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LA GARDEN PARTY DE PÂQUES-
Qui ne connaissent pas les fameuses Garden-Party de Pâques qu'organisait annuellement feu sa majesté la reine Charlotte ? En son honneur, la famille royale a décidé de perpétuer cette tradition ! Viendrez-vous nous rejoindre pour une chasse aux œufs ou une ballade en barque ? Venez Participer à la fête....
Par chance, il apparaissait qu'elle était arrivée juste à temps pour éviter une situation embarrassante à Lucinda en laissant croire au Prince qu'elle se promenait non chaperonnée dans les couloirs en compagnie d'un gentleman à la nuit tombée. Sir Winslow avait beau avoir des intentions apparemment toutes culinaires, des scandales avaient éclatés pour moins que cela lors de la saison de ce que Arya avait pu lire dans le Whistledown ou entendre à l'office. Elle était toujours épatée par le don des domestiques à toujours tout savoir quant à ce qui se passaient en et hors des murs de la maison comtale !
La jeune femme ne levait pas ses yeux, mais elle pouvait sentir toute la prestance du Prince emplir le corridor, sa voix portée par l'écho des hauts plafonds bien qu'il parlait d'un ton tout à fait normal. Elle se raidit légèrement en entendant Lucinda s'adresser à Octavian sans faire usage de la dénomination d'altesse royale et espérait qu'il n'en prendrait pas offence. Après tout il était également Duc, le faux pas n'était donc sans doute pas si préjudiciable...? Par réflexe, comme si elle prenait l'erreur sur ses épaules, Arya s'inclina encore d'avantage, ne se redressant que lorsque Lucinda prit congé avec la permission du Prince.
Elle n'aurait pas du, mais elle ne put s'empêcher de lui adresser un furtif regard par dessous ses cils, dévorée par sa curiosité de le voir enfin autrement que sur un médaillon de peinture. Croisant ses yeux de jet, elle s'empoupra et se détourna promptement, trottinant pour rattraper Lucinda.
Arya acquiesça à la supplique de sa sœur de ne rien rapporter de cette histoire à leurs parents et se garda bien de lui faire remarquer qu'elle n'aurait pas dû sortir seule de ses appartements...
- Je vais t'aider à te changer rapidement. Madame te croit dans ta chambre.
Sa tenue de voyage troquée pour une toilette plus confortable, Arya laissa Lucinda rejoindre les quartiers du Comte et de la Comtesse pour le dîner. Elle en profita pour préparer les affaires de nuit et terminer de ranger le reste des effets personnels apportés à la chasse par Luci pour Dieu seul savait quelle raison. A son tour, elle mangea le repas qui avait été monté dans sa petite chambrée à la lueur de quelques bougies. Lucinda de retour et couchée, Arya se changea elle-même, libéra ses cheveux, puis après quelques ablutions se glissa sous les couvertures de son petit lit. Elle sortit d'entre les pages d'un livre les lettres de Emil aux pliures abimées d'avoir bien trop été lues et relues puis s'endormit en se berçant sur les courbes de ses mots.
Résumé:
Arya suit @Lucinda Conisburgh lorsqu'elle prend congé de @Jonathan Winslow et du Prince. Elle ose un regard curieux vers @Octavian de Hanovre alors qu'elle s'éloigne et rougit en s'avisant qu'il la surprend. Elle aide Luci à se changer pour le dîner avant de souper elle-même. Sa sœur couchée, elle fait de même et s'endort en lisant les lettres de @Emil d'Aetheling.
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Can you hear me echoing ?
Here comes a wave meant to wash me away A tide that is taking me under Swallowing sand, left with nothing to say My voice drowned out in the thunder
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() / Lun 23 Jan - 15:54
Invité
La partie de chasse royale 1er tour
Mon père avait pris soin de faire parvenir son courrier de Londres jusqu'à Chatsworth où il passait l'été en notre compagnie avant de repartir pour la session parlementaire. Ainsi, un matin, sa tasse de thé avait manqué de lui échapper lorsque dans le paquet de lettres en provenance de Londres se trouvait l'invitation du prince à une partie de chasse.
Il était certain que toute la bonne société serait présente malgré l'intersaison. Chacun était rentré dans son domaine de campagne ou en visite pour d’autres. C’était une partie particulièrement calme de la saison où on appréciait de se retrouver en famille, bien loin du tumulte londonien.
Ainsi, il n’était pas concevable pour lord Smith-Stanley et sa famille de manquer cet évènement. Il était fort heureux que mon frère soit toujours à Chatsworth. Ils purent avec son épouse se joindre à nous. C’est donc à deux voitures que nous avons quitté Chatsworth pour Howard Castle que nous avons rejoint après quelques jours de voyage.
Si voyager en voiture pouvait être assommant il était fort heureux de le faire en bonne compagnie. Ainsi nous avons discuté une partie du voyage. Nous pouvions également regarder le paysage qui s’offrait à nous ou encore lire (ou dormir aussi). Ma belle-sœur s’est essayé à broder pendant le voyage mais c’était peine perdue, les cahotements ne lui permettant pas d’être suffisamment précise. Le résultat nous fit beaucoup rire toutes deux.
Arrivés sur place, nous nous sommes émerveillées de la grandeur du domaine dans lequel nous allions résider pour cette occasion. Les voitures se succédaient et la soirée commençait à peine. Chacune était accueillie par des domestiques s’afférant immédiatement à la besogne. On nous montra nos appartements pour la durée de notre séjour et on nous précisa que notre dîner nous serait servi dans notre chambre. Si mes parents étaient trop fourbus pour se délecter des environs, j’avais pour ma part beaucoup trop envie de me dégourdir les jambes. J’optais pour une tenue un peu plus confortable que ma tenue de voyage avant de retrouver mon frère pour nous promener dans les jardins. Son épouse avait elle aussi préféré rester se reposer. Me donnant le bras, il m’entraîna au rez-de-chaussée. En chemin pour rejoindre la porte d’entrée et les jardins, nous croisèrent deux hommes. L’un visiblement avait envie de disparaître et l’autre était mécontent.
- Tiens voici notre hôte. Murmura mon frère dans ses dents pour mes seules oreilles.
Comme notre chemin nous amenait forcément à passer à côté d’eux, mon frère s’arrêta à leur niveau et s’inclina respectueusement tandis que je faisais pour ma part une révérence.
- Votre altesse royale, c’est un honneur d’avoir pu répondre présent à votre invitation. Merci de nous avoir convié à chasser avec vous en votre domaine. Dit simplement mon frère, saluant ensuite le jeune homme par un signe de tête et moi par une petite révérence bien moins appuyée que la première.
RÉSUMÉ:
Emma arrive à Howard Castle en compagnie de ses parents, de son frère, de son épouse et de son chaperon. Voulant se dégourdir les jambes dans les jardins en compagnie de son frère, elle croise @Jonathan Winslow et @Octavian de Hanovre qu'il remercie poliment pour son invitation.
Ulysse Nightingale
Marquis
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Emploi : Ex marin marchand, ex capitaine pirate devenu marquis.
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() / Mar 24 Jan - 18:09
Ulysse Nightingale
Partie de chasse royake
1er tour.
Quelle idée a-t-on de se trimballer des lieues dans une calèche, qui se secoue plus qu’un navire en pleine tempête ! Les gens vivant sur Terre sont bien étranges en vérité. Sans parler de cette sombre idée de monter sur les chevaux. Dire qu’il allait devoir s’y plier le lendemain. Charles, allez donc au diable ! Et Ulysse, depuis le fond des flots, avec vous ! Bon, lui y était sans doute déjà, entrain de rôtir sur une broche en compagnie de Satan. Et tandis que notre ancien pirate se délasse les jambes, en tâchant de s’assurer qu’il n’a pas perdu sa capacité à rester sur ses deux longues jambes, il se fait alpaguer par un Laszlo à l’âme poète. « Bonsoir, Roméo. » Lance-t-il d’un air amusé, esquissant un sourire du même ton. « Chercheriez-vous à tester mes connaissances en matière de littérature anglaise, mon cher ? Pour autant, jamais on ne m’aura comparé au soleil dans mon existence. J’en serais presque flatté en vérité.» Presque est le mot, car notre bon marquis de Northampton, reste particulièrement courroucé d’être là. « Epuisé est le mot exact, je pense. Et en ce qui te concerne ? » Relance-t-il derrière en observant le paysage nocturne.
Mais sur cet entrefait, voici qu’une jeune femme de sa connaissance apparaît pour les saluer tout deux : Lady Abelia. Se fendant de même d’une révérence de circonstance, il entame alors : « Lady Abelia. » Puis tournant ses yeux vers Laszlo, il ajoute alors : « Puis-je vous présenter mon bon ami, et partenaire commercial, monsieur le vicomte St. John. » Présentations effectuées, il l’espérait dans les règles, il continue cela dit. « C’est grande joie de vous revoir, vos plantes se portent-elles bien ? Oui, le voyage fût éprouvant, mais j’imagine qu’il faut se trouver chanceux que le temps fût clément. » Honnêtement, qu’on ne lui parle pas de sortir de chez lui, dès qu’il y aura de la neige sur les routes. Non, non et non !
Qu’était-il prévu pour ces prochains jours, il n’en avait pas la moindre idée à vrai dire. Charles lui eu parlé d’une chasse à Neptune sait quel animal sauvage. Pour le reste… « Pour être honnête avec vous, je n’en ai guère d’idée. Ce qui est aussi grisant que mystérieux à mes yeux. Je ne fais hélas pas partie des amis proche de son Altesse Royale. Et vous St. John, une idée ? Ou allez-vous nous surprendre en nous annonçant que vous êtes un ami du prince ? » Demande-t-il avec humour, mais non moins de curiosité également.
I am the one that runs both from the living and the dead. Hunted by scavengers, haunted by those I could not protect. So I exist in this wasteland, reduced to one instinct: survive.(c)flotsam.
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() / Mar 24 Jan - 23:52
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Partie de chasse royale ou un moment de plaisir
Une partie de chasse, voilà qui avait de quoi faire pétiller le regard d’Eva. Bien sûr, son père, toujours là pour jouer les rabat-joie lui avait bien précisé que non, elle ne pourrait pas chasser avec ces Messieurs. Il avait beau lui avoir appris lui-même à manier le fusil, elle se devait de faire bonne figure en société. Comme Eva aurait voulu naître homme, la vie aurait été beaucoup plus simple. Mais elle était femme et bien décidée à faire de cette mauvaise fortune un atout. Lady Applebaum, son chaperon pour l’évènement, ne cessait de soupirer qu’elle avait passé l’âge de chaperonner les jeunes filles. Sa canne claquait avec rudesse sur le sol du fiacre. Eva se mordit les lèvres afin de ne pas lui répondre que, dans ce cas, son âge vénérable aurait dû la dispenser de parier l’intégralité de sa rente aux courses dans le dos de son époux. “Voyons, Lady Applebaum, nous savons toutes les deux qu’au contraire, vous adorez pouvoir commenter mes manières de sauvageonne avec vos amies.” L’éducation d’Eva avait été exemplaire mais, elle restait une bourgeoise ce qui suffisait à faire d’elle une sauvage aux yeux de certains aristocrates. Sa chaperonne semblait juste oublier qu’elle avait des oreilles et, contrairement à elle, ne souffrait pas d’une surdité avancée. La Lady se contenta d’un petit toussotement pincé avant de faire un assoupissement. Si puéril pour une dame de son âge et de son rang.
Après plusieurs heures de périple, elles étaient enfin arrivées à bon port et Eva ne put que s’émerveiller. Tout ici était splendide et, si elle n’avait été aussi fourbue, elle aurait volontiers exploré les environs. Elle devait néanmoins aider Lady Applebaum à rejoindre ses quartiers et, avant tout, remercier leur hôte de son hospitalité. Une fois ces politesses achevées, elle se mit à la recherche de la chambre qui lui avait été préparée. Elle n’était pas logée au Château comme sa chaperonne -Dieu merci, un peu de répit lui ferait du bien-. Un serviteur l’escorta jusqu’à sa chambre. En chemin, elle salua d’autres invités qui, pour la plupart, lui étaient tous inconnus. L’excitation passée, la fatigue vint chercher son dû et Eva eut tout juste le temps d’apprécier sa collation que, déjà, ses yeux papillonnaient de sommeil. Une domestique l’aida à se préparer pour la nuit et, sa tête à peine posée sur l’oreiller de plume, elle sombra dans les bras de Morphée. De qui avait-il bien pu prendre les traits ce soir?
Résumé:
Eva se rend à la partie de chasse afin d'accompagnée Lady Applebaum, son chaperon pour l'évènement. A peine arrivée, elles remercient leur hôte @Octavian de Hanovre avant que chacune ne rejoigne ses quartiers. Eva, fatiguée du trajet s'endort bien vite.
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() / Mer 25 Jan - 14:16
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PARTIE DE CHASSE ROYALE
Après quelques jours de voyage, je dois avouer être heureux d’être enfin arrivé à ma destination. La demeure est somptueuse et les jardins à l’entrée sont vraiment magnifiques. Je pense faire un tour demain afin de visiter un peu les lieux. Je ne sais réellement si j’irais chasser demain, car ce n’est pas une de mes grandes occupations. Je préfère une simple balade à cheval, je trouve cela plus divertissant.
Une fois sur place, je dépose mes affaires avant de me décider un faire un petit tour de la demeure avant que le dîner ne soit servi dans notre chambre. J’observe les différentes personnes arriver, espérant connaître quelques visages durant cet événement. Je remarque alors une personne que j’ai déjà croisée par hasard dans ma boutique. Un sourire aux lèvres, je m’approche alors de la Lady avant de lui offrir une révérence et de lui demander si elle va bien et si le voyage s’est bien passé.
- Le voyage fut long également de mon côté, je suis content d’être arrivé à destination. En tout cas, la demeure est vraiment magnifique. Je pense visiter les jardins quand j’en aurais l’occasion, ils ont l’air somptueux.
Dans l'hippomobile, les hommes oscillent entre blagues amères et sommeil. La route est longue. d'autant plus qu'ils devront se rendre au sud du Royaume Uni pour rentrer. Mais Aodh voulait au fond s'offrir une prolongation de cette fin de saison. Et partager cela avec un ami du même milieu que lui, lui sied.
"- Et bien un balais dans le séant ce sera." il abat une autre carte, tape sa jambe. "- Décidément, ce n'est pas ma partie" Il se doute un instant que de nombreuses parties pourraient ne pas être les siennes. Il ricane alors puis entend Edward quant à son avis sur la question suivante. "- Nous allons donc tenter de nous y faire à ce monde qui n'est point le nôtre. Vivement le retour à la maison."
Les corps s'endorment mais veillent. Habitudes prises sur le front. Aodh oublie cependant, parfois, souvent, que leurs âmes torturées pourtant jumelles restent éveillées, sur fond de traumatismes inavoués et inavouables... Lorsqu’Edward lui saisit le poignet au réveil, le Baron fixe, ne bouge plus, dérobe et change de sujet. Edward sait au fond qu'il n'a pas besoin de s'excuser. Le valet rétorque, suite à l'ironie de son employeur. Cela apaise les songes du Loup qui redoute petit à petit sa décision.
Reprenant convenances et sérieux, Edward descend le premier pour accompagner la sortie de Wolf. Les pieds armés au sol lui font le plus grand bien. Question réitérée, réponse redonnée. Aodh lui répond un simple "Bien... Bien... " Fort peu convaincu. "Nous allons déposer tout cela et se dégourdir les jambes après." Il n'est pas sûr, Aodh... Pas certains qu'il trouverait le sommeil après le repas ou même avant. Les nerfs le tiennent bien trop. Attendant un peu, Aodh finit par s'élancer vers la bâtisse, bien trop grande à son goût.
Il guette un instant et son regard se pose sur @Aidoneus Hamilton dont le visage l'interpelle et le ramène irrémédiablement vers son second enfer. La guerre. La rencontre avait été brève. "- Bonsoir... Comment va votre main, Hamilton ?" Aodh temps de guerre, Aodh loin des manières. Il n'y a point d'animosité, juste deux informations à portée de l'encéphale pour engager la conversation avec un inconnu, qu'il a croisé il y a bien onze années. "-Prenez de l'avance, Edward, je vous prie. lance Wolf à son valet pour ne pas qu'il ne s'effondre sous le poids des bagages.
Spoiler:
Aodh et @Edward G. Lovewell sortent de la voiture et se préparent à affronter le monde des Autres. Sur le chemin de leur appartement, Aodh retrouve une tête qui l'a marqué au front, celle d' @Aidoneus Hamilton. Il l'aborde avec seulement deux informations qu'il connait et se souvient à son sujet.
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() / Mer 25 Jan - 15:17
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PARTIE DE CHASSE ROYALE
Un sourire sur les lèvres, je regarde les deux amoureux discuter, espérant qu’un jour moi aussi j’ai cette complicité avec mon époux. Nous expliquons donc que le voyage fut long, et je suis contente d’être enfin arrivée pour pouvoir dégourdir mes jambes. Aidan nous apprend également que le voyage a été long également de leur côté mais que leur cheval a beaucoup apprécié la route. La tante d’Aidan demande à Lady Seymour s’il se retrouve demain pour prendre le thé et après que le rendez-vous soit pris, nous prenons congé après nous avoir dit bonne nuit.
Nous partons donc faire notre balade dans les jardins afin de prendre l’air et j’observe alors les différentes personnes présentes ou qui arrivent afin de trouver quelques visages familiers. Je remarque alors au loin Lord Ningthingale en pleine conversation ainsi que d’autres visages que j’ai eu l’occasion de voir durant les bals.
Nous retournons ensuite dans notre chambre et je me tourne vers Lady Arielle.
- Je vous souhaite une bonne nuit ma chère, et faite de jolis rêves.
Un petit sourire en coin, je lui offre une révérence avant de retourner dans ma chambre, attendant le repas avant d’aller me coucher car une grande journée nous attend demain.
Résumé:
Résumé : Apolline discute avec @Aidan Percy et la famille Seymour avant de se balader dans les jardins et de partir se coucher.
