qu'il traversait justement la salle avec un verre d'eau à la main ainsi qu'une part de gâteau qu'il rapportait à sa mère, il aperçut une jeune demoiselle non loin qui lui disait quelque chose et cela lui prit quelques secondes pour se souvenir que c'était la même demoiselle qui l'avait salué mais Edward ayant été trop préoccupé il n'avait pas pensé répondre. So honneur lui dictait de rectifier cette erreur. Il devait absolument se rattraper pour cette offense. Edward n'avait qu'un seule parole. Revenant vers sa mère tout en lui tendant ce qu'il avait été lui cherché, il se pencha vers elle avant de lui dire :
« Mère, êtes-vous suffisamment confortable ? Je vais m'absenter quelques minutes le temps de faire mon devoir en invitant une jeune demoiselle à danser qui plus tôt dans la journée m'avait salué sans que je n'ai eu le temps de lui répondre. Je suis sûr que vous comprendrez combien il est important que je rattrape cette offense. » Et avec affection il se pencha pour déposer une bise sur la joue de sa mère. Cette dernière lui prit les mains et lui sourit avec la même affection et fierté qu'elle avait toujours lorsqu'il s'agissait de son cher Edward. « Mais bien sûr Edward, je vous en prie. Allez-y. Je vous attends ici pour rentrer. » C'était d'ailleurs l'heure de la dernière danse. Edward s'éloigna alors pour se diriger en direction de la demoiselle Smith-Stanley qui avait rejoint sa famille. Il s'inclina bien bas pour saluer l'ensemble des personnes présentes avant de se présenter.
« Bonjour messieurs, mesdames, mesdemoiselles. Lieutenant Edward Stanhope et neveu du vicomte de St Vincent et amiral de la Navy. » Ce qu'il détestait se présenter ainsi. Se présenter par le rang qu'il avait en société mais c'était le protocole. C'était ce qu'ils devaient faire. Il détestait cela. Il préférait qu'on le connaisse par son nom tout simplement, qu'on le voit pour ce qui il était réellement plutôt que par le titre qu'il portait. Un titre pour lui ne représentait pas la valeur de l'individu. Se tournant vers Emma, il lui demanda : « Je me demandais si vous voudriez bien m'accompagner pour la dernière danse de la soirée ? »
Résumé: Après être resté silencieux une bonne partie e la soirée et auprès de sa mère à s'occuper d'elle et lui apporter de quoi se sustenter, il s'excusa auprès de cette dernière avant d'aller demander la demoiselle @Emma Smith-Stanley pour la dernière danse de la soirée afin de se faire pardonner l'offense faîte un peu plus tôt dans la journée.
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Arielle Percy
Duchesse
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() / Dim 11 Juin - 18:42
Arielle Percy
"Une partie de chasse Royale"
Hunting is not a sport. In a sport, both sides should know they're in the game - Paul Rodriguez
La main d'une femme dans la sienne, la fille du Duc de Gloucester avait rejoins la piste de danse, souriante, amusée, heureuse. Elle ne connaissait pas cette demoiselle et pourtant, elle était persuadée qu'elles pourraient devenir de bonnes amies si on leurs en laissait le temps, la connaissance. Sa mère n'y verrait pas de mal, elle le savait bien. Après tout, elle aimait que sa fille se fasse des amies et si elle voulait qu'elle reste plus proche de ses amies ayant un certain standing, elle n'était jamais contre le fait que celle ci puisse approcher des personnes moins bien fourni par la vie. Après tout, les personnes moins chanceuses qu'elles devaient et mérité d'obtenir un peu de leur sympathie. Ainsi rejoignant la danse la demoiselle chercha la conversation quelques instants avec sa nouvelle connaissance.
