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LA GARDEN PARTY DE PÂQUES-
Qui ne connaissent pas les fameuses Garden-Party de Pâques qu'organisait annuellement feu sa majesté la reine Charlotte ? En son honneur, la famille royale a décidé de perpétuer cette tradition ! Viendrez-vous nous rejoindre pour une chasse aux œufs ou une ballade en barque ? Venez Participer à la fête....
Emploi : Duc de Norfolk, Comte Maréchal d'Angleterre et 1er pair héréditaire de la chambre des Lords. En outre, sa famille est connue pour son élevage de chevaux.
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() / Dim 5 Fév - 13:24
Heathcliff Howard
2eme tour.
Partie de chasse royale.
« Tout en flattant l’encolure de sa monture, Emil écoute la réponse du Comte de Surrey, un vague sourire amusé sur les lèvres. Ah, comme l’autre homme avait raison. Il était logique de douter du programme des réjouissances, lorsqu’il y avait autant de mères et de débutantes dans un évènement, ainsi que de parti encore célibataire – lui compris-. « Oh, je doute que son Altesse ait prévu de nous faire courir, pauvres célibataires que nous sommes, poursuivit par la horde de mères et de filles. En vérité, je pense qu’aucune dame n’a été conviée par son Altesse à nous suivre. Ce sera donc une journée de chasse entre hommes. Et croyez-moi, j’en suis particulièrement aise. » Les yeux bleus de Norfolk se pose alors sur la salle où les gens se pressent encore. « Je pense que vous n’êtes pas le seul. Mais il y aura assez de chasseur aguerrit pour vous aiguiller le moment venu. » Lui-même était assez bon chasseur, pratiquant cela depuis ses jeunes années.
Finalement, le duo se transforme lentement en trio, puis en quatuor avant de finir en quintuor. « Ah, revoici mon bon cousin ! Tout va bien, Graham ? » Après cela, Emil reste un instant spectateur, se complaisant à passer ses doigts dans les crins de son étalon, pour défaire des nœuds imaginaires qui pourraient s’y trouver. « Lord Percy, c’est un plaisir de rencontrer enfin le fiancé de cette chère, très chère, lady Arielle. » Lance-t-il au Comte de Northumberland. « Lord St. John. Disons surtout que ce ne sont pas tant les affamés qui m’effraient. » Ironise-t-il alors. « Oh ça pour sûr, les commérages iront bon train. Et nous autres célibataires auront une place de choix : Norfolk, Surrey et Graham ont boudé le petit-déjeuner pour échapper aux mères et leurs débutantes de filles. Ah, messieurs, je vous envie le mariage et les fiançailles.» Lance-t-il sur un humour quelque peu caustique, car après tout, rien n’est jamais parfait même dans le mariage.
Emil rit de bon cœur aux paroles de William, ne quittant jamais la présence réconfortante de son protéger contre son épaule. « Et bien figurez-vous, mon cher Comte de Surrey, que je préfère passé ma vie sur un cheval, que les pieds sur terre. Mais je suppose que venant de quelqu’un qui élève ces mêmes animaux avec passion, cela ne vous surprend pas. » Dit-il un sourire des plus malicieux. « Connaître personnellement le Prince... Voici qui est présomptueux, je pense que personne ne le connait réellement personnellement, mise à part sa propre famille. Cela dit, je pense que vous pouvez compter sur lui, pour ouvrir plusieurs bonnes bouteilles, si la chasse est bonne. Pour autant, attendez-vous à devoir subir le plus long dîner mondain aristocratique de votre vie, mon cher. Et quand je vois le monde convié... Les heures seront très sombres. »
Out on the wily, windy moors. We'd roll and fall in green. You had a temper like my jealousy. Too hot, too greedy. How could you leave me when I needed to possess you? I hated you, I loved you, too
Octavian de Hanovre
Prince
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() / Dim 5 Fév - 15:47
Octavian de Hanovre
Partie de chasse royale
1er tour.
Octavian ne doutait pas, qu’il était difficile pour la pupille de la reine, de se voir priver de son bon plaisir et de la compagnie des êtres qu’elle appréciait tant. Surtout à quelques mois de son futur mariage. Pour autant, tout prince qu’il soit, il ne pouvait pas plus désobéir à l’ordre de sa grand-mère, qu’elle ne le pouvait. Et cela, Lyana le savait aussi. Mais peut-être était-ce aussi là le vœux de la reine, que sa chère pupille, avant que ne soit acté son mariage, puisse profiter de l’évènement, pour s’ouvrir au monde et se faire quelques amies. Car après tout, une fois mariée, elle ne pourrait pas toujours se cacher derrière lui, ou derrière Wilhelm. Et ce même si, il comprenait le désarroi de Lyana. Alors, le Duc d’York s’approcha de la jeune femme, posa ses deux mains sur ses bras couverts par son vêtement, tout en plongeant ses prunelles sombres dans les siennes.
« Tout le monde ne te prend pas pour La Muette, Lyana. » Lui dit-il. « Tout le monde n’est pas étroit d’esprit et je suis certains, que parmi toutes ces jeunes femmes et mères, il y en a qui sont aussi perdues que toi. Trouve les et ensemble, affrontez le monde. Tu es plus forte et plus courageuse, que tu ne le penses. Tu n’as pas toujours besoin de te cacher derrière nous. Tu es Lyana Clayton, pupille de la reine et la sœur, que je n’ai jamais eu. Alors, va te changer, s’il te plait et ébloui moi ce monde. » Puis, la relâchant, il lui use de ses mains pour lui dire, dans le langage qu’ils ont inventés, qu’il l’aime de ton son cœur. « D’ailleurs, toi qui aime la mixité des gens, il y a une jeune femme mexicaine. Je pense que tu devrais aller à sa rencontre. Vous avez un peu la même peau. » Il lui offre un sourire taquin et malicieux, avant de la laisser repartir se changer.
Si fait, le Duc d’York reprend son aspect le plus royal pour retourner à la réception et retrouver son cousin et le monde qu’il avait ainsi abandonné pour gérer sa tornade. « J’espère que tu as suffisamment manger, Wilhelm ? » Demande-t-il au Prussien en reprenant sa tasse de thé abandonné plus tôt et en observant les autres convives. « Vu le monde que nous avons à nourrir ce soir, il va nous falloir débusquer de belles bêtes. » Ironise-t-il, sans feindre sa hâte de se lancer dans la chasse. « Il me semble d'ailleurs, que certains de ces messieurs, sont encore plus pressés que nous. » Dit-il en pointant l'extérieur d'un geste du menton.
Une fois prête, je remercie Joséphine avant qu’Arielle nous rejoigne. Nous partons en direction de la grande salle où se trouve la table pour le petit déjeuner. Il y a déjà de nombreuses personnes et je remarque quelques visages qui me sont familiers. J’offre quelques sourires aux personnes qui passent près de nous tout en dégustant tranquillement le petit déjeuner qu’on nous déposé. J’espère que nous aurons l’occasion de visiter les jardins dans la journée car ils semblent vraiment somptueux. - Vous avez raison, ce qui est bien dommage, j’apprécie danser. Ce n’est que partie remise j’imagine. J’espère que la chasse se déroulera convenablement et qu’il n’y aura pas de blessés.
Joséphine en profite pour nous demander si nous souhaitons être accompagnées durant notre visite et je me tourne vers elle dans un sourire.
- Nous te tiendrons au courant si tu souhaites nous accompagner. Profitez bien de votre petit déjeuner Joséphine.
Après tout, elle mérite une pause également après le travail que je lui ai demandé ce matin. Et tandis que nous déjeunions tranquillement, Lady Seymour interpelle Lord Nightingale qui passe derrière nous. Le pauvre homme et quand Lady Seymour a décidé quelque chose, il est compliqué de l’arrêter. Lady Arielle m’interpelle alors en me disant que sa mère semble avoir des projets pour moi en essayant de me faire fiancer à cet homme. Je réponds alors à mon amie en chuchotant.
- Le pauvre homme, il n’a rien demandé. Pourquoi doit-on le forcer, il n’a sans doute pas envie de se fiancer avec moi.
Et c’est compréhensible après tout je ne suis plus aussi jeune que certaines demoiselles. Et puis il a tout de même le droit de choisir avec qui il veut se fiancer. L’homme finit par s’arrêter avant de répondre à Lady Seymour et je lui offre un petit sourire. Lord Nightingale se trouve alors à notre hauteur avant de nous saluer
- Bonjour à vous également Lord Nightingale. J’espère que vous avez bien dormi.
Il félicite mon amie pour ses fiançailles tandis qu’il vient s’installer à mes côtés et je me décale légèrement afin de lui faire un peu de place.
- A vrai dire je ne sais pas trop. Nous allons sans doute nous balader dans les jardins et nous verrons les activités prévues pour la journée. J’espère néanmoins qu’il y aura un bal mais comme me disait mon amie, j’imagine que les hommes seront fatigués de leur journée, ce qui est compréhensible. Et vous lord Nightingale, allez-vous chasser aujourd’hui ?
Alistair arriva auprès des deux hommes, se présentant à celui qu’il ne connaissait point. « Lord Graham, Marquis de Graham et de Buchanan. » Un titre associé au Duché de Montrose, pour qui avait bien révisé ses leçons. « Enchanté Lord Lightwood, effectivement je connais ce bon vieux Norfolk, fit le Marquis avec affection pour son cousin, tout en se contentant d'une moue pour répondre à sa question, avant de saluer les arrivants. Le monde attirait le monde, et un groupe d’hommes avait sans doute de quoi faire rêver vu la situation. Lord Percy. Lord St-John. »
La mention de Lady Arielle lui fit penser qu’il devait aller saluer sa cousine Ellis Seymour avant de se faire fustiger par celle-ci, ainsi que toute sa famille mais cela attendrait. Pour rien au monde il ne retournerait à l’intérieur, il avait eu sa dose d’émotions pour la matinée.
« Également, Lightwood, mais espérons que certaines se languiront tout de même de notre absence. Qui sait. » Pas sa filleule en tout cas. Il la voyait un peu plus loin, elle avait quitté les personnes qu’il lui avait présentées, évidemment, et discutait avec une dame plus âgée dans une étrange tenue. L’écossait ne put s’empêcher de lever les yeux au ciel, ce qui ne passa pas inaperçu et il regarda alors son cousin. La tournure de la phrase du Comte était un peu étrange, mais il ne releva point.
« Évidemment. Ne sont-elles pas la source de tous nos tourments après tout ? Saviez-vous que les Fitzroy sont mes cousins, Norfolk ? Leur dernière fille, Lady Emilia est ma filleule et j’aurais le plaisir de l’accompagner pour sa première saison… Et espérons sa dernière… » Alistair fit semblant d’en rire alors qu'il se serait bien passé de cette charge supplémentaire. Il ne pouvait en dire plus, il n’allait pas descendre Emilia devant eux. Même si jamais il ne songerait à suggérer la possibilité d'un mariage entre Norfolk et elle.
La conversation se poursuivit sur les commérages et Alistair n’en dit rien, même s’il s’amusa de celui inventé par son cousin avant de réaliser qu’il formait effectivement une belle broche : deux célibataires, un homme marié, un fiancé… Et un veuf. Tout en s’imaginant que des hommes devaient bien l’envier, lui aussi. Des hommes fous. Puis ils parlèrent du Prince, dont il ne pouvait pas plus prétendre être un proche même s’ils avaient le même âge et s’étaient croisés maintes fois.
« Au pire des cas, croyez bien qu’un écossais a toujours une bouteille de whisky à disposition. Sur ce, où est donc cette magnifique jument que vous m’avez confiée, mon cher ? Ah, la voilà ! Belle Athéna ! En voilà une qui ne pourrait me décevoir. » fit-il en s’approchant d'une jument alezane, puis caressant son chanfrein. Les chevaux étaient des compagnons fidèles et fiables, fougueux parfois, néanmoins prévisibles et bien moins compliqués que les femmes, pour sûr.
Alors que le temps défile, les derniers arrivants prennent place à table, se pressant pour ne pas être plus en retard que ce qu’ils ne sont déjà. Wilhelm les regarde et les salue, un sourire aux lèvres qui veut dire tout et n’importe quoi à la fois. Il se doit d’être courtois et droit, il se doit de montrer une bonne image de sa famille, mais au fond de lui, il a une envie folle de rire. Il sait que si Octavian voit des retardataires il ne se gênera pas pour les laisser avec les femmes pour le reste de la journée, et sans doute qu’eux le savent aussi puisqu’ils se pressent de la sorte. Ce qui est très drôle.
Un visage connu se rapproche de lui, et un sourire poli et une révérence plus tard il se souvient. Cet homme est une connaissance de sa famille, depuis bien des années la Prusse entretient de bonnes relations commerciales avec les Smith-Stanley, et lui-même compte bien garder cette bonne entente à l’avenir. Il tente de ne pas paraitre surpris qu’il soit au courant de sa maladie, car très peu de gens à Londres le sont. Mais aux vues des relations qu’il entretient avec les Smith-Stanley, son frère a dû lâcher le morceau au court d’une conversation. Il lui présente alors sa jeune sœur Emma, qu’il n’a encore jamais vue. Très peu de femmes faisaient partie des conversations commerciales du temps de son père. - Et pour cause, on me garde précieusement sous clé jusqu'à mon entrée dans le monde à la saison prochaine. Je suis enchantée de faire votre connaissance votre Altesse.
« Je vous remercie de votre sollicitude mon ami. »
La demoiselle semble faire un trait d’humour à son frère qui semble plutôt gêné de voir qu’elle ait pu parler de cette façon devant le prince. Wilhelm pose alors son regard sur la demoiselle, une lueur espiègle dans le regard.
« Il en va du devoir de tout grand-frère que de veiller sur ses frères et sœurs. C’est un plaisir de voir que les Smith-Stanley savent garder l’humour comme traits de famille. »
Octavian ne tarde pas à revenir et se réinstalle à côté de lui. Wilhelm finit sa tasse de thé et se tourne vers son cousin. Il semble impatient d’aller chasser, tout autant que lui. Néanmoins, Wilhelm se demande comment s’est passée l’entrevue avec Lyana.
« J’ai pris assez de force pour aller débusquer la fôret entière ! As-tu réussi à calmer la petite brise que nous aimons tant ? »
Il avale une dernière bouchée de sa tartine, et se redresse en s’excusant aux invités d’Octavian qui étaient venus le saluer. Effectivement, dehors certains sont déjà prêts et impatients de partir. Et il sait que plus ils partent tard, et ils auront du mal à trouver de belles bêtes.
« Bien ! La chasse sourit à ceux qui se lèvent tôt !»
Pando
RESUME:
Spoiler:
Wilhelm rencontre @Emma Smith-Stanley et est ravi de voir qu'elle fait de l'humour. Il est tout de même surpris qu'ils soient au courant pour sa maladie, car très peu le savent, il pense que cela vient de son frère. @Octavian de Hanovre revient et les deux hommes semblent impatients d'aller chasser.
Main tendue, j'observe la jeune femme hésiter un court instant avant de m'offrir d'un geste gracieux sa main que je saisi quant à moi sans aucune hésitation...
Emilia Fitzroy, ravie de vous rencontrer.
Son ton sur et posé contraste avec son comportement précédent. Je m'attendais à une voix peu sure d’où transpirerait le soulagement, mais il n'en était rien. S'excusant avec panache et courtoisie, celle ci prend congé cherchant du regard le Marquis. Souriant de plus belle, je crois comprendre ce revirement de comportement, chose qui si je ne me trompe pas dévoilait un pan de la personnalité de la jeune femme fort intéressant. Portant nos pas au loin de ces demoiselles, nous nous arrêtons au coin de la terrasse dans un endroit ombragé délaissé quelques secondes plus tôt par un groupe de messieurs. Là prenant une grande inspirant comme libérée d'une charge lourde, l'inconnue lance en riant...
Vous me sortez d’une situation épineuse Lady St John… Je vous en remercie, un peu plus et je finissais sur le bûcher dès le premier jour !
Je ne m'étais donc pas tromper quant au langage corporel de la jeune femme. Mon intervention faisait elle de moi son héroïne ou avais je fait preuve d'ingérence et aurait il mieux fallu que je la laisse trouver un moyen ingénieux et classieux de se sortir de ces sables mouvants ? Je crois bien que nous ne le saurons jamais, alors autant rendre agréable et enrichissante cette rencontre.
" Si j'ai pu vous venir en aide d'une quelconque manière, vous m'en voyez bien aise. Je crains à mon corps défendant détenir une âme chevaleresque."
Hum... esmée. Tu sais, sens l'inclinaison vers laquelle tu penches. Contiens donc ce coté fauve qui te caractérise si bien.
C’est une très jolie demeure n’est-ce pas ? Si l’on oublie tous ces faux sourires qui l'occupent depuis la veille...
Sur-élevant un sourcil sous l'audace de ses propos, je me fends d'un large sourire avant d'éclater de rire sous tant de spontanéité. Lançant discrètement un regard par dessus son épaule que je pose sur un couple l'observant manquant visiblement de discrétion. je m'approche en biais de sa personne et lui glisse discrètement sur le ton de la confidence...
" Je crois très chère que nous devrions nous éloigner quelques peu des oreilles indiscrètes et des regards scrutateurs. Et nous trouver un espace plus propice à l'énonciation de telles vérités. Ce couple derrière vous n'a de cesse de vous observer."
Large sourire en lèvres, ton transpirant la malice...
"Vos chaperons manquent cruellement de discrétion. Si vous le désirez, nous pouvons profiter de l'arrivée de ce groupe de demoiselles, nous éclipser et échapper à leur vigilance, mais il faut faire vite."
résumé:
@Emilia Fitzroy choisi de prendre la perche tendue par esmée et les deux femmes s'éloignent du groupe. Les voila au coin de la terrasse à l'ombre à échanger. Mais les propos bien trop francs d'emilia conduisent esmée à l'inviter à s'écarter afin que ceux ci ne lui portent pas préjudice pour le reste de la journée, mais également pour échapper à la surveillance oppressante de ses chaperons.
Les mains de Octavian sur elle eurent l'effet instantané de l'apaiser autant que de la bouleverser. Sa compassion exacerbait les émotions que Lyana ressentait et poussèrent quelques larmes à ses yeux si expressifs. Elle avait envie de croire à ses mots comme elle croyait toujours tout ce qui sortait de sa bouche depuis qu'ils étaient enfant, mais elle savait aussi ce qu'elle ressentait et expérimentait lors des mondanités. Certes les gens venaient vers elle dès lors qu'elle accompagnait la Reine ou un des princes. On la considérait le temps des courtoisies protocolaires car elle était d'un rang important mais ensuite, on se détournait vite d'elle pour avoir des conversations en compagnies de personnes pouvaient actuellement parler. Le bal qui avait suivi le drame de l'incendie en avait été une vive illustration. Pas un seul convive ne lui avait adressé la parole à l'exception de Karl et Wil.