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() / Mer 25 Jan - 16:38
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{ Acte I }
PARTIE DE CHASSE ROYALE
Bagage en main et après quelques mots échangés, Aodh se mit en route, bien vite suivit par Edward qui veille à rester dans son ombre et surtout à se faire discret. Son ami, et employeur, proposent de se dégourdir les jambes une fois les valises posées.
— Ça ne serait pas de refus, Mylord.
Edward avait comme l'impression que des fourmis gambadaient dans ses jambes tant le voyage fut long et les pauses très courtes. Marcher lui ferait du bien, sans parler que c'était l'occasion pour retarder le coucher, même si ce dernier serait inévitable. Le regard d'Aodh rencontre un visage familier, du moins, c'est une chose qu'Edward suppose. Il ralentit et aborde le dénommé Hamilton. Il demande si sa main allait bien. Tout deux allaient converser et si en temps normal Edward serait resté sans broncher, les valises qu'il tenait étaient lourdes et encombrante.
Comme s'il avait entendu sa pensée, Aodh lui indique de prendre de l'avance. Edward lui adresse un merci, après avoir salué convenable sire Hamilton. Puis, sans tarder, il poursuit donc son chemin, seul cette fois. Edward rentre dans la bâtisse, demande son chemin à un domestique de passage et se rend sans plus tarder aux appartements désignés. Dans le tournant d'un couloir, il faillit bousculer une personne qui venait dans le sens inverse.
— Je vous prie de m'excuser, j'ai manqué d'attention.
Heureusement qu'Edward avait de bons réflexes et qu'il s'était reculé d'un pas, évitant à cette jeune dame de tomber à la renverse.
Spoiler:
Edward suit @Aodh Wolf et accepte sa proposition, après avoir saluer comme il se doit @Aidoneus Hamilton. Puis, il part devant quand ce dernier l'invite à ne pas l'attendre. Sur le chemin menant à leur appartement, Edward faillit bousculer @Amalia Mason au détour d'un couloir.
Je souris en entendant Mark répondre à Nailys. Nous leur souhaitons ensuite une bonne nuit dans une révérence avant de les quitter pour se balader dans les jardins aux alentours. Je me doute que ça ne doit pas être simple pour Mark d’apprendre de cette façon qu’il doit se fiancer avec Manoë. Je crois que j’ai moi-même un peu de mal avec cette nouvelle…
Tandis que nous commençons à marcher dans un silence, Mark en profite pour allumer sa cigarette et je brise le silence entre nous avant de lui demander comment il va. Un léger sourire se glisse sur mes lèvres, mais pas un de joie, non, un plus triste quand j’entends sa question. Comment aurais-je réagis en apprenant qu’on me fiançait à une personne sans que je ne sois au courant ? A vrai dire, je n’en sais rien… Je l’écoute alors me dire que ça lui fait une épine du pied en moins avant de soupirer. Il est vrai qu’il a connu Manoë quand elle était toute petite alors ça doit lui faire bizarre de se fiancer à elle.
- Je ne sais que te dire Mark, à part que si je le pouvais, je prendrais ta place. Cela doit être étrange de se dire qu’on va se fiancer à une personne qu’on a quasiment connue bébé…
Effectivement Manoë est une très jolie demoiselle mais elle a un sacré caractère de souvenir. J’imagine que c’est pour cette raison qu’ils ont décidé de la fiancer à Mark… Je ris alors légèrement quand il me dit que je vais devoir le supporter.
- Moi qui pensait ne plus te voir lors des repas de famille, c’est loupé je crois bien. Mais tu sais très bien que je suis ravi de t’avoir comme grand-frère. Et je veux bien, je commence à avoir le ventre qui grogne.
Résumé:
Résumé: Neal discute avec @Mark Healey a propos de la nouvelle
Octavian de Hanovre
Prince
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() / Mer 25 Jan - 18:53
Octavian de Hanovre
Partie de chasse royale
1er tour.
Toisant toujours les deux jeunes gens, Octavian demeure froid et distant par rapport aux autres. Ainsi l’a-t-on éduqué après tout. Un sourcil se hausse pourtant, que ce soit face à l’intervention de la domestique, ou la mégarde de Lady Lucinda quant à son titre. Enfin, il ne se formalisera guère là-dessus ; pas cette fois. Après tout, il trouve bien plus impudent l’idée de chercher ses cuisines. Qui cherche les cuisines là où on l’invite en vérité ? D’un signe du menton, le Prince salue alors la jeune lady, sentant les yeux de la domestique sur lui. Il croise alors un instant son regarde. Décidément, cette partie de chasse semble vouloir mettre la bienséance à l’épreuve. Les demoiselles disparues, le Duc d’York et d’Albany peut alors reposer son attention sur monsieur Winslow. Perdu ? Vraiment... « La prochaine fois, évitez donc d’écouter votre estomac, monsieur. » Répond alors Octavian, avant d’en appeler à un valet. « Raccompagnez donc monsieur Winslow à ses appartements voulez-vous ? Merci. » Si fait, le prince s’apprête à regagner la bibliothèque.
Cependant, il est arrêté dans son élan par un duo qui le salue de circonstance pour le remercier de son invitation. D’un signe de tête, il remercie les deux jeunes gens, avec un léger sourire. « Le plaisir est pour moi. J’espère que votre séjour sera profitable à bien des égards. » De même salue-t-il une autre jeune demoiselle et sa chaperonne, avant d’enfin pouvoir rejoindre la bibliothèque et d’y trouver ce qu’il cherchait avec ardeur ; quelques écrits philosophiques de Platon. De quoi satisfaire son érudition et favoriser son sommeil.
Quittant le lieux, Octavian rejoignit le hall où le flot d’invité commençait à se tarir, signifiant sans aucun doute que la plus part des invités étaient arrivés. L’attendait là le majordome, auquel il s’adressa en ces termes : « Il est tard est sombre est la nuit. Veillez donc à faire rentrer ces gens. L’aube n’est plus si loin. Fermez donc les portes et ne les ouvrez que pour les plus retardataires.» D’un geste entendu, le domestique chargea quelques valets munis de lanterne, d’aller faire rentrer les derniers voyageurs du parc. Satisfait, son Altesse Royale prit de même le chemin de l’escalier central, qu’il gravit non sans encore saluer quelques personnes ; avant de tomber sur le charmant visage qui se trouvait là. Des yeux si bleus, qu’il semblait être l’océan enfermé dans ses pupilles. Un instant subjugués par la profondeur de ce regard, Octavian reprit contenance et salua la jeune femme. « Mademoiselle. Que regardez-vous avec si grand intérêt et émerveillement ? »
résumé:
Saluant @Lucinda Conisburgh et @Arya Harrington , Octavian vient alors en aide à @Jonathan Winslow en le faisant raccompagner. Il salue de même @Emma Smith-Stanley et son frère, ainsi que @Eva DeLucey et sa chaperonne, avant d'aller chercher un livre à la bibliothèque. Si fait, il donne l'ordre de ramener tout le monde à l'intérieur pour la nuit. Retournant à ses propres appartements, il croise avec ravissement @Elinor Gilderstone
➳FEAT. ...
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Elinor Gilderstone
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() / Mer 25 Jan - 20:02
Elinor Gilderstone
PARTIE DE CHASSE ROYALE 1er tour
Entre la valse des convives et les minutieuses attentions des serviteurs, Elinor n'avait guère le temps de s'ennuyer. Tant de visages défilaient sous ses œillades espiègles que son minois se fendait bien vite de ravissement. Nous étions loin du marasme du deuil, du poids de la solitude et de la maladie, peu importait si le corps s'en souvenait encore, le cœur, lui, était en fête. La débutante se sentait renaître face à l'effervescence que suscitait la chasse, à tel point qu'elle osa un sourire. Il était rayonnant, aussi limpide que ceux de ses débuts lors de la saison et elle regrettait presque leur saveur à bien y réfléchir. Perchée, cachée, elle espérait que sa discrète observation demeure un secret, mais un autre s'invita dans sa bulle. Il avait surgi des étages pour dispenser divers ordres à l'intention de ses domestiques, spectacle qu'elle n'avait pu ignorer. Un ange sombre, impeccable, au maintien exemplaire, qui laissa Elinor rêveuse, tant et si bien qu'elle se retrouvait par la suite face à lui, à quelques marches de distance.
Sans doute, devait-il trouver ses manières douteuses à épier, mais le cœur ne pensait pas à mal. Ce fut avec la rigueur de son éducation que la brunette s'inclina convenablement face à lui pour saluer celui qu'elle avait aisément identifié comme son hôte. Connaître la famille royale était une obligation, y faire face, une nécessité.
"Votre Altesse, j'appréciais simplement toute cette vie dans ce décor saisissant."
Cela paraissait mièvre, néanmoins la sincérité était là. Découvrir un ailleurs avait un goût d'aventure, un souffle qui lui rappelait les saveurs disparues du quotidien. La gorge se serra à mesure que la jeune femme se ressaisissait pour employer les politesses habituelles.
"Et j'imagine que je ne suis pas la première vous adresser ces mots, mais nous vous remercions pour votre invitation. C'est un plaisir d'être ici."
Une étincelle singulière fit danser le velours bleuté des prunelles alors qu'Elinor le regardait plus attentivement. La noblesse de l'homme était visible dans le tracé même de son visage. Celle qui craignait les autres se fit moins rigide par cette simple intuition. Peu après, la femme de chambre apparut à proximité. Elle s'approcha du duo dans une révérence mesurée avant de convier sa maîtresse à la suivre pour le souper. Les orbes azurés détaillèrent sa compagne pour retourner sur celui qu'elle venait de rencontrer.
"Votre Altesse, avec votre permission, je désirerais regagner mes appartements. Ce fut un honneur de vous saluer en chemin, mais vos gens se sont donnés du mal pour tous nous satisfaire ce soir et je trouverais incorrect de ma part de leur faire défaut."
Ils avaient travaillé au point de s'épuiser, leur faire honneur n'était que justice. Faisant une nouvelle révérence, Elinor attendit l'accord de l'héritier pour rejoindre ses appartements où elle dînerait puis sommeillerait en paix.
résumé:
Observant le ballet qui anime tout le hall, Elinor croise la route d' @Octavian de Hanovre qui regagne les étages. Une brève conversation se tisse entre eux avant qu'ils ne soient interrompus par la domestique venue quérir la demoiselle. La débutante demande donc par la suite si leur hôte lui permet de regagner ses appartements afin d'y passer le reste de la soirée.
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Invité
() / Mer 25 Jan - 21:23
Invité
PARTIE DE CHASSE ROYALE
Le docteur… En voilà un qu’elle n’imaginait pas croiser ici et qui représentait une distraction dangereuse. Ce monde comptait bien trop d’hommes séduisants pour une jeune femme aussi lascive qu’elle.
« En effet. »
Juliet marchait toujours sur des œufs concernant l’entourage d’Adrian, même si jusque-là aucun d’eux n’avaient semblé au courant de ses frasques. Ce n’était toutefois pas pour cela qu’elle avait posé la question, elle était juste curieuse de connaître les amis du Marquis, ces mêmes personnes qu’elle devrait certainement apprendre à connaître si les choses se concrétisaient. Le cercle de Berkeley était juste bien trop concordant avec celui de Mountbatten.
« Je crains que non Mylord. J’ai été absente bien trop longtemps pour avoir gardé des accointances et hormis le Marquis et la Marquise de BudeHaven, qui sont donc tous les deux absents, je n’ai guère beaucoup d’amis. Sans compter que la plupart des femmes ne m’apprécient guère. » Elle lui sourit. Et comment ? Elle aimait trop leur voler la vedette. « Cette chasse sera l’occasion de faire de nouvelles connaissances. » Même si elle espérait passer autant de temps que possible avec lui plus qu’autre chose.
« Savez-vous si le Marquis de Graham et de Buchanan sera présent ? Il est un bon ami de ma sœur, et j’espérais la voir s’amuser un peu. » Peine perdue pour cela, probablement, par contre, si le Marquis pouvait détourner un peu son attention… Oui c’était plus fort qu’elle.
« Vous êtes fatigué ? Je n’aurais jamais pu le deviner, le taquina-t-elle, mais oui, rentrons. Nous ne voudrions pas que Lady Berkeley s’impatiente. »
Cordélia les y rejoindra, son aînée n'en doute pas le moins du monde et ne s'inquiète pas, même si elle l'a perdu de vue.
Résumé : Juliet marche au bras de @Aloïs Berkeley . Ils décident qu'il est temps de rentrer dans leurs appartements.
tenue:
Juliet est en tenue de voyage :
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Invité
() / Mer 25 Jan - 22:24
Invité
PARTIE DE CHASSE ROYALE 1er tour
Cordelia avait espéré pouvoir échapper à une escorte. Après tout, elle ne comptait s’absenter que quelques minutes à peine, une demi-heure tout au plus, et que pouvait-il se passer de grave alors que les invités ne cessaient d’arriver ? Elle aurait eu grand besoin de solitude après un tel voyage, mais elle savait qu’il serait inutile, voire même impudent de chercher à argumenter avec Lady Berkeley. Dans le fond, pouvait-elle lui en vouloir après le récent scandale qui avait touché le Marquis de BudeHaven ? Une histoire dont elle avait d’ailleurs encore du mal à revenir.
Mais soit, puisqu’il le fallait, elle se ferait accompagner. Ce qui ne fit rien pour altérer sa mauvaise humeur, alors qu’elle marchait sans croiser une seule de ses connaissances. Elle avait presque espérer rencontrer au moins un visage agréablement familier, signe que cette partie de chasse ne serait pas qu’une totale corvée. Elle regrettait déjà de ne pas avoir trouvé de prétexte suffisant pour esquiver l’invitation. Elle aurait pu s’inventer une maladie par exemple. Mais un petit oiseau lui soufflait que la vénérable grand-mère du Marquis ne se serait pas laissée si facilement embobinée, même par les talents de Cordelia pour le mensonge. Elle devrait donc serrer les dents, supporter les discours des uns et des autres, les descriptions de cette activité qu’elle avait en horreur. Fort heureusement, personne ne requerrait sa participation pour l’événement en lui-même. Elle prévoyait de s’enterrer dans les lectures, jusqu’à en délaisser le monde extérieur.
Puisqu’elle avait du être accompagnée, elle prolongea sa marche sans doute plus qu’elle ne l’aurait dû, au point de manquer d’arriver en retard au dîner. L’exercice lui avait au moins permis de se calmer l’esprit et de faire contre mauvaise fortune bon coeur. Le domaine à lui seul valait après tout le coup d’être découvert et arpenté dans les moindres recoins. Elle pourrait toujours choisir de s’y perdre si elle par malheur les conversations étaient trop portées sur les détails relatifs à la chasse. Elle se coucha l’esprit un peu plus apaisé, impatiente néanmoins que toute cette folie se termine au plus vite.
RÉSUMÉ:
Cordelia se trouve contrainte d'être accompagner pour sa promenade, qu'elle prolonge avant de remonter dans ses appartements.
Luisa Hammond
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() / Mer 25 Jan - 22:39
Luisa Hammond
Partie de chasse royale.
1er tour.
L’architecture Anglaise n’était en rien comparable à ce que la jeune femme connaissait dans son pays. Sans parler des papiers peints d’une facture absolument incroyables, des cuivres et autres éléments de décorations de ces somptueux appartements. En soi, si Luisa avait dû mettre une image sur le mot royal, les lieux collaient assez bien à celui-là. Pour autant, elle n’avait pas encore vu le palais royal de Londres. Un privilège qu’elle n’aurait pas avant la saison prochaine et en soi, cela ne la dérangeait nullement. Elle pourrait même ne jamais le connaître, ce serait tout à fait pareil à ses yeux. Les yeux rivés sur l’obscurité du dehors, la Mexicaine écoute la réponse de la vicomtesse, non sans une grimace intériorisée, lorsqu’on parle de la valeur qu’elle pourrait renforcer d’être aux côtés du vicomte et de la vicomtesse à pareil évènement. Que lui chaud d’ailleurs d’avoir une quelconque valeur, si ce n’est celle de la dote que son père fournira à son futur époux. Elle n’a jamais eu pour projet de s’élever socialement, ni même de prendre de la valeur ; d’être un animal exotique que l’on marchande et vend au plus offrant. Alors, la brune se détourne du parc où se dessine quelques silhouettes, qu’elle ne connait pas encore, ou qu’elle ne reconnaît pas.
La fatigue peignant, sans feindre, ses traits, mademoiselle Hammond s’assied un instant sur un fauteuil, tendant de garder une certaine convenance, tandis que ses muscles protestent face à l’abattement du voyage. Pour sûr, il faudra encore se lever aux aurores le lendemain. Dès lors, rien ne serait plus salvateur pour elle, qu’un léger repas et une bonne nuit de sommeil, qu’elle espérait réparateur. Alors, elle répond à la question de lady St. John avec sincérité. « Bien qu’il me tarde de découvrir plus avant les splendeurs de ce domaine, madame, je préfère largement le confort des appartements pour ce soir. Et serais plus que ravie de me sustenter d’un bon repas, mais également d’une bonne nuit. »
Et tandis qu’elle fini ces mots, les domestiques font connaître leur arrivée avec les mets du dîner. On eut dire sans rougir, qu’ils tombaient bien. Tout comme la Mexicaine tomba de fatigue, dès que sa femme de chambre l’eût aider à se vêtir de circonstance pour la nuit.
résumé:
Après une brève discussion avec @Esmée St. John, ils peuvent enfin dîner et aller se reposer. Ce que Luisa fait sans se faire prier.
(made by voodoo doll)
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Whistledown
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() / Mer 25 Jan - 22:41
Whistledown
PARTIE DE CHASSE ROYALE 2nd tour
Après que Son Altesse royale ait ordonné de faire fermer les portes du palais pour la nuit tout en faisant rabattre les retardataires errant dans les jardins par des valets munis de lanternes, chacun a dîné dans ses appartements avant d'aller se coucher. C'est que le voyage fut éprouvant et qu'une bonne nuit de sommeil est nécessaire afin de paraitre frais et disposés au levé du soleil !