« Vous sembliez quelque peu isolée durant la journée Miss Hammond. Me permettriez vous de vous offrir mon amitié ? Je suis certaine que nous pourrions nous entendre. »
souriant avec joie, elle se mit a danser, sautillant et tournoyant, respirant la joie de vivre comme jamais. La danse lui donnait un sentiment de liberté qu'il était difficile à ses yeux d'obtenir autrement.
« Peut etre pourrions nous faire meilleure connaissance durant la saison prochaine ? Qu'en diriez vous Miss Hammond ? »
Souriant toujours elle continua sa danse, jusqu'à ce que la musique se termine et que chacune des dames se salut avant de s'éloigner, rejoignant leurs familles alors que les messieurs revenaient dans le paysage réinvitant des demoiselles. Le duc de Northumberland, lui, n'avait pas quitté ses parents ni sa tante, faisant ainsi qu'elle le retrouvait à peine revenu et lui tendit la main avec douceur. Ils étaient fiancé. Deux danse...ce ne serait pas mal vue et qui savait quand elle pourrait à nouveau danser à son bras ?
Code by Sleepy
Résumé:
Arielle danse avec @Luisa Hammond et cherche à faire sa connaissance avec plaisir. Une fois la danse terminée, elle rejoins sa famille et le duc @Aidan Percy lui tendant avec grace et naturel sa main, persuadée qu'il lui accordera bien cette seconde danse.
J'avais rejoint ma famille et était en conversation avec ma belle-soeur qui me demandaient si ce n'était pas avec Jane Macartney que j'avais dansé, se souvenant qu'elle avait été des nôtres à l'occasion d'un séjour à Chatsworth un peu plus tôt dans l'été. Elle me demanda plus d'informations sur notre amitié quand nous furent interrompus par la présence d'un lord venu nous saluer. Nous nous retournèrent alors tous vers le nouveau venu qui se présenta.
« Bonjour messieurs, mesdames, mesdemoiselles. Lieutenant Edward Stanhope et neveu du vicomte de St Vincent et amiral de la Navy. »
Mon père releva un sourcil pour le moins surpris, se raidissant quelque peu. Si l'homme s'était présenté dans les convenances il n'avait visiblement pas oublié qu'un peu plus tôt dans la journée, l'ensemble de la famille l'avait salué sans que ce dernier ne daigne leur répondre. Il était passé à côté d'eux comme s'ils n'existaient pas. Sans doute le jeune homme était-il enclin à se perdre dans ses pensées ? Toutefois, ce dernier faisait l'effort de venir à eux et de se présenter. Ne souhaitant pas se montrer désobligeant et n'ayant pas plus le goût des conflits, mon père se montra bienveillant.
"Edward Smith-Stanley, comte de Derby, ravi de vous rencontrer. Je vous présente mon épouse lady Elizabeth, mon fils Thomas et son épouse ainsi que ma fille miss Emma."
Au fur et à mesure où chacun était présenté, il était fait une petite révérence pour ces dames et Thomas s'inclina.
« Je me demandais si vous voudriez bien m'accompagner pour la dernière danse de la soirée ? »
La surprise me gagna. Je ne m'étais pas attendue à un tel revirement mais je devais admettre que cette surprise était agréable. Sans doute n'avait-il pas fait exprès de nous ignorer lorsque nous l'avions salué près des montures un peu plus tôt dans la journée ? C'était peut-être sa façon de faire amende honorable. Dans tous les cas ce serait une occasion agréable de faire une nouvelle rencontre. Je coulais un regard vers mon père qui acquiesça d'un simple signe de tête. Ayant obtenu l'accord paternel, je retournais alors mon regard vers mon désormais cavalier, l'air ravi.
- Je vous l'accorde avec plaisir. Lui répondis-je avec simplicité. Je lui confiais alors ma main, le sourire aux lèvres et me laissais guidée vers la piste de danse.