Alors oui, elle se cachait derrière eux. Car avec eux, elle se sentait préservée et protégée des médisances et des jugements. Octavian parvint malgré tout à lui remettre du baume au cœur en lui rappelant qui elle était et ramena un joli sourire à ses lèvres. Il avait raison elle n'avait à baisser la tête devant personne. Elle était la pupille de Sa Majesté et c'était là l'occasion de voir comment elle s'en sortirait seule sans eux en étant l'unique figure royale le temps de la chasse. Son esprit de compétition et son appétit des défis reprenaient le dessus ! Lya se serra affectueusement contre Octavian et déposa un baiser sur sa joue avant de filer se changer. Elle opta pour une robe coupée dans un taffetas d'un oranger changeant qui mettaient divinement sa peau caramel en valeur et troqua ses bottes pour des chaussures plus élégantes.
Quelques minutes plus tard, Lya apparut telle une vision dans le parc, les rayons du soleil faisant tant flamboyer sa robe qu'on ne voyait plus qu'elle. La pupille s'avança avec assurance au milieu des convives, saluant d'un mouvement de tête poli tous ceux lui adressant leurs hommages avant que ses yeux ne se posent sur une vision qui la hérissa toute entière. PUIS QUOI ENCORE ! Si ELLE était privée de chasse, pour qui se prenait donc cette pimbêche ? Se croyait-elle au dessus de tout le monde pour décider de participer quand les dames n'étaient pas conviées ? La chasse était réservée aux hommes, Octavian avait été clair lors de son invitation. Et si de par son rang Lyana était en droit - ou du moins excusée - de criser afin d'y participer, la liberté que prenait cette femme en portant ouvertement sa tenue de chasse au milieu de toutes les autres dames en tenue de jardin était tout bonnement un manque de respect considérable envers son cousin.
Lyana s'immisça entre les deux femmes la tête haute et le regard empli de jugement alors qu'elle le posait avec une désapprobation évidente sur la tenue de la Vicomtesse. Elle attendait visiblement une explication.
Résumé:
Lyana retrouve son sourire et son assurance après sa conversation avec @Octavian de Hanovre. Elle va se changer et passe une flamboyante robe orangée avant de rejoindre le parc. Elle aperçoit @Esmée St. John avec @Emilia Fitzroy et se scandalise de l'audace de la Vicomtesse quand on vient de lui interdire à elle, pupille de la Reine, de joindre ces messieurs pour la chasse.
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Whistledown
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() / Dim 5 Fév - 21:13
Whistledown
PARTIE DE CHASSE ROYALE 3ème tour
La cloche au sommet du dôme de Howard Castle raisonne à travers le domaine, annonçant ainsi la fin du petit déjeuner et le début officiel de cette journée qui s'annonce fort riche ! Sans précipitation, les derniers gourmands terminent leurs assiettes, vident les dernières tasses de thé encore fumantes puis quittent la vaste salle à manger afin de rejoindre les extérieurs de la demeure royale où tout le monde se rassemble désormais.
Au loin, les domestiques s'avancent tirés par une horde de chiens enjoués aux aboiements impatients et aux queues battantes qui tentent de se mêler aux convives à mesure qu'ils approchent ! Les chevaux prêtés pour la chasse à ceux venus sans montures sont détachés de leurs anneaux et également amenés par quelques garçons d'écuries à leur cavalier pour la matinée ! Tous sont de race pur sang anglaise, hôte royal oblige !
Messieurs, il est temps d'ajuster les sangles et de vérifier les bridons de vos chevaux avant de vous mettre en selle sous les regards de ces dames qui se font spectatrices du départ approchant de la chasse ! Un honneur qu'il reviendra au Prince de sonner, une fois que tout le monde sera prêt.
Mesdemoiselles et mesdames, chers domestiques accompagnants, après quelques caresses aux chiens pour les plus téméraires et les moins soucieuses de voir leur toilette salie ou abimée, pressez vous autour des cavaliers sur le départ afin de pouvoir être aux premières loges lorsque la corne retentira !
N'est-ce pas follement affriolant, tous ces messieurs majestueusement perchés sur ces élégants et puissants destriers...?
Aide : * Les messieurs : les chevaux sont à présent avec leurs cavaliers respectifs. Vous vérifiez vos harnachement tout en conversant avec qui vous le souhaitez. * Les dames : vous vous rapprochez des messieurs, leurs chevaux et des chiens afin de regarder le départ approchant de la chasse. Les conversations continuent. * Les domestiques : vous accompagnez votre maître ou votre maîtresse. Vous pouvez vous adressez à lui/elle bien entendu tout en observant la retenue obligée par votre position.
A NOTER : * Le départ sera sonné au prochain tour. Vous pouvez donc prendre votre temps pour vos actions. Vous n'avez pas à sauter à cheval dès votre premier post et pouvez continuer vos échanges ^^
Rappel des règles : * les posts ne doivent pas dépasser les 500 mots * vous pouvez poster plusieurs fois en respectant néanmoins le tour de chacun. Attendez 2 ou 3 posts avant de participer à nouveau afin de laisser sa place à tout le monde ^^ * postez un petit résumé de votre action après vos post et pensez à tag les personnes avec qui vous interagissez.
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() / Dim 5 Fév - 22:18
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PARTIE DE CHASSE ROYALE 2nd tour
L'homme est accepté auprès des dames. Wolf les remercie d'un signe de tête habillé d'un sourire. Il attend un instant, le regard oscillant entre les ladies. Ses mirettes se froncent lorsque Aodh découvre la mine de Lady Lewes qui semble gêné. Le coeur battant, voilà le Loup perdu et confus. Ne pensant pas l'offenser, le voilà dérouté. Il déglutit et se sent bien idiot. La tête penche sur un côté, mais la jeune femme enchaine si vite que le baron n'a point le temps de bredouiller son excuse. Il lève son verre cependant à ce toast qui lui va totalement.
Cependant, une femme attire le regard d'Aodh. Cette dernière jauge sans vergogne son autre interlocutrice et lui-même. C'est avec un museau légèrement dressé qui toise la dame qui enlève miss Lewes de sa place ainsi que de son petit déjeuner. Les tutrices, mères et autres vautours de la bonne place pour leur fille rendaient le Lord nerveux. Refourguer à des hommes dont elles n'ont aucune connaissance que le rang de ce dernier et l'ampleur de la réputation.
Dans son coeur et dans son âme, reviennent les mots et les maux de Georgiana. Douce lueur dans les ténèbres de Wolf. Il soupire alors et revient à la seconde lady qui se prête à son intrusion. Aodh lui accorde un large sourire. "- Enchanté de vous rencontrer Miss Hammond." Un honneur ? Lui ? Il laisse échapper un petit rictus moqueur à sa propre attention. "- Je suis l'honoré." Il retorque. "- Aodh Wolf." Il s'installe, prend place auprès de la lady dont le léger accent chante à son oreille. Il s'accorde une gorgée de breuvage puis une bouchée de patisserie.
L'enthousiasme de la jeune femme l'atteint alors, lui apportant une bouffée d'air frais. L'intérêt qu'elle lui porte le rassure, lui qui ne se sent clairement pas à sa place, non méritant et clairement pas prêt pour cela. "- Je vais vous faire une confidence... Plus les heures avancent moins je suis convaincu par cette sortie..." Il devient pensif et lorsque l'heure de la fin du petit déjeuner sonne, le myocarde de l'homme dérate. La jambe s'agite nerveusement et tapote le sol. "- Et vous ? qu'allez vous faire en cette belle journée ?"
Spoiler:
Aodh se sent idiot d'avoir mis mal à l'aise @Abelia Lewes et retient de s'excuser plus tard car interrompu par une Lady qui se montre très hautaine à leur égard. Il juge également. Wai. Lel. Il revient cependant à son autre interlocutrice @Luisa Hammond. Il se laisse bien volontier emmener par sa bonne humeur et sa bienveillance à son égard.
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() / Lun 6 Fév - 8:31
Invité
PARTIE DE CHASSE ROYALE
Le Prince s’excusa, et la douce Abélia en fit de même.
« Je vous en prie, votre Altesse. » Tandis que le deuxième Prince les salua juste. Les Lewes reculèrent et furent pris à partie par les Winslow, une famille que la douairière semblait connaître. Il faut dire qu’elle connaissait tout le monde !
« Enchantée Lady Winslow ! Le Warwickshire, ce n’est pas trop loin de chez nous ça ! » fit la joviale Harriet Lewes. « Vous avez là quatre beaux et charmants fils, félicitations ! » Harriet parlait comme s’ils avaient eu quatre ans, mais il ne fallait pas lui en valoir. Les Lewes formaient un drôle de couple de joyeux lurons, bien en chair, et pas très au fait des règles de la bonne société mais pas méchants pour un sous. « Abélia est notre seule enfant. »
« Enchantée Lady Winslow. J’espère que la chasse sera bonne pour vous mylords. » Fit alors Abélia, pour ne pas se retrouver trop embarrassée par sa propre mère. De son côté Lord Lewes ne semblait pas tenir en place, même s’il souriait aux Winslow, il tournait souvent la tête pour regarder autour d’eux. Et d’ailleurs la cloche sonna.
« C’est l’heure ! Ma première chasse royale ! » Fit-il gaiement. Un mouvement commença à s’amorcer en direction de la terrasse et l’on y voyait d’ailleurs les premiers cavaliers monter en selle. Abélia fouilla un instant la salle du regard à la recherche d’Emma, d’Ulysse ou d’une autre connaissance, mais ne trouva personne. Quant à la douairière, elle les avait laissé un instant pour aller saluer quelques connaissances.
« J’aperçois Lord Graham ! Venez mes chères ! »
« Lady Winslow, au plaisir de vous recroiser dans les jardins. Lords Winslow, j’espère que vous pourrez veiller sur mon père pendant la chasse, c’est sa première. » fit aussi aimablement que possible la jeune femme, en espérant que l’excitation de son père ne les ait pas froissé.
Le trio se dirigea vers le lord écossais, monté sur sa monture rouge.
« Lord Graham, comment allez vous ? Voici notre fille, Abélia. Oh, et Lord Lightwood, quel plaisir de vous recroiser ! » « Lord Lewes, Lady Lewes. Miss Abélia, enchantée d’enfin faire votre connaissance, vos parents ne parlent que de vous. Vôtre Grâce, connaissiez-vous Lord et Lady Lewes, Comte et Comtesse de Lincoln ? J’ai eu l’occasion de les croiser plusieurs fois à Londres, ce sont eux qui fournissent nos cuisines en délicieuses épices. Voici Emil d’Aetheling, Duc de Norfolk, Lord Percy, Comte de Northumberland et Lord St John, Vicomte de St John. »
Voilà que les présentations étaient faites. Les Lewes saluèrent tour à tour les différents Lords, Abélia offrit une révérence à chacun et puis accueillit entre ses doigts le nez de la jument du Marquis, qu’elle caressa doucement.
« Mylords, que votre journée soit bonne. » « Lord Lewes, votre monture. » fit un valet en apportant un cheval gris.
Lord Lewes se hissa en selle avec l’aide du valet, tant il était pataud.
Résumé : Abélia excuse @Octavian de Hanovre, puis laisse @Wilhelm de Hohenzollern à son déjeuner. Les Lewes discutent un peu avec la famille de @Jonathan Winslow puis la cloche sonne et Lord Lewes aperçoit Alistair Graham sur sa monture. Le trio file donc à l'extérieur à la rencontre de ce dernier, ainsi que de @Emil d'Aetheling@William Lightwood@Aidan Percy@Laszlo St. Johnune fois qu'ils sont en selle. Alistair fait les présentations puis un valet amène son cheval à Lord Lewes qui monte en selle avec bien peu de grâce. Lady Pelham-Clinton est à l'intérieur avec quelques autres familles.
tenue:
Heathcliff Howard
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() / Lun 6 Fév - 9:25
Heathcliff Howard
3eme tour.
Partie de chasse royale.
Emil leva un sourcil circonspect à l’énoncé que lui fit son cousin, quant à sa prochaine saison dans le rôle de chaperon et de tuteur pour sa filleule. « Le moins qu’on puisse dire, Graham, c’est que votre entrain à la tâche est contagieux… » Une façon polie de dire que, connaissant l’écossais, il n’était nullement ravi de la tâche. Et ô combien il le comprenait, ayant lui-même la responsabilité de sa jeune sœur pour une saison de plus. « Je l’espère donc pour vous. » Pour le reste, Norfolk ne connaissait pas vraiment les Fitzroy et n’avait pas l’oreille aux rumeurs. Un rire franc s’arracha de sa gorge à la mention du fait qu’il avait toujours au moins une bouteille de whisky avec lui. Oh cela pour sûr, il avait fait un sort à l’une d’elle la soirée précédente. « De l’excellent whisky devrait-on dire, mon bon cousin. Et je suis toujours plus que ravi que vous soyez si prompt à ouvrir ces bouteilles. Nul doute, que nous aurons l’occasion de nous retrouver entre gentlemen pour fêter la fin de la chasse. » Son sourire s’attendrit néanmoins, lorsqu’Alistair complimenta la jument qu’il lui avait aimablement prêter. « Ah cela, s’il en est une qui ne peut décevoir, mon cher Alistair, c’est bien Athéna. »
La cloche retentit alors au sommet d’Howard Castle et il n’en faut guère plus, pour que Norfolk monte en selle avec la souplesse et la vivacité d’un cheval piqué par une mouche. Après tout, il l’avait précédemment dit au Comte de Surrey, s’il pouvait ne jamais en descendre d’un cheval, il y resterait greffer. « Mieux vaut être à cheval qu’au sol pour les minutes qui viennent. » Plaisante-t-il tandis qu’il ajuste ses étriers, en observant la foule qui commence à sortir de la salle à manger et inonde ainsi la terrasse. Si fait, il récupère son chapeau, qu’il pose sur ses boucles brunes, ajustant sa prise sur ses rênes.
Arrivent alors, des connaissances à son cousin et au Comte de Surrey, auxquels d’Aetheling offre les salutations d’usage depuis le haut de son cheval. « Je n’avais pas encore eu ce plaisir, mon cher cousin. » Dit-il avec un sourire aimable. « Lord et Lady Lewes. Miss Abelia. Je suis enchanté de vous rencontrer. Il faudra donc que je viennes plus souvent dîner chez vous, Graham, ou que je discute plus avant avec Lord Lewes afin d’avoir les mêmes privilèges que vous pour mes cuisines. » Emil observe ensuite le nouveau Comte se mettre à cheval avec assez peu d’aisance, mais ne s’en offusque pas. Il jette un regard à William, par lequel il lui fait comprendre qu’effectivement, il ne sera pas le seul novice de cette chasse. « Au fait, avons-nous un médecin ? Nous ne savons pas après tout, si nous n’allons pas en avoir besoin. La chasse est parfois dangereuse. » Dit-il cette fois fort concerné par cette éventualité.
Résumé:
Continuant sa conversation avec @Alistair Graham , @William Lightwood , @Aidan Percy et @Laszlo St. John, Emil saute en selle avec promptitude une fois la cloche retentissante. Il fait alors la connaissance des Lewes ( @Abelia Lewes ) et s'enquière de la présence du corps médical vu le nombre de novice à cette chasse.
AVENGEDINCHAINS
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Out on the wily, windy moors. We'd roll and fall in green. You had a temper like my jealousy. Too hot, too greedy. How could you leave me when I needed to possess you? I hated you, I loved you, too
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() / Lun 6 Fév - 11:46
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PARTIE DE CHASSE ROYALE
« Je me consolerais donc en songeant à votre manque. » Juliet y allait doucement sur les mots, mais elle serait plus que ravie d’apprendre qu’il se sentirait misérable en son absence, ravie de provoquer des sentiments si négatifs chez autrui. Quelle vilaine elle était.
« Je ne pourrais le savoir, pas tant que je ne vous aurais pas vu faire de mes propres yeux. Alors en attendant cette fameuse chasse où je vous accompagnerai, laissez-moi imaginer. » Voilà qui promettait une très agréable sortie dans le Gloucestershire. Juliet était en plus certaine que Cordélia préfèrerait se porter malade et avec un peu de chance, ils arriveraient à semer sa chaperonne… Exquis. Bien plus que l’idée de passer la journée entourée de sottes et d’hystériques. Juliet pouffa.
« La présence de Lady Berkeley est ma seule consolation pour survivre à cette longue journée. J’ai hâte d’écouter tous les récents ragots qu’elle aura pu dégotter. » En parlant d’elle, la jolie blonde la chercha du regard et la trouva toujours en grande conversation avec le curé… Tiens donc. « Que pensez-vous qu’elle mijote avec le Père Howley d’ailleurs ? » Question totalement innocente, n'est-ce pas ?
Le petit déjeuner fut englouti avec grâce et appétit, et avec la meilleure compagnie qui soit (puisque Juliet décida d’ignorer complètement les Tilney et les Healey après les avoir salué). Et puis la cloche sonna juste à point, intimant à tout le monde de se lever.
« Puis-je vous accompagner jusqu’à votre monture, Mylord ? Pour vous souhaiter bonne chance et m’assurer que celle-ci ne soit point trop fougueuse et vous ramène à moi entier. »
Même si Juliet ne murmurait pas à l’oreille des chevaux. Elle n’était pas la grande amie des bêtes, montait à cheval par besoin et non par passion contrairement à sa sœur. Encore un point qui les différenciait. Quoiqu’un homme comme lui devait avoir une monture massive capable de porter deux personnes… Et c’était déjà une perspective bien plus passionnante.
Résumé : Juliet déjeune toujours avec @Aloïs Berkeley , elle a quelques pensées pour @Cordelia Blooming et observe un instant @Léopold Howley et Lady Berkeley. Puis la cloche sonne et elle propose à Aloïs de l'accompagner jusqu'à son cheval.
tenue:
Juliet porte une robe lavande avec un spencer plus foncé et une coiffe en extérieur.
Luisa Hammond
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() / Lun 6 Fév - 12:16
Luisa Hammond
Partie de chasse royale.
3ème tour.
