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Les Chroniques de Londres
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Phileas Leveson-Gower

Phileas Leveson-Gower
Phileas Leveson-Gower
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Messages : 7
Date d'inscription : 30/10/2023


Message() / Lun 30 Oct - 19:15
Phileas Leveson-Gower

Phileas Leveson-Gower
Les manières définissent l'homme.


FT. HUGH JACKMAN - DAWN
Fils aîné

nom Leveson-Gower prénom Philéas   âge 50 ans   origines anglaises situation sentimentale Marié   statut (titre) Marquis de Stafford, Comte Gower, et Vicomte Trentham emploi Politicien et diplomate. Membre estimé de la Chambre des Lords Richesse Abondante, puisqu'il possède la plus grande fortune d'Angleterre Orientation sexuelle Hétérosexuel

Phileas est un homme distingué, ayant intégré depuis sa plus tendre enfance les codes et les comportements qui siéent à un noble anglais digne de ce nom, au point que pour lui ce genre de comportement est pour ainsi dire naturel, du moins dans la plupart des cas. Certains le disent parfois guindé, surtout parmi les gens du peuple qui viennent à le croiser, mais il sait se faire plus ouvert et souriant dans un cadre privé, avec sa famille notamment. ◊ Le Marquis est un homme intransigeant, avec les autres, mais également avec lui-même, s'appliquant toujours les exigences qu'il impose à autrui. ◊ Il aime profondément son fils et ses deux filles, chacun à leur façon, même s'il se montre toujours exigeant en ce qui concerne leur éducation, conscient que c'est de la qualité de celle-ci que dépend souvent la réussite d'un jeune noble – homme ou femme – dans le monde. S'il a consentit à laisser l'éducation de sa cadette plus largement à sa femme, le résultat ne fait que le conforter dans son idée première... ◊ Phileas est un homme au caractère assez calme, posé. Cela ne veut pas dire que les choses ne lui tiennent pas à cœur ou qu'il est indifférent, mais il n'est pas du genre à laisser éclater sa colère. ◊ Bien qu'assez rigide dans ses opinions et sa conception du monde, et même assez têtu dans beaucoup de domaine, il a au final bon fond, et sait se montrer profondément altruiste, autant par sa nature que par les qualités positives mises en avant par les valeurs aristocratiques qu'on lui a inculqué dès l'enfance. ◊ Le Marquis est un homme de devoir, qui prend au sérieux ses obligations tant envers sa famille qu'envers son pays et sa charge de membre de la Chambre des Lords, toujours très appliqué dans ses devoirs. ◊ Homme politique consommé, c'est entre autre un très bon orateur, capable de convaincre par les mots dans de nombreuses situations, même s'il a souvent plus de facilité à convaincre une assemblée que sa propre femme... ◊ Bien que profondément dévoué à ses devoirs, Phileas n'en est pas moins un homme ambitieux, convaincu d'une part que ses propres talents ne peuvent que servir au mieux la Couronne là où il les exerce, et d'autre part que son devoir est également de faire prospérer et se développer sa maison. ◊ Lorsqu'il veut se détendre ou se ressourcer après une longue journée, Phileas choisi généralement une bonne tasse de thé, et est particulièrement friand du thé du Bengale ◊ Amateur de géographie, il possède un certain nombre de globes terrestres, et en a disposé un dans chacun de ses bureaux, ce qui de plus est parfois utile pour situer une lointaine partie de l'empire colonial britannique. ◊ Amateur de lecture, Phileas aime se détendre en parcourant des récits de voyage ou d'aventure, même si avec son travail il n'en a que trop rarement l'occasion.
Que faites-vous à Londres ? En tant que membre de la Chambre des Lords, Phileas fait partie de ceux qui viennent à Londres lors de la Saison avant tout pour travailler, du moins en théorie... cette année est en effet très particulière à ses yeux puisqu'il compte bien marier sa fille aînée, Elea, et qui plus est en ne manquant pas de profiter de ce mariage pour renforcer encore la position de sa famille.
Lorsque vous n'êtes pas à Londres, où êtes vous ? Phileas étant Vicomte Trentham, Comte Gower et Marquis de Stafford, lui et sa famille possèdent de nombreux domaines à travers l'Angleterre dont les principaux sont :
* Stafford House à Londres
* Trentham Hall qui se situe dans le Staffordshire.
* Dunrobin Castle en Écosse de par le titre suo jure de son épouse
Votre place dans la société vous convient-elle, ou non ? Investit depuis son enfance de l'idée que son devoir en tant qu'héritier était de préserver mais aussi d'augmenter le rang de sa famille, Phileas rêve toujours de plus. Bien que satisfait évidemment de siéger parmi les grands du royaume, il espère néanmoins voir les siens atteindre de plus hauts sommets encore, et ne manque pas de faire peser cette ambition sur ses enfants, tout comme il a jadis porté sur ses épaules les ambitions de son propre père.
Quelles sont vos idées et vos rêves pour l'avenir ? Décidé avant tout à faire de son mieux pour l'avenir de sa famille et de son pays, Phileas, qui au cours de sa vie aura occupé plusieurs positions prestigieuses, a surtout à son âge que des aspirations concernant sa famille. Il aspire à trouver le meilleur parti à ses deux filles, à commencer par Elea, mais également, peut-être plus que tout, à retrouver son fils vivant et en bonne santé, ainsi qu'à ramener un peu de bonheur dans la vie de son épouse, bien conscient, du reste, que ces deux derniers objectifs risquent fort d'être inextricablement liés...  