Je me sentais quelque peu intimidée. Si je connaissais déjà William et Jane depuis l'enfance, cet homme m'était parfaitement inconnu et la dernière fois que j'avais fait une rencontre les choses ne s'étaient pas vraiment bien terminées. Je me souvenais du séjour de lord Graham et de ses filles à Chatsworth, la tournure de la conversation avait virée au vinaigre et le reste de son séjour chez nous avait été de mon point de vue, particulièrement désagréable. J'avais dû prendre soin de ne pas le croiser dans ma propre demeure. En somme, une expérience des plus inconfortables. J'espérais qu'il en serait autrement sinon je ne pariais pas cher de ma peau lors de la saison qui approchait à grand pas.
Emploi : Lieutenant dans la Royal Navy, mais il est de retour en Angleterre et à Londres depuis Janvier 1813 pour assister son frère aîné dans les affaires familiales et à l'aider à faire le bon choix d'une épouse. Il n'a aucune ambition de ce genre pour lui-même. Cela lui semble terriblement fastidieux déjà d'essayer d'aiguiller correctement son frère...
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() / Mar 13 Juin - 0:36
Edward Stanhope
Partie de chasse
Edward n'était pas très heureux en ce moment mais il faisait face, comme il l'avait toujours été et puis en tant que membre de la navy il savait qu'il ne devait rien laisser l'effrayer ou l'angoisser. Le deuil qui était tombé sur sa famille avait déposé une large ombre sur Edward et ce dernier en sentait le poids comme si une chape de plomb lui était tombée dessus. Il essayait d'être le support nécessaire à sa mère qui, en plus d'avoir perdu son fils aîné, n'avait plus son mari à ses côtés pour prendre soin d'elle et parfois c'était un peu trop de poids pour Edward. Pourtant, il restait là à ses côtés et il faisait face à tout ce que sa famille avait à affronter. Désormais, il était seul héritier de son oncle et il savait qu'il saurait faire face même si un an auparavant, il souhaité encore pouvoir reprendre la mer et continuer sa carrière au sein de la marine. Ses ambitions n'étaient pas d'être lord, elles n'étaient pas d'être vicomte mais pourtant il semble que ses responsabilités l'ancraient bel et bien en Angleterre sans espoir de pouvoir retourner en mer. Il aurait souhaité devenir capitaine, et pourquoi pas suivre le chemin de son oncle, et surtout, surtout : connaître toujours la camaraderie à bord d'un bateau. Les combats ne lui manquaient pas, mais la vie sur la mer lui manquait terriblement.
Edward avait beaucoup à pensé depuis la mort de son frère et le deuil qu'il portait durerait encore plusieurs mois même si le deuil n'était pas le même que s'il avait été la fille de la famille. En revanche, il ne se pardonnait pas la négligence dont il avait fait preuve au début de la journée vis-à-vis de la faille Smith-Stanley même s'il avait des circonstances atténuantes. Que voulez-vous, Edward prenait très à cœur ce genre de choses.
Après qu'il se soit présenté devant chacun des membres de la famille, Edward inclina la tête à l'énonciation de leur nom avant de baiser les mains des femmes avec politesse puis il demanda à leur fille, Emma si celle-ci acceptait de danser la dernière danse. Il avait auparavant senti une certaine restreinte chez le paternel et il comprit que cela avait à voir avec ce qui s'était passé dans l'après-midi. Il n'aimait pas cette situation, aussi afin de faire preuve d'amabilité, il demanda à Mr Smith-Stanley : « J'espère que la chasse a été fructuante de votre côté. Chassez-vous souvent ? »
Après qu'Emma eut obtenu l'accord silencieux de son père, elle se tourna alors vers Edward pour accepter la danse et un léger sourire se fendit sur le visage du lieutenant alors qu'il se saisissait de la main de la jeune femme pour l'emmener sur la piste de danse. Son père aurait pu refuser et il l'aurait accepté. Il avait senti la surprise d'Emma qui apparemment ne s'attendait pas à ce qu'il la demande pour la dernière danse. Il ne la connaissait mais Edward pouvait danser avec n'importe qui sans forcément la connaître. Il était suffisamment éduqué et sociable (juste assez) pour se montrer aimable avec tout le monde et à moins que l'on se montre extrêmement inconvenant en sa présence, il ne se frustrait pas pour un rien. Ils prirent donc place sur la piste puis se saluèrent alors que la musique commençait. Edward était doué normalement en danse. Sans être maître dans l'art de danser, il se débrouillait plutôt bien et ne s'embrouillait en général pas avec ses pieds. Il était plutôt adroit donc il ne devrait pas y avoir de problèmes d'orteils endoloris.