Candide, joviale et surtout aussi douce et innocente qu’une fleur éclose au printemps, Luisa se plonge dans cette petite conversation avec ce Lord Wolf, dont elle fait promptement la connaissance. De façon sans doute peu conventionnelle, mais cela deviendrait sans aucun doute sa marque de fabrique, surtout après sa rencontre avec Lord Lightwood. La Mexicaine s’est levée ce matin avec la ferme intention de trouver du bon à ce monde et à l’Angleterre, même si… Eh bien même si, en regard du comportement de la lady qui leur enleva Miss Abelia, elle avait bien du mal. Pour autant, elle ne se laissa ni impressionné, ni démonté, préférant communiquer un peu de joie et d’enthousiasme. « Enchantée de même, Lord Wolf. » Pour les quelques leçons apprises, les noms enregistrés, elle faisait de son mieux.
L’inquiétude et l’appréhension de son voisin de table touche le cœur de la jeune femme, comprenant donc la pleine mesure de la nouveauté de tout cela pour lui également. « Plus les heures passent, monsieur, plus elle vous rapproche de la fin de cette journée. Dites-vous, que ce n’est qu’un mauvais moment à passer. » Et son sourire est sincèrement amical, gentil et bienveillant. « Je suis certaines, que vous vous en sortirez très bien. Après tout, vous aurez le mérite d’essayer et c’est, je pense, le plus important. » Bien trop gentille pour ce monde, Luisa, elle finira sans doute manger toute entière par ce monde qui ne l’apprécie pas réellement à sa juste valeur. « Quant à moi, je verrais ce que la journée me réserve. Mais j’essaierais surtout d’en profiter et d’y trouver, un peu de joie et de bonne compagnie. »
La cloche retentit alors et c’est un soulagement pour la jeune femme de devoir abandonné là, le reste de son thé. « Je vous accompagne aux chevaux ? » Demande-t-elle avec amabilité. « J’aime beaucoup ces animaux, je les trouve fascinant, autant qu’ils sont majestueux. Pardon, je parle sans doute de trop, mais j’aime faire de nouvelles connaissances. » Dit-elle légèrement contrite, mais toujours candide.
résumé:
Luisa discute avec @Aodh Wolf qu'elle tente de rassuré de son mieux, avant de lui proposer de l'accompagner aux chevaux.
Tenue:
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Nyx Healey
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() / Lun 6 Fév - 13:03
Nyx Healey
PARTIE DE CHASSE ROYALE 1er tour
La belle ne sait plus ou donner de la tête avec autant de monde autours d'elle, c'est pourquoi elle en restez au simple politesse avant de répondre au seul qu'elle connait réellement a savoir Mark, frère aîné de Neal elle a le luxe de le connaître, moins que son jeune frère mais quand même, il a toujours veiller sur elle lords de leur enfance prenant son rôle de grand frère a cœur et le transférant au besoin sur Naïlys. Le savoir fiancé a sa sœur ne change pas l'attachement qu'elle peut ressentir pour lui.
-" Une bonne nuit de sommeil fait du bien a chacun surtout après un si long voyage j'en conviens, si vous avez su trouvez facilement le sommeil j'en suis heureuse."
Elle n'en était pas convaincue mais elle ne le forcerait pas à parler, surtout qu'elle serait sans doute pas la confidente de premier choix, si la cause du manque de sommeil du médecin se trouvait être le mariage elle serait le fessier entre deux chaises.
-" Il y a des chanceux dans se monde, je n'arrive pas a traîner au lit le matin même si parfois je le souhaite."
Départ et arrivée s'enchaîne, la brunette essaye de garder le fil mais quand Neal s'assoit a ses côtés elle avoue volontiers que son attention n'est plus concentrée sur toute la tablée et ce malgré le petit manège de sa jeune sœur qui la fait sourire.
-" Ne vous en faites pas votre frère nous a tenue compagnie. C'est vraiment très remplis oui cela est un peu déroutant. Nous venons d'arrivez et d'être servie"
Et alors qu'elle entame son petit déjeuner Neal parle avec son frère, elle prend donc le temps d'une œillade envers Manoë afin de vérifier que celle-ci mange correctement. Finalement une nouvelle vague de départ arrive, Jacob quittant la table suivit de Mark.
-" Messieurs au plaisir de nous recroisez"
Alors que Naïlys allait se retourner vers Neal, la cloche retentit, il est l'heure de sortir rejoindre les chevaux.
-" Et bien il est temps d'allez assistez au départ de la chasse"
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() / Lun 6 Fév - 13:08
Aloïs Berkeley
Partie de chasse royale
Terminant son petit-déjeuner en compagnie de Juliet, Aloïs est tout absorbé par la présence solaire de la jeune femme. « Imaginez donc, Miss Blooming, je serais charmé d’être dans vos pensées durant toute cette journée. » Dit-il avec un sourire charmant et surtout charmeur, avant de rire à la confession que la présence de sa grand-mère est sa seule consolation. Drôle de consolation, mais il ne peut nier que les deux femmes s’entendent bien et sont surtout, très semblables en plusieurs points. Il tourna un moment ses yeux verts sur la douairière et le pasteur, avec qui elle avait l’air d’avoir une conversation absorbée. « Oh, probablement notre potentiel futur mariage. » Dit-il avec un sourcil levé, avant de replonger son attention sur Juliet. « Ainsi que les paris sur les mariages de la saison à venir. Rien ne saurait d’avantage captivé son attention. » Et rien ne saurait la tenir éloigné d’eux, si ce n’est ce genre de questions urgentes. La cloche sonnant, il en termine sa tasse de thé, avant de se lever de toute sa colossale stature et de tendre son bras à la jeune femme de ses pensées. « Il ne saurait en être autrement, ma chère. Votre sollicitude est un baume sur mon manque à venir. » Et jetant un dernier regard à sa grand-mère, il se dirige vers l’extérieur avec la demoiselle à son bras. Rejoignant ainsi calmement son pur-sang gris pommelé, au-delà des standards de sa race, mais idéal vu la sature de son cavalier.
Lady Berkeley, quant à elle, sirotait son thé à petites gorgées en écoutant le père Howley. « Oh j’ai bien entendu parler de cette fameuse union, mon père. La Duchesse étant après tout, une de mes plus précieuses amies en ce monde. Mais qui d’autres espérez-vous donc ? Vous me voyez ici très curieuse. » Curiosité étant après tout le moindre défaut de la douairière, qui en avait bien d’autres. Bien sûre, elle n’évoquerait sous aucun prétexte, le mariage du marquis de BudeHaven, sachant pertinemment que cela avait meurtri l’homme de foi. Quelque peu mouchée par le pasteur, Adélaïde joue le faux outrage. « Mon père, il n’en saurait être autrement, mais j’ai d’excellente raison de croire, que mon Aloïs est décidé. Qui ? Mais jugez donc par vous-même, mon cher. » Dit-elle en désignant d’un grâcieux signe du menton, la jeune Blooming et son colossale petit-fils. « Ma digne héritière, mon père, je puis vous l’assurer. » Conclu-t-elle avec autant de malice, que d’humour et une pointe de fierté. Et la cloche sonne alors que la dame fini son repas. « Bien, il est temps d’aller saluer ces courageux qui partent à la chasse. Me préterire-vous votre bras et votre compagnie, père Howley ? Après tout, nous avons encore tant de choses à nous dire. »
résumé:
Discutant avec @Juliet Blooming, Aloïs termine son petit-déjeuner et s'en va rejoindre sa monture agréablement accompagné de la demoiselle Blooming.
Adélaïde, quant à elle, continue de discuter avec @Léopold Howley, à qui elle propose de l'accompagner pour continuer de potiner.
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Ulysse Nightingale
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() / Lun 6 Fév - 14:25
Ulysse Nightingale
Partie de chasse royake
3ème tour.
Devant son petit déjeuner, scruter par la Duchesse du Gloucester, Ulysse se demandât soudain s’il ne ferait pas mieux d’être un goujat par instant, histoire que Lady Seymour cesse de tenter de le prendre dans ses filets. Après tout, ce serait une bonne raison de ne pas vouloir de lui pour sa chère pupille. Car définitivement, l’homme n’est pas stupide et son majordome encore moins. Eh bien qu’Apolline soit une jeune femme très agréable à regarder, ainsi qu’à la conversation, quelle idée avait-on de vouloir le mettre dans ses pattes à la pauvre enfant ! Certes, Lady Sutton n’est pas la plus jeune des demoiselles, mais cela n’est pas pour cela qu’il faut vouloir la marier avec un vieux bougre comme lui, qui a plus de kilomètres dans le corps que la plus part des gens présent ici. Mais soit. Malgré cela, Ulysse ne peut que bien se comporter, car sa survie en dépend. « Une nuit que je qualifierais de parfaite. Cela faisait longtemps que je n’avais pas aussi bien dormi. » Et c’était peu de le dire, vu les efforts de Charles pour le faire lever.
Faisant un effort pour boire son thé, le marquis de Northampton continua de poser son attention sur la demoiselle qui lui faisait aimablement la conversation. Un bal ? Que ses pauvres pieds en soient exemptés, par pitié ! Il allait déjà s’user sur ce maudit cheval à poursuivre je ne sais quel gibier… Mais après tout, cela n’était dénué d’un certain sens, surtout lorsqu’on se trouve dans une demeure royale. « Les hommes auront beau être fatigué, Lady Sutton, si son Altesse veut vous gratifier d’un bal, ces messieurs et moi-même nous plierons à sa volonté et à celles des dames. » Dit-il avec un brin de taquinerie bienveillante néanmoins. « Eh bien oui. » Pas que cela l’enchante cela dit, puisque ce n’était en rien un art qu’il maîtrisait. Pourtant, il n’avait certainement pas son pareil pour user d’armes à feu de toutes sortes. « Ce n’est pas quelque chose dont j’ai l’habitude, mais je me plie fort bien aux nouveautés, en général. » Dit-il alors tout en continuant son repas.
Cloche sonnante, Ulysse regarde alors les gens s’en aller en direction du parc et va donc en faire de même. Voyant quelques hommes accompagnés, le marquis se dit qu’il serait de bon ton – sans doute – d’en faire de même. « M’accompagneriez-vous jusqu’à ma monture, Lady Sutton ? » Et devant l’air enchanté de Lady Seymour, il sû qu’il avait aussi raison, que ce qu’il se tirait une bal dans le pied. La prochaine fois, il resterait chez lui parbleu !
Résumé:
Déjeunant et conversant avec @Apolline Sutton, Ulysse invite ensuite cette dernière à l'accompagner aux chevaux.
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Elea Leveson-Gower
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() / Lun 6 Fév - 16:42
Elea Leveson-Gower
La partie de chasse royale Tour 3
Ce petit brin de conversation estompait petit à petit l'inconfort de Arya qui retrouvait son sourire contagieux tant il était rafraichissant et son avenance naturelle. Ses yeux pétillaient d'intérêt pour ces deux personnes dont elle était en train de faire connaissance avec plaisir. C'est que rencontrer de nouvelles personnes avec qui elle était libre de converser n'était pas choses courante pour la fille illégitime du Comte de Cambridge. Joséphine avait un visage doux qui donnait envie à Arya d'en découvrir d'avantage sur elle et quant à Edward, sa prévenance à son égard et le ton doux de sa voix le lui rendit immédiatement sympathique. Elle lui offrit son plus a beau sourire en reconnaissance pour ses paroles aussi rassurantes qu'encourageantes.
- Vous avez raison et je vais m'y appliquer !
Le baron Wolf disait-il. Ce nom lui était familier... Oh n'était-ce pas cet homme qui avait cueilli Marlène complètement ivre dans la rue au début de la Saison ? Arya pinça ses lèvres afin de se retenir de rire à ce souvenir comté par son amie. Ceci n'avait clairement pas été un de ses plus glorieux moments !
- Je vous avoue que oui. Je suis curieuse de voir tout cela de mes propres yeux ! J'imagine que quelques jeux vont être organisés, après tout il n'y a pas de raison qu'il n'y ait que ces messieurs qui s'amusent !
Arya porta sa tasse de thé à ses lèvres, lorsqu'un son de cloche retentit. Immédiatement la ruche redoubla d'activité, la faisant à moitié s'étouffer avec sa boisson alors que ses yeux hagards suivaient les mouvements alentours. La chasse allait visiblement commencer si elle se fiait au brouhaha !
- Je crois qu'il est temps pour moi de retourner auprès de ma maîtresse. Je vous remercie de votre compagnie.
Arya débarrassa son assiette bien qu'une domestique du palais lui prit tout cela des mains avant qu'elle n'ait pu atteindre l'évier. Arya la remercia d'un sourire chaleureux puis fila rejoindre les extérieurs à la recherche de sa sœur qu'elle trouva en compagnie d'une autre demoiselle. Elle s'inclina afin de signifier sa présence.
- Miss... salua-t-elle l'inconnue avant de se tourner vers Luci. Miss Conisburgh je crois que Monsieur votre père est sur le point de partir chasser. Tout le monde se rassemble. Devrions-nous les rejoindre ?
Evidemment que oui mais là n'était pas sa place que d'imposer quoique ce soit à sa cadette. Ses yeux bleus balayèrent malgré tout l'attroupement qui se formait petit à petit au loin autour des chevaux et parmi tous, elle le vit. Elle était trop loin pour voir ses traits, mais elle le reconnut à ce son cœur qui manqua un battement. A sa peau qui se couvrit d'un délicieux et brûlant frisson. A la moindre once d'elle qui mourrait d'envie de courir vers lui.
Here comes a wave meant to wash me away A tide that is taking me under Swallowing sand, left with nothing to say My voice drowned out in the thunder
Octavian de Hanovre
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() / Lun 6 Fév - 17:27
Octavian de Hanovre
Partie de chasse royale
1er tour.
« Je pense avoir réussi, oui. De plus, je préfère la délicatesse d’une alizée au soufflement tempétueux des zéphyrs. Mais, je sais qu’elle illuminera cette journée. Tu la connais comme moi, elle aime les défis. » Lance-t-il à l’adresse de Wilhelm en parlant de Lyana. Son sourire s’élargit alors aux paroles du Prussien et il se relève à son tour, tandis que résonne déjà la cloche annonçant la fin du petit-déjeuner et leur prompt départ pour l’activité principale de cette journée. « Je n’aurais pas mieux dit moi-même. Et c’est une belle journée. Belle, ensoleillée et radieuse ! Nous serons en veine, mon cousin ! Allons-y, messieurs, rendons ces dames fières d’être en notre compagnie. » Et de concert, il quitte la salle à manger avec Wilhelm, se dirigeant vers les chevaux.
« Cousin vient donc par ici, avant que nous ne partions, j’ai un dernier cadeau pour toi. » Lui dit-il tout en lui faisant signe de le suivre en direction des domestiques qui les attendent. D’un geste de la main, il demande qu’on découvre alors un fusil de chasse flambant neuf, d’une facture impeccable. « Fabriqué expressément pour toi. » Dit-il en faisant signe qu’on donne l’arme à Wilhelm. « De fabrication Liégeoise, les meilleurs dans ce domaine et de loin. La principauté est peut-être modeste en taille, mais grande par son savoir-faire dans les armes à feu. Gravé à la main, incrusté d’or, aux armoiries de la Prusse et d’une scène de chasse royale. Une arme digne d’un futur roi et de l’affection que j’ai pour mon bon cousin. » Il observe le cadeau, bien qu’il l’ai déjà inspecté sous toutes ses coutures lorsqu’il l’eût reçu. « Qu’en pense-tu ? Es-tu satisfait de son équilibre ? »
Prenant le temps d’observer un instant la foule qui commence à se diriger vers les cavaliers, il repère Lyana dans sa robe orangée et secoue la tête. « Il me semble que notre brise printanière se transforme lentement en tempête, une fois de plus. » Ironise-t-il alors, avant de s’approcher de son cheval de pur-sang anglais, à la robe aussi noire que l’ébène, si ce n’est cette balzane blanche à son canon postérieur droit. Flattant l’encolure de ce dernier, il se hisse en selle avec élégance et souplesse.
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() / Lun 6 Fév - 17:29
Aidan Percy
Partie de chasse royale ou un moment de plaisir
Après quelques présentations, les hommes se mirent à discuter entre eux. Aidan fut bien heureux de rencontrer finalement le Duc de Norfolk dont Arielle lui avait tant parler. Un proche ami à elle et un ancien prétendant…enfin selon la duchesse.
- Le plaisir est partagé, Lord d’Aetheling.
Les sujets balancèrent ensuite entre la prochaine chasse, les femmes et évidemment quelques bonnes bouteilles, ce qui fit sourire le comte. Oui, en dehors du regard de ces dames, ils auraient besoin de boire. Surtout que Nothumberland serait sûrement éloigné par sa future belle-mère de sa fiancée comme ce matin. Cependant, il trouverait bien une solution.
- Ne m’enviez pas trop messieurs! J’essaye déjà de tenir ma place. Mais je dois avouer que je ne regrette pas de quitter ma place de célibataire.
À l’intervention de Lord Graham sur le whisky et les écossais, le comte ne put qu’approuver. Si il y avait bien une tradition qu’il avait gardé des Dunbroch, c’était bien celle-ci. La cloche finit par retentir et sans hésiter, Aidan rejoint Pégase et monta sur son dos.
- Je partage votre avis, milord. Nous sommes bien mieux.
Son regard se posa alors au loin essayant de distinguer quelques cheveux roux. Quand une famille se présenta à eux.
- Lord Lewes, Lady Lewes. Miss Abelia, se contenta de répéter le comte.
Aidan tourna son regard vers le duc qui se questionnait sur la présence d’un médecin.
- Je l’espère. Des rumeurs que j’ai entendu, son altesse ne devrait pas avoir lancer une chasse sans en avoir un dans le coin.
Voyant finalement Apolline s’avancer au coté du marquis de Northampton, le comte de Nothumberland se dit que sa fiancée ne devait pas très loin. C’est pourtant quand il vit la tête de la duchesse du Gloucester qu’il préféra attendre qu’Arielle vint à sa rencontre.
Sortir. Respirer. Oublier un peu le train train quotidien. Voilà ce dont avait besoin Jacob, malgré le fait que cette situation ne soit pas aussi commune. Il était quand même au château du prince. Pourtant à peine a-t-il posé un pied dehors, qu’il voit son fils s’élancer en avant pour aller observer une statue. Ce que Matthew avait l’habitude de le suivre quand il n’avait pas été là depuis longtemps. Comme Jacob s’en voulait parfois que son fils soit l’objet d’un mensonge aussi grand. Heureusement…Mark avait sorti son étui. Il savait que Charlotte détestait cette habitude, mais il en avait besoin.