A Howard Catsle, point de coq afin d'annoncer l'aube mais les prompts domestiques royaux se chargent de venir vous réveiller en tirant les lourds rideaux de velours qui parent les fenêtres de vos quartiers ! Les premiers rayons du soleil viennent colorer de nuances orangées les murs des chambres et illuminer les dorures des boiseries. Hatez vous de faire vos ablutions matinales et de vous vêtir avec l'aide de vos valets et femmes de chambres, le petit déjeuner sera servi sous peu ! Il sonnera le début de cette très attendue partie de chasse !
Dans l'immense salle à manger du domaine trone une table démesurément longue à laquelle le placement est libre. Il est bien trop tôt pour l'étiquette n'est-ce pas ? Chacun peut aller et venir à sa guise ainsi que s'installer où il ou elle le souhaite afin de déguster son premier repas de la journée. Vous avez également la possibilité de demander à être servi dans vos appartements. Le buffet à votre disposition est généreusement garni de mets en tous genres et il n'y a pas à dire, il est digne de l'hospitalité d'un prince ! Le thé coule bien entendu à flots.
A travers les fenêtres, on peut percevoir les aboiements impatients des chiens que l'on prépare pour la chasse, ainsi que voir les chevaux qui sont amenés petit à petit à leur attache dans l'attente des cavaliers. Un coin ombragé est également en court de montage pour ces dames afin de protéger leur peau délicate de cette belle journée qui s'annonce, ainsi que d'autres petites choses hors de porté de vue.
Les domestiques ayant accompagné les convives peuvent aller manger en même temps que leurs maîtres et maîtresses dans l'office du château.
Le petit déjeuner est le moment des premiers contacts de cet événement !
Aide : * Le petit déjeuner se prend à partir de 7h du matin jusqu'à environ 9h. Serez vous des matinaux ou des lève-tard ? * Les domestiques accompagnant des convives prennent également leur petit déjeuner dans une des salles de l'office.
A NOTER : * Vous vous habillez en vue du programme de la matinée !
Rappel des règles : * les posts ne doivent pas dépasser les 500 mots * vous pouvez poster plusieurs fois en respectant néanmoins le tour de chacun. Attendez 2 ou 3 posts avant de participer à nouveau afin de laisser sa place à tout le monde ^^ * postez un petit résumé de votre action après vos post et pensez à tag les personnes avec qui vous interagissez.
Mark Healey
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() / Jeu 26 Jan - 13:22
Mark Healey
Partie de chasse royale
2ème tour.
◊ ◊ ◊
Oh oui, c’était étrange de se dire qu’on allait épouser quelqu’un, qu’on avait effectivement connu bébé – ou tout du moins un stade approchant-. Pour autant, que son frère ait autant de sollicitude à son égard le touchait profondément. Mais c’était ainsi. Tant que Neal et leur sœur trouvait un jour un bonheur – relatif ou pas-, le reste lui convenait. Pour la suite oui, il espérait tout de même connaître un peu de paix dans sa vie maritale future, tout en rendant pas parfaitement malheureuse Manoé. Bref, toutes ces choses qui tournent dans son esprit, qui lui rongent le cerveau et le sommeil, en plus de tout le reste. Malgré un repas d’une qualité irréprochable, une chambrée tout aussi irréprochable, le médecin ne dort guère du sommeil du juste. Parce qu’il faudrait déjà qu’il en soit un, de juste.
Si bien que l’aîné des Healey est déjà hors de son lit, lorsque les domestiques font leur entrée fracassante en ouvrant les rideaux. En un rien de temps, l’homme de science est vêtu de frais et quitte les lieux en direction de l’extérieur. Trop bien élevé que pour fumer en intérieur, il s’échoue un moment sur la terrasse près de la salle à manger, sortant son étui à cigarette en argent et s’en allumant une avant même la première miette de pain. Un domestique a cependant l’amabilité de lui donner une tasse de thé, qu’il pose sur la rambarde en pierre, tout en continuant de fumé, comme si sa vie en dépendait. L’appréhension le prend au ventre, lorsqu’il observe les chiens de chasse et les chevaux qui s’alignent en vue du départ. Ce n’est pas tant le tintamarre de tout ceux-là qu’il redoute, mais bien les premiers coups de fusil, qui ne manqueront pas de le faire sursauter.
Sa première cigarette de la journée s’éteint lentement entre son majeur et son index, tendis qu’il porte sa tasse de thé à ses lèvres. Il écrase ce qu’il reste de son poison préféré dans un cendrier, avant de rentrer dans la demeure royale, où apparaissent enfin les premiers invités. Choisissant de se poser à une table non loin de la porte qui donne accès à la terrasse, - quelquefois qu’il voudrait fumer de nouveau-. Un rapide tour au buffet et il s’installe en silence là, où il avait abandonné sa tasse de thé, tout observant le monde de sous ses cils.
(c) oxymort
résumé:
Du genre très matinal, Mark arrive dans les tout premier au petit déjeuner et profite du calme avant la tempête.
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It doesn't hurt me. Do you want to feel how it feels? Do you want to know, know that it doesn't hurt me? Do you want to hear about the deal that I'm making? You, it's you and me ☾☾
Elea Leveson-Gower
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() / Jeu 26 Jan - 14:47
Elea Leveson-Gower
La partie de chasse royale Tour 2
Habituée à ouvrir les yeux avec les premières lueurs du soleil, Arya demeurait quelques instants dans son lit à admirer ce spectacle dont elle ne se lassait jamais au matin, les particulères de poussières qui dansaient dans les premiers rayons qui filtraient à travers l'unique fenêtre de sa chambre. Elles étaient semblable à de la poussière de diamant qui dansaient. Lorsqu'elle était arrivée à Longstowe Hall pour la première fois petite, ça avait été la permière chose qui l'avait marqué avec les prismes colorés que les lustres de cristaux faisaient danser sur les plafonds.
Une fois l'heure un peu plus avancée, Arya se rafraichit, s'habilla et se coiffa face à la fenêtre. Dehors on commençait à s'agiter afin de tout préparer. Elle aperçut les chiens, mais surtout les chevaux que l'on menait un à un à l'attache. L'un d'eux avait le nez tout blanc et la fit sourire. Quelle marque adorable ! On aurait pu dire qu'il venait de tremper ses naseaux dans du lait ! Ses cheveux correctement attaché, elle étudia son reflet dans le mirori. Elle représentait la famille Conisbrugh après tout et espérait leur faire honneur au coeur de cette royale et impressionnante maisonnée... Arya quitta sa chambre afin d'aller réveiller Lucinda, qu'elle aida ensuite à se préparer pour la matinée. Elle laissa bien sûr choisir sa robe pour la matinée :
- Jaune pale et ruban bleu ou vert tilleul et ruban rose ?
Ou une parmi la demi douzaine de celles ajoutées dans la malle à son insu...
- Es-tu sûre que tu en auras assez pour ces deux jours ?
Arya rit tout en terminant de boutonner la tenue de sa cadette, puis l'accompagna jusqu'à la salle du petit déjeuner où elle la laissa à son repas. Chose faite, elle s'éclipsa à travers les quartiers des domestiques dont elle suivit les dédales dignes d'un labyrinthe jusqu'à arriver à la salle à manger de l'office qui était abondamment chargée de mets. La jeune femme salua poliment - et quelque peu timidement - les nombreux serviteurs. C'était la première fois qu'elle se retrouvait confrontée à autant de personnes à l'extérieur du cocon des demeures de son père. Au cœur de toute cette effervescence, le monde lui paraissait soudain trop vaste pour elle. Arya s'installa avec son assiette au bout de la table avec cet éternel soucis qu'elle avait de vouloir incommoder le moins possible.
Résumé:
Arya se prépare et remarque un cheval qui lui plait particulièrement. Elle aide @Lucinda Conisburgh à se préparer et l'escorte jusqu'au petit déjeuner avant d'aller prendre le sien elle même dans les quartiers des domestiques.
Here comes a wave meant to wash me away A tide that is taking me under Swallowing sand, left with nothing to say My voice drowned out in the thunder
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() / Jeu 26 Jan - 14:59
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PARTIE DE CHASSE ROYALE 2ème tour
La nuit lui semblait bien trop longue. Juliet dormait paisiblement, tandis que Cordelia se tournait et retournait dans son lit, à la recherche d’un sommeil qui ne cessait de se dérober. Elle ne pouvait malheureusement allumer une chandelle pour étudier ou écrire, ou même entreprendre une promenade nocturne. Pas là où elle se trouvait en tout cas, risquer d’être surprise se promenant seule dans les couloirs la nuit était inenvisageable. Elle fit néanmoins une tentative de lecture à la lueur de la lune, plus ou moins fructueuse, avant de finalement sombrer dans un court sommeil sans rêve jusqu’aux lueurs de l’aube.
Elle avait déjà les yeux bien ouverts lorsqu’entrèrent les domestiques de la maison afin de tirer les rideaux et signifier aux invités que le petit déjeuner serait servi dans la grande salle à manger. Nul besoin d’attendre que sa soeur soit prête, ne serait-ce que la tirer du lit prendrait un temps infiniment long et elle n’avait aucune envie d’être coincée en attendant qu’elle soit prête. Elle se prépara donc de son côté rapidement avant de se vêtir d’une robe aussi simple que pratique pour les activités de la journée. Elle ne portait en guise d’ornement qu’un médaillon contenant une mèche de cheveux de sa mère, qui ne la quittait jamais. Elle ne perdit également que peu de temps sur sa coiffure, effectuant les mêmes gestes que n’importe quel autre matin pour discipliner ses boucles d’ébène et relever ses cheveux. Puis elle quitta rapidement la chambre, avant que Juliet ne décide de lui faire regretter de la déranger ainsi de si bonne heure.
Il était encore tôt et elle était sans doute l’une des premières à descendre, mais elle ne put ignorer les aboiements des chiens qui parvenaient jusqu’à elle, les chevaux qu’on faisait déjà atteler et qu’elle pouvait voir par la fenêtre. Sa mauvaise humeur, qui s’était pourtant calmée, refit surface. Fort heureusement, c’était là quelque chose qu’elle savait à peu près dissimuler, et elle entra dans la salle à manger la tête haute, le port altier. Elle se servit de pain et de marmelade au buffet, avant de prendre place parmi les quelques convives déjà présents. Elle repéra sans mal un visage connu, qu’elle salua comme il convenait. « Bonjour Docteur. ». Il ne semblait pas plus qu’elle disposé aux bavardages ce matin là, et c’est sans doute pour cette raison qu’elle choisit de s’asseoir à ses côtés. On lui servit sans attendre une tasse de thé, dont la première gorgée ne manqua pas de la réconforter un peu (sans compter que la boisson était excellente!). Tout comme son voisin de table, elle entreprit d’observer en silence les invités qui arrivaient au compte-goutte. Il allait lui falloir bien du courage, pour surmonter cette abominable journée.
RÉSUMÉ:
Après une courte nuit, Cordelia se réveille tôt pour se rendre à la salle à manger parmi les premiers invités. Elle salue @Mark Healey et s'assoit à ses côtés, peu désireuse de faire la conversation.
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() / Jeu 26 Jan - 16:00
Invité
J'étais soulagée d’avoir retrouvée la famille Seymour après les avoir cherché toute la soirée. Je m’en étais excusée auprès des deux demoiselles. Exténuée, je finis par m’endormir après, m’être assurée qu’elles ne manquaient de rien.
Dernière couchée, première debout, je me réveillais entendant du mouvement dans la chambre de Lady Seymour. D’un bond, je me levais pour me rendre disponible auprès de milady. Je surpris un domestique s’apprêtant à ouvrir les rideaux. Je le congédiais en murmurant, l’assurant que je m’en chargerais. Je voulais laisser Lady Seymour à ses rêves encore un peu.
Une fois sortie de la chambre, je m’enquis auprès du serviteur du programme de la journée. Sans plus attendre, j’allais réveiller @Apolline Sutton en frappant à sa porte, avant de m’annoncer : Lady Sutton ? C’est Joséphine, je vais rentrer.
Les rideaux déjà ouverts promettaient une belle journée ensoleillée. Ne connaissant pas ses goûts aussi bien que ceux de ma maîtresse, je sortis plusieurs choix de tenue tout en récitant : bonjour Lady Sutton, je vous prie de m’excuser, le petit déjeuner est servie dans la grande salle jusqu’à neuf heures. Il fait beau ce matin, mais je me permets de vous conseiller un gilet. Je m’effaçais pour lui laisser voir les tenues que j’avais sortie avant de demander : voulez-vous que je repasse plus tard ? Si c’était le cas, j’irais réveiller Lady Seymour.
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() / Jeu 26 Jan - 16:25
Aidan Percy
Partie de chasse royale ou un moment de plaisir
La nuit avait été longue pour le jeune comte. Se savoir au même étage que les Seymours ne l'avait pas aidé à trouver le sommeil et seul dans sa chambre, il avait quelque peu laisser ses viles pensées le traverser.
Ce fut à l'aurore, peu avant que les serviteurs viennent le réveiller, qu'il était déjà assis au bord du lit. Son cher Harold congédia rapidement ceux-ci pour venir s'occuper de son maitre.
- Il semblerait que monsieur n'aie pas beaucoup dormi cette nuit, me tromperai-je?
- On ne peut rien vous cacher ,Harold.
- Serait-ce l'idée que votre fiancée se trouve à deux chambres plus loin seulement qui vous obsède?
Le comte ne répondit pas, se laissant habiller, avant de quitter ses appartements. Sa tante le rejoindrait plus tard, il avait besoin de marcher quelques peu.
Traversant les grands couloirs, il s'arrêta un instant devant la porte que lui avait indiqué son serviteur. De l'autre coté, Arielle devait s'y trouver. Il prit une grande inspiration, avant de descendre vers l'extérieur. Appréciant la douceur de la brise, son ventre le rappela très vite à l'ordre et il rejoignit la table du petit déjeuner. Saluant ses quelques connaissances, l'ours qu'il était s'installa aux cotés de sa tante, qui se trouvait déjà attablée.
Résumé:
Aidan n'a que peu dormi de la nuit (on se demande pourquoi). Il se fait réveiller par les serviteurs et habiller par son majordome, qui lui indique les appartements de sa fiancée @Arielle Seymour. Puis, le comte finit par sortir prendre l'air avant de rejoindre le petit déjeuner.
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When the moon meets the sun
Wendy Manners
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() / Jeu 26 Jan - 16:43
Wendy Manners
Partie de chasse royale ou un moment de plaisir
Dormir pour Giulia était une perte de temps, mais elle s'était laissée emportée dans la fabuleuse literie qu'offrait ce château. C'est donc avec difficulté qu'elle ouvrit les yeux quand Marcella vint la réveiller. Celle qui avait à peine son âge possédait une douceur d'une mère qu'on lui avait enlevé quelques années auparavant. S'étirant au pied de son lit, la demoiselle regarda alors la toilette déposée sur une chaise.
- Par pitié, ne me dites pas qu'elle veut que je porte ce jaune atroce? La duchesse exagère.
- Il ravivera vos joues...
- Marcella...S'il te plait sort moi une autre robe. N'importe laquelle, mais pas une où je ressemble à un canari.
La femme de chambre hocha la tête et ouvrit la penderie pour en sortir une robe d'un vert d'eau. Elle aida alors la jeune italienne à l'enfiler et à accrocher ses cheveux en un chignon bas, laissant quelques mèches sur le devant. Marcella maquilla quelque peu son visage, avant que Giulia ne quitte ses appartements. Elle avait qu'une hâte: découvrir le château et les quelques sculptures qu'elle avait vu en passant. Connaissant son frère, il devait être déjà au petit déjeuner.
- Lady Giulia, où allez-vous donc seule?
La jeune femme se retourna pour croiser le regard de Lady Manners. La belle-soeur de sa tante avait dont de l'exaspérer parfois...
- Il s'avère que je meurs de faim, votre grâce. Pourrions-nous descendre?
La duchesse soupira, avant d'accompagner la demoiselle dans sa quête. On salua quelques personnes, avant que Giulia ne croise le regard d'un homme qui semblait perdu dans ses pensées. Il était plutôt bel homme; les cheveux noirs, la mâchoire carrée, mais les traits plutôt triste. Elle lui offrit un sourire franc, suivit d'un geste de tête pour le saluer. Cela, tandis que Lady Manners continuait d'avancer entre les gens, la jeune femme restant à sa suite.
Résumé:
Giulia se réveille assez tôt, curieuse d'aller visiter ce château anglais. Elle se fait attraper par la belle-soeur de sa tante qui ne veut pas la laisser descendre seule. Une fois dans la salle, elle capte le regard d'un homme @Mark Healeyà laquelle elle sourit. Puis elle suit Lady Manners sans un mot,.
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() / Jeu 26 Jan - 18:21
Invité
PARTIE DE CHASSE ROYALE
Après une soirée bien sympathique avec le Duc de Norfolk et sa sœur, l'écossais retrouva sa chambre, non sans un certain taux de whisky dans le sang.
Dans un lit qui n’était pas le sien, loin de ses filles, la nuit fut agitée pour le Marquis de Graham et de Buchanan. L’écossais s’était réveillé plusieurs fois en sueur et n’avait guère bien dormi, ni beaucoup d’ailleurs. Voilà bien longtemps qu’il n’avait pas passé une aussi mauvaise nuit, certainement du fait du surmenage et des nombreuses préoccupations qui s’ajoutaient les unes sur les autres. Ce n’est qu’au petit matin qu’il put trouver un sommeil réparateur, à peine avant l’arrivée des valets du palais. Heureusement pour lui, il était matinal et il se leva donc rapidement, malgré la fatigue et les fardeaux pesant plus lourd que d’habitude. Alistair demanda immédiatement à ce qu’on lui apporte son petit déjeuner dans ses appartements et se prépara en attendant leur arrivée, avec l’aide de son valet de chambre bien sûr.
Alistair choisit un costume relativement simple et plutôt sombre : pantalon gris foncé, chemise blanche et veston gris foncé, le tout surmonté d’une très belle redingote bleu foncée et dont la doublure n’était autre qu’un tartan bleu, vert et noir, visible donc sur les revers et lorsqu’il ouvrirait les bras. Élégant, sobre, distingué et un brin écossais. Bien sûr, il ne sortirait pas sans son chapeau. Alors que le château s’éveillait doucement, le Marquis avala son petit-déjeuner en paix, profitant de ce moment de tranquillité aux bruits des oiseaux, des chiens et des chevaux. Il se doutait que peu de gens avaient commencé à manger, et s’il n’avait pas vraiment envie de se mélanger à la foule, il devait aussi trouver les Fitzroy avant la chasse.