« Comment s'est passée cette journée de chasse pour vous et votre famille ? » demanda t-il pour faire la conversation tout en dansant. « Je voudrai vous dire encore que je suis désolé pour plus tôt dans la journée vous m'avez salué. J'ai beaucoup de choses à penser ces dernières temps, je n'ai pas toujours la tête là où il faut. Voyez-vous, nous avons perdu mon frère aîné il y a encore si peu de temps. C'était totalement imprévu.» Pas que la mort avait quelque chose de prévisible ma foi, mais quand quelqu'un vous quittait si jeune et surtout de cette façon, cela pouvait faire un véritable choc.
Il devait bien quelques explications pour expliquer son comportement bien qu'il ne se donnait aucune excuse pour autant. Sans rentrer dans les détails, le nécessaire était dit.
Résumé: Edward emmène @Emma Smith-Stanley danser pour la dernière danse de la soirée et lui fait un peu la conversation tout en s'excusant de sa conduite passée.
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Elinor Gilderstone
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() / Dim 18 Juin - 9:58
Elinor Gilderstone
PARTIE DE CHASSE ROYALE le bal
C'est donc vous...
Le coeur se serra davantage dans cette poitrine devenue la cage d'un organe presque maladroit.
"Oh, eh bien ma foi, je garderais ce secret pour moi, souffla t'elle sur le ton de la confidence au sujet des fleurs favorites de l'héritier."
Tandis qu'elle écoutait cette voix grave qui roulait parfaitement sur les notes de la musique, Elinor avait l'impression de glisser plutôt que de danser. Elle se sentait légère et la nuit ajoutait à la fraîcheur de cette âme qui ne demandait qu'à s'épanouir. A mesure qu'elle suivait le prince dans ses mouvements, ses lippes se pincèrent à la mention des fantômes qu'il cotoyait lui aussi. C'était à croire que les morts ne quittaient pas vraiment cette terre. Leur départ était un choc qui devenait un souvenir, voir un écho, puis leur absence se muait en une présence que l'on recherchait jusque dans les moindres détails. La belle hocha doucement la tête pour mieux répliquer du bout de sa bouche rosée.
"Je crains que peu de gens ne soit épargnés et je le déplore. Cela dit, j'ai ouï dire que le temps, s'il ne guérit pas, atténue la peine et mène à de nouveaux chemins. Je ne doute pas que vous trouviez le vôtre, Majesté."
Le visage se mit à rire lorsque l'homme commenta qu'elle demeurait trop réservée à son goût. Voilà qui changeait de sa mère ! L'amusement prenant place dans les prunelles bleutés, la jeune femme dodelina de la tête pendant un court instant.
"Si je parle trop peu et que vous êtes tout aussi avare de mots que vous le prétendez, je trouve étonnant que nous conversions si simplement, votre Grâce, souligna Elinor, une étincelle scintillante au coeur de ses prunelles. Mais je m'estime heureuse de ce succès."
Quant aux derniers mots soufflés par le visage brun, Elinor sembla incapable de les accueillir autrement que par le biais de ses yeux écarquillés. L'Océan de confusion défila dans son regard, puis aux recoins de ses lèvres, avant qu'elle n'égaye de nouveau. La révérence fut l'étape suivante et les deux partenaires se quittaient.
"Majesté.'