- Oui, on va dire que je préfère les petits comités, comme tu sais. Et puis Charlotte semble…moins intéressée. Tant mieux, tu me diras.
Il glissa le cylindre entre ses lèvres, avant de le laisser se faire allumer par Mark. Enfin…jusqu’à ce qu’il voit cet homme s’avancer vers lui.
- Bonjour à vous aussi. Je pense que je dois le prendre comme un compliment…?
Jacob regarda Matthew continuer d’observer la statue avec attention, tandis qu’il tirait sur sa cigarette.
- Il a toujours été comme ça…curieux.
Passant une main dans les cheveux de son enfant, l’adulte tira encore un peu sur son poison.
- Excusez-moi, mais il ne me semble pas que nous nous soyons présentés…Jacob Evans, avocat. - Jacob Evans! Eteignez cette cigarette de suite!
À peine la cloche avait-elle retentit que sa femme était réapparut. Ecrasant le cylindre sur le sol, Jacob lança un regard complice à Mark, avant de s’excuser.
- Excusez-moi mais ma monture m’appelle.
Matthew resta près du médecin, avant de courir vers sa mère, tandis que l’avocat prenait la direction opposée. Une fois à son destrier, son cher Gaston, il l’attela, avant de monter sur son dos et revenir vers le groupe.
- Vous êtes sûr que vous ne voulez pas monter Mark?
Résumé:
Jacob a rejoint l'extérieur, suivi par son fils et par @Mark Healey avec qui il discute rapidement. Puis ils sont rejoint par @Theobalt Faulkner qui complimente Matthew. Fumant une cigarette, l'avocat est surpris par sa femme. Heureusement, la cloche le sauve et celui rejoint son cheval avant de revenir vers le groupe, se sentant plus en sécurité en hauteur.
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Invité
() / Lun 6 Fév - 18:01
Invité
PARTIE DE CHASSE ROYALE
« Peut-être devrais-je oublier la saison et simplement vous acheter cette belle bête, » s’amusa l’écossais tout en souriant, un peu plus jovial que toute à l’heure, à son cousin. Et dieu merci, la cloche sonna enfin. L’écossais inspecta brièvement sa monture, s’assura que la selle était bien placée et bien ajustée et se hissa souplement sur le dos de sa belle monture aussi rousse que lui-même, suivant les conseils du duc. Elle était d’un modèle plus fin que son propre cheval, un joli clydesdale, mais tout aussi confortable et certainement plus rapide. Il est vrai qu’ils étaient bien, perchés là-haut, avec une vue imprenable sur la foule.
D’ailleurs son regard fut attirée par une jeune femme qu’il n’avait pas vu depuis fort longtemps : Lyana Clayton. Quelle belle femme au caractère bien trempé et qu’il avait autrefois courtisé, sans succès. Elle n’avait pas perdu de sa superbe, ni de son caractère, et il ne put s'empêcher d'avoir pour elle un regard tendre. Voilà qu’elle reprenait de son regard expressif une autre Lady, celle qui portait une tenue inappropriée pour l’occasion et avec qui Emilia se trouvait… Évidemment. Il fallait qu’elle aille vers la seule personne inconvenante, plutôt que de rester avec Cordélia Blooming et Miss Macartenay.
« N’est-ce pas votre épouse, Lord St-John ? » Il lui semblait la reconnaître.
Néanmoins ils furent vite interrompus par l’arrivée du Comte de Lincoln. Effectivement, Alistair avait dû se sentir obligé de promettre de rencontrer leur fille à un moment ou à un autre ; ils étaient du genre assez insistants. Miss Abélia était là, et elle était charmante, là dessus au moins ils n’avaient pas exagéré, ni menti. Le Marquis fit les présentations avec tout le monde, se contentant d'échanger quelques politesses. Il avait assez soupé des futures débutantes pour la matinée, peut-être la journée.
- Oh, Mylord, il y a de fortes chances que les épices de vos cuisines viennent déjà de mes importations. Je n’ai pas le monopole mais… En termes de qualité, on ne trouve guère mieux, répondit Lord Lewes à Norfolk, disant cela avec le plus d’humilité possible, et surtout un enthousiasme contagieux. Un homme passionné plus que vantard.
Mais Alistair lui se tourna vers son futur cousin par alliance et l’observa un instant, suivant son regard jusqu’à sa petite cousine si aisément reconnaissable à sa sublime chevelure de feu. L’écossais fut étonné que le Comte n’aille pas rejoindre sa fiancée.
« Tout va bien Lord Percy ? Voulez-vous que je détourne l’attention de ma chère cousine, la Duchesse, pour vous ? Je me suis déjà dévoué pour ce cher Norfolk, je ne suis plus à ça près. » Il rit doucement. Après tout, Alistair ne connaissait que trop bien Ellis et il savait parfaitement qu’elle n’était pas favorable à ce mariage. Malheureusement pour elle, elle n’avait pas trouvé un allié du côté de Graham.
Les cloches résonnant, les deux princes quittent sans tarder la salle de réception, suivis de près par quelques convives qui semblent autant pressés qu’eux de partie en chasse. Alors qu’ils se dirigent vers les chevaux, Octavian demande à Wilhelm de le suivre vers des domestiques, qui s’empressent de retirer le tissu d’un objet dont on voulait garder le secret. Secret qui, selon les dires de son cousin, a été fabriqué spécialement pour lui.
Wilhelm scrute le fusil qu’on lui a mis dans les mains, il laisse ses yeux en observer chaque détail, chaque courbe, chaque dessin. Il est habitué à ce qu’on lui fasse des cadeaux, souvent de la part de commerçants qui cherchent à faire connaitre leur nom, leur art. Mais là…. Il ne sait pas quoi dire. Ses yeux se perdent et sa langue se bloque, faisant barrière à sa voix qui ne demande qu’à sortir. Il tourne le fusil dans tous les sens, ne lâchant pas son regard, tout simplement car il ne le peut pas.
« Tu as toujours été un homme de gout Octavian, mais là….. Tu m’offres une pure merveille ! »
Il attrape le fusil d’une main, le pointe vers le ciel pour ne pas viser quelqu’un qui passerait par là à ce moment, et pour voir si à cheval, cette arme serait viable. En temps normal, il apprécie de chasser à pieds, mais il sait qu’à cheval, une bonne arme est toujours plus appréciable.
« L’équilibre est parfait! Mais tu dois le savoir, je sais que tu aimes à ce que les choses soient parfaites ! »
Il repose un instant le fusil pour s’approcher de son cousin et le prendre dans ses bras afin de le remercier. C’est un magnifique cadeau, dont il prendra le plus grand soin. Les armoiries de sa famille étant gravées dessus, il le gardera pour le transmettre un jour à son ainé, qui devra faire de même à son tour. Ils se rapprochent tous deux vers les chevaux, alors que Lyana apparait au loin. Elle est aussi belle qu’orageuse, et il ne sait pas encore si elle acceptera de lui parler. Alors il ne dit rien, et se rapproche de son cheval. Flame l’attend, et semble mourir d’impatience de vouloir aller se balader. Le cheval offert par la reine Charlotte il y a cinq ans pour son anniversaire, pure race anglaise, est l’un de ses meilleurs amis. Il n’attend pas plus et se hisse lui aussi sur son cheval, attrapant le fusil que lui tend le domestique. Il jette un coup d’œil aux invités de son cousin qui se pressent à l’extérieur, leurs yeux sur ceux déjà à cheval, et sur les chiens qui aboient tels des enfants pressés d’aller jouer dans le jardin. Il sait que ce n’est pas tout le monde qui peut venir à la chasse, et il savoure la chance qu’il a de pouvoir partager ce moment avec ceux qui lui sont chers.
Pando
RESUME:
Spoiler:
Wilhelm et @Octavian de Hanovre sortent de la salle et Wilhelm suit son cousin afin de découvrir le magnifique fusil de chasse qu'il lui offre. Les deux hommes s'empressent donc de sortir rejoindre leurs chevaux, et de monter sur leurs dos.
CHEVAL DE WILHELM: Flame of the god's temple - pur-sang Anglais offert par la reine pour l'anniversaire de Wilhelm. Bai brûlé, avec une petite tache sur le front.
Si Miss Macartney répondit aux salutations des deux jeunes femmes comme il était convenable, la conservation n’alla pas plus loin car ces dernières disparurent immédiatement au loin pour ne laisser que les deux cadettes à leurs discussions. Tant pis. Car Jane Macartney était aussi ravie de retrouver la compagnie de Cordelia Blooming que cette dernière semblait être de la revoir et la chose était donc parfaite.
- Eh bien, avec la fin de la saison il me faudra bientôt retourner à la campagne chez les Stauton mais Lord Stauton ayant à rester un peu plus longtemps à Londres, je réside encore avec lui et ai du lancer quelques travaux de rénovations qui étaient plus que nécessaire pour notre demeure proche de Londres.
La jeune Miss Macartney se mit alors en marche au côté de Cordelia Blooming, prenant soin de ne pas trop s’éloigner du reste des invités pour ne pas manquer le lancement de la chasse.
- Il vous faudra venir pour le thé une fois mon tendre papa arrivé, Corney House n’est qu’à deux heures de Londres et la vue sur la tamise est des plus charmante.
Mais alors que retentit la cloche du dôme de Howard Castle pour annoncer à tous les invités la fin du petit-déjeuner et le début de la partie de chasse, les pas de Miss Macartney l’entrainèrent sans même qu’elle y réfléchisse vers le lieu où semblait s’être concentré toute l’activité. Tandis que les hommes les plus actifs se mettaient déjà en selle de leurs pur-sang, quelques autres un peu moins bien réveillés terminaient d’ajuster sangle et de vérifier les bridons de leurs montures.
Parmi tous les hommes qui s’apprêtaient à s’élancer dans les bois, Miss Macartney reconnut plusieurs visages aussi bien d’hommes avec qui elle avait eu le plaisir de discuter lors de la saison précédente que d’autres qu’elle seulement observé de loin mais dont les noms étaient si importants qu’il lui était impossible de ne pas les reconnaitre. La vision du Prince Octavian de Hanovre en compagnie du prince héritier de Prusse était pour sûr des plus impressionnante. Il était certains que Miss Macartney ne pouvait se permettre le moindre le faux pas.
- Eh bien, voilà une partie de chasse qui s’annonce des plus élégante pour sûr.
Résumé des actions
Spoiler:
Jane Macartney marche un moment et discute avec @Cordelia Blooming avant que ces dernières ne se rapprochent des hommes qui se préparent à partir à la chasse.
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() / Mar 7 Fév - 6:37
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PARTIE DE CHASSE ROYALE Tour 2
Alors que je m’apprêtais après accord de la jeune femme, à nous éclipser et ainsi pouvoir converser sans oreilles indiscrètes dans un franc parlé qui paraissait nous être commun. Je vis arriver avec fougue une femme magnifique que je reconnue en Lyana Clayton, la pupille de sa majesté la reine. Il s'agissait d'une jeune femme issue de la bourgeoisie et dont les parents avaient trouvé grâce aux yeux de la reine. Malheureusement, un incendie avait emporté toute la famille à l'exception de la jeune femme qui orpheline avait été recueillie par la reine elle même. Il se murmurait tel un bourdonnement d'abeilles qu'elle serait bientôt la vicomtesse de Lewisham. Était ce une bénédiction quand beaucoup tendaient à dépeindre l'homme caractériel et peu avenant ? Elle seule je crois, serait à même le moment venu de répondre à cette question. Ma mère portait une affection particulière envers la jeune femme, les deux ayant eu ou subissant le mépris de notre chère société lisse et parfaite. La simplette, tel avait été l'un des principaux surnoms de ma mère dont le comportement solitaire, l’extrême timidité et le mal être en société avaient fait naitre bien d'immondes rumeurs et surnoms sur sa personne. Quant à Lady Clayton, elle se voyait affublée de celui de la muette, hérité à la suite du drame qui toucha sa famille et du trauma qui en découla... Et nous nous targuons d'être civilisé.
Il n'en restait pas moins qu'à son port de tête, son regard étincelant et la manière dont elle s'était immiscée entre la brune et moi, qu'elle n'apportait guère avec elle chaleur ou mièvreries. La situation était délicate... non pas du fait de Lady Clayton, mais de la plausible posture désagréable et compromettante de ma comparse, à se retrouver potentiellement dans une discussion animée alors qu'elle était visiblement chaperonnée et déjà confessée à demi mot un impair. Mais j'avais tout de même confiance en la pupille de sa majesté dont le statut, l'éducation et les liens royaux réprouvaient le scandale...
"Lady Clayton..."
Saluant comme il se convenait la nouvelle venue, j'invitais d'un coup d’œil discret la brune à se présenter, ignorant toujours son identité. Puis prenant les devants afin de la pré-munir de tout instant gênant, je poursuivis...
"Lady Fitzroy, je ne vous ai que trop retardé... Vos chaperons semblent vous mander. Si nous en avons l'occasion, nous converserons plus longuement au cours de la journée."
Je savais que la brune comprendrait et prendrait congé sans insister. Une fois fait, je fis face à ma consœur intriguée par ce qui avait bien pu éveiller de tels sentiments négatifs envers ma personne...
"Lady Clayton, puis je prendre connaissance des raisons qui ont pu faire naitre l'ire qui se dégage de votre personne à mon encontre ?" Lui dis je le plus sincèrement et simplement du monde.
résumé:
Esmée et @Emilia Fitzroy sont rejointes par @Lyana Clayton. Au vu du faciès de la nouvelle venue, esmée invite emilia en une pirouette, à les laisser afin qu'elle ne se retrouve pas dans une situation compromettante. Après son départ, elle s’enquit de la raison de la mauvaise humeur de lyana clayton.
Elinor Gilderstone
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() / Mar 7 Fév - 10:51
Elinor Gilderstone
PARTIE DE CHASSE ROYALE 3ème tour
S'éterniser au plus près des corolles de fleurs aurait été délicieux, mais voilà qu'un bruit lointain appelait les cavaliers à se mettre en selle. Se détachant de la mince conversation qui venait de naître, Elinor regarda les silhouettes tortueuses des buissons avant de s'excuser auprès de la jolie blonde qui demeurait sur la terrasse, non sans saluer la domestique qui s'inclinait à son intention. Les deux êtres symbolisaient le jour et la nuit.
"Enchanté. Veuillez m'excuser, fit-elle dans un sourire entendu. Nous nous reverrons sûrement au cours de la journée. Ce fut un plaisir de vous rencontrer au détour de ce charmant oiseau."
Puis elle prit congé, impatiente de découvrir les montures des messieurs. Pressant le pas, ses mains tenant soigneusement les plis de sa tenue, elle arriva bientôt auprès du merveilleux spectacle équin. Entre le gris pommelé, la robe d'un caramel soyeux et les naseaux renâclant farouchement, la jeune femme eut la sensation de se perdre. Histoire de ne pas déranger les chasseurs, elle se tint à l'écart, non sans remarquer la présence des chiens débordant d'enthousiasme. Avant même d'entendre les remontrances de sa mère, la brune osa se pencher en direction d'un des plus jeunes canidés qu'elle cajola avec affection pour se rappeler la sensation que d'avoir un compagnon. Le regretté Comte avait le mérite de peupler la demeure de présences affectueuses et cette habitude manquait presque à sa fille. Elinor ignora les éclats de terres courant sur ses jupons jusqu'à ce que son attention dévie en direction d'une présence voisine qui pesait sur elle par le biais d'un regard intrusif. Le beau-père était là, proche de son cheval, le menton levé, sévère. Il affichait une prestance détestable qui noua la gorge de la demoiselle. Elinor préféra se redresser pour détailler les autres personnes aux alentours, ses paumes chassant les quelques gravats amassés dans les recoins du tissu.
Une robe noire attira son attention. Surplombant le pur sang, leur hôte venait de prendre place sur sa selle, le port de tête altier. Ainsi donc, voilà que le prince se dévoilait sous la lueur de l'astre diurne ! Cela ne changeait guère de la veille, mais la débutante se plut à lui porter une certaine attention dans cette effervescence des derniers préparatifs. Elle vit son cousin qui ne manquait pas d'allure ! Voilà un duo qui avait plus d'un atout ! Ce n'était pas pour rien que la foule grossissait pour les admirer.
Francès apparut à cette même pensée. Elle prit place auprès de son enfant, la couvant d'un regard désapprouvant son absence et sa candeur à cajoler une bête qui n'en avait pas besoin selon elle. Elinor n'y répondit pas, préférant de loin contempler le ballet animant les environs dans l'espoir d'y voir un visage familier, peut-être une amie ? Elle évitait avec soin de porter attention à son bourreau, le bleu de ses yeux finissant parfois par retourner sur un des êtres à l'ascendance royale. Mieux valait un peu de rêverie qu'un cauchemar ! Surtout qu'elle avait retrouvé son entrain d'antan et que rien, ni personne, parviendrait à la priver de cette journée.
résumé:
S'excusant auprès de @Lucinda Conisburgh et @Arya Harrington , Elinor se dépêche de rejoindre l'endroit où les cavaliers retrouvent leurs montures. Après une pluie de caresses en direction d'un jeune limier, elle croise le regard de son beau-père et se renferme pour mieux observer les alentours. Elle voit donc @Octavian de Hanovre et son cousin @Wilhelm de Hohenzollern en selle ainsi que tout le monde présent autour. Désormais côte à côte avec sa mère, la débutante se tient droite, le regard traînant sur tous les visages voisins.
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() / Mar 7 Fév - 11:24
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PARTIE DE CHASSE ROYALE 3ème tour
Cordelia eu un furtif sourire ému en l’entendant ainsi parler de son père, sans doute car elle n’avait jamais eu avec le sien les rapports qu’elle pouvait deviner chez les Macartney. Le Comte devait très certainement beaucoup lui manquer et la dangerosité des traversées ne devait pas arranger les choses. Mais bien sûr, elle n’en dit rien, se contentant de répondre à son invitation. « Ce sera avec grand plaisir, je serais très honorée de faire la connaissance de votre père. Mais j’ai peur que nous ne soyons loin pour un moment, ma famille réside actuellement chez Lady Berkeley et le Marquis son petit fils, et nous avons ensuite été invités par Lord Graham en Ecosse. » Une destination vers laquelle elle avait hâte de se rendre, d’autant plus si, comme on le lui avait dit, le rude climat éloignait les importuns. « J’espère néanmoins qu’il ne se passera pas trop de temps avant que nous nous revoyons. »
Cordelia comptait bien lui proposer qu’elles s’écrivent durant ce temps de séparation (car quoi de mieux que la correspondance pour nourrir une amitié naissante ? ) mais la conversation ne put aller plus loin, car on sonna le départ tant redouté de la chasse. Entrainée par Jane, elle avança malgré tout mais plus elles s’approchaient, plus son corps tout entier se raidissait et son regard se durcissait.