Aussi, il quitta ses appartements dès qu’il eut fini son thé, frappant d’abord chez ses cousins par alliance par politesse afin de savoir s’il devait les attendre ou non. Alistair ne cachait pas son air bougon.
« Votre Grâce. J’espère que vous avez passé une bonne nuit. Comment avancent les préparatifs ? » Il savait ô combien les femmes pouvaient mettre du temps à se préparer et faisait bien sûr référence à sa chère cousine Victoria. « J’ai déjà pris mes dispositions pour le petit-déjeuner, mais je peux vous accompagner jusqu’à la réception. Je songeais profiter de la fraîcheur matinale pour prendre un peu l’air tant que c’est encore calme. »
Son programme était déjà tout fait, mais il ne voulait pas paraître impoli en descendant sans prévenir son compagnon de route.
Résumé : Alistair fait parti des premiers réveillés, après une nuit mouvementée et pleine de cauchemars. Il fait demander son petit-déjeuner et le consomme rapidement dans ses appartements. Puis toque chez @Emil d'Aetheling pour lui demander si lui et Victoria sont prêts à descendre.
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() / Ven 27 Jan - 8:59
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PARTIE DE CHASSE ROYALE
La veille au soir, William n’avait pas joué les prolongations, exténué par ce long voyage en solitaire en compagnie de son fidèle étalon. Il avait toutefois épié les nombreuses arrivées par la fenêtre en sirotant un verre de whisky de grande qualité et se savait là, dans une drôle de situation. Il avait aperçu bien des visages connus, certains rassurants comme celui de sa petite protégée mexicaine, ou d’autres plus effrayants comme ceux des deux sœurs Blooming ou plus encore d’une seconde blondinette aux traits délicats, Abélia. Malgré une crainte aiguë sur la tournure que prendrait ce séjour royal, cela ne l’avait guère empêché de sombrer dans un sommeil profond et réparateur.
Le Comte, endormi depuis déjà de longues heures, n'eut pas de mal à sortir des draps délicats, avant même que l’on vienne ouvrir les rideaux épais de sa chambre. Son humeur était fragile, au point d’équilibre entre la joie d’aller chasser et l’agacement de devoir parler et se montrer sociable après trois jours de voyage seul face à lui-même. Il se prépara, toujours vêtu de noir et d’or, une habitude vieille de plusieurs années dont il avait du mal à se défaire. Ses vêtements sombres lui servaient d’armure, tenant à distance les plus timides… Bien que cette espèce soit de plus en plus rare !
Sans émotion particulière, il descendit l’escalier, profitant de l’abondance d'œuvres accrochées sur les murs, pour rejoindre la table du petit-déjeuner. Lui, qui n’était pas un homme très ponctuel, fut surpris de constater qu’il était parmi les premiers. Le piège…
Il salua d’un hochement de tête les hommes déjà présents et adressa un sourire forcé à la seconde Blooming, par chance, déjà occupée à faire la conversation. Sa présence lui serra la poitrine, redoutant les retrouvailles à venir, toutes autant qu'elles soient.
Assis en retrait, sur un bord éloigné de la grande table, il remercia l’employé qui déposait devant lui une assiette garnie et une tasse de Thé chaude comme il l’avait demandé. Les minutes étaient désormais comptées, avant que la pièce ne soit remplie de tout ce beau monde arrivé la veille et rapidement, il manqua d’air dans son élégant costume ébène, refoulant ses craintes en croquant dans une tranche de pain recouvert de confiture.
Résumé:
Résumé : William se rend au petit déjeuner après une bonne nuit de sommeil, avec l'angoisse au ventre de devoir se mêler à la foule. Il salut, particulièrement froidement @cordelia Blooming avant de s'installer plus loin.
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() / Ven 27 Jan - 9:30
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PARTIE DE CHASSE ROYALE
Son sommeil avait été agité, tourmenté par des angoisses silencieuses. Ses parents attendaient beaucoup d’elle lors de ce séjour. Aucun faux pas, aucune parole malheureuse, aucune balade en solitaire qui pourrait la plonger encore un peu plus dans la disgrâce. La veille, elle avait apprécié pouvoir discuter avec cet homme charmant, Mr Wilson, avant qu’ils soient conviés à rejoindre leurs chambres respectives. Le visage d’Emilia Mason fut le premier à apparaître dans son champ de vision, délicate et toujours parfaitement apprêtée malgré l’heure matinale.
Avez-vous bien dormi Amalia ? Vous devriez profiter du petit déjeuner pour aller à la rencontre des autres femmes de chambre. Je compte sur vous pour me raconter les meilleurs potins ! Dit-elle, amusée.
Les deux jeunes femmes ne se connaissaient pas depuis longtemps mais Emilia commençait à apprécier sa discrétion et sa douceur. Sa présence pour cette première sortie publique l’apaisait un peu. Sa femme de chambre lui tendit une robe bleu ciel et blanche, parfaitement adaptée à cette nouvelle journée. Élégante sans être encombrante, nul doute qu’elle irait à ravir à la dernière enfant FitzRoy. Son répit fut de courte durée lorsque la Duchesse, Lorely Fitzroy fit une entrée fracassante dans la chambre de sa fille, claquant des mains pour que cette dernière se presse. Emilia soupira, leva les yeux aux ciels avant de chercher de l’aide dans le regard de sa future amie, en vain. “Pitié, sauvez-moi ! “ pensa- t-elle. Que pouvait-elle bien faire face à la dragonne de Lennox… Personne ne pouvait réussir à freiner les ambitions d’une Mère souhaitant marier sa progéniture. Oh non, c’était une mission bien trop périlleuse…
Emilia fit donc son apparition en compagnie de ses deux parents, comme un oiseau que l’on surveillait précieusement pour qu’il ne vole pas trop haut, sagement parqué entre des regards assassins en guise de barreaux. Elle s’efforça de sourire chaleureusement à toutes les personnes qu’elle croisa sur son chemin malgré une envie folle de sortir prendre l’air, de laisser les premiers rayons timides se poser sur son teint de porcelaine. Rapidement, ses parents se mirent à table, enchaînant les discussions à deux comme ils aimaient le faire si souvent. Elle prit place à leurs côtés, le visage plein d’anxiété. Par chance, le futur Duc de Montrose n’était pas encore présent et cela lui laissait un peu de répit pour avaler un bon repas sans s’étouffer. Sera-t-elle à la hauteur de cette journée mondaine ?
Résumé:
Résumé : Emilia se prépare tranquillement en compagnie d'@Amalia Mason Mason" avant que la Duchesse ne vienne troubler le calme des deux jeunes femmes pour rejoindre le petit-déjeuner en vitesse. Elle s'installe aux côtés de ses parents, silencieuse et intimidée.
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() / Ven 27 Jan - 10:41
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Partie de Chasse Royale
2ème Tour
Le chemin a été long jusqu’au magnifique château de Son Altesse Royale le Prince Octavian de Hanovre, Duc d'York et d'Albany. La mélodie des titres du prince royal sonnait tel un refrain dans l’esprit de Manoé, de par sa mère qui avait préparé, sa sœur et elle, à cet évènement animant l’intersaison. Le temps est bien subjectif… Peut-être le trajet n’avait pas été si long. Cependant, c'était la compagnie qui l’avait prise de cours. En effet, elle s’était retrouvée en chien de faïence avec les jeunes hommes de la famille Healey. Ils détenaient tous deux, certes, le très respectueux titre de compagnons d’enfance, mais l’aîné, celui dont l'âge frisait la vieillesse selon la perception de la jeune Manoé, venait de se pourvoir de celui de fiancé. L’annonce avait été dévastatrice pour l’impétueuse Tilney. La cadette ne réussissait pas non plus à décrocher des mots qui sortaient de la banalité à sa sœur.
Après avoir passé la soirée en compagnie de son aînée, à son grand soulagement, elle se réveilla sans avoir pu se reposer. Depuis la nouvelle de ses fiançailles, bien qu’elle semblait éteinte extérieurement, une agitation intérieure lui troublait les sens les plus communs. La douce fraîcheur de la campagne et les premières rosées matinales furent l’ouverture d’un nouveau spectacle, faisant tomber le rideau sur cette affreuse nocturne. Un désir destructeur la poussait à vouloir s’enfuir pieds nus afin de sortir de ce domaine à la pelouse millimétrée. Néanmoins, ses parents avaient été clairs avec elle : encore d’autres insanités et on l’enverrait dans une de ces maisons où les femmes ne ressortent pas, ou du moins avec des humeurs. Elle ouvrit la fenêtre de la chambre qu’elle partageait avec son aînée, Naïlys. À ce moment, leur gouvernante entra dans la pièce et la gronda. Le froid risquait de les rendre malades toutes deux. Néanmoins, Manoé n’avait jamais autant manqué d’air.
Les deux sœurs furent vêtues selon les activités de la journée. Leurs tenues se paraissaient, même si celle de Naïlys dessinait une silhouette longiligne, alors que les formes de Manoé ne semblaient pas encore être sorties de l’enfance. Faire correspondre leur apparat sera un moyen de signifier l’entrée lente, mais assurée, de Manoé, dans le même monde que sa sœur. Elle qui était habituellement si bavarde, ne put décrocher ni même une remarque à son aînée. Pourtant, ce n’était généralement pas les paroles grinçantes qui lui manquaient. Elles descendirent ensemble au petit-déjeuner. Plus elles approchaient de la salle dédiée, plus le cœur de Manoé s’emballait. Allait-elle devoir s’asseoir auprès de son fiancé ? Elle savait bien que son aînée n’avait jamais rechigné à s’asseoir avec les Healey. Cependant, depuis l’annonce des fiançailles des deux moutons noirs, c’était les quatre protagonistes qui se retrouvaient affectés. Mark Healey se trouvait à côté d’une jeune femme, élancée et à la chevelure brune. Manoé ne la reconnut pas. Machinalement, elle agrippa le bras de sa sœur, Naïlys. Elles avançaient désormais les bras entrelacés.
(c) DΛNDELION
Spoiler:
Manoé est assez silencieuse depuis leur arrivée. @Naïlys Tilney et elle-même partagent une chambre au château, en tant que jeunes filles. Manoé n'a presque pas dormi de la nuit et peut paraître fatiguée. A leur réveil, on les a habillé avec des tenues presque similaires. Elles descendent toutes deux au petit-déjeuner et croisent @Mark Healey et @Cordelia Blooming
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() / Ven 27 Jan - 13:43
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PARTIE DE CHASSE ROYALE
Juliet avait dormi comme une marmotte, après un dîner divin en la délicieuse compagnie des Berkeley. Elle adorait Lady Berkeley et s’entendait fort bien avec cette dernière et son humour pinçant. Cordélia avait fait la tête toute la soirée bien sûr, tout en essayant de prétendre que non, mais elle n’était pas dupe. Elle avait bien tenté de lui redonner le sourire en lui disant que son ami le Marquis était présent, bien que rien n’était sûr en réalité, mais rien n’y faisait.
Et au petit matin il avait fallu que sa chère sœur avec qui elle devait partager sa chambre alors qu’un bel homme se trouvait à quelques pièces d’ici se lève aux aurores et ne la réveille. Elle avait lancé un coussin dans la direction de cette dernière, juste trop tard alors que la porte se refermait. Et puis sa femme de chambre était venue la sortir de son lit alors qu’un valet du palais avait ouvert les rideaux. Juliet n’était pas du matin, néanmoins cette journée s’annonçait aussi radieuse qu’elle et elle comptait bien faire profiter à tous de son divin sourire. Comme toujours, elle fit tourner en bourrique les serviteurs en se montrant très exigeante sur sa coiffure et sa tenue, car Juliet voulait se faire remarquer. Elle opta finalement pour sa couleur de prédilection : le violet, avec une robe lavande et un spencer dans les tons améthystes et une coiffe fleurie qu’elle tenait pour l’instant en main.
La jeune femme ne savait pas si elle devait attendre le signal de Lady Berkeley et n’osait pas aller frapper aux appartements du Marquis, et elle qui avait si bon appétit, était en train de mourir de faim. (Au moins !) Elle se décida donc à descendre pour rejoindre sa cadette. Qu’elle ne fut pas sa surprise de constater que peu de monde se précipitait sur le buffet… Beaucoup devait avoir opté pour le service en chambre, même si la salle se remplissait. Elle aperçut sa sœur en compagnie du Docteur Healey… Évidemment… Et s’approcha pour les saluer, bousculant légèrement deux jeunes brunes sur son passage…
« Cordélia. Docteur. Qu’il est rassurant de vous savoir ici ! Je vous souhaite un bon appétit. »
Tout sourire, elle les abandonna là. Car elle l’avait vu bien sûr, le ténébreux et séduisant Lord Lightwood qu’elle comptait bien aller narguer. Lui qui lui avait fait tant de promesses et qui ne semblait pas prêt à en tenir une seule…
« Lord Lightwood, quelle surprise ! Quel genre de proie espérez vous chasser aujourd’hui ? »
La biche écervelée ? Ou l’oiseau de mauvaise augure peut-être ? A sa mine sombre, elle opposait son plus beau sourire et son regard envoûtant.
Elle fit signe à un serviteur afin de se faire servir une assiette similaire. Elle mangerait n'importe quoi. Mais vu la qualité de la literie et de la nourriture, elle devrait peut-être songer à épouser le Prince lui-même...
Résumé : Juliet a formidablement bien dormi. Après avoir maudit Cordélia et sans signe de Lady Berkeley, elle se décide à descendre - bien trop tôt à son goût. Elle bouscule (à peine hein) les sœurs @Manoé Tilney@Naïlys Tilney sur son passage, puis salue @Mark Healey et @Cordelia Blooming rapidement avant d'aller rejoindre @William Lightwood .
tenue:
Juliet porte une robe lavande avec un spencer plus foncé et une coiffe en extérieur.
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() / Ven 27 Jan - 16:41
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PARTIE DE CHASSE ROYALE
Un serviteur royal était venu interrompre leur discussion, laissant à peine le temps à Abélia de répondre au Marquis et de faire la connaissance du Vicomte. Nous étions en vacances à la mer et j’ai à peine eu le temps de m’en occuper, même si le jardinier m’a dit que tout allait bien. Alors elle s’était excusée, comme on le lui avait appris et était rentrée retrouver ses parents et la comtesse douairière.
Au petit matin, elle avait fait son lit, dans cette chambre si bien rangée par ses soins, comme à son habitude et puis s’était laissée coiffée par la savante Martha - ses boucles blondes joliment nattées et relevées au-dessus de sa nuque, piquée de quelques fleurs bleus assorties à sa robe. Cette robe évidemment, joli cadeau qu’elle avait contemplé en rêvant du jour où elle pourrait la porter. Et le grand jour était venu… Le Comte avait intérêt à être là !
Il l’était, Martha s’en était assurée auprès de la servante de la comtesse qui connaissait toutes les familles et les serviteurs et susurrait à sa maîtresse tout ce qu’il y avait à savoir sur les célibataires présents. Car pour sûr, la douairière n’avait pas amené sa pupille et héritière pour rien et elle comptait bien la présenter à tous les meilleurs partis. Et même ses parents s’y étaient mis, ayant déjà évoqué quelques noms qu’ils avaient eu la chance de côtoyer. La douairière en avait validé certains, et mis d’autres aux rebus. Quant au Comte de Surrey, elle ne semblait pas s’y opposer, même si ce n’était pas Abélia qui avait amené le sujet. William et les moments passés avec lui faisaient partis de son jardin secret et elle craignait d’en ouvrir les portes, par peur que cela ne fusse qu’un rêve. Elle avait pensé à lui chaque jour depuis leur rencontre, regardant cette robe ou son nom sur son carnet… Une attente interminable qui ne faisait que nourrir son affection pour lui.
La jeune femme descendit donc dans son ensemble bleu ciel accompagnée de la douairière, mais pas de ses parents qui n’étaient pas encore prêts - et tant mieux. Elle le vit tout de suite, au premier pas posé dans cette grande salle et lui sourit, sincère et douce. Et puis elle vit la belle blonde à ses côtés, et en ressentit une étrange et vive douleur. La douairière, elle, ne l’avait pas vu et rappela à l’ordre sa pupille soudain perdue. Une distraction bienvenue. La future débutante suivit la Comtesse du Lincolnshire jusqu’à la place qu’elle avait choisi, à distance des personnes présentes qui n’étaient vraisemblablement pas pour lui convenir, dans l’attente de l’arrivée d’un convive plus intéressant.
Abélia de son côté ne reconnaissait personne de sa connaissance.
Il n'y avait plus qu'à attendre que leurs assiettes soient servies.
Résumé : Abélia se prépare sagement et descend en compagnie de la comtesse douairière. Elle reconnait @William Lightwood, à qui elle sourit, sincèrement heureuse de le voir. Mais sa compagnie la prend au dépourvu. Elle suit la douairière jusqu'à un coin non occupé de la grande table, alors que celle-ci guette des célibataires à qui la présenter. Aparté par manque de place : Martha la femme de chambre d'Abélia rejoint les autres domestiques @Arya Harrington@Amalia Mason@Joséphine White@Edward G. Lovewell et sera un peu trop bavarde (à trop garder de secrets, elle n'aura pas su tenir sa langue sur ça huhu) en racontant que la robe portée par sa maitresse est un cadeau de William Lightwood.
tenue:
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() / Ven 27 Jan - 23:09
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Partie de chasse royale ou un moment de plaisir
La nuit avait été plus qu’agréable. Le dos d’Eva, meurtri par le voyage avait apprécié la literie de qualité mise à sa disposition. La chambre dans son ensemble était fort agréable. Sa camériste était arrivée peu après et avait trouvé ses quartiers parmi les domestiques. Elle se présenta donc accompagnée des domestiques royaux pour la tirer de son profond sommeil. Toujours active, Eva n’était pas du genre à paresser au lit. Levée, rafraîchie et dispose, elle laissa à sa domestique le soin de s’occuper de ses long cheveux ébènes. Cette dernière les attacha dans une coiffure à la dernière mode. Eva fouilla ensuite ses malles à la recherche de la tenue et de la parure parfaite. Pour cette sortie, son père n’avait pas lésiné sur les dépenses. Elle était, d’après ses dires, son meilleur investissement. Eva n’était pas sûre d’apprécier être comparée à un navire ou l’une des nouvelles mines que son père pouvait acquérir sur le continent mais elle prenait les robes et les bijoux sans rechigner. Elle aimait se sentir belle et courtisée. Sa deuxième saison allait commencer et elle savait que son père s’attendait à ce que ce soit la dernière. Un soupir lui échappa malgré elle. Quel dommage que la valeur d’une femme en ce monde ne se mesure qu’à celle de l’homme qui lui passait la bague au doigt. Si elle avait été un homme, elle aurait pu reprendre les affaires de son père et personne n’aurait questionné ce choix. Quand bien même elle en avait les compétences, cela lui était impossible.