Là, au milieu des demoiselles, la jeune femme se fit une place. Elle trouva une comparse du moment pour danser et virevolter tandis que son esprit demeurait focalisé sur le moindre de ses pas. Si elle s'était aventurée au-delà de cette simple réflexion, peut-être aurait-elle davantage rougi, mais Elinor s'y refusait. Elle ne deviendrait pas vermeille, non. A défaut de s'empourprer comme une gamine, elle sourirait, encore et encore, jusqu'à ce que la nuit prenne fin. Même si ce n'était qu'une poignée de seconde dans sa vie entière, cela lui avait suffit pour chasser le reste. Un rayon de soleil, c'était tout ce dont elle avait besoin.
résumé:
Elinor termine sa danse avec @Octavian de Hanovre avant de se séparer pour trouver une cavalière pour la prochaine danse.
Whistledown
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Whistledown
PARTIE DE CHASSE ROYALE Le Bal vous se termine
La musique se fane au fur et à mesure que les pieds s'usent. Tandis que la fête décline peu à peu vers un sommeil prometteur, hôtes et convives partagent un dernier instant. Les verres se vident et les conversations s'évaporent à leur tour dans une mélodie agréable. On ne pense plus à rien, excepté l'envie de rejoindre un lit dont le confort sera le bienvenu. Une à une, les familles regagnent leur chambre dans un concert de froissement de jupes et de vestons. Il n'est plus temps de se distraire, mais de s'alanguir. Certains rejoignent leurs draps avec calme, d'autres claironnent plus gaiement sous la lune, une attitude que l'on corrige d'un regard assassin.
Demain, il sera temps de faire ses bagages. Les malles s'entasseront dans les voitures, car il sera temps de partir. Les mois plus frais s'annoncent de la sorte. Bien sûr, certains aimeraient ne pas se séparer de leurs amis, mais on ne peut lutter face à cette séparation qui a lieu chaque année. Aussi, dormez bien ! Le voyage de retour sera long, pour ne pas dire triste... Toutefois, après cette absence, ce calme, la saison sera de retour et vous pourrez tous danser à nouveau.
(
Miss Macartney avait toujours apprécié être le centre de l'attention de ceux l'entourant, se distinguer des jeunes filles de son âge par son esprit et sa beauté indéniable et ainsi prendre la tête de chacune des amitiés qu'elle voit pu former. Ce n'était pas en soit un mauvais trait, elle était une amie de bonne discussion et avait si souvent aidé sa plus proche amie que nul ne pouvait douter de l'affection qu'elle lui portait. Comprenant très jeune son rôle au sein de la société du Cap, Miss Macartney avait offert guidance et protection pour celles qui n'étaient que filles de marchant ou noble ruinés, n'exigeant en échange seulement que d'être accepté de tous comme celle à qui rendre honneur. 
Enchantée de danser avec vous… Heureusement qu’Ulysse avait appris à se tenir, parce qu’il aurait bien rit sinon. Peut-être cependant, que cela était vrai, il ne savait après tout pas lire dans l’esprit des gens. Pour autant, Lady Sutton ne sentait-elle pas elle-même la pression de laquelle, ils étaient tous les deux victimes ? Si, elle avait pu, la duchesse du Gloucester aurait prit la jeune femme par la main, pour venir directement lui poser dans la sienne. De cela, Nightingale n’était absolument pas dupe. Mais bon, il avait évité l’incident diplomatique en se déplaçant sous la menace latente. Prenant la main d’Apolline Sutton dans la sienne, l’ancien marin croisa le regard de Lady Seymour, non sans y laisser apparaître une pointe discrète de contrariété. L’homme n’aime pas être forcé à quoi que ce soit et surtout pas à danser, alors qu’il a des ecchymoses à cause de cette satanée chute de cheval ! « Tout le plaisir est pour moi, lady Sutton, comme toujours. » Prenant alors le chemin de la piste, il se reconcentre sur ce qu’il a à faire.