Elle pouvait voir les hommes armés, fiers sur leurs fringants destriers, et les chiens qui sans nul doute serviraient à terroriser de malheureuses créatures innocentes. Elle répondit spontanément à la remarque de sa compagne, sans doute un peu trop spontanément. « Si l’on peut parler ainsi d’une activité si cruelle… » Elle put reconnaitre quelques uns des hommes présents. Visiblement, aucune femme n’avait été invitée à participer, ou aucune ne l’avait voulu.
Elle se tourna alors vers Miss Macartney. « Pardonnez-moi ma chère, mais rester face à ce spectacle que je ne peux approuver est au-dessus de mes forces. J’espère que vous ne m’en tiendrez pas rigueur. » Elle fit de son mieux pour adoucir son regard afin que la jolie blonde ne soit pas offensée ou n’imagine pas qu’elle l’abandonnait par désintérêt. « Je vous retrouve tout-à-l’heure. » Elle la salua puis repartir vers la demeure, suivie de près par la domestique qui la chaperonnait.
RÉSUMÉ:
Cordelia poursuit sa conversation avec @Jane Macartney. La cloche sonne alors et les deux jeunes filles se dirigent vers les cavaliers. Elle décide finalement de rebrousser chemin et de ne pas assister au départ de la chasse.
Cordelia ne réapparaitra qu'au tour suivant
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() / Mar 7 Fév - 19:27
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{ Acte III }
PARTIE DE CHASSE ROYALE
Arya semblait retrouver confiance, une bonne chose pensa Edward. À cause des doutes, son travail aurait été mitigé et ce n'était clairement pas une bonne chose, surtout si vos employeurs n'avaient rien de conciliant. En-tout-cas, sa consœur était curieuse vis à vis de la suite des évènements et Edward devait avouer qu'il l'était tout autant, bien qu'inquiet. Jusqu'ici, il avait tenu cette pensée à l'écart, mais il fallait croire que cette dernière se montrait intrusive.
Il la repousse, encore une fois, au plus profond du brouillard persistant. Il sourit à Arya, confiant.
— Je l'espère, cela serait bien triste sinon !
Une cloche retentit et aussitôt, la fourmilière reprit vie. Avant qu'il n'eût le temps de faire quoi que ce soit, l'assiette d'Edward disparut.
— Je crois qu'il est temps pour moi de retourner auprès de ma maîtresse. Je vous remercie de votre compagnie. — Je vais faire de même, mylord Wolf doit m'attendre. Dans tout les cas, j'ai été enchanté par votre rencontre, dit-il à l'attention d'Arya et de Joséphine.
Il quitte la table sur ses mots, puis l'office des domestiques. Edward remonte et dans toute cette effervescence, il peine à retrouver son ami. Il finit par le trouver là où le petit-déjeuner s'était tenu. Edward l'avise, puis la dame qui était en sa compagnie. Il hésite, est-ce qu'il pouvait s'approcher ? Il ose le faire, mais garde ses distances. Il était assez prêt pour être remarqué, mais assez loin pour leur laisser de l'intimité.
Résumé:
Il conclut sa discussion avec @Arya Harrington et @Joséphine White, puis il s'en va retrouver @Aodh Wolf. En le voyant en compagnie de @Luisa Hammond. Il se tient à bonne distance, juste assez pour être vue d'Aodh. Il attend un ordre de sa part.
Pauvre Lord Nightingale. Le voilà encore pris dans les filets de Lady Seymour. Je me demande pourquoi elle s’acharne autant sur lui. Est-ce à cause de son âge qu’elle s’imagine qu’il cèdera plus facilement ? Certes, l’homme possède un titre intéressant. Mais j’ai de la peine pour cet homme. En tout cas, le voilà assis à mes côtés afin de discuter. J’espère qu’au moins la conversation est agréable afin qu’il ne s’ennuie pas trop à mes côtés.
- Je suis ravie de savoir que vous avez bien dormi. Après tout, il faut être en forme pour chasser correctement.
Je lui offre un sourire tandis qu’il me demande ce que j’attends de ma journée. Je ne sais à quoi m’attendre à vrai dire, attendant de voir les activités qui vont être proposés. Néanmoins, j’aurais espéré avoir un bal pour la fin de la soirée mais j’imagine que les hommes auront les pieds et jambes endoloris par le cheval.
- J’espère que pour vous, il évitera dans ce cas. Vous n’en profiterez sans doute pas si vous êtes fatigués. Néanmoins, j’espère que nous aurons l’occasion de danser ensemble à nouveau. Je vous souhaite bon courage pour la chasse en tout cas.
Un sourire se glisse sur mes lèvres mais nous sommes interrompus par la cloche indiquant aux hommes de se rendre dehors afin de récupérer leurs montures pour partir chasser. J’imagine que nous allons nous rendre à l’extérieur afin de regarder les hommes partir. Lord Nightingale me propose alors de l’accompagner et je regarde Lady Seymour qui semble apprécier sa demande. Je lui offre un sourire avant de lui répondre.
- Je serais ravie de vous accompagner Lord Nightingale.
Je me lève alors afin de le suivre à l'extérieur suivit par la famille Seymour.
Résumé:
Résumé : Apolline discute avec @Ulysse Nightingale avant de le suivre pour le voir partir à la chasse.
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() / Mer 8 Fév - 17:54
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PARTIE DE CHASSE ROYALE
Tout était allé beaucoup trop vite pour la jeune Fitzroy. D’abord, ce sauvetage de la part de cette charmante femme à la chevelure brune, puis, la venue imprévue (et pour le moin déterminée) de la Pupille de la Reine ; Lyana Clayton. Emilia avait révisé de longues heures la liste des invités et elle n’eut aucun mal à la reconnaître grâce à sa prestance et aux petites annotations qu’elle avait mémorisées ; la pupille serait muette. Intérieurement, Emilia ne put s’empêcher de rire, satisfaite de voir qu’il n’y avait pas qu’elle qui était aux centres des réprimandes et que ces dernières étaient un fléaux de tous les âges car oui, Lyana semblait être d’une humeur massacrante. Tâchant de se faire discrète pour ne pas envenimer davantage la situation comme elle savait si bien le faire, Emilia fit un pas en arrière après avoir adressé une belle révérence à cette nouvelle venue en colère.
Lady St John, j’espère que nous aurons l’occasion de nous recroiser, ce fut un plaisir de faire votre connaissance.
Une brève, très brève rencontre mais Alistair avait été très clair ; elle ne devait pas se faire repérer pour de mauvaises raisons ! Encore moins dès le premier jour de sa première sortie mondaine, il était temps qu’elle prenne la fuite et ne soit mêlée d’aucune façon à une altercation avec la Pupille. Ah, ça non !
Lady Clayton, je vous prie de m’excuser. Je vous souhaite une agréable journée. Dit-elle souriante et polie malgré le regard brûlant de cette dernière.
Sans un mot de plus et tout en discrétion, Emilia prit congé des deux femmes, préférant ainsi rejoindre ses parents tout en cherchant Amalia du regard, en vain. La compagnie de sa femme de chambre aurait été bien plus sympathique que celle de la Duchesse Fitzroy avec qui la tension était palpable.
Enfin, on sonna le début des hostilités ! Une aubaine pour Emilia, amoureuse des chevaux, qui pouvait admirer le départ de ces messieurs sur leurs splendides montures à une distance convenable.
Résumé : Emilia est surprise par l'apparition de @Lyana Clayton et préfère prendre la fuite pour ne pas s'attirer d'ennuis, saluant @Esmée St. John et la pupille. Elle cherche du regard @Amalia Mason pour s'épargner de longs échanges avec sa mère, en vain.
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() / Mer 8 Fév - 18:22
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PARTIE DE CHASSE ROYALE
Après un petit déjeuner menu mais appétissant, Aidoneus prit une dernière tasse de thé avant que le glas ce court interlude ne sonne. La début de la chasse était annoncée, et les silhouettes des nobles s’aventurèrent toutes ensemble vers la cours du château où les palefreniers amenaient les montures de ces messieurs. Précautionneux, l'homme ne s'était pas trop attardé en conversation, il n'a qu'à peine salué son ami le désormais baron @Aodh Wolf d'un signe de tête. Les deux avaient passé une excellente soirée se remémorant leurs souvenirs communs. Se levant de table, l'homme se dégourdit les jambes dans le corridor du château et alla jusqu'à la cours où son cheval l'attendait. Parcourant l'endroit d'un rapide regard, il commençait à se souvenir des visages de ses pairs qu'il n'avait pas croisé depuis for longtemps. Un silhouette retint un peu plus son attention celle de la jeune @Emilia Fitzroy, la pupille de lors Graham. Un sourire en coin se dessina sur ses lèvres lorsqu'il décida de s'approcher d'elle.
« Mademoiselle Fitzroy... » dit-il en s'inclinant légèrement devant elle. Il vit le visage de ses parents s'illuminer subitement quant à sa soudaine arrivée. Visiblement ses derniers ne s'attendaient pas à rencontrer ce gentleman dont ils ignoraient tout. « Lord Fitzroy, madame. » saluait-il tout aussi poliment. « Cela fait une éternité n'est-ce pas ? Je n'ai pas encore eu le plaisir de venir vous saluer, alors je me rattrape. » ajouta-t-il sur le ton de l'humour. « Je vois que votre regard est attiré par les chevaux mademoiselle Fitzroy, voulez-vous que je vous présente ma monture ? » proposa-t-il à Emilia, lui accordant de ce fait une échappatoire pour se soustraire à la surveillance de ses parents. Il devinait aisément que la jeune femme ne prenait pas plaisir à devoir rester avec eux.
Résumé:
Résumé: Aidoneus se rend dans la cour pour le début de la chasse, il croise @Emilia Fitzroy qu'il salue et à qui il propose de présenter son cheval.
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() / Mer 8 Fév - 18:43
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PARTIE DE CHASSE ROYALE
Emil ; “ Norfolk, Surrey et Graham ont boudé le petit-déjeuner pour échapper aux mères et leurs débutantes de filles. “ Voilà un titre bien accrocheur ! C’est un succès assuré. Dit-il en riant, un peu jaune malgré tout. William détestait être la proie de la presse à scandale mais , tout comme ses collègues du jour, il n’était pas dupe. Lady Whistledown allait s’en donner à coeur joie.
La cloche retentit enfin et William, qui suivait en silence les conversations de ces messieurs, valida d’un large sourire la proposition du Duc de Norfolk de se hisser rapidement sur leurs montures pour survivre à la sortie à venir des derniers convives encore au petit déjeuner.
Messieurs, tous à cheval ! Il va nous falloir quelques paris pour pimenter un peu cette chasse ! J’espère que vous êtes de bons compétiteurs ?
S’il avait un esprit de compétition bien trop développé, c’était également un très mauvais perdant et ses maigres compétences en chasse ne l’aidait pas à se sentir très à l’aise. Malgré tout, il comptait bien s’amuser et se vider la tête après ce réveil particulièrement piquant.
Ses jambes engourdies par les kilomètres de la veille eurent du mal à hisser le comte sur son fidèle compagnon ; Arès. Un splendide cheval bai brun, aussi fougueux et lunatique que son propriétaire, ces deux-là, ils étaient faits pour s’entendre. A peine fut-il sur le dos de sa monture que William sentit son coeur se serrer dans sa poitrine. Elle approchait, accompagnée par ses parents et saluant un à un les jeunes hommes présents à ses côtés. Abélia resplendissait et William aurait aimé pouvoir lui accorder un peu d’attention… ce qu’il ne fit évidemment pas, trop fier et trop stupide parfois. Il se contenta de brèves salutations à peine cordiales, car plus il était mal à l’aise, plus il se montrait froid. Une technique imparable pour anéantir tout espoir de bonheur.
Lord Lewes, Lady Lewes, c’est un plaisir de vous revoir. Ma chère mère ne cesse de parler de ce séjour à votre domicile. Elle m’a chargé de vous adresser ses salutations. Elle espère vous voir venir rapidement à Surrey. Miss Lewes. Dit-il en inclinant son chapeau avec un regard particulièrement difficile à déchiffrer.
La bonne humeur entre les hommes s’était installée sans difficulté et déjà quelques pics volaient ici et là, Lord Graham riant sans méchanceté de son cousin.
Voilà fort longtemps que je ne vous avais pas vu, vous et votre épouse Lord St John. Vous faites partie des rares privilégiés à pouvoir profiter de cet évènement sans crainte, le mariage apporte son lot de privilège finalement ! Même si je dois admettre que Lady Clayton semble contrariée... Elle ne connaît pas votre épouse et son tempérament de feu à l’évidence… dit-il en riant.
William et Esmée se connaissaient depuis leur plus jeune âge, une amitié de longue date qui comptait beaucoup pour lui. Il scrutait avec attention la scène, parfait prétexte pour ne pas se faire happer par le regard ciel d'une demoiselle beaucoup trop près de lui...
Résumé : William apprécie l'humour des ces camarades du jour, les 2 cousins ne manquent pas de répartie (@Alistair Graham & @Emil d'Aetheling). Il tente tant bien que mal de rester parfaitement indifférent face à l'arrivée d'@Abelia Lewes alors même qu'il n'a cessé de penser à elle tout au long de son trajet en solitaire jusqu'ici. Il aperçoit @Esmée St. John en mauvaise posture et se réjouis de pouvoir retrouver son amie une fois de retour, appréciant également pouvoir discuter avec son époux qu'il connaissait moins ; @Laszlo St. John.
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() / Mer 8 Fév - 20:26
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PARTIE DE CHASSE ROYALE
Repérant mon frère ainsi que Miss Tilney et sa jeune sœur au bout de la table. Je les rejoins donc avant d’être surpris par Manoë et son accueil. Je m’installe aux côtés de Nailys, en face de mon frère. Je demande à la demoiselle à mes côtés s’ils ont été servis pour le petit déjeuner et j’apprends que c’est le cas. Dans ce cas, je déjeunerais seul. Une assiette arrive alors et je mange tranquillement avant de parler à mon frère et du fait qu’il soit parti plus tôt de la chambre.
- J’ai vu cela effectivement. Néanmoins, vous auriez pu profiter pour vous reposer un peu, vous n’allez pas au travail aujourd’hui.
Certes, il était tout de même là au cas où il y aurait un blessé, chose que je n’espère pas bien évidemment. Mark se lève alors et je lui offre un petit sourire avec un hochement de tête, ayant la bouche rempli de nourriture de mon délicieux petit déjeuner. Je souris amusé quand je l’entends me dire de ne pas faire le moineau avant de lui répondre.
- Oui papa, promis.
Il est vrai que je ne mange pas beaucoup en temps normal, mais je compte bien profiter de ce bon buffet. Je termine donc mon repas que la cloche indique qu’il est l’heure pour les hommes de rejoindre leurs montures pour partir chasser. J’aurais aimé y participer, malheureusement ma jambe m’en empêche. Je devrais donc me contenter de les regarder partir et rester dans la demeure pour la journée.
- Vous avez raison, allons-y.
Je lui souris avant de lui tendre mon bras, prenant ma canne dans l’autre main. Bien évidemment, Manoë est invitée à nous suivre.
L'aura de Luisa file dans l'air comme un voile sur le monde beaucoup trop guindé pour Aodh. ça glisse sur ses nerfs, ça s'applique sur son derme. Le Loup s'apaise un instant, un peu. Il sourit avec douceur à son interlocutrice. Mais le rictus se brise. "- Je vous remercie pour ce positivisme rafraîchissant, Mylady." Il marque une légère pause. "- Je redoute surtout ce qui peut arriver. J'espère que votre journée vous sera profitable à bien des égards mylady."
Le bord de la tasse vient rencontrer les lippes. Le mâle grimace, la comissure des lèvres s'agitent. C'était aussi chaud à la gorgée précédente ? Aussi... Fort bien... Le goût est vraiment... spécial. As tu voulu faire comme de ceux de la haute, Wolf? Il s'écarte de la tasse, en regarde le contenu avec un air intrigué et surpris. Les sourcils s'arquent. Un oeil vers Luisa et il sourit. "- Je crois que j'y ai mis trop d'assurance." Il rit avec légèreté. "- Comme pour répondre à l'invitation pour la chasse..." ajoute t'il en un murmure, en voyant @Edward G. Lovewell dans son sillage. "- Je serais ravi de vous avoir à mes côtés pour cette courte balade."
La jeune femme lui partage son intérêt pour les équidés, confessions dont il n'était pas préparé. Préparé dans le sens qu'il ne s'attendait pas à cela d'une lady de haut rang généralement bridée par les mères et l'influence, la réputation du père. Loin de lui l'idée que cela le dérange, il appréciait le naturel chez les femmes. C'était moins fade, plus spontané. Ainsi, il ne perd pas de temps pour la rassurer. "- Vous ne parlez pas trop. J'aime les conversations simples. Il se lève, lui propose sa main puis son bras. Une fois à son bras, Aodh renchérit "- Avant, chez moi j'avais un cheval géant, un shire. Un de nos voisins voulait s'en débarasser. Il s'est révélé être le meilleur cheval de travail qui m'ait été donné d'avoir" Il accorde un signe de tête à Edward avant de se mettre à marcher vers l'extérieur.
Spoiler:
Aodh discute avec @Luisa Hammond. Il apprécie son positivisme et sa spontanéité, malgré lui sa réticence pour la chasse. Il accepte sa proposition à l'accompagner. @Edward G. Lovewell le rejoint et se fait discret, il lui accorde un signe de tête afin que tous les trois partent pour l'extérieur
Jonathan Winslow
Jojo l'aspirassiette
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() / Sam 11 Fév - 4:02
Jonathan Winslow
Partie de chasse royale 3e tour
Après avoir salué Willem Hohenzollern sasn de réelles réponses (mais qu peut en vouloir aux plus grands noms du pays?), l'attention de lady Winwslow fut détournée vers celle des Lewes avec qui ils discutèrent un peu avant que l'attention du père s'envole très rapidement, laissant lady Winslow un peu choquée par l'impolitesse bien qu'elle le masqua par un joli sourire et en secouant la tête. « Non, non, bien sûr que non, je comprends tout à fait. Je vous souhaite une très bonne chasse. Nous nous reverrons plus tard. »Ou jamais. Le ton de sa voix ne pouvait s'empêcher d'être un peu pincé. Apparemment, ce lord Graham avait bien plus d'importance que leur famille et Lady Winslow n'appréciait guère ce type de comportement dépréciatif de sa famille.