Son thé du matin lui faisant cruellement défaut afin de la mettre de bonne humeur, la demoiselle prit le chemin de la salle à manger du domaine. A peine arrivée, elle sut que ce matin là, une tasse de thé ne suffirait pas à chasser les nuages de son esprit. Elle venait de tomber nez à nez avec Lord Lightwood en bonne compagnie. Une lecture rapide de l’atmosphère qui se dégageait d’eux lui donna toutes les réponses qu’elle voulait avoir. Elle se fichait bien de savoir si celles-ci pouvaient être erronées. Aurait-elle oublié qu’il n’y avait rien à attendre d’un pareil vaurien? Son titre et son influence pouvait bien masquer tant qu’il voulait ses manigances, elle n’était pas dupe et possédait une preuve de sa duplicité. Il ferait bien de ne pas l’oublier.
“Miss Blooming ! C’est un plaisir de vous revoir. La saison des truites est bien avancée mais j’ai entendu dire que vous faisiez de bien jolies prises.”
Le ton était léger et agrémenté d’un clin d’œil. Elle n’avait rien contre Juliet. Au contraire, elle faisait partie des rares débutantes qu’Eva appréciait. On ne s’ennuyait pas lorsqu’elle était dans les parages. En ce moment, c’était son entourage qui laissait à désirer et irritait la débutante plus que de raison. Son regard devint polaire lorsqu’il se posa sur Lord Lightwood. La politesse aurait voulu qu’elle le salue en premier mais… Elle réservait ses égards aux personnes qu’elle n’avait pas envie de transpercer avec le couteau à dessert.
“Lord Lightwood.”
Même son ton semblait avoir du mal à dissimuler sa froideur. Elle s’en rendu compte et se fit plus miel.
“J’ai lu dans le Times que vos affaires étaient florissante. Cet article était si élogieux. Cela doit vous faire plaisir considérant… Enfin, vous connaissez la presse. Félicitations. Et bon appétit à tous les deux.”
Un petit sourire satisfait aux lèvres, elle se dirigea à l’opposée de la tablée aux côtés d’une demoiselle qu’elle ne connaissait pas encore. Se servant une tasse de thé, elle se chargea de briser la glace.
“Les mets sont-ils à la hauteur de notre royal hôte? Que me conseillez-vous?”
Résumé:
Eva se réveille reposée malgré le long trajet et rêve de son thé matinal. Arrivée dans la salle à manger, elle tombe sur @Juliet Blooming et @William Lightwood attablés ensemble ce qui assombrit son humeur. Elle décide de provoquer ce dernier avant de s'installer à l'opposé à côté de @Emilia Fitzroy avec qui elle commence à discuter.
Jonathan Winslow
Jojo l'aspirassiette
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() / Sam 28 Jan - 3:20
Jonathan Winslow
Partie de chasse royale 1er tour
Ainsi, Jonathan avait fait la rencontre du maître des lieux, le Duc de Hanovre. Il aurait préféré l'avoir rencontré dans d'autres circonstances mais encore une fois son estomac et sa gourmandise lu avait joué des tours. En espérant que le duc ne lui en tienne pas rigueur pour le reste du séjour ? En tous cas, lorsque Jonathan se fit raccompagner à ses quartiers, ce fut pour trouver un magnifique plateau de nourriture qui lui fit tout oublier de sa mésaventure dans les couloirs. Les aliments étaient succulents à souhait. Mais pourquoi était-il partit tout seul à l'aventure à la recherche d'un panier de scones ou de muffins ? Une fois rassasié pour passer la nuit, Jonathan se coucha avec sa famille et se réveilla le lendemain après une bonne nuit de sommeil par les valets de la maison qui tirèrent es rideaux de son lit.
S'éveillant, Jonathan s'étira longuement avant de se laisser par le valet pour se revêtir et il emmené dans la grande salle où il s'installa devant un excellent petit-déjeuner. Cela allait sûrement être une longue journée. La chasse ça éreintait ! Jonathan se servit évidemment dans un peu tous les plats qu'il y avait. Auprès de sa famille, il mangeait plus qu'il ne discutait. Il prêtait rarement une oreille aux discussions alentours sauf pour lâcher une pique envers ses frères, ou une blague et rire avec eux. C'était souvent comme ça avec eux. Ils riaient entre eux, se lançaient des boutades, les trois frères étaient extrêmement complices que cela agaçait leur mère mais cette dernière au fond ne pouvaient qu'esquisser un sourire devant la complicité et la bêtise de ses fils quand ils étaient ensemble.
« En tous cas, celui qui ramène le moins de gibiers tout à l'heure est une poule mouillée ! » s'écria Jonathan en lançant cela comme ça comme un petit défi à ses frères. Benedict s'esclaffa aussitôt ainsi qu'Anthony qui répondit : « Préparez-vous alors à perdre ! Vous savez très bien que je vous bât à plate couture en démonstrations sportive ! » Benedict lui lança alors en rigolant : « Tu parles, je sais mieux viser que toi ! C'est moi qui vais vous battre à plate couture vous allez voir ! Pari pris ? » Les trois frères s'esclaffèrent un peu trop bruyamment et leur mère leva les yeux au ciel, amusée pourtant. « Voyons, par pitié je vous sommes de vous tenir un peu tranquille les garçons, » leur dit-elle avec un air de reproche. « Vous allez attirer l'attention sur vous. »
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Rewrite the stars
[...] il avait une façon de vous regarder, son regard vert si intensément fixé sur vous que vous aviez l'impression d'être seul au monde avec lui.
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() / Sam 28 Jan - 9:31
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PARTIE DE CHASSE ROYALE
Sa voix suave. Juliet Blooming. William manqua de s’étouffer avec sa tranche de pain, coincée dans sa gorge devenue trop étroite au son de ce timbre envoutant. Il leva les yeux, fut subjugué par sa beauté matinale et n’eut pas le temps de dire un mot avant qu’elle ne soit déjà assise à ses côtés.
Miss Blooming. Il semblerait que les espèces soient très variées en ces lieux…
Dans son regard, uniquement de la malice et le plaisir de retrouver cette femme qui l’avait tant fait reflechir. Plus une once d’animosité. Il savait qu’il la croiserait mais avait espéré être un peu plus réveillé pour une discussion sincère, sans pic.
Le défilé commença, les convives se hâtaient de venir se restaurer et son coeur se serra dans sa poitrine avec violence. Cette robe bleu, cette chevelure blonde, ce visage fin.. Abelia accapara toute son attention malgré la distance. Les jours passant, il s’était fait une raison, vouant à la mer des effets envoûtants mais du bout de la table il l’imaginait rire aux éclats, plus belle encore que dans ses souvenirs. De quoi le laisser pantois sur sa chaise, oubliant presque qu’il n’était plus seul.
Un rêve écourté par la venue de Miss Delucey, dont le ton cinglant ne présageait rien de bon. L’avait-il offensé pour de vrai, cette fois-ci ?
Miss Delucey, ravie de vous revoir moi aussi. Dit-il, un sourire provocateur sur les lèvres. Je vois que vous avez suivi mon conseil d’améliorer le choix de vos lectures, c’est une bonne chose. Nous en discuterons plus tard. Prenez donc une tasse, vous semblez tendue.
Était-ce une menace lancée par la brunette ? Il devrait s’assurer de son silence et éclaircir la situation à l'abri des oreilles indiscrètes.
Ses yeux sombres se tournèrent de nouveau vers Juliet.
Vous jubilez n’est-ce pas ? De me voir en si mauvaise posture ? Dit-il en riant. J’ai pu voir que vous étiez arrivée en bonne compagnie. Lord Berkeley aurait-il fait sa demande ?
Cela faisait-il une différence ? William se voyait dans cette femme comme devant son reflet dans un miroir ; courageuse, fière, manipulatrice. S’il avait vu en elle une épouse idéale, il avait compris qu’ensemble, ils brûleraient. Pour autant, elle avait gagné son admiration et son amitié, sans qu’elle ne le sache ni n’en ait besoin.
Je voulais vous parler. Sans doute pas au milieu d’une table remplie.. J’ai tant de choses à vous dire, mais peut-être avez vous compris l’essentiel.
Il n’était pas fou, si une personne pouvait bien déceler la lueur qui brillait dans ses yeux sombres à la simple proximité d’Abelia, c’était bien elle. Elle savait lire en lui, comme personne auparavant. Plongeant ses lèvres dans sa tasse de Thé en quête de réconfort, William aurait dû écouter son frère qui lui avait déconseillé de venir, un bien sage conseil compte tenu de la situation…
Résumé:
Résumé : William se retrouve pris au piège dans un drôle de tourbillon. Il doit faire face à @juliet Blooming, qui sait le déstabiliser, à @Abelia lewes qui vole son attention et à @eva delucey plus piquante que jamais, visiblement très remontée contre lui. Les échanges sont houleux, et ceux à suivre le seraient encore davantage.
Arielle Percy
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() / Sam 28 Jan - 12:15
Arielle Percy
"Une partie de chasse Royale"
Hunting is not a sport. In a sport, both sides should know they're in the game - Paul Rodriguez
Une ballade rapide dans les jardins avaient permis à chaque membre de la suite des Seymours de se dégourdir quelque peu les jambes après le long voyage, avant que, chacun ne rejoigne la suite qui leurs avaient été offerte. C'était intéressant de voir ces appartements, qui comportait, en plus d'une pièce que l'on pourrait considérer comme un petit salon, des chambres pour chacun. La soirée s'y passa sans heurt, le repas servi directement en ces lieux, alors que chacun discutait, aimablement, à l'idée de ce qui s'apprêtait à venir, de la chasse qui serait certainement des plus intéressante. Puis, ils avaient rejoint, un à un leur chambre, passant une première nuit dans ce palais royal et alors qu'elle fermait les yeux, l'ainée des filles du duc ,souhaita une bonne nuit à un homme qui dormait à quelques portes de là. Le petit matin arrivant, la vie repris, prêt pour le premier jour de chasse. Les domestiques allaient et venait et alors que Joséphine chassait une domestique de sa chambre, la rousse, ouvrait doucement les yeux, la laissant rejoindre la chambre d'Apolline, s'étirant doucement avant de se lever, prenant un verre d'eau, ouvrant elle même ses rideaux pour observer la beauté de la campagne, écouter les aboiements des chiens, observer un instant la vie qui se faisait dehors avant de commencer ses préparatifs. Sa toilette faite, elle rejoint Apolline et Joséphine, leur souhaitant le bonjour avant de laisser la femme de chambre les aider, l'une et l'autre à se vêtir. La coiffure était plus simple qu'a l'ordinaire. Elles étaient à la campagne après tout et un demi chignon accompagné d'anglaises suffiraient. Fin prête à son goût, dans sa robe vert d'eau parsemée de fleurs rose, la lady rejoint à pas mesuré avec toute sa famille le lieu ou le repas du matin était servi.
« Ce palais est magnifique, ne trouve tu pas Apolline ? Nous avons vraiment beaucoup de chance d'être invité en ce lieu. »
Elle sourit doucement à son amie, laissant ses frères discutaient entre eux, excitaient à l'idée de rejoindre la chasse. Arriva enfin le refectoire, si l'on pouvait le nommer ainsi ou des nobles s'installaient en différents endroit avant que des domestique ne leur apporte boisson et petit déjeuners. Prenant place à la table qu'on leur indiquait, elle laissa sa jeune femme de chambre rejoindre la pièce reservée aux domestique, attendant qu'on leur pose délicatement les assiettes face à eux elle salua les personnes assisent à leurs tables. Bien sur, la duchesse avait fait en sorte qu'ils ne soient pas avec le comte de Northumberland et souriait avec enthousiasme aux personnes à leurs tables. Arielle de son côté, commençait son petit déjeuner .
« Quel gibier pensez vous qu'il y aura lors de la chasse ? Et qu'y aura t il de prévu pour les dames ? J'espère que cela sera distrayant. »
Code by Sleepy
Résumé:
Arielle après avoir passée sa premiere nuit au palais se lève seule et profite un instant de la beauté des jardins avant de rejoindre son amie @Apolline Sutton et leur femme de chambre @Joséphine White pour s'habiller avant de rejoindre le lieu du petit déjeuner. Elle discute un peu avec Apolline en chemin et une fois à table se met à discuter avec ceux qui seront à la meme table qu'elle. Néanmoins la duchesse à fait attention à ce qu'elle reste éloigne de @Aidan Percy
S’il y avait eu de la rancœur dans sa voix, elle se serait calé dessus. Mais peut-être… Peut-être, oui… Son sourire s’élargit, puis elle s’efforça de le garder lorsqu'il sembla l’oublier, la balayer d’un simple cillement. Elle suivit son regard, tomba sur la jolie blonde aux yeux bleus… Comme elle. La comparaison s’arrêtait là et il fallait être sot pour y voir autre chose que : William avait un type. Elle venait de se faire voler la vedette, ce qui était extrêmement déplaisant, et pourtant elle n’arrivait pas à lui en vouloir. Elle était ici au bras d’un autre après tout, et elle appréciait cet homme. Alors peut-être…
Une brune qu’elle reconnut aussitôt l’empêcha de commenter, et la blonde rit doucement. Si elle savait à quel point elle avait péché… Mais là n’était pas la question.
« Miss Delucey ! Je serais ravie de vous donner un cours de pêche. »
Elle assista plus qu’amusée à l’échange entre les deux, ignorante qu’elle était de leur accointance, profitant de ne pas être concernée pour manger avec appétit.
« Merci, à vous aussi. Et n’oubliez pas ma proposition. » Proposition parfaitement sérieuse et cible de choix. Elle rêvait de pousser une débutante au vice, ou plutôt aux plaisirs de la vie, une qui ne soit pas complètement sotte.
« Je jubile, en effet. » Elle rit de bon cœur avec lui, puis lui montra sa main gantée dépourvue de bague de fiançailles, tout en soupirant. Les hommes mettaient tant de temps à se décider… Décidément, elle enviait Georgie.
Son sourire se fit plus tendre lorsqu’il poursuivit, le regard toujours tourné vers cette poupée blonde, certainement bien plus pure qu’elle. Elle comprenait oui, trouvait cela quelque peu injuste aussi et pourtant elle avait été la première à se dire qu’ils formeraient un couple désastreux. Il en restait qu’elle l’aimait bien et qu’elle avait peut-être une certaine amitié pour lui… Peut-être une amitié plus saine que celle qu’elle entretenait avec Adrian. Et lui au moins avait le bon goût d’être encore célibataire.
« Je suis vexée d’avoir été si vite oubliée. » Sourire taquin. « Néanmoins, il me plairait d’avoir cette conversation avec vous. Nous pourrions aussi parler de cette blonde, de Miss Delucey et de votre mauvaise posture… Croyez-le ou non mais je vous apprécie William. Maintenant je vais aller retrouver ma sœur en attendant ce cher Marquis. » C'était plus prudent.
Juliet demanda alors à un valet de faire porter son assiette et sa tasse à côté de sa sœur, car elle n’allait quand même pas les porter elle-même. Elle se tourna une dernière fois avec un brin de provocation.
« Ne soyez pas goujat avec elle William ! »
Juliet vint alors s’asseoir à côté de Cordélia, la laissant faire tampon avec le si séduisant docteur à qui elle avait fait des avances on ne peut plus explicites. Elle sourit à sa cadette et finit son assiette en silence.
Résumé : Juliet termine sa discussion avec @William Lightwood qui se déroule étonnement bien d'ailleurs, et ce malgré l'interruption de @Eva DeLucey . Puis elle se relocalise à côté de @Cordelia Blooming et @Mark Healey (qui est de toute façon certainement occupé avec les sœurs Tilney).
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Juliet porte une robe lavande avec un spencer plus foncé et une coiffe en extérieur.
Aloïs Berkeley
Marquis
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Emploi : Marquis de Berkeley à temps plein. Parlementaire en saison. Membre des limiers de la reine.
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() / Sam 28 Jan - 17:58
Aloïs Berkeley
Partie de chasse royale
La nuit fût des plus agréables pour le marquis de Berkeley, qui dormit comme l’ours qu’il pouvait être. Dès lors, lorsque le soleil pointa à travers les rideaux, notre homme se tira du lit, échevelé et les traits encore un peu endormi. Vêtu en prévision de la chasse, Aloïs attendit patiemment que sa chère grand-mère ait fini de se prendre pour la reine, à faire tourné bourrique les domestiques, afin d’accompagner cette dernière au petit déjeuner. Les escaliers de la demeure avaient beau être splendide, ils n’en demeuraient pas moins difficile pour une dame de son âge, même si elle était toujours (trop) bon pied, bon œil. « Vous savez, ma chère grand-mère, que tout cela n’est plus de votre âge ? » La taquina-t-il un sourcil haussé et un sourire malicieux sous sa barbe. « Balivernes, mon cher marquis. Pour qui me prenez-vous donc ? Tant que je vivrais, je ferais raisonner ma canne dans ce genre d’évènements. Peut importe ce que dirons les médecins. » L’air outré de lady Berkeley arracha un rire retenu à son petit-fils, tandis qu’ils avançaient de concert vers la salle à manger.