Se levant après un petit-déjeuner très appétissant, les Winslows quittèrent la salle alors que le début de la chasse fut sonné. Ils devaient choisir leurs montures et aussi leurs armes et savaient que les meilleurs seraient choisies en premier. Lady Winslow abandonna rapidement ses fils pour aller s'installer avec les dames et les trois fils se dirigèrent alors pour aller jeter un œil aux montures. Ils avaient bien entendu l'habitude de monter et appréciaient d'ailleurs même courir ensemble. Mais Jonathan particulièrement, qui suivait les courses de polo assidûment toutes les semaines, s'y connaissaient et savait apprécier les qualité d'un bon cheval. Après avoir choisi sa monture, il alla chercher son arme qu'il remplit de munitions et enfin, il fut prêt.
Depuis leur discussion avec le prince de Hanovre, il éprouvait une certaine appréhension de vouloir être parmi les meilleurs dans cette chasse – encore plus vive si possible que cette envie de rivalité avec cette frère qui existait depuis toujours dans n'importe quelle activité. Cependant, son envie de faire mieux était à son paroxysme aujourd'hui et c'était en grande partie à cause de sa sa brève entrevue avec le le prince de la veille au soir où il avait surprit ses paroles. D'ailleurs, ses frères venaient juste de le taquiner à ce sujet car ils avaient eux aussi deviné qu'il avait rencontré la veille le prince dans d'étranges circonstances et ils se doutaient que celles-ci avaient été peu gracieuses. Ils connaissaient la tendance à la gourmandise de leur frère Jonathan ; maintes fois elle lui avait porté préjudice !!
« Etes-vous prêts mes frères ? Moi je le suis. » s'écria t-il après être monté sur sa monture et après avoir vérifié que celle-ci était correctement harnachée. « Vous allez voir, je vais vous battre à plate couture ! » lança t-il à ses frères sur un air de défi même si au fond il savait que son frère aîné serait sûrement devant lui. Si Jonathan se débrouillait admirablement sur un cheval, il n'en demeurait pas moins que son frère aîné était quand même meilleur à la chasse que lui.
Spoiler:
Résumé : La famille Winslow disent au revoir au Lewes @Abelia Lewes en leur souhaitant bonne chasse; la comtesse Winslow ne peut s'empêcher d'être un peu pincée par l'attitude du père cependant bien qu'elle reste courtoise. La petite famille finit de manger avant de rejoindre l'extérieur où les trois fils choisissent une monture tandis que leur mère s'en va rejoindre les dames qui attendent le début de la course. Peut-être trouvera l'opportunité d'une conversation intéressante avec quelqu'un ? Elle l'espère.
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[...] il avait une façon de vous regarder, son regard vert si intensément fixé sur vous que vous aviez l'impression d'être seul au monde avec lui.
Edward Stanhope
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Emploi : Lieutenant dans la Royal Navy, mais il est de retour en Angleterre et à Londres depuis Janvier 1813 pour assister son frère aîné dans les affaires familiales et à l'aider à faire le bon choix d'une épouse. Il n'a aucune ambition de ce genre pour lui-même. Cela lui semble terriblement fastidieux déjà d'essayer d'aiguiller correctement son frère...
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() / Sam 11 Fév - 4:10
Edward Stanhope
Partie de chasse royale 3e tour
titre ou sous titre ou citation
« Venez Edward, il est temps d'y aller. »
Après un petit-déjeuner avalé, Edward et sa mère furent enfin prêt d'y aller. Ils avaient pris leur temps de manger – sans compter que ce serait du gâchis de donner l'impression d'avaler cette nourriture sans paraître apprécier chaque bouchée à sa juste valeur. Lisant un journal, Edward attendit ensuite que sa mère finisse par se préparer puis, lui tendant le bras, ils sortirent tous les deux de leur appartement pour rejoindre la cour extérieure ou déjà les invités de rendaient après s'être régalé d'un délicieux et copieux petit-déjeuner. Edward conduisit tout d'abord sa mère à l'emplacement des femmes qui resteraient là discuter ensemble tout en échangeant des avis très enthousiastes sur la chasse en cours ou encourageant les participants. Il prit congé ensuite et s'en alla choisir un cheval.
Evidemment, Edward savait comment remarquer un bon cheval et après avoir passé en revu tout ceux qui restaient alignés, il s'arrêta devant l'un d'entre eux d'un joli gris pommelé. Se rapprochant doucement, il vint lui flatter l'encolure, le laissant flairer son autre main qui était libre. Il entreprit ensuite d'examiner l'état de la bête tout en alliant les gestes et un œil observateur et expert. Satisfait enfin, il se saisit des rennes de sa monture avant de rapprocher sa tête de la belle bête tout en esquissant un sourire. « On va passer un on petit moment ensemble n'est-ce pas ? J'espère que tu as passé une bonne nuit. Tu vas en avoir besoin aujourd'hui. » Entraînant sa monture tout en parlant et en lui flattant l'encolure, il alla se chercher une arme et de la poudre. Tout autour de lui, tout le monde semblait se connaître. Il avait l'impression de se sentir un peu le paria mais de nature solitaire, cela ne le dérangeait pas. Peut-être était-il un vieux loup de mer tout simplement qui se satisfaisait de sa compagnie ? Mettant le pied à l'étrier, il grimpa sur sa monture avec savoir-faire et s'assit sur sa selle avant de conduire sa monture là où le départ de la course était placé. Il s'arrêta non loin des frères Winslows et sembla légèrement amusé par la sorte de rivalité qui semblait lier les trois energumènes.
Résumé:
Spoiler:
Edward rejoint la compagnie en bas avec à son bras sa mère puis ils sortent directement dehors afin de choisir la monture de ce dernier. Alors que la mère part s'asseoir avec les autres ladys pour observer le départ de la chasse, Edward rejoint quant à lui l'endroit du départ en s'arrêtant non loin des frères Winslows.
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() / Sam 11 Fév - 10:30
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PARTIE DE CHASSE ROYALE Tour III
Forcément, avec autant de monde rassemblé au même endroit, il peut vite arriver de se sentir à l'étroit et voilà sans doute pourquoi ces messieurs préfèrent se retrouver en petit comité à l'extérieur. « Le plus grand péril que vous puissiez affronter aujourd'hui c'est bien vrai. » ironise-t-il au sujet des autres, encore célibataires et de ce fait, eux aussi un gibier couru en ce jour. « Mais je rejoins Norfolk sur ce point, le cheval est la plus belle conquête de l'Homme. » souligne-t-il en souriant, car s'il le pouvait, lui aussi passerait sa vie à cheval plutôt que sur la terre ferme. Et le discussion reprend de plus belle et oui, à n'en pas douter, le prince aura de quoi étancher la soif de ses invités une fois la chasse passée. Il est vrai que pour lui, marié depuis des années déjà, la chasse n'est que cela, une occasion de s'aérer et de voir du monde et il est bien aise de ne pas avoir à se soucier de ce détail là, même s'il continue d'ouvrir l’œil potentiellement, afin de caser sa dernière sœur car pour ce qui en est de son aînée, il attendra l'an prochain.
La cloche résonne alors, annonçant le départ de ces messieurs dans les moments à venir et Laszlo s'assure que son destrier est correctement arnaché tout en s'amusant des échanges entre les autres. Il acquiesce à la question d'Alistair. Esmée, fidèle à elle-même et n'en faisant qu'à sa tête. « C'est bien elle oui, et elle a du oublié qu'ici elle ne pourrait se joindre à moi. » Il est vrai que sur leurs terres, sa femme l'accompagne quand il part chasser. Prenant place sur sa selle, il sourit à William quand celui-ci plaisante sur son statut d'homme marié et sur le caractère bien trempé de son épouse. « Je crois qu'il me sera plus facile de dompter un cheval sauvage que d'en faire autant avec mon épouse. Mais c'est aussi pour ça que je l'aime. » lance-t-il en plaisantant, même s'il y avait un fond de vérité dans ses paroles. « Quant au pari, je suis habituellement un homme qui aime à tenter la chance, mais aujourd'hui je crains de n'avoir qu'à me montrer raisonnable, surtout si ma femme continue de faire tant d'effort pour attirer l'attention sur elle. » Il irait d'ailleurs sans doute lui toucher un mot par la suite, se demandant bien quelle mouche avait pu la piquer depuis quelques temps, même s'il avait une idée sur le pourquoi de son comportement actuel. Il espérait d'ailleurs que sa jeune pupille profitait bel et bien de l'occasion pour se faire de nouvelles connaissances, elle si esseulée dans ce pays qui n'était pas le sien.
Spoiler:
Résumé : Laszlo continue d'échanger avec @Emil d'Aetheling@Alistair Graham@William Lightwood et @Aidan Percy avant de monter en selle, ironisant sur le comportement un peu étrange de sa femme (qui doit paraître déplacé à tous les autres, forcément) et espère que de son côté Luisa profite de l'occasion pour nouer de nouvelles amitiés/connaissances.
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() / Sam 11 Fév - 10:47
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La partie de chasse royale 3ème tour
« Il en va du devoir de tout grand-frère que de veiller sur ses frères et sœurs. C’est un plaisir de voir que les Smith-Stanley savent garder l’humour comme traits de famille. »
Mon frère s’esclaffa alors quelque peu. « Ah ça ! Je ne peux que tomber d'accord avec vous votre Altesse. Il est sûr que ma soeur n'en manque pas. » Dit-il en me couvant du regard que j'échangeais, gardant le mien assez malicieux.
Nous furent coupés dans notre échange par le retour du prince Octavian qui ne sembla pas remarquer notre présence. Il était temps pour nous de prendre discrètement congés du prince de Prusse. L'attention n'étant plus portée sur nous, nous nous retirâmes avec discrétion pour retrouver nos places à table.
Toutefois bien rapidement, trop à mon goût, les cloches indiquant le départ pour la chasse retentirent. Beaucoup se levèrent et partirent. Mon père souhaita que le gros de la foule ait quitté les lieux pour en faire de même à notre tour. Mon père n'aimait pas trop se mélanger à la foule, il se sentait rapidement étouffé et je ne pouvais que le comprendre après ce petit déjeuner.
Nous sortîmes à notre tour. J'examinais un peu la disposition des différents groupes et remarquais rapidement que les hommes s'étaient semble-t-il réunis entre eux. Certains semblaient fort entourés d'attentions comme c'est le cas de lord Lightwood que nous allèrent voir pour lui souhaiter une bonne journée. Puis nous en firent de même avec Hermès que j'avais dû trop rapidement abandonner pour développer une véritable discussion ce matin. J'espérais qu'à leur retour nous aurions l'occasion d'échanger un peu plus. Je coulais alors un regard vers le prince de Prusse également que j'avais eu l'occasion de rencontrer et lui sourit. Enfin, j'accompagnais mon père et mon frère se choisir une monture. Nous croisèrent alors un homme accompagné de sa monture et qui visiblement allait se chercher une arme et de la poudre. Mon père et mon frère le saluèrent en inclinant la tête avant d'aller eux-mêmes choisir leur compagnon de route pour la journée. Nous restions en retrait et saluons à notre tour d'une petite révérence le jeune noble qui passa près de nous et attendions nos hommes. Ils prirent tous deux un peu de temps pour faire leur choix et emmener eux aussi leur monture pour aller prendre ensuite ce qui leur fallait pour la chasse. Puis revenir vers nous. Je remarquais que certaines dames se trouvaient déjà à un endroit plus loin sans doute à celui prévu pour que nous puissions nous divertir dans l'attente du retour des chasseurs.
Nous souhaitions une bonne journée à mon père et mon frère, heureux de la belle journée qui s'annonçait.
RÉSUMÉ:
Emma et son frère s'éclipsèrent après avoir discuté avec @Wilhelm de Hohenzollern puis avec leur famille, ils sortirent de la salle et allèrent saluer leurs amis @William Lightwood et @Hermès De Wellington, leur souhaitant une bonne chasse. Emma sourit également à @Wilhelm de Hohenzollern de loin comme si elle lui souhaitait bonne chance sans pour autant oser le déranger. En allant chercher leur monture ils croisèrent @Edward Stanhope qui allait en chemin inverse et le saluèrent.
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() / Sam 11 Fév - 11:39
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PARTIE DE CHASSE ROYALE PART III
Tout ceci était un peu accablant pour lui, l'agitation, le grand nombre de personnes réunies au même endroit, créant un brouhaha imposant dont il n'était plus coutumier depuis si longtemps tout en vivant dans l'un des pays sans doute le plus peuplé pour l'époque. Mais le fond sonore de la vie quotidienne était bien différent de celui des ragots et messes basses, il faut bien le dire. Et s'il ne s'était pas forcé à venir ici dans le but de trouver d'éventuels élèves à instruire, il serait plutôt rester à Londres, car clairement, il n'avait pas la sensation d'appartenir à ce monde là qui pourtant était le sien, en partie, avant de partir à l'autre bout du monde une décennie plus tôt. Heureusement pour lui, une fois à l'extérieur, où il trouve déjà un peu plus de sérénité à l'air frais, il voit une scène qui lui fait plaisir. Un petit garçon captivé par une statue. Et il y détecte une curiosité naturelle qu'il s'empresse d'aller nourrir en lui parlant de son histoire. Après tout, c'est son métier, qui il est, un passeur de savoir. Il s'interrompt un instant quand le père du jeune garçon arrive et il acquiesce à sa question. « C'est bien évidemment un compliment Mylord. » confirme-t-il en souriant au petit. « Nous ne l'avons pas été et je m'en excuse. Ravi de faire votre connaissance Monsieur Evans. Je suis The-... » Mais pas le temps d'en dire plus puisque la cloche résonne et son interlocuteur doit s'en aller pour rejoindre sa monture. Il se retourne alors vers l'autre homme avec un sourire contrit sur le visage. « Navré pour ceci, mes manières sont quelques peu rouillées. Theobalt Faulkner, enchanté.[/b] » dit-il en présentant sa main à l'autre homme. « J'espère que je n'ai pas offusqué votre ami ou son épouse avec mon intrusion mais c'est un peu une déformation professionnelle si on peut dire. Les enfants curieux sont les futurs grands esprits de demain. » C'est effectivement ainsi qu'il voit les choses, car il est conscient que si changement devait se produire dans cette société, cela se ferait sans doute par cette génération là, si tant est qu'on la forme avec attention. « Vous non plus vous n'irez donc pas chasser ? Je me sens un peu moins seul de ne pas prendre par aux festivités, je ne vais pas m'en cacher. » lance-t-il alors en riant légèrement, portant sa main sur son côté par réflexe, le geste étant encore un brin douloureux pour lui même s'il avait récupéré quasi complétement à présent. Quand on sait d'où il revenait, c'était presque un miracle qu'il se tienne là aux côtés de Mark.
Spoiler:
Résumé : Se présentant convenablement à Jacob et Mark, enfin surtout à Mark puisque Jacob doit aller rejoindre sa monture, Theo s'excuse de ses manières sans doute un peu défaillantes puis admet au docteur qu'il est soulagé d'avoir quelqu'un pour lui tenir compagnie vu qu'il ne peut pas participer à la chasse .
Judith Leveson-Gower
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() / Sam 11 Fév - 16:35
Judith Leveson-Gower
Une voix féminine s’était élevée en contrebas, détournant l’attention de Lucinda de son compagnon à plumes. Son visage lui sembla vaguement familier, des traits qu’il lui semblait avoir déjà vus mais comme perdus dans la brume de lointains souvenirs. Sans chercher plus loin, elle adressa un sourire à la demoiselle.
- Il est adorable n’est-ce pas ? Peut-être a-t-il une famille à nourrir, songea-t-elle en regardant le petit animal picorer sans relâche le biscuit émietté.
La cloche du château retentit alors, annonçant de son tintement solennel le départ imminent de la chasse et faisant fuir le volatile à tire d’ailes. Arya se matérialisa alors aux côtés de Lucinda pour l’inviter à rejoindre le groupe grandissant qui se formait autour des cavaliers.
- Oui, allons-y. Tout le plaisir était pour moi, ajouta-t-elle à l’intention de la demoiselle qui prenait congé. Je serais enchantée de vous retrouver un peu plus tard.
Se dirigeant vers le reste des convives, Lucinda coula un regard discret à Arya avant de l’assaillir de questions, se composant le visage neutre d’une dame s’adressant à celle qui, aux yeux de tous, n’était que sa domestique :
- Comment était le repas à l’office ? Tu as rencontré les autres domestiques ? As-tu entendu quelques histoires croustillantes sur les invités ? demanda-t-elle, les yeux brillants d’un éclat gourmand.
La vie des domestiques lui était parfaitement indifférente, cependant lesdits serviteurs connaissaient des secrets bien cachés par leurs maitres et pour peu que leur langue se délie facilement, l’office pouvait se transformer en véritable usine à ragots. Ce dont la jeune débutante raffolait.
Ayant désormais rejoint la petite foule compacte ; Lucinda repéra son père, déjà perché sur sa monture, en compagnie de la Comtesse qui jeta un regard menaçant à Arya, comme pour lui rappeler de bien rester à sa place.
Mal à l’aise en présence des chevaux, qui semblaient pressés de s’élancer, la jeune fille souhaita une bonne chasse au Comte avant de s’éloigner avec sa mère pour rejoindre un petit groupe qui s’était formé à l’écart des cavaliers, retrouvant par la même occasion la jeune fille de tantôt, qui avait également délaissé les chevaux pour caresser les chiens de chasse. S’approchant d’elle, elle salua poliment la matrone à l’air sévère qui devait être sa mère, avant de s’adresser à la demoiselle.
- Nous semblons avoir en commun l’amour des bêtes, Miss… ?
Elle lui adressa un sourire chaleureux, tandis qu’un jeune chien s’écartait de la troupe pour venir renifler l’ourlet de sa robe. Avec un petit rire, elle se pencha en avant pour lui caresser la tête, tout en resserrant ses jupes autour d’elle. Son amour des animaux avait pour seule limite l’intégrité de sa tenue.
- J’avoue cependant ne pas être très à l’aise avec les chevaux. Il sont si… imposants. Majestueux mais intimidants, continua-t-elle, le regard soudain fixé sur un certain Duc qui répondait à cette description autant que l’animal qu’il chevauchait.