C’est là, qu’elle lâcha enfin son bras, pour s’en aller saluer ses connaissances, tandis que le marquis se retrouva quelque peu alpaguer par une de ses connaissances, qu’il ne manqua guère de saluer. La douairière elle, ne manqua guère le tour de force de la jeune femme qu’elle devait chaperonner, un sourire triomphale ornant son visage marqué par l’âge. Dès lors, elle s’en retourna près d’Aloïs à qui elle reprit le bras. « Votre dulcinée est décidément l’héritière parfaite de ma personne. » Le colosse fronça alors ses épais sourcils, l’incompréhension peignant ses traits. « N’essayez pas de comprendre, vous n’êtes qu’un homme de toute façon. » Aloïs soupira de façon sonore en se demandant Dieu pourquoi Adrian n’était pas là et ou diable était donc Emil ! « Je sens qu’il va me falloir beaucoup de patience, pour en supporter deux comme vous, Adélaïde. » Qu’il répond alors en posant ses yeux verts sur elle et regretta un instant cette confidence. « Monsieur le marquis… » Commença-t-elle avec son légendaire air malicieux. « Madame la douairière. Si vous alliez posé votre séant, que nous puissions manger ? Et laissez les jeunes filles profiter de leurs libertés, avant la corde du mariage ? »
Si fait, le colossale marquis se rendit au buffet, non sans passer saluer les demoiselles Blooming. « Miss Blooming. Miss Cordélia. Avez-vous bien dormi ? Si j’en juge par votre teint frais, Miss Blooming, je dirais que oui. » Puis, ses yeux passent sur le médecin à l’air aussi morose qu’embêter. « Docteur, c’est une joie de vous rencontrer. » Et enfin, il se tourna vers les deux demoiselles brunes, qu’il ne connaissait pas. « Mesdemoiselles, je n’ai pas le plaisir de vous connaître. Aloïs Berkeley, marquis du même nom. »
C'était quelque chose. Que d'être en ce lieu avec son neveu et cet homme. De sentir une chaleur étrange lui prendre le poitrail, comme si c'était là, la chose la plus naturelle au monde et pourtant...pourtant ils ne pourraient rien laisser paraître, ils ne pourraient se sourire trop, s'approcher trop. L'apparence, les usages, la rigueur était de mise et alors que l'enfant jouait et riais, il souriait malgré tout à cet homme, prenant des nouvelles de sa sœur, lui serrant la main en salutation car après tout, ils étaient de la même famille, c'était le genre de choses qui se faisaient. Néanmoins, cette salutation faite, il retira sa main, s'imposant de ne plus avoir aucun contact avec cet homme pour le salut de leurs âmes et de leurs vies. Il souriait néanmoins aux nouvelles de sa sœur, en riant un peu, elle avait toujours rêvait d'être princesse comme bien des demoiselles. Les salutations faites, l'homme rassuré sur le voyage, il l'informa qu'il se devait d'aller à la chapelle pour prier car cela faisait des jours qu'il n'avait pu le faire et prit congés. Il y passa une partie de la soirée avant de rejoindre ses appartements et d'y retourner pour les matines, surprenant à n'en point douter le pauvre domestique qui lui était octroyé. Mais Dieu se fichait de l'heure matinale. Ainsi, le prêtre passa t il deux heures à prier, chantant ses cantiques, seul dans la chapelle, bien que quelqu'un passant par là ai pu l'entendre. Puis, il quitta les lieux, ravi d'avoir ainsi pu se plonger dans sa foi en une chapelle si joliment décorée avant de rejoindre les bancs des différentes personnes présente pour la chasse. Il n'était point sur de suivre le groupe dans la chasse, mais appréciait tout de même ce rassemblement champêtre et alors qu'il entrait dans cette pièce ou les nobles discutait, il salua ce qu'ils reconnaissaient avec son sourire solaire et bienveillant, offrant une petite révérence à lady Blooming, la jeune femme à qui il devrait toujours une danse pour le prochain avant de remarquer le regard insistant d'une autre dame et son geste l'incitant à rejoindre sa table. Avec bonhomie, il s'approcha de la table de la douairière Berkeley et s'inclina devant celle ci.
« Lady Berkeley, quel plaisir que de vous voir en ces lieux. Je fus des plus surpris de ne point vous croiser ce matin à la chapelle, vous qui êtes si pieuse. »
Un sourire malicieux, le prêtre observa le déroulement du déjeuner, voyant le buffet, les assiettes et s'inclina de nouveau face à la dame.
« Si vous voulez bien m'excuser, mon estomac crie famine et je m'en voudrait de vous offrir tel concert. »
D'un nouveau sourire, il quitta la compagnie de la dame, bien qu'il sache qu'il devrait prendre place à sa table, son assiette rempli. Aussi prit il le temps de choisir ses victuailles, se confectionnant une belle assiette avant de rejoindre de nouveau la douairière, persuadé qu'il ne tarderait pas à voir s'approcher le petit fils de celle ci, actuellement en conversation avec quelques demoiselles. Étais ce pour cela que la dame avait cherché son attention ? Lui parlait des désir matrimoniaux de son descendant ?
( Pando )
Résumé:
Après avoir discuté quelque peu avec @Jacob Evans, Léopold rejoins la chapelle du palais, y priant un certain temps avant de rejoindre ses appartements. A l'aube, il y retourna pour les matines avant de se rendre au petit déjeuner. Il salu plusieurs personnes d'un signe de tête dont @Juliet Blooming avant d'être happé par Lady Berkeley.
Jacob avait rapidement été laissé par le prêtre, juste à temps pour l'arrivée de sa femme. Aidant la bienheureuse à rejoindre leurs appartements, le couple dormit plutôt profondément cette nuit-là. Enfin...pour le mieux qu'on aie trois enfants qui ne font pas leur nuit et qui débarquent dans votre lit quand ils le peuvent.
Le réveil par les domestiques fut quelque peu dur, mais la famille fut rapidement habillée et coiffée. Jacob descendit en premier avec son fils comme à son habitude. Laissant sa femme finir de se préparer et avoir du temps pour elle. Le petit Matthew était mort de faim, malgré le bon repas dans leurs appartements de la veille, alors d'un commun d'accord, la mère l'avait laissé avec son père. Ils se mirent alors en route ensemble.
-Pourrons-nous aller voir Oncle Mark? Et Tante Ana?
- Bien sûr mon ange, mais restez tranquille d'accord? Nous sommes en société.
L'avocat fut surpris de l'arrangement des tables, mais ils allèrent ensemble se servir deux grandes assiettes. Le garçonnet sans demander son dut alla rejoindre le groupe de Lords et Ladies où le Dr Healey se trouvait. Il fit une révérence, avant que son père ne le rejoigne. Il usa alors les salutations d'usage avant de s'excuser.
- Matthew, je sais que vous vouliez voir Mark avant de déjeuner, mais la prochaine fois, attendez-moi. Excusez-nous mylord, myladies.
- Oui père...
Puis ils s'installèrent non loin pour déjeuner en attendant Charlotte qui arriva sous peu.
Résumé:
Jacob finit par rejoindre son épouse et ses enfants après un bref échange avec son beau-frère. C'est seule en compagnie de son fils qu'il rejoint la salle du déjeuner. Son fils décide alors d'aller saluer @Mark Healey, avant d'être gronder par son père qui finit par saluer @Juliet Blooming@Cordelia Blooming@Manoé Tilney et @Naïlys Tilney ainsi que son meilleur ami. Ils s'installent ensuite, avant que Charlotte n'arrive et mange avec eux.
Heathcliff Howard
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Emploi : Duc de Norfolk, Comte Maréchal d'Angleterre et 1er pair héréditaire de la chambre des Lords. En outre, sa famille est connue pour son élevage de chevaux.
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() / Sam 28 Jan - 19:52
Heathcliff Howard
1er tour.
Partie de chasse royale.
Une bonne nuit de sommeil, voilà ce qui avait attendu Emil après la soirée en compagnie de sa sœur et de son bon cousin. Le whisky ayant sans aucun doute aidé à ce qu’il s’endorme aussitôt la tête posée sur l’oreiller. Pour autant, il était heureux d’une si bonne nuit, quand au réveil, il avait dû affronter l’épreuve de l’habillement de sa sœur. Enfin, du temps interminable que ça prenait, alors que lui était déjà vêtu de circonstance pour la chasse. Dès lors, il avait également fait demander le petit déjeuner dans sa chambre, afin de patienter. L’air absolument déconfit, le Duc de Norfolk, attendait assis sur un fauteuil, la main sur sa joue en écoutant la pagaille dans la chambre voisine. Dieu merci, il n’était pas une femme. S’en était presque à vous faire peur d’en avoir une à vous, lorsqu’il entendait : plus serrer ce corset ! Mais quelle est cette torture ?!
Lorsqu’on frappa à sa porte et qu’on lui annonça la présence de ce cher Alistair, Emil se leva d’un bon et rejoignit le marquis de Buchanan et Graham, aussi vite. « Vous n’imaginez pas, Alistair, à quel point je suis à deux doigts de me rendormir à cause de l’attente. » Déclare-t-il alors, en prenant avec lui son chapeau et en quittant la chambre sans plus de cérémonie. « Oh ne vous en faites pas, j’en ai fait de même. Il me fallait tromper l’attente. Et je vous avoue avoir la même envie que vous de goûter un peu à la paix. Sans compter que vu l’heure qui avance, il doit y avoir un monde formidable à cette réception. » De concert, les deux cousins prirent donc le chemin de l’escalier. « Je vous le dit, Graham, j’ai pitié de votre âme, le jour où vos filles seront en âge. »
Parvenu devant la salle à manger, qu’il fallait bien traverser pour gagner l’extérieur, Emil s’arrêta et soupira longuement. « Je pense que pour la tranquillité de nos esprits et de nos âmes, nous repasserons, cher cousin. » Regardant alors l’écossais et remarquant le détail de sa veste, Norfolk offrit un sourire entendu au marquis. « J’apprécie cette touche de chauvinisme, mon cher. » Dit-il en montrant l’intérieur de la veste d’Alistair. Puis, il soupira. « Si nous filons en ligne droite, comme un seul homme, nous pouvons peut-être arrivé dehors, sans encombre. Qu’en dites-vous ? »
Résumé:
Après avoir été contrait de prendre le petit-déjeuner dans sa chambre, Emil souhaite prendre l'air avec @Alistair Graham, mais ils se retrouvent bien mari devant le monde entre eux et la porte de sortie de la salle à manger.
AVENGEDINCHAINS
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( Bad dreams in the night)
Out on the wily, windy moors. We'd roll and fall in green. You had a temper like my jealousy. Too hot, too greedy. How could you leave me when I needed to possess you? I hated you, I loved you, too
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() / Sam 28 Jan - 20:15
Invité
{ Acte II }
PARTIE DE CHASSE ROYALE
La nuit a été courte entre les cauchemars et les insomnies habituels. Edward a réussi à dormir uniquement quatre heures. L'aube commençait à pointer le bout de son nez. Le vétéran était amorphe, perdu quelque part dans sa tête, les yeux rivés en direction du plafond d'un blanc immaculé. Bientôt, il allait devoir se lever, ignorer la fatigue écrasante et sourire pour bien paraître aux côtés d'Aodh. D'ailleurs, est-ce qu'il a réussi à dormir ?
Son corps était lourd, gauche quand il se déplace à travers la pièce. Ses oreilles bourdonnent, sa vision se trouble et Edward dut se tenir contre le mur pour ne pas tomber. Il n'arrive pas à immerger. Il ignore comment, mais Edward a réussit à s'approcher du miroir. Il avise son reflet. Seigneur, il avait une sale tête. Il était blême, les yeux creusés par les cernes, engourdis. Comme il aimerait se recoucher. S'enfoncer dans son martela et ne plus jamais en sortir. Succomber une bonne fois pour toutes.
Il se rafraîchit sans ménagement, se donne une claque pour chasser ce brouillard dans sa tête, avant de s'habiller à la hâte. Dehors, les chiens abois et les premières lueurs du jour caressaient le ciel. Une belle journée s'annonçait. Une fois prêt, Edward alla réveiller Aodh. Il toque à la porte, trois coups assez sonores pour être entendu à travers les songes. Il attend quelques secondes, avant d'indiquer :
— C'est Edward, je vais rentrer.
De nouveau, il attend quelques secondes, puis pénètre dans la pièce plongée dans l'obscurité.
— Je suis rentré, prévint-il. Et je vais à présent ouvrir les rideaux.
Edward s'exécute tout en parlant. Il tire sur les rideaux, mais jamais de face. Il vielle à rester sur le côté de manière à ce qu'Aodh puisse mieux l'apercevoir. Le soleil inonde la chambre de sa douce lumière. Edward continuait de parler pour maintenir l'attention de son ami, afin qu'il s'ancre dans cette réalité :
— Ils préparent déjà la chasse, ils viennent d'attacher les chevaux et les chiens sont de sortie. En-tout-cas, la journée sera chaude, je ne vois aucun nuage dans le ciel. Oh tien, un oiseau... ah non, c'est une poule ! je t'ai déjà dit que je détestais les poules ? Elles ont mauvais caractère !
Il s'éloigne de la fenêtre et indique qu'il s'approche de l'armoire qui était proche du lit d'Aodh.
— Que souhaites-tu porter ?
Dans l'intimité de la pièce, Edward se permet de le tutoyer. Dans quelques instants, face aux Autres, il allait devoir employer un langage plus soutenu. Il sort de l'armoire les vêtements indiqués et laisse Aodh le loisir de s'habiller seul. C'était sa volonté. Dès qu'il eut terminé, Edward s'assure que son apparence était celui d'un baron : il ajuste ses cheveux, quelques plis et un bouton oubliés. Entre deux touchés, Edward prévient où ses mains allaient se poser. Jamais de surprise.
— Prêt à affronter cette journée ?
Et les Autres par la même-occasion. Leurs manières, leurs regards et les messes basses. Ils quittent la pièce ensemble et à contrecœur, Edward du prendre un chemin différent pour se diriger vers l'office et ainsi se mêler aux autres domestiques. Il avise les nouveaux visages. Il les salut et s'attable avec son assiette quasi-vide. Il n'avait pas faim. Une autre domestique arrive à la table, déjà bien bavarde pour un matin. Edward l'écoute vaguement, concentré sur le peu de chose que contenait son assiette.
Spoiler:
Edward connait un réveil pitoyable, mais s'en sort. Il réveil @Aodh Wolf et commente tout ce qu'il fait et ce qu'il voit à travers la pièce. Une fois que Aodh est prêt ils quittent la pièce et se séparent. Il se dirigent vers l'office et s'installent avec les autres domestiques, près @Arya Harrington. Et il trouve que Martha parle un peu trop pour un matin @Abelia Lewes, mais il ce garde de le dire et de le montrer.
Emploi : Principalement médecin. Baronnet à en devenir. Tuteur de son frère et de sa soeur à Londres.
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() / Sam 28 Jan - 20:16
Mark Healey
Partie de chasse royale
2ème tour.
◊ ◊ ◊
Les yeux dans le vague, Mark sort de ses pensées, lorsque la chaise voisine à la sienne est tirée. Il découvre ainsi l’arrivée de Cordélia Blooming, qui le salue et qui semble tout aussi prompte et disposé à la discussion que lui. Parfaitement la compagnie qu’il lui faut et il lui en est gré. « Bonjour Miss Cordélia. » Se murant presque aussitôt dans un religieux silence, tout en continuant son petit déjeuner. Au même instant, alors qu’il retourne à son observation du monde qui se presse au petit déjeuner, il s’étonne du sourire d’une jeune inconnue, qu’il salue d’un signe de tête. Il porte un regard à sa montre à gousset, en se demandant alors, ce que peut bien fabriquer son benjamin. Il a beau être plus que matinal, il apparaît que Neal, lui, a fait la marmotte ce matin. Si on ne peut même plus compter sur son frère pour avoir sa compagnie, où va le monde ?
Healey ne manque pas l’échange de regard du Comte de Surrey en direction de sa voisine silencieuse, ce qui le fait un brin réagir. « Le Comte de Surrey n’a pas l’air de vous apprécier… » Commente-t-il alors, tout en demandant à un domestique une nouvelle tasse de thé, exceptionnellement délicieux. Difficile pour lui aussi, de rater l’arrivée de sa promise et de sa sœur. Il offre à ces dernières un sourire aimable et avenant, avant de les saluer. « Mesdemoiselles, la nuit fut-elle bonne ? Auriez-vous croisé mon frère ? » La question était sincère, après toute la santé des deux sœurs, et amies de sa famille, lui tenait à cœur. D’autant plus, en raison de la différence d’âge et ne pouvant refouler son côté protecteur, ainsi que médical. « Voulez-vous vous joindre à moi pour le petit-déjeuner ? Oh, et puis-je vous présente Miss Cordélia. » Histoire de ne pas paraitre impoli en société. Après tout sa réputation impeccable est à tenir.
L’arrivée suivant ne manque pas de lui tirer un sourire à la fois amusé et franc. « Miss Blooming, je suis pareillement très heureux de vous voir ici et dans une grande forme. Je vous remercie. » Dire qu’il comptait vraiment prendre son petit-déjeuner en paix, il était largement attaqué de partout. Mark échangea alors un regard avec Cordélia pour lui faire part de son désappointement grandissant. Portant sa tasse de thé chaude à ses lèvres, tout en retombant quelque peu dans son mutisme naturel et son observation. Jusqu’au retour de Juliet et l’arrivée de l’imposant marquis de Berkeley, qu’il salue alors de même. « MyLord, le plaisir est pour moi. » Dit-il avec ce sourire poli qu’il a toujours en société. Le sourire suivant est bien plus naturel et chargé de plaisir à l’arrivée de Matthew, qu’il salue également d’un clin d’œil. « Ne le grondez pas, Jacob, vous savez qu’il ne me dérange jamais. » Pour autant, il n’a pas hâte de revoir Charlotte…
It doesn't hurt me. Do you want to feel how it feels? Do you want to know, know that it doesn't hurt me? Do you want to hear about the deal that I'm making? You, it's you and me ☾☾
Nyx Healey
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() / Sam 28 Jan - 21:53
Nyx Healey
PARTIE DE CHASSE ROYALE 1er tour
Nailys avait dormis en compagnie de sa jeune soeur, qui etait loin d'être dans son assiette elle n'avait pas beaucoup parler ni la vielle, ni ce matin alors que les deux soeurs se préparait, assortissant leur tenues du jour faisant ainsi passer Manoé définitivement du côté adulte, elle allait faire son entrée dans le monde sous peu mais étant déjà fiancée elle pouvait désormais apparaître en société vêtue comme une jeune demoiselle. Fatalement les deux jeunes filles étaient descendue pour le petit déjeuner. La plus jeunes s'accrochant à la plus âgée, aujourd'hui plus que japais Naîlys devait prendre son rôle de soeur aînée a coeur, sa cadette n'était pas en état de faire face alors elle allait le faire à sa place. Surtout quand Mark les repéra et leur proposa de se joindre au groupe autours de lui pour prendre le petit déjeuner, il leur demanda comment avait été leur nuit et la brunette fut celle qui répondit.
-" Notre nuit a été bonne je vous remercie de votre sollicitude, et la votre ? Votre balade de hier soir vous a permis de trouvez le sommeil facilement ?"
La jeune Tilney ne pouvait se résoudre à refusé de s'installer prêt de l'homme, elle n'avait rien contre lui, il était comme un grand frère, et de plus il était le fiancé de la personne la plus importante de sa vie et il fallait que tout les deux passent le plus de temps possible ensemble même si aucun des deux n'était heureux de la situation. Elle s'installa donc et laissa sa soeur prendre place à ses côtés.
-" Nous n'avons pas vu Neal lors de notre arrivée ici, le chanceux doit faire la grasse matinée contrairement à nous."
Après ça elle salua tout ceux présent autours d'elle et garda le silence.
Emil avait ce don de rendre l’atmosphère plus léger, par sa simple présence, son visage aimable, ses mots. Peut-être parce qu’ils étaient très proches. Quoiqu’il en soit, sa présence permit à Alistair de retrouver une meilleure humeur.
« Gardez-en un peu pour le jour où vous aurez vous même des filles et qu’elles seront en âge, mon cher, » fit le rouquin, en souriant doucement.
Face à la grande salle à manger, le Marquis se fit la même réflexion que son ami. Et juste ciel, il y avait bien peu d’hommes ! Étaient-ils à une chasse royale ou à un piège pour célibataires ? Se terraient-ils tous dans leurs chambrées ? « Je le crains. » Alistair sourit alors à la mention de ce petit détail écossais qu’il portait fièrement. « Jamais sans mon tartan. » Et il rigola avant de redevenir sérieux en observant cette pièce où les deux hommes aux pedigree conséquents commençaient à se faire remarquer. L’écossais aperçut la jeune Miss Cordélia et s’il fut content de la savoir ici, il fut moins heureux du monde qui l’entourait. Et puis il aperçut la famille Fitzroy, ainsi que les Seymour. Lady Fitzroy lui fit un léger signe de main et il sut alors qu’il ne pourrait mettre à exécution le plan du Duc. Ce qui était fort dommage car l’idée l’amusait fortement, et il aurait bien aimé voir qui aurait osé interrompre leur marche implacable.
« Je crains que le devoir m’appelle, Emile. Je dois m'entretenir avec mes cousins les Fitzroy. Une aventure dont je ne sortirais pas vivant, croyez-moi… » Pauvre Alistair qui avait gentiment accepté de rencontrer un certain nombre de demoiselles déjà. « Mais je vous en prie, foncez, je vous couvre. Et je vous retrouverai plus tard, car j’aurais besoin de vos conseils. » Alistair s’inclina et avança en premier, mains dans le dos. Il passa à côté de plusieurs groupes, qu’il salua d’un signe de tête. Parmi eux, les sœurs Blooming. Difficile de deviner qu’il était content de voir Miss Cordélia car il avait l’air tout simplement contrarié.
Et puis il arriva auprès des Fitzroy qu’il salua avec un brin de familiarité, serrant la main tendue par le Duc. « Votre Grâce, mon cher cousin. Lady Fitzroy. Lady Emilia, cela fait bien longtemps. Et Miss ? » Il ne se souvenait pas avoir déjà vu la dernière demoiselle et attendit qu’on la présente, ou qu’elle-même le face, même si ce n’était pas très correct.
« J’espérais que nous trouvions un moment pour discuter. Peut-être maintenant ? Il me semble qu’il manque encore de nombreux invités. Nous pourrions aller faire un tour dehors si vous le voulez bien ? »
Le Marquis s’inclina et tendit alors la main à sa filleule, car c’était avec elle qu’il voulait s’entretenir. Il salua bien sûr la jeune demoiselle, désolée de l’abandonner là mais ils avaient des affaires pressantes.
Revoir Lady Fitzroy fut une agréable surprise et j’ai été ravi de pouvoir discuter avec elle à nouveau sans qu’elle ait besoin de se cacher de qui que ce soit, en espérant que ce séjour se passe correctement pour elle. Nous avons dû mettre fin à notre conversation quand on nous convie dans notre chambre afin de nous apporter le dîner et qu’on nous annonce d’aller dormir car une grande journée nous attend le lendemain. Effectivement, il faut mieux être en pleine forme si nous souhaitons chasser correctement. J’ai déjà eu l’occasion de participer à quelques parties de chasse avec mon « père » mais jamais avec autant de monde et je dois avouer avoir une certaine appréhension sur le sujet. Mais j’imagine qu’il faudra que je m’y fasse rapidement. J’espère reconnaître quelques visages familiers en qui je pourrais m’appuyer au besoin.
Les premiers rayons du soleil passent à travers la fenêtre de la dépendance et je me lève doucement tandis que les domestiques nous indiquent que le petit déjeuner est servi. J’enfile donc une tenue adaptée avant de rejoindre tranquillement la grande salle tout en observant le paysage autour de moi qui se montre au grand jour. J’espère avoir le temps d’y flâner dans la journée.
En entrant dans la salle, je remarque qu’il y a déjà beaucoup de personnes présentes. En jetant un œil autour de moi, je remarque William qui semble déjà en très bonne compagnie si tôt le matin. Un sourire se glisse sur mes lèvres tout en avançant vers les tables. Il faudra que j’aille le saluer dans la journée. Je finis par me figer quand je remarque au fond une silhouette qui m’est familière : Abelia. Je ne pensais pas la revoir ici. En voyant la douairière à ses côtés, je préfère éviter la conversation pour le moment, préférant prendre quelques forces avant de m’y rendre. Je remarque une autre silhouette familière et m’avance vers elle afin de m’assoir à ses côtés.
- Miss DeLucey. C’est un plaisir de vous revoir. Avez-vous bien dormi ?
Résumé:
Résumé: Matthew entre dans la salle du petit déjeuner et remarque au loin @William Lightwooden bonne compagnie. Il se fige en voyant @Abelia Lewes et se dit qu'il faut qu'il prenne des forces avant d'aller la voir. Il va s'installer à côté de @Eva DeLucey.
Edward Stanhope
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Emploi : Lieutenant dans la Royal Navy, mais il est de retour en Angleterre et à Londres depuis Janvier 1813 pour assister son frère aîné dans les affaires familiales et à l'aider à faire le bon choix d'une épouse. Il n'a aucune ambition de ce genre pour lui-même. Cela lui semble terriblement fastidieux déjà d'essayer d'aiguiller correctement son frère...
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() / Sam 28 Jan - 23:32
Edward Stanhope
Partie de chasse royale 1er tour
titre ou sous titre ou citation
Après une petite marche dans les jardins la veille, Edward était tranquillement rentré au château lorsque les valets avaient sonné la cloche indiquant que les portes allaient se fermer pour la nuit. Ainsi Edward fit demi-tour pour aller dîner dans sa chambre et dormir. Il n'avait pas cherché parler à qui que ce soit ; il avait simplement marcher un peu au hasard, tout à ses pensées, et il avait beaucoup à ses pensées depuis ce qui était arrivé à son frère . Il était à présent alourdi d'un statut dont il n'avait jamais voulu. Lui, ce qu'il avait toujours voulu c'était naviguer ; en faire son métier.
Le lendemain matin, il se réveilla alors qu'un valet ouvrait grand les rideaux de son lit. Ayant longuement réfléchi la nuit, il eut l'impression d'avoir passé la moitié de la nuit à le faire et donc au matin de n'avoir dormir que trois heures. Il était habitué à ne parfois drormir que trois heures par nuit alors cela ne l'affectait pas vraiment mais il aurait bien aimé pouvoir profiter encore un peu. Il était venu sous la demande express de sa mère mais n'était pas sûr de pouvoir s'amuser autant que sa mère le souhaitait.
Comme il était habitué à sortir ses vêtements tout seul et s'habiller tout seul également de par sa fonction dans la marine, il fit rapidement signe au valet qu'il pouvait le laisser tranquille une fois avoir sortit ses habits sur le lit. Edward avait également appris à choisir ses habits tout seul et cela lui allait très bien. Ainsi, une demie-heure plus tard il retrouva sa mère dans le petit salon de l'appartement qui leur avait été assigné pour déjeuner avec elle.
Ils choisirent donc de petit-déjeuner seuls tous les deux ici plutôt que de descendre dans salle à manger. A travers les fenêtres du château, on pouvait aisément entendre les aboiements des chiens qui avaient été préparés pour la chasse et ceux-ci étaient clairement impatients. Il se demandait quel activité avait été faîte pour les femmes et espéra qu'elles ne s'ennuieraient pas. La chasse n'était pas forcément une activité que toutes les femmes aimaient à regarder. Il espérait qu'elles aient suffisamment d'ombres en tous cas car de ce qu'il avait aperçu de sa fenêtre ce serait un jour très beau.
Résumé:
Spoiler:
Edward, après s'être promené la veille dans les jardins, rentra quand les valets sonnèrent la fermeture des portes. Il avait apprécié cette petite balade malgré qu'il était toutes à ses pensées et assez désagréablement préoccupé depuis l'accident qui avait vu la mort de son frère. Le lendemain le voit être réveillé par le valet de chambre mais au contraire de beaucoup de nobles, il l'envoie hors de la pièce pour pouvoir se préparer. Edward ne se considère pas comme un vrai noble mais plutôt comme un marin. Il choisit donc ses propres habits et aime à s'habiller également seul.
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Invité
Invité
() / Sam 28 Jan - 23:34
Invité
PARTIE DE CHASSE ROYALE
Notre balade dans les jardins est vite écourtée afin de rentrer dîner et nous reposer après ce long voyage. Je dois avouer que ma jambe m’a légèrement fait mal à force de rester assis en permanence alors marcher un peu n’a pas été désagréable. Le dîner passé, très bon au passage, nous nous couchâmes afin d’être en forme pour le lendemain. Aucun de nous deux n’iraient à la chasse demain, n’appréciant point cette activité ou ne pouvant tout simplement plus la pratiquer. J’essaye de m’endormir comme je le peux, mais cette nouvelle de mariage pour mon frère tourne sans cesse dans ma tête. Je sais très bien qu’il ne dort point également pour la même raison. Je sais que le mariage est une chose qui ne l’intéresse pas tellement et encore moins avec une demoiselle qu’il a connu alors qu’elle était toute petite. Si je pouvais, je prendrais sa place mais je sais que les parents seraient contre cette idée. Peut-être que si je la demande en fiançailles avant il serait tranquille ?
Plusieurs heures passèrent avant que j’arrive à m’endormir et les domestiques arrivent dans la chambre afin d’ouvrir les rideaux. Grognant contre mon oreiller, j’essaye de m’endormir à nouveau mais le bruit autour m’empêche de rester plus longtemps dans le lit. C’est avec un soupir que je finis par sortir de mon lit et j’observe que Mark n’est pas présent dans notre chambre. Sans doute partie fumer comme souvent quand quelque chose le travail.
J’essaye de m’apprêter correctement mais mon visage indique que je n’ai pas passé une nuit très reposante. Je finis par descendre de la chambre et remarque qu’il y a déjà de nombreuses personnes présentes pour le petit déjeuner. Cherchant mon frère du regard, je le remarque alors en très bonne compagnie. Trop de monde même pour le matin. Je vois alors son regard qui indique que je dois venir et c’est avec un léger soupire que je me rends à ses côtés. Un sourire collé sur le visage, j’offre une révérence aux demoiselles déjà présentes, ne connaissant pas tout le monde.
- Bien le bonjour. J’espère que la nuit fut bonne pour tout le monde et que le voyage s’est également bien passé.
Le dîner passé, chacun rejoint sa chambre pour ce week-end, week-end qui promet d’être fort intéressant. Je m’endors rapidement, le voyage m’ayant légèrement fatiguée. Les domestiques me réveillent le lendemain en venant ouvrir les rideaux afin de laisser entrer la lumière du jour. Je m’étire alors avant d’entendre frapper à ma porte ainsi que la petite voix de Joséphine.
- Entrez Joséphine. Bien le bonjour. Avez-vous bien dormi ?
La jeune femme de chambre m’apprend alors que le petit déjeuner est servi jusqu’à neuf heures avant de me conseiller une tenue pour la journée. Il est vrai que le soleil se lève doucement mais qu’il ne semble pas faire très chaud.
- Je vais vous écouter et prendre le petit gilet alors. Et non restez, je vais m’habiller afin d’aller déjeuner. Sauf si vous devez habiller Lady Seymour maintenant dans ce cas j’attendrais.
Je lui offre un petit sourire tandis qu’elle m’aide à m’habiller et à me coiffer. Une coiffe très simple pour la journée suffira amplement. Je remercie Joséphine avant de retrouver rapidement la famille Seymour. Marchant aux côtés de Lady Arielle, je lui réponds avec un grand sourire.
- Je suis entièrement d’accord. Ce palais est vraiment somptueux. J’espère que nous aurons l’occasion de visiter les jardins, ça sera plus agréable que de nuit.
Nous arrivons ensuite dans la grande salle déjà bien remplis et Joséphine part rejoindre la salle des domestiques tandis que nous allons nous installer à table où se trouvent déjà quelques personnes.
- Je l’espère également. Nous verrons bien ce qui est prévu tout à l’heure. Aurons-nous un bal en fin de journée ?
Résumé:
Résumé : Apolline est aidée par @Joséphine White pour s'habiller avant de rejoindre la famille Seymour et de s'installer aux côtés de Lady @Arielle Seymour à table.
Luisa Hammond
Bourgeoise
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() / Dim 29 Jan - 0:29
Luisa Hammond
Partie de chasse royale.
1er tour.
Une nuit calme et assez agréable, bien que courte, car malgré son épuisement Luisa n’avait su trouver le sommeil que tardivement. Se demandant sans cesse de quoi le lendemain serait fait, car après tout, elle n’était en rien habituée à ce genre d’évènement. Les dîners mondains sont une chose, la fête de la rosée en fût une autre. Déjà rien que la chasse, c’était nouveau pour elle. Bien sûr dans son pays, et avec la proximité de la jungle, les hommes devaient parfois rabattre des animaux sauvages et potentiellement dangereux, mais ce n’était pas pareil. Enfin, de ce qu’elle avait appris dans les livres sur le temps qu’elle avait eu à l’étudier. Ensuite, les occupations des dames... Qu’elles seraient-elles ? Autant de question et de nouveauté, qui l’avait maintenue en état d’éveil, avant que le confort de sa litterie ne finisse par l’emportée vers les bras de Morphée.
Au réveil, Miss Hammond avait refait son lit avant même les domestiques, car habituée à le faire chez elle et toujours depuis. Un petit rituel dont elle avait besoin, même si totalement inadapté sans doute pour le commun de l’aristocratie. Mais elle n’est pas noble et en cela, elle se comporte eh bien en bourgeoise. Vêtue d’une robe d’été blanche, rehausser d’un brin de violet, la jeune femme quitte sa chambre finement apprêtée, mais seule en direction du petit-déjeuner, quelque peu intimidée par tout le monde qui s’y trouve. Et surtout de faire le moindre faux-pas qui lui vaudrait l’ire de sa bienfaitrice. Ce qu’elle ne veut absolument pas !
Un léger sourire sur les lèvres, la demoiselle salue de loin quelques visages familiers comme le Comte de Surrey ou encore Monsieur Wilson, ainsi que le père Howley. D’ailleurs, il va falloir faire un effort surhumain pour avaler le thé qu’on lui sert, mais soit. C’est finalement avec une petite assiette peu remplie, que la Mexicaine s’installe en face d’une très jolie jeune femme blonde, aux yeux d’un bleu magnifique, et lui offrant un sourire plus franc la salue. « Bonjour. » Observant encore un peu les alentours, elle se retient de grimacer. « Que de monde. Je me sens toute petite. » Lance-t-elle avec humour, bien qu’en réalité Luisa n'était pas ce qu’on appellerait une grande femme. Mais c’était surtout le poids de ce monde qui l’intimidait. Difficile de ne pas savoir qu’elle était étrangère, avec cet accent qu’elle traînait et le soleil de son pays qui collait à ce dernier.
résumé:
La nuit fût courte, mais non moins agréable pour Luisa, qui arrive alors au petit déjeuner. Reconnaissant quelques personnes (@William Lightwood, @Léopold Howley et @Matthew Wilson), elle ne s'impose pourtant pas dans leurs conversations mais les salue de loin. Elle préfère discuter avec @Abelia Lewes en face de qui elle est assise
Tenue:
(made by voodoo doll)
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Dos oruguitas enamoradas
Ay mariposas, no se aguanten más Hay que crecer aparte y volver Hacia adelante seguirás Ya son milagros, rompiendo crisálidas Hay que volar, hay que encontrar Su propio futuro
Ulysse Nightingale
Marquis
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() / Dim 29 Jan - 0:50
Ulysse Nightingale
Partie de chasse royake
1er tour.