Résumé:
Lucinda va rejoindre les cavaliers en compagnie d'@Arya Harrington. Elle retrouve ses parents et souhaite une bonne chasse à son père avant de s'éloigner des chevaux pour retrouver @Elinor Gilderstone à l'écart et engager une nouvelle conversation avec elle, tout en lorgnant de loin sur @Emil d'Aetheling.
Elea Leveson-Gower
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() / Sam 11 Fév - 20:24
Elea Leveson-Gower
La partie de chasse royale Tour 3
Plus elle avançait et plus son coeur frappait dans sa poitrine comme si il se débattait contre sa retenue. Comme si il se démenait afin de la pousser vers lui, quand elle s'évertuait avec tous les efforts du monde à concerver une allure convenable. Trois pas derrière Lucinda. Toujours. C'était là ce qu'exhigeait d'elle la Comtesse en société. Arya s'y appliquait donc, mais Dieu qu'il lui était difficile de résister à cette traction qui semblait défier toutes les lois de ce monde... La présence d'Emil l'appelait comme si il était son double aimant. Il était ce point de gravité qui ne cessait de l'attirer.
C'est alors qu'elle réalisa. Toute à son émoi de le retrouver ici, elle n'avait pas songé au drame de la situation qui lui apparaissait désormais. Elle se dirigeait vers Emil. En compagnie de Lucinda... Lucinda qui avait jeté son dévolu sur lui depuis le début de la Saison... Arya blêmit soudain et sentit son coeur tomber à ses pieds. Ses jambes chancelèrent légèrement et une boule d'angoisse lui noua le ventre alors qu'elle avançait soudain presque à reculons. Ses yeux clairs allèrent de Emil à Luci. Seigneur...
- Quelques uns oui.
Elle s'était cependant abstenue d'ouvrir la moindre conversation avec toute personne n'ayant pas sollicité la sienne. Elle qu'on avait toujours forcée à l'ombre du secret jusqu'à présent, avait le droit à un pas dans la prénombre et c'était déjà un tout autre monde pour elle. Il y avait tant de personnes, tant de regards ! C'était intimidant et elle n'avait pas de masque derrière lequel se cacher cette fois.
-Hmmm, réfléchit-elle.
Arya n'était pas friande des potins des serviteurs et pour cause, elle était le sujet le plus intéressant de la Maison Conisburgh dont les domestiques pouvaient parler... Elle n'était pas d'avantage prompte à colporter, mais l'information était en train de faire le tour des oreilles à en juger par les quelques messes basses qui circulaient déjà.
- Lord Lightwood aurait offert sa robe à miss Lewes.
Auprès du cheval du Comte, Arya s'efforça à ne pas réagir au cheval qui cherchait son contact, reconnaissant surement la main qui le flattait souvent à l'écurie. Son père lui adressa un sourire perceptible uniquement dans ses yeux qu'elle lui rendit avant de s'effacer lorsque la Comtesse rejoignit sa fille. Arya les suivit auprès des chiens non loin des cavaliers. Son coeur s'emballa à nouveau. Elle osa un regard vers Emil et tomba dans ses yeux. Elle réalisa alors que c'était la première fois qu'il la voyait réellement dans son rôle de domestique. Elle déglutit, avant de baisser ses yeux, gênée.
Lui si haut sur son cheval, elle si bas sur le sol, il ne lui avait jamais paru plus loin, alors qu'il était si près...
Résumé:
Arya accompagne @Lucinda Conisburgh vers les cavaliers et y retrouve son père et la Comtesse. Elle suit sa sœur vers les chiens et ose un regard vers @Emil d'Aetheling. Elle se sent soudain horriblement gênée de lui apparaitre pour la première fois dans son réel statut.
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Can you hear me echoing ?
Here comes a wave meant to wash me away A tide that is taking me under Swallowing sand, left with nothing to say My voice drowned out in the thunder
Arielle Percy
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() / Sam 11 Fév - 20:27
Arielle Percy
"Une partie de chasse Royale"
Hunting is not a sport. In a sport, both sides should know they're in the game - Paul Rodriguez
Ainsi installée à la table du petit-déjeuner, la jeune rouquine sourie, amusée, prenant avec délicatesse quelques gorgées de thé. S'amusant des discussion l'encadrant, observant au loin le comte de Northumberland, lui offrant, parfois, un petit sourire avant de revenir à la discussion, notamment à l'arrivée prochaine du marquis de Northampton et le retour de celle-ci la surprit bien plus qu'autre chose.
"Apolline Sutton! Je vous interdis de dire cela ! Qu'importe l'homme qui vous épousera celui-ci aura intérêt à vous considérer comme le plus précieux trésor et se sentir honoré, sans quoi, croyez bien que ma mère et moi même nous occuperons de son cas."
Quelle idée ! Avoir de la chance ? Être trop vieille ? Cette demoiselle était splendide, sublime, douce, délicate. N'importe quel homme devrait baiser le sol qu'elle foule et se sentir honoré d'avoir un peu de son attention. Fulminant quelque peu en prenant une nouvelle gorgée de son thé alors que le marquis les rejoint, la félicite sur ses fiançailles ce à quoi elle sourit, acquiesçant lentement de la tête en le saluant avant de laisser son amie prendre la discussion. Finissant son petit-déjeuner en discutant avec ses frères de la chasse et de la journée à venir. Après tout, elle aussi, trouvée que le marquis pourrait être un bon parti pour elle, si elle le désirait, bien évidemment.
La cloche sonnant pour amener tout le monde vers la chasse, chacun finit son petit-déjeuner, suivant la foule vers l'extérieur, les chevaux, attendant calmement, les domestiques prêts, les chiens aboyant, jappant, sautillant. Le marquis invita Apolline à le suivre et la jeune rousse retint un petit sourire alors qu'elle observait ces messieurs rejoindre leurs montures, jusqu'à croiser le regard de son fiancé à qui elle sourit avant d'observer son père, lui demandant si elle pouvait aller saluer le comte. Bien sûr, il accepta et la duchesse grommela alors que la jeune femme rejoignait suivit par celle-ci son promis, lui offrant un doux sourire.
"Bonjour Aidan. Quelle belle journée n'est-il pas ?"
Observant un peu autour d'elle, l'effervescence de la journée lui plu et avec douceur elle caressa l'encolure de sa monture, le laissant répondre avant de lentement sortir un petit mouchoir brodé d'une violette et d'un A qu'elle tendit à l'homme.
"Avez-vous pensé à prendre un mouchoir ? La journée sera chaude. Tenez, je vous en prie, accepter ce modeste présent. Je l'ai brodé moi-même."
Aucun doute à ce sujet aux vue du travail de broderie qui laissait clairement à désirer, mais elle était, malgré tout, ravie de ce petit présent pour la journée.
Code by Sleepy
Résumé:
Arielle salut @Ulysse Nightingale, le remerciant pour ses félicitations avant de le laisser parler tranquillement avec Apolline, se mettant légèrement en retrait. La cloche sonnant, elle rejoint, comme tout le monde, l'extérieur, observant l'effervescence du moment et s'amuse de voir @Apolline Sutton suivre Ulysse, avant de demander permission à son père de saluer @Aidan Percy. Suite à son autorisation elle s'y rend, lui parle un peu et lui offre un mouchoir brodé d'un A et d'une violette
Lyana laissa partir la jeune femme dont elle ignorait l'identité. Probablement une future débutante qui accompagnait un parent. Et qui n'avait pas jugé bon de se faire présenter. Voilà qui était impoli. Non pas que la pupille de la Reine fut toujours très à cheval sur les convenances, mais ce matin, elle décidait qu'elle l'était, voilà ! Lyana avait grandit telle une petite tornade à la campagne au point de faire rendre leur tablier à bien trop de gouvernantes pour les compter. La vie de château suite au drame lui ayant arraché sa famille lui avait appris à se canaliser quelque peu, le poids de son traumatisme aidant. Le mutisme dans lequel elle s'était plongée avait été effroyablement long... Si elle avait fini par le quitter, elle y avait néanmoins laissé sa voix qui elle n'était jamais revenue. L'éducation royale avait apaisé la fougue et l'indiscipline de la petite fille qu'elle était mais son caractère en revanche n'avait jamais vraiment changé. Il demeurait vif ! Lyana avait du mal à gérer la contrariété...
Seule avec l'objet de son courroux, la pupille de Sa Majesté l'écouta lui demander les raisons de sa réprobation. Elle haussa un de ses sourcils fins et détailla ouvertement la toilette de la noble qui lui faisait face, ne pouvant être plus équivoque. Pourquoi portait-elle une tenue de chasse ? A dire vrai à mesure de son observation, elle réalisa qu'elle n'avait jamais vu aucune dame porter un tel accoutrement que ce fut ici ou ailleurs. Était-ce là une nouvelle mode ? De Paris peut-être ? C'était toujours l'argument afin de faire accepter une toilette fort extravagante. La Reine refusait qu'elle commande à Paris de peur de ce que sa pupille ferait venir. Elle avait raison... L'Angleterre n'était pas encore prête pour ses goûts ! Lya avait une certaine inclinaison pour l'audace et ne pouvait donc s'empêcher de se montrer curieuse de la tenue de la noble, mais elle trouvait néanmoins que le corset et la chemise apparents étaient une tenue fort peu convenable et ce d'autant plus pour les activités prévues à l'intention des dames.
Non à vrai dire, elle s'en moquait totalement. Elle était juste furieuse à l'idée qu'une autre dame puisse aller à la chasse alors qu'on lui avait refusé à elle d'y aller ! Le son de la cloche indiquant que la chasse allait bientôt être lancée retentit, coupant court à cette éventualité. Il était désormais trop tard pour que quiconque rejoigne la horde ! Lya s'apaisa donc. Elle regarda son interlocutrice, puis le groupe de cavaliers. Finalement elle prit ses jupes en mains et courut jusqu'à ses cousins. Elle ne voulait pas manquer le départ du groupe, à défaut de ne pouvoir participer. Les chiens qui la reconnurent lui sautèrent après. Elle en caressa à la volée en riant tout en esquivant quelques coups de langues baveux.
Résumé:
Lyana a décidé d'avoir mauvais caractère et s'insurge que @Emilia Fitzroy ne se présente pas. Elle fait comprendre à @Esmée St. John que le problème est sa tenue alors que la réalité de son mécontentement est ailleurs. Au son de la cloche, Lya file rejoindre le groupe et se laisse sauter dessus par les chiens.
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'Cause we were just kids when we fell in love, Not knowing what it was.
Mark Healey
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() / Dim 12 Fév - 12:26
Mark Healey
Partie de chasse royale
3ème tour.
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Se lever plus tard… Si seulement cela était possible pour lui, mais régler comme une horloge, Mark se levait toujours avant le soleil et se couchait bien après lui. « J’en ai bien conscience, cher frère. Mon corps en revanche est trop rôdé à l’exercice. » Répond-il simplement à son benjamin avant de quitter la scène, tout en levant les yeux au ciel à la remarque de Neal ; sans jamais dire que cela lui chauffait le cœur pourtant. « Parfait, cher fils adoré. » Dit-il avec la même ironie, avant de sortir et de rejoindre ainsi Jacob.
Cigarette à la main, le médecin écoute son meilleur ami et observe le jeune Matthew avec un vague sourire. En ce qui concerne la partie sur son épouse, Healey ne peut que répondre d’un mince sourire, se sachant non étranger à cet état de fait et éprouvant peut-être une once de remords dans ce qu’il fit. Mais avant qu’il n’ait pu répondre, un autre homme les rejoint en parlant de son ‘neveu’. Dès lors, Mark salue l’étranger tout en tirant sur son poison. L’arrivée de Charlotte fait sursauter le médecin, qui retient un rire à grand-peine en voyant détalé l’avocat comme un lapin traqué. Il suit ce dernier du regard, en évitant le regard de l’épouse. Finalement, lorsque son ami réapparait sur sa monture, Healey lui offre un sourire amical. « Monter, j’en rêve. Mais, vous connaissez mon aversion pour les coups de fusil… Et puis, que feriez-vous, si j’étais celui qui se blessait ? Amusez-vous bien Jacob. Et passez donc le message suivant pour moi au Vicomte St. John : Faites attention à vos poumons, ménagez-vous, le médecin n’a pas envie de professer aujourd’hui. D’ailleurs, ça vaut pour vous aussi Evans ! » Secouant ses boucles noires, le médecin vient à bout de sa cigarette et porte alors son attention entièrement sur le monsieur qui l’a rejoint.
Prenant la main du dit Théobalt, il la serre alors. « Mark Healey. Médecin, mais je pense que vous l’avez compris. » Ironise-t-il alors, reposant ses yeux chocolat sur les préparatifs. « Nullement, monsieur. Je pense surtout que c’est madame Evans, qui offusque monsieur Evans. » Il rit alors un instant, avant de reprendre son étui et une cigarette. Par politesse, il en propose à son voisin. Les enfants curieux sont les grands esprits de demain… Oui, où les proies des mauvais esprits, mais cela Mark se garde bien d’en faire mention. Sa propre curiosité l’ayant mené à des déboires sans noms et il ne se qualifierait pas de grand esprit, même si sûrement moins étriqués que la moyenne. « Vous êtes donc précepteur ? » Demande-t-il en allumant sa nouvelle cigarette. « Non. Un vieux traumatisme. Mon frère non plus d’ailleurs. » Il désigne Neal du menton, puis observe les gestes de Théobalt. « Vous avez été blessé ? Désolé déformation professionnelle également. C’est encore douloureux pour vous, on dirait. »
It doesn't hurt me. Do you want to feel how it feels? Do you want to know, know that it doesn't hurt me? Do you want to hear about the deal that I'm making? You, it's you and me ☾☾
Luisa Hammond
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Emploi : Compagnie pour l'épouse de celui qui l'héberge, le temps qu'elle se trouve un époux.
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() / Dim 12 Fév - 14:14
Luisa Hammond
Partie de chasse royale.
3ème tour.
La demoiselle espérait surtout ne froissez personne avec sa candeur et sa spontanéité. Difficile pour elle de ne pas vouloir venir en aide aux autres, par quelques paroles de réconfort, de joie et de compassion. Ce qu’au final, elle souhaiterait pour elle également ; ce que certains s’employait à lui offrir en retour en ce bas monde et les en remerciait. Un sourire des plus aimable se dessina sur ses traits, aux remerciements de Lord Wolf et ses joues rosirent délicatement. « Oh… je suis loin d’être une lady, Lord Wolf. » Rien de plus qu’une pauvre bourgeoise dans un monde trop noble. Toutefois, son sourire s’évapora à l’évocation de ce qu’il pouvait advenir. Certes, la chasse peut être dangereuse. « Je suis sûre que toutes les précautions d’usages ont été prises. Nous ne sommes après tout pas les hôtes de n’importe qui. » Dit-elle encore une fois, afin d’apaiser les tensions de son camarade de petit-déjeuner.
Voisin qui, comme elle, semble avoir bien du mal à ingurgiter son thé, ce qui lui fend les lèvres à nouveau d’un sourire de compassion. Sur un ton quasi murmurant, elle dit alors : « Je vous avouerai, que je déteste le thé. J’ai beau en avoir essayé des dizaines, c’est un refus net et catégorique. Pour ce qui est de cette invitation, je vous avouerais, que je ne suis ici que par la grâce de mes bienfaiteurs, Lord et Lady St. John. Tous deux amateurs de chasse. » Puis, Luisa sourit plus avant lorsque le lord accepte sa compagnie pour encore, un très court laps de temps.
Au bras du baron Wolf, la Mexicaine accorde un sourire aimable, en signe de bonjour, au jeune homme qui parait être le domestique de son accompagnateur. Après tout, la jeune femme n’est pas des plus nobles et sa famille s’est élevée à la force de ses bras ; à la sueur de son front. « C’est que, je ne voudrais pas vous embêter. » Dit-elle en marchant au bras de l’homme, qu’elle trouvait fort imposant, malgré sa gentillesse évidente à son égard. « J’ai lu des choses sur ces chevaux, mais je n’en ai encore jamais vu. J’espère en croisé à l’avenir. Au Mexique, nous utilisons principalement des ânes et des mules pour le travail. Il faut dire qu’ils se prêtent mieux aux mines. » Ses yeux verts se posent sur les différents cavaliers déjà en selle et les chiens jappant, courants de ci, de là. Reconnaissant ainsi de loin, Lord St. John avec un groupe d’homme, dont le Comte de Surrey, et un peu plus loin, Lady St. John en discussion avec des demoiselles tout aussi inconnues. « Et voici, cher Lord Wolf, que je me sens encore plus ridiculement petite. Avez-vous pris votre propre cheval ? »
résumé:
Accompagnant @Aodh Wolf, Luisa salue d'un sourire poli et aimable @Edward G. Lovewell. En sortant, elle repère quelques têtes connues.
Tenue:
(made by voodoo doll)
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Dos oruguitas enamoradas
Ay mariposas, no se aguanten más Hay que crecer aparte y volver Hacia adelante seguirás Ya son milagros, rompiendo crisálidas Hay que volar, hay que encontrar Su propio futuro
Ulysse Nightingale
Marquis
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Emploi : Ex marin marchand, ex capitaine pirate devenu marquis.
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() / Dim 12 Fév - 14:44
Ulysse Nightingale
Partie de chasse royake
3ème tour.
Suivant ainsi le cortège de gens se pressant à l’extérieur, Ulysse offre son bras à lady Sutton, afin de faire de même et d’aller se trouver un cheval pour l’occasion. Un frisson désagréable lui parcouru le dos, à l’idée de devoir tenir sur une selle durant la majeure partie de la journée. Vraiment… Ne pouvait-on chasser à pied dans ce pays ? Pourquoi fallait-il que ce soit à cheval ? Pour autant, l’ancien marin garda son calme et son apparence détachée, tandis qu’il conversait avec la pupille des Seymour. « Ah chère, Lady Sutton, cela dépendra sans doute des prises que nous ferons. Si, nous sommes d’une efficacité redoutable, peut-être cela ne nous prendra-t-il pas la journée. » En soi, cela ferait aussi ses affaires, de ne pas resté juché sur un de ces animaux. Pour la danse, il en ferait ses affaires. Finalement, peut-être préférait-il danser, que chasser. Toutefois, il ne l’affirmerait pas, car c’était une activité qu’il connaissait bien peu. « Je l’espère de même, Lady Sutton. J’apprécie votre compagnie après tout et la légèreté de vos pas grâcieux lorsque vous danser. » Ce qui n’était point mensonge ou vile flatterie. Quant au courage… Oh, il allait lui en falloir.