Pour bien dormir, le marquis de Northampton avait bien dormi ! Si tôt le repas terminé, il avait rejoint cette prestigieuse literie, pour s’y effondrer du sommeil du juste, sans demander son reste ; sans même avoir le temps d’envoyer un commentaire sur cette dernière à Charles. C’est dire si le fait d’être un véritable novice en matière de chasse l’avait perturbé... Il ne s’émeut pas plus avant du tintamarre des domestiques royaux, ouvrant pourtant grand les rideaux et le faisant ainsi gronder de déplaisir, en enfouissant à nouveau son visage dans l’oreiller. Et de s’y rendormir aussi prestement. Au diable les lève-tôt. C’est ainsi que Charles manqua de suffoquer en voyant que son maitre n’avait pas mis pied hors du lien. « Mylord ! Debout ! » Pour toute réponse, il reçu un ronflement sonore et bien peu grâcieux. Charles soupira alors et après avoir secoué le malandrin, fini par recourir à une fameuse extrêmitié. « TOUT LE MONDE SUR LE PONT ! BATEAU PIRATE À TRIBORD ! »
D’un bon d’un seul, Ulysse sortit du lit, dans une tenue peu recommandable. « Où ça ?! Je vais les pourfendre ! Malandrins ! Marins d’eau douce ! Mécréants ! Je... » Revenant enfin à la réalité, Northampton se tourna vers Charles, mécontent. « Charles... comment avez-vous osé, Charles ? » Lissant un plis imaginaire sur son impeccable costume, le majordome déclara. « On vous attend pour le petit déjeuner, mylord. » Le marquis marmonna dans sa barbe inexistante, avant d’enfiler une robe de chambre et de se diriger vers la porte d’un pas décider. « Mais où allez-vous vêtu de la sorte ?! » s’étouffa le domestique. «Eh bien petit-déjeuner ! » Répondit l’ancien pirate en posant sa main sur la poignée de porte. « VOUS N’Y SONGER PAS ! » Oh si, il y avait songer un instant, mais un instant seulement. En voyant le visage de Charles, il renonça.
C’est donc un Ulysse d’une humeur maussade, mais non moins parfaitement vêtu pour la chasse, qui descendait les escaliers, en essayant de desserrer son col. « J’espère que vous savez que je vous ai au moins maudit sur cinq génération, Charles. Et ce seulement depuis ce matin. » Derrière lui, le majordome soupira. « Et moi sur dix depuis moins de cinq minutes. Allez donc manger et faites bonne figure. » Et l’homme l’abandonna à l’entrée de la salle à manger, pour rejoindre les autres domestiques . Seul contre tous, Ulysse hésita à seulement remonter pour se planquer dans ses appartements de prêt, mais finalement, il se lança en observant autour de lui. Hmm... Lady Seymour, avec sa fille, sa pupille. Lady Abelia. Le père Howley... Un sourire amusé para son visage. Mais point encore ce cher St John. Fichtre ! Que de monde, que de monde.
I am the one that runs both from the living and the dead. Hunted by scavengers, haunted by those I could not protect. So I exist in this wasteland, reduced to one instinct: survive.(c)flotsam.
Octavian de Hanovre
Prince
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() / Dim 29 Jan - 1:18
Octavian de Hanovre
Partie de chasse royale
1er tour.
Bien reposer, Octavian se leva de bonne humeur. Tout en se laissant habillé, il réglait les derniers menu détails avec ses domestiques en vue du dérouler de la journée, jetant un œil par la fenêtre de sa chambre pour voir les autres s’activer. Le petit-déjeuner lui fût servi en chambre, par soucis de clôturer ces derniers détails et qu’il soit sûr, de pouvoir manger à sa faim, avant de risquer de devoir parler avec beaucoup de monde dans la salle à manger. Mieux vaut aller à la chasse l’estomac plein, que vide. Vêtu en conséquence et satisfait du dérouler des choses, Octavian quitta ses appartements, non sans aller tambouriner lui-même à la chambre de Lyana, qu’il savait encore en train de se faire apprêter. « Ce n’est pas parce que tu boudes, que cela changera quoi que ce soit. » La prévient-il alors. « Mais je suppose que tout le temps que tu mets en vaudra la peine, comme toujours. » Et là, c’était bien plus ironique.
En passant, il se permet également de faire informer son cher cousin, qu’il descend rejoindre le petit-déjeuner et qu’il compte bien se lancer dans l’activité principale du jour sous peu. Après tout, Octavian n’est pas là pour faire des mondanités, mais bien pour profiter de tout cela pour s’adonner à cette tradition familiale, qu’il aime tant. Et puisqu’il l’a par ailleurs organisé tout cela pour saluer le futur départ du Prussien, il serait de bon ton, qu’il soit présent.
Descendant enfin rejoindre le petit-déjeuner, son Altesse royal sait cependant se faire discret, échangeant quelques mots avec le domestique en charge de tout cela, avant de s’avancer dans la pièce à son tour. C’est assez rapidement, qu’il repère le jeune homme d’hier soir. Celui-là même qui cherchait ses cuisines et qui – visiblement – trouvait le buffet à son goût. « Bonjour. » Commence-t-il par dire en saluant les hommes présents et leur respectable mère. « Monsieur Winslow, je vois que ce buffet semble vous satisfaire. » Commente-t-il en regardant avec humour l’assiette du jeune homme. « J’espère que vous saurez honorer la chasse, aussi bien que vous honorez ce buffet, et les talents de mes cuisiniers. » Pour sûr, il semblait bien apprécier les bonnes choses, ce jeune homme. En espérant que son fusil soit aussi affuté que son estomac. « Avez-vous tous passé une nuit agréable et à vos aises ?» Demande-t-il alors aux autres membres de la famille, avec un sourire avenant. Si fait, il demande une nouvelle tasse de thé à l’un des domestiques, afin de participer un peu à son tour à ce repas conviviale.
résumé:
Déjeunant en réglant les derniers détails; Octavian chambre un peu @Lyana Clayton, avant de prévenir @Wilhelm de Hohenzollern qu'il rejoint le petit-déjeuner. Sur place, il ne peut s'empêcher de taquiner @Jonathan Winslow
➳FEAT. ...
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Lyana Clayton
Pupille de la Reine
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() / Dim 29 Jan - 2:13
Lyana Clayton
La partie de chasse royale Tour 2
TOUS DES MUFLES ! Voilà ! TOUS AUTANT QU'ILS ETAIENT ! Octavian, Wilhelm ! Wilhelm, Octavian ! Il n'y en avait pas un pour rattraper l'autre ! Même Wil l'avait trahie ! Wil qui ne lui refusait jamais rien ! Soit disant que MONSIEUR n'était pas à l'aise avec le fait de prendre cette décision à la place de son cousin qui était l'hôte de cette chasse. FOU-TAISES ! Il était tout aussi prince que Octavian, il pouvait très bien l'inviter à la chasse avec eux ou même la prendre à cheval avec lui comme du temps de l'ancienne Angleterre ! N'était-ce pas qui plus est une tradition familiale ? Et n'était-elle pas de cette famille ?! Il fallait croire que non ! Pourquoi l'inviter à la chasse si elle ne pouvait pas chasser ? Au même titre qu'Octavian, Wilhelm s'était vu affublé d'un puissant claquement de porte au nez avant qu'elle n'aille se coucher de fort méchante humeur, en témoignait les quelques cernes sous ses yeux. Elle s'était tant tournée et retournée dans son lit que la moitié des couvertures étaient au sol au matin.
Lyana continuait de ruminer intérieurement tout en accrochant un des piliers de son lit à baldaquin pendant que sa domestique nouait son corset et qu'une autre passait quelques glaçons sur ses yeux fatigués afin de faire disparaitre toute trace de sa petite nuit. C'était injuste. Tout ça était injuste ! Octavia savait combien elle aimait chasser ! Elle avait quasiment appris à ses côtés ! Si elle s'était tant réjouie à l'idée de le rejoindre ici, c'était précisément en ce but ! Et également afin de profiter un peu plus longtemps de Wil qui regagnerait sous peu la Prusse.
Entendant Octavian tambouriner à sa porte et lui lancer quelques provocations, Lya gonfla ses joues de fureur et faussa compagnie à des servantes médusées pour rejoindre le couloir dans une envolée de jupons désordonnés. Elle sautilla sur un pied afin de continuer d'avancer tout en retirant une de ses chaussures et la lança de toutes ses forces à la suite du prince. Manqué ! Nouveau claquement de porte et elle s'adossa au battant en croisant ses bras, boudeuse. Ah il voulait jouer à cela ? PARFAIT !
Elle n'avait jamais pris non pour une réponse et comptait bien le lui rappeler. Lya jeta la robe que lui proposait sa camériste parterre et se jeta à genoux pour fouiller dans ses malles à la recherche d'une tenue moins fragile ainsi que de ses bottes qu'elle enfila. Elle prit soin de bien les dissimuler sous sa toilette.
La pupille de la Reine grignota à peine, trop soucieuse de gagner rapidement les extérieurs tout en évitant la salle à manger qui devait être bien trop bondée. Aussi bien de convives, que de l'ego de son royal cousin !
Résumé:
Lyana a passé une petite nuit et est toujours fâchée contre @Octavian de Hanovre et @Wilhelm de Hohenzollern. Elle jette sa chaussure au premier lorsqu'il vient la provoquer puis décide de lancer la contre attaque. Elle évite la salle à manger afin de se rendre dans le parc du domaine.
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() / Dim 29 Jan - 11:34
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Partie de Chasse Royale
2ème Tour
Muette. Manoé ne pouvait décrocher un mot de réponse à la question de son tout nouveau promis. Elle n’arrivait toujours pas à se dire que cette question, qui aurait pu lui sembler familière, lui parût si lointaine. Dans d’autres circonstances, elle aurait répondu que des fantômes la visitaient la nuit et l’empêchait de dormir et aurait déblatéré bon nombre de bêtises afin de taquiner le docteur qui était, avant tout, un vieil ami. Sa sœur l’aurait regardée à demi consternée et à demi amusée. Mais, il n'en était rien. Aujourd’hui, son aînée, Naïlys était son roc, si bien qu’elle répondit pour le duo sur la qualité du sommeil. Néanmoins, la réponse ne semblait pas correspondre au teint légèrement pâle et aux cernes dessinés de la jeune fille. Que ferait-elle sans Naïlys… ? Machinalement, Manoé suivit le mouvement de sa sœur et prit place face à Mark, juste à côté de sa sœur. Sans le vouloir, Manoé jeta un coup d’œil timide à la brune assise près de Mark. Elle ne semblait pas très loquace non plus. Elle adressa donc un salut de tête poli à la dénommée Cordelia. Cette timidité ne lui allait pas du tout. Elle se montra de même avec l’autre Miss Blooming, la saluant discrètement. Le silence se réinstalla doucement à table, jusqu’à l’arrivée d’un homme dont le charisme changea l’ambiance de la pièce. Un marquis… Manoé s’empressa de se lever. Ses parents lui avaient bien dit que, désormais, elle devait faire bonne figure, sinon les conséquences ne se feront pas attendre. « Manoé Tilney, enchantée, Monsieur le marquis. » Son salut à peine terminé, elle remarqua que Mark eut un geste complice envers un enfant. Ce dernier fut vite rattrapé par son père. Cette scène dérida un peu Manoé, qui aimait ce type de situation amusante qui les sortait tous du lourd protocole de la haute société. Neal arriva enfin. Manoé ne put s’empêcher de jeter un coup d’œil à sa sœur. Elle savait à quel point elle aimait sa compagnie. Elle espérait juste qu’elle ne l’abandonnât pas pour rester auprès de son ami. Elle s’empressa alors de prendre le centre de l’attention, comme une façon de se protéger. « Bonjour, Neal. » Elle se sentit idiote. Elle n’avait pas décroché un mot du voyage et n’avait pas adressé la parole à son promis, puis, comme par imitation de cette radieuse miss Blooming qui avait salué le docteur, elle s’était empressée de saluer son ami d’enfance. Elle rougit légèrement et baissa les yeux, comme si son déjeuner révélait soudainement un grand intérêt.
(c) DΛNDELION
Spoiler:
Elle salue @Cordelia Blooming, @Juliet Blooming, sans un mot et timidement. Elle ne répond pas à la question de @Mark Healey, mais sa sœur le fait pour elles deux. Elle salue très protocolairement @Aloïs Berkeley. Elle sourit à la vue de l'enfant de @Jacob Evans et au clin d'oeil fait par Mark. Elle salue à haute-voix @Neal Healey. Sa place est en face de Mark, à côté de @Naïlys Tilney. Elle rougit car ne se sent pas à l'aise.
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() / Dim 29 Jan - 12:15
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PARTIE DE CHASSE ROYALE
A la suite d'une manifeste perte de repère, tant le visage de cette société avait changé et dont il ne reconnaissait seulement quelques visages, Aidoneus fut accosté dans la soirée par lord Wolf. Une bonne âme qu'il avait croisé pendant la guerre et dont l'aura l'avait profondément marqué. La guerre et ses affres, la guerre et ses douleurs. L'homme avait du gagné en galon après la campagne militaire et le voilà maintenant invité aux prestigieuses parties de chasse organisées par les membres de la couronne. Rien que ça. L'homme était plutôt fier de compter dans ses amis des hommes qui avaient eu un vécu véritable et avec qu'il pouvait partager sur des sujets bien plus édifiants que sur la couleur du ciel. La douleur. Se rappelant brutalement à lui lorsque Aodh évoqua sa main et ce dont elle a été victime, cette douleur était un de ses plus poignants souvenirs de guerre. Mais observant l'homme marcher assisté d'une canne, il se douta bien qu'il n'était pas le seul à porter en lui les stigmates de la guerre et ce qu'ils avaient pu endurer au nom de la couronne d'Angleterre... Il fut jouasse d'apprendre que son comparse aura au moins été reconnu pour son sacrifice contrairement à tant d'autres.
Pendant une bonne partie de la nuit @Aodh Wolf et Aidoneus échangèrent sur le passé, leur présent aussi sans présumer de l'avenir qui s'annonçait encore trop incertain pour chacun d'eux. Autour d'une cuvée d'un excellent whisky écossais les deux hommes avaient renoué leur amitié.
...
Les premières lueurs du jour avaient, elles, été plus difficiles à assumer. Les vapeurs alcoolisées émanant de son haleine impitoyable lui rappelaient malgré tout le souvenir doux d'une soirée appréciable. Contrairement à ce lendemain difficile. Un valet de pied vint rapidement le rappeler à la réalité, mais qui s'empressa de déguerpir devant l'humeur massacrante d'Hamilton. Après une bonne douche, Aidoneus s'habilla seul et rejoignit la table du petit déjeuner d'un pas aussi silencieux qu'un guépard en chasse. Mutique, il observa toujours d'un air sérieux l'attablée sans oser alpagué un de ses invités. Clairement mal à l'aise en société il apprécia qu'un valet lui offre une tasse de thé. Il ne put s'empêcher, par politesse, d'aller saluer son hôte pour cette partie de chasse. S'approchant à pas de loup d'@Octavian de Hanovre il s'inclina légèrement et dit : « Votre altesse, je vous remercie pour cette chaleureuse invitation. Puis-je me joindre à vous pour le petit déjeuner ? » Aidoneus n'aurait pas imaginé, à peine rentré du bout du monde, que sa présence pouvait être apprécié et appréciable dans la demeure du prince.
Résumé:
Résumé: Toujours aussi mutique Aidoneus rejoint malgré tout la table du petit déjeuner et présente ses politesses à @Octavian de Hanovre.
(
Quelle idée a-t-on de se trimballer des lieues dans une calèche, qui se secoue plus qu’un navire en pleine tempête ! Les gens vivant sur Terre sont bien étranges en vérité. Sans parler de cette sombre idée de monter sur les chevaux. Dire qu’il allait devoir s’y plier le lendemain. Charles, allez donc au diable ! Et Ulysse, depuis le fond des flots, avec vous ! Bon, lui y était sans doute déjà, entrain de rôtir sur une broche en compagnie de Satan. Et tandis que notre ancien pirate se délasse les jambes, en tâchant de s’assurer qu’il n’a pas perdu sa capacité à rester sur ses deux longues jambes, il se fait alpaguer par un Laszlo à l’âme poète. « Bonsoir, Roméo. » Lance-t-il d’un air amusé, esquissant un sourire du même ton. « Chercheriez-vous à tester mes connaissances en matière de littérature anglaise, mon cher ? Pour autant, jamais on ne m’aura comparé au soleil dans mon existence. J’en serais presque flatté en vérité.» Presque est le mot, car notre bon marquis de Northampton, reste particulièrement courroucé d’être là. « Epuisé est le mot exact, je pense. Et en ce qui te concerne ? » Relance-t-il derrière en observant le paysage nocturne.
[...] il avait une façon de vous regarder, son regard vert si intensément fixé sur vous que vous aviez l'impression d'être seul au monde avec lui.
Une bonne nuit de sommeil, voilà ce qui avait attendu Emil après la soirée en compagnie de sa sœur et de son bon cousin. Le whisky ayant sans aucun doute aidé à ce qu’il s’endorme aussitôt la tête posée sur l’oreiller. Pour autant, il était heureux d’une si bonne nuit, quand au réveil, il avait dû affronter l’épreuve de l’habillement de sa sœur. Enfin, du temps interminable que ça prenait, alors que lui était déjà vêtu de circonstance pour la chasse. Dès lors, il avait également fait demander le petit déjeuner dans sa chambre, afin de patienter. L’air absolument déconfit, le Duc de Norfolk, attendait assis sur un fauteuil, la main sur sa joue en écoutant la pagaille dans la chambre voisine. Dieu merci, il n’était pas une femme. S’en était presque à vous faire peur d’en avoir une à vous, lorsqu’il entendait : plus serrer ce corset ! Mais quelle est cette torture ?! 
Parvenu devant la salle à manger, qu’il fallait bien traverser pour gagner l’extérieur, Emil s’arrêta et soupira longuement. « Je pense que pour la tranquillité de nos esprits et de nos âmes, nous repasserons, cher cousin. » Regardant alors l’écossais et remarquant le détail de sa veste, Norfolk offrit un sourire entendu au marquis. « J’apprécie cette touche de chauvinisme, mon cher. » Dit-il en montrant l’intérieur de la veste d’Alistair. Puis, il soupira. « Si nous filons en ligne droite, comme un seul homme, nous pouvons peut-être arrivé dehors, sans encombre. Qu’en dites-vous ? »