Une fois au dehors, Ulysse repère assez facilement son majordome qui, une fois n’est pas coutume, lui a trouvé une monture sans doute acceptable selon les critères du cavalier qu’il est. D’une robe blanc immaculé, l’animal ne lui en paraît pas moins impressionnant. Le regard de son domestique s’illumine en voyant qu’il est en bonne compagnie, ce à quoi Ulysse rétorque silencieusement par un plissement des paupières, signifiant qu’il va l’entendre prochainement. « Je vois que son Altesse Royale est un homme de goût en matière de chevaux. » Dit-il alors pour meubler le silence. Après tout qu’en savait-il ? Il n’y connaissait rien en chevaux, mais ce serait logique après tout. Flattant l’encolure de l’animal, qui semblait plus paisible que certains de ses condisciples déjà monter, il fit l’inspection du matériel. Enfin, il feintait, se doutant que Charles l’avait fait pour lui, vu son manque de connaissant. « Bien, l’amie. » Dit-il à la jument en lui caressant les naseaux. « Faisons ensemble honneur à son Altesse. » Ou du moins essayons, pensa-t-il. Il se hissa en selle avec suffisamment d’aisance que pour paraître avoir monter assez souvent dans son existence et ajusta sa position. Par Neptune, que le monde vu du dos d’un cheval, semble bien haut. Il reposa ses yeux sombres sur Apolline et lui envoya un sourire aimable et encourageant. « J’espère que votre journée sera agréable, Lady Sutton, et que nous aurons l’occasion de converser davantage plus tard. » Si cette bête, dangereuse aux deux bouts et fourbe au milieu ne le tue pas entre temps…
Résumé:
Accompagné de @Apolline Sutton , Ulysse rejoint son cheval de prêt et se met en selle en vue du départ de la chasse.
codage par aqua
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Oh, what a day, what a lovely day
I am the one that runs both from the living and the dead. Hunted by scavengers, haunted by those I could not protect. So I exist in this wasteland, reduced to one instinct: survive.(c)flotsam.
Heathcliff Howard
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() / Dim 12 Fév - 15:09
Heathcliff Howard
3ème tour.
Partie de chasse royale.
Des mieux installés sur sa selle et le dos de ce cher Héphaïstos, Emil sourit à nouveau à son cousin, avant de lever les yeux au ciel. « Mon cher Graham, si cette jument trouve sa place dans votre cœur et vous prouve ses qualités ce jour, vous faisant seulement songer à l’acheter, vous vous doutez bien que je vous en ferait cadeau. Après tout, il me sera des plus agréables de retourner chasser en votre compagnie et vous aurez ainsi, un cheval pour la chasse dont je serais sûr qu’il vous ramènera entier. » On ne plaisante après tout pas avec la sécurité de son cher cousin.
Observant St. John et Northumberland parler de leurs conditions, nettement plus enviable que la sienne pour l’instant, il sourit. « Il n’empêche oui, que le célibataire que je suis, sera ravi également de ne plus être poursuivit comme le gibier, que Surrey et moi-même somme en ce moment. » Se tournant un instant vers William, il sourit. « Ne le saviez-vous pas encore, je travaille secrètement pour le Whistledown. » Et Emil éclata de rire à cette blague, après laquelle il soupira largement. Ah la presse à scandale, qu’est-ce que cela l’ennuyait profondément. « Je vous avoue, Lord Lightwood, que je n’ai jamais été très joueur. Surtout pas après les frasques de mon frère aîné, qui m’ont en partie mené où je suis. Cela dit, je suis curieux de connaître votre pronostic quant à notre réussite aujourd’hui. »
Tout en continuant d’observer le nouveau Comte de Licoln, Emil ne se départit pas de son sourire aimable. « Eh bien, mon bon Lord Lewes, nous trouverons un temps vous et moi, pour nous assurer ensemble que c’est bien le cas. Je détesterais que ce ne le soit pas, car j’ai bien l’intention de ravir mes prochains invités en matière de cuisine. » Puis, comme la plupart des gens, son attention fût attirée sur la personne de la Vicomtesse St John et son aparté mouvementé avec la pupille de la reine. Cette fois, il jeta un regard rempli de compassion au Vicomte. « Au moins, cela évincera sans doute notre absence au déjeuner, si votre épouse prend toute l’attention à elle. » Ironise-t-il afin de détendre quelque peu l’atmosphère. Son regard se tourna alors vers lady Seymour, lorsqu’il s’agit de parler du fiancé d’Arielle et du désamour de la mère pour celui-ci. « Et Norfolk vous en sait gré, mon cher Graham ! » Lance-t-il alors avant de regarder Lord Percy. « Lady Seymour est et restera Lady Seymour… Mais elle s’y fera après tout. » Comme tout le monde. Alors qu’il balaie la foule du regard, il croise alors le Comte de Cambridge, son épouse, leur fille légitime et … Arya. Mais presque aussitôt, sentant son cœur s’échauffer, Norfolk détourne le regard, aussi prestement que la domestique baisse les siens. Il se découvre ainsi, une passion pour la horde de chiens.
Out on the wily, windy moors. We'd roll and fall in green. You had a temper like my jealousy. Too hot, too greedy. How could you leave me when I needed to possess you? I hated you, I loved you, too
Octavian de Hanovre
Prince
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() / Dim 12 Fév - 16:15
Octavian de Hanovre
Partie de chasse royale
1er tour.
Le sourire du Duc d’York et d’Albany s’agrandit au fur et à mesure que son cousin découvre le cadeau qu’il lui a commandé. L’on ne peut après tout clore la venue d’un membre de sa famille par un tel évènement, sans cadeau pour ce dernier. Il regrette, cependant, que Karl n’ait pu venir, lui aussi. Mais ainsi sont les choses et il fera parvenir au cadet, le cadeau qu’il lui avait prévu. Serrant également son cousin Prussien dans ses bras brièvement, Octavian le gratifie d’une légère tape amicale dans le dos. « Le goût est subjectif, Wilhelm, et ce qui me plait, ne plait pas forcément aux autres. Dès lors, je suis satisfait que ce cadeau trouve à la fois place dans ton cœur et dans tes goûts. » Pour ce qui est d’aimer la perfection, c’est sans doute autant une qualité qu’un défaut chez le prince d’Angleterre. « J’aime surtout que ce genre de choses soient parfaites, car il en va de la sécurité de chacun. Mais je confesse effectivement, que j’ai tendance au perfectionnisme. » Ironise-t-il avant de retrouver son étalon, d’inspecter son harnachement et de se mettre en selle avec souplesse et élégance.
Étudiant la scène entre Lyana et la vicomtesse St. John, York évaluait la nécessité à ce qu’il intervienne auprès des dames, afin d’éviter des crêpages de chignon inutiles. Mais fort heureusement, Lyana sembla s’apaiser d’elle-même et le prince pu souffler discrètement de soulagement. Wilhelm près de lui, il lui dit alors : « Apparemment, plus de souffle que de dégâts. Mais j’admets comprendre la source de son ire. » Dit-il en observant plus avant la tenue de la Lady. Oui, de quoi faire grincer bien des mâchoires.
Mais finalement, la foule s’amassant, les chiens jappants, impatients finirent par retenir son attention et le faire sourire du haut de sa monture. Distraitement, l’homme caressait l’encolure d’Arion en regardant le monde qui se pressait. Son regard obscur se posa sur la jeune femme découverte hier en revenant de la bibliothèque. Le Duc fronça un instant les sourcils aux réactions de la jeune femme, lorsque passant de l’attendrissement envers un des jeunes chiens, elle se raidit comme si elle fût la proie d’un prédateur. Sa mère venant veiller sur elle, comme il était convenable, Octavian ne pu cependant creuser cette intuition. Alors, d’un rapide coup d’œil circulaire, il s’assura que les hommes étaient à cheval, sauf quelques-uns, dont il savait qu’ils n’avaient la possibilité de suivre, ou qu’il était préférable qu’il demeure à terre – comme le médecin -. « Bien, rassemblons-nous, messieurs. Mesdames, je vous souhaite une bien bonne journée et de vous amuser. Ne tourmentez pas les messieurs restants. » Dit-il avec un sourire amusé, avant de faire pivoter son cheval et d’un geste, faire demander le rassemblement des chasseurs. Son propre fusil sur l’épaule, il mit en place son chapeau et se dirigea vers le point de départ.
résumé:
Discutant avec @Wilhelm de Hohenzollern, Octavian repère @Elinor Gilderstone dont il s'étonne du comportement. Finalement, il ordonne le rassemblement en vue du départ des chasseurs.
➳FEAT. ...
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Aidan Percy
L'Homme de la lune
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() / Dim 12 Fév - 17:49
Aidan Percy
Partie de chasse royale ou un moment de plaisir
Ils se moquaient. Oui, les yeux du comte brillaient en voyant la rousse à travers la foule. Elle était belle. Elle était désirable. Elle était…inaccessible pour le moment. Oh que Dieu devait lui en vouloir pour le faire attendre aussi longtemps. Il y avait de besoins qu’on ne pouvait contrôler et comment il rêvait de pouvoir embrasser chastement ces lèvres rosées.
Le rire et la proposition de Lord Graham le fit détourner quelques instants les yeux. Aidan regarda le marquis, comprenant qu’il n’avait pas à se soucier de lui et que comme le Duc, il s’en était fait un allié. Heureusement que les hommes s’aidaient entre eux.Puis il la vit. Il la vit se retourner vers son père après avoir croiser son regard. La voilà finalement à ses pieds ou plutôt à ceux de son cheval.
- Bonjour Arielle. Elle l’est encore plus en votre présence. Après tout, nous avons besoin de soleil en ce jour.
Aidan l’observa s’approcher du cheval, avant de lui tendre son mouchoir. Il l’attrapa alors de sa main libre, avant de le glisser dans sa veste.
- Merci ma chère. J’espère que nous pourrons nous voir plus tard dans la journée…je crois que Tante Bernice souhaiterait que nous prenions le thé ensemble. Du moins…si votre mère est d’accord.
- Et elle le sera!
Lady Clifford apparut de nulle part comme d’habitude et vint caresser Pégase en souriant à la demoiselle.
- Bonjour Lady Arielle. Lord Graham, Lord D’aetheling. Lord St John, Lord Lightwood. Lord Lewes. Aidan, vous avez oublié votre couvre-chef comme d’habitude.
La comtesse tendit ce dernier au comte qui le mit avec un petit sourire en coin.
- Ah que ferais-je sans vous deux? Que ferions nous sans les femmes mes amis?
En voyant le prince faire un geste pour rassembler les chasseurs, le comte fit un clin d’oeil à sa fiancée, avant de filer vers le point de départ.
Résumé:
Aidan est rejoint par @Arielle Seymouret sa tante tandis qu'il est toujours avec ces messieurs @Alistair Graham@William Lightwood@Laszlo St. John@Emil d'Aetheling. Après une courte discussion et l'acquisition d'un mouchoir brodé par Arielle et son couvre chef, il suit les chasseurs pour rejoindre le point de départ non sans oublier de faire un signe à sa fiancée.
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When the moon meets the sun
Jacob Evans
Débaucheur de Prêtre
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() / Dim 12 Fév - 18:00
Jacob Evans
Partie de chasse royale ou un moment de plaisir
Filer. C’est tout ce dont avait besoin Jacob avec ces quelques minutes de stress. S’enfuir et ne plus jamais revenir, voilà ce dont il aurait rêvé mais cela signifiait abandonner famille et amis.Alors il fallait s’y faire.
Après une discussion courte avec deux gentlemans, Jacob avait filé à l’entente de la voix de son épouse encore une fois. Ce qu’elle avait don de venir toujours au bon moment celle-ci… Il revint pourtant vers les gentlemans proposant alors à son meilleur ami, que dire son frère de coeur, de monter. Chose à laquelle il répondit presque avec ironie. - On a toujours besoin d’un médecin auprès des femmes après tout. Et je le ferai pour votre bon plaisir. Mais vous savez que je fais toujours trèèèès attention
L’avocat s’éclipsa alors rejoignant les cavaliers, quand il croisa finalement St John.
- Tiens, tiens, mais ne serait-ce pas ce bon vieux vicomte de st John? On vient de me parler de vous à l’instant. Milords, bien le bonjour.
Puis Jacob suivit les hommes en direction du point de départ, heureux de reprendre enfin la chasse.
Les discussions entre dames avaient été assez intéressantes pour la jeune femme, mais l’arrivée de son frère avait aidé la jeune femme à ne pas trop s’ennuyer. La comtesse de Cumberland était sympathique. Giulia avait été informée par Lady Manners qu’il fallait plutôt bien s’entendre avec elle…tout comme avec d’autres mères et tantes autour de la table. Après tout, elle était encore une étrangère et son frère également…Même si le mariage serait bien plus pour Antonio, Giulia devait se faire bien voir. Quitte à trouver quelques débutantes pour s’en faire des amies et peut-être trouver la perle rare pour son jeune frère, qui c’est? Elle écrirait à Olivio ce soir, ainsi qu’à Samuel pour les tenir aux courants des dernières aventures. Elle espèrait que cela leur plairait…quitte à faire des dessins des sculptures…
Une fois à l’extérieur avec Marcella, la demoiselle continua de rester subjuguée face aux statues et autres décorations. Tout était très beau certes, mais dans son pays…c’était autre chose. En tout cas l’architecture anglaise était intéressante. Ces dorures, ces apollons, ces animaux…Elle s’arrêta un instant devant l’une d’entre elle, avant de voir un petit garçon faire de même. Il fut rapidement suivi par un homme qui lui raconta l’histoire de ces statues. Giulia resta silencieuse, écoutant d’une oreille. - Lady Giulia! Venez par ici!
La demoiselle détourna les yeux, avant de croiser le regard de Lady Manners. - Il me faut vous présenter quelqu’un. Vous savez pour votre culture…anglaise.
La demoiselle hocha la tête, avant que la duchesse ne l’emmène auprès…de l’homme aux histoires et de l’homme qu’elle avait entraperçu au déjeuner. Il était certes bien plus beau de près que de loin. Son air était pourtant bien grave pour quelqu'un qui souriait. Ses cheveux noirs étaient semblables aux siens, ce qui lui fit penser qu'il avait peut-être des origines étrangères...Après tout, elle ne connaissait pas encore assez bien ce qui était typique d'un anglais.
- Mr. Faulkner, Dr. Healey, bien le bonjour. Comment allez-vous? Excusez-moi mais je voudrais vous introduire ma jeune pupille, Lady Giulia Visconti. Elle nous vient tout droit de Milan.
- Enchantée Messieurs...
Et tandis que la duchesse continuait sur sa lancée, la demoiselle restait muette sauf quand on lui posait des questions.
Résumé »:
Giulia décide d’aller à l’extérieur en compagnie de sa femme de chambre pour observer les statues. Elle écoute d’une oreille le discours de @Theobalt Faulkner, avant que la duchesse ne la rattrape. Puis elle est introduite à ce dernier et à @Mark Healey qu'elle reconnait comme le bel homme qu'elle a entrevu dans la salle de petit déjeuner.
(
« Tout en flattant l’encolure de sa monture, Emil écoute la réponse du Comte de Surrey, un vague sourire amusé sur les lèvres. Ah, comme l’autre homme avait raison. Il était logique de douter du programme des réjouissances, lorsqu’il y avait autant de mères et de débutantes dans un évènement, ainsi que de parti encore célibataire – lui compris-. « Oh, je doute que son Altesse ait prévu de nous faire courir, pauvres célibataires que nous sommes, poursuivit par la horde de mères et de filles. En vérité, je pense qu’aucune dame n’a été conviée par son Altesse à nous suivre. Ce sera donc une journée de chasse entre hommes. Et croyez-moi, j’en suis particulièrement aise. » Les yeux bleus de Norfolk se pose alors sur la salle où les gens se pressent encore. « Je pense que vous n’êtes pas le seul. Mais il y aura assez de chasseur aguerrit pour vous aiguiller le moment venu. » Lui-même était assez bon chasseur, pratiquant cela depuis ses jeunes années. 
Emil rit de bon cœur aux paroles de William, ne quittant jamais la présence réconfortante de son protéger contre son épaule. « Et bien figurez-vous, mon cher Comte de Surrey, que je préfère passé ma vie sur un cheval, que les pieds sur terre. Mais je suppose que venant de quelqu’un qui élève ces mêmes animaux avec passion, cela ne vous surprend pas. » Dit-il un sourire des plus malicieux. « Connaître personnellement le Prince... Voici qui est présomptueux, je pense que personne ne le connait réellement personnellement, mise à part sa propre famille. Cela dit, je pense que vous pouvez compter sur lui, pour ouvrir plusieurs bonnes bouteilles, si la chasse est bonne. Pour autant, attendez-vous à devoir subir le plus long dîner mondain aristocratique de votre vie, mon cher. Et quand je vois le monde convié... Les heures seront très sombres. »
Devant son petit déjeuner, scruter par la Duchesse du Gloucester, Ulysse se demandât soudain s’il ne ferait pas mieux d’être un goujat par instant, histoire que Lady Seymour cesse de tenter de le prendre dans ses filets. Après tout, ce serait une bonne raison de ne pas vouloir de lui pour sa chère pupille. Car définitivement, l’homme n’est pas stupide et son majordome encore moins. Eh bien qu’Apolline soit une jeune femme très agréable à regarder, ainsi qu’à la conversation, quelle idée avait-on de vouloir le mettre dans ses pattes à la pauvre enfant ! Certes, Lady Sutton n’est pas la plus jeune des demoiselles, mais cela n’est pas pour cela qu’il faut vouloir la marier avec un vieux bougre comme lui, qui a plus de kilomètres dans le corps que la plus part des gens présent ici. Mais soit. Malgré cela, Ulysse ne peut que bien se comporter, car sa survie en dépend. « Une nuit que je qualifierais de parfaite. Cela faisait longtemps que je n’avais pas aussi bien dormi. » Et c’était peu de le dire, vu les efforts de Charles pour le faire lever. 
Si Miss Macartney répondit aux salutations des deux jeunes femmes comme il était convenable, la conservation n’alla pas plus loin car ces dernières disparurent immédiatement au loin pour ne laisser que les deux cadettes à leurs discussions. Tant pis. Car Jane Macartney était aussi ravie de retrouver la compagnie de Cordelia Blooming que cette dernière semblait être de la revoir et la chose était donc parfaite.
[...] il avait une façon de vous regarder, son regard vert si intensément fixé sur vous que vous aviez l'impression d'être seul au monde avec lui.