votre pseudo Medar, mais Phil' conviendra ici sans soucis ! Votre âge 27 ans Comment es-tu arrivé ici ? J'ai été pris en otage et traîné ici de force par ma propre fille ! Remarques à faire sur le forum ? C'est chouette de voir un contexte historique aussi poussé ! Présence sur le forum ? Variable disons, ma fréquence de rp dépend beaucoup de la période irl (comme vous avez eut l'occasion de vous en rendre compte depuis le temps hélas x_x). Autre chose à ajouter ? On m'a supprimé pendant que j'attendais le début du RP avec ma fille  bounce  Mais me revoici !  Phileas Leveson-Gower 1228314526  

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Phileas Leveson-Gower
Phileas Leveson-Gower
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Date d'inscription : 30/10/2023


Message() / Lun 30 Oct - 19:16
Phileas Leveson-Gower

Histoire de dire
up to the last moment
Longtemps unique fils, et donc unique héritier, du précédent Marquis de Stafford, Phileas grandit en portant sur ses épaules le poids des espoirs de sa famille, et compris dès l'enfance les responsabilités qui pesaient sur lui. Il devait non seulement se montrer digne du rang de sa famille, mais aussi être celui qui porterait leur nom et leur longue histoire familiale à une génération de plus, et qui si possible la porterait encore un cran plus haut au sein de la noblesse anglaise. C'était en soit une bien lourde responsabilité à faire peser sur les épaules d'un enfant, certes, mais d'un autre côté pour quelqu'un qui avait toujours vécu avec elle, elle ne semblait pas si écrasante, comme un joug qu'on ne sentirait même plus parce qu'il avait toujours pesé sur vos épaules, depuis aussi loin que vous puissiez vous en souvenir – du moins fut-ce le cas pour Phileas, bien que d'autres critères aient pu lui permettre de se forger ainsi. Cela participa simplement à forger son caractère, son profond sens du devoir et de son rang – ainsi peut-être que son incapacité à mesurer l'effet qu'un poids semblable pouvait avoir sur d'autres épaules.

Ce qui ne veut pas dire pour autant que c'était forcément facile à vivre, particulièrement quand il était jeune. La dureté de son père lui fut particulièrement une épreuve, le Marquis n'ayant que rarement un mot tendre pour son rejeton, considérant ses réussites comme allant de soit et ne lui passant au contraire aucun échec, quelque soit le domaine. Non pas qu'il n'aimait pas son fils, mais il considérait que celui-ci devait se montrer à la hauteur de leur nom, de leur famille, de leur héritage, mais également capable de faire briller cet héritage toujours plus haut, comme l'avaient fait les siens depuis des générations. Il lui donna les meilleurs précepteurs qu'il pouvait trouver et engager, dans toutes les matières utiles à un jeune noble et, de manière générale, fit tout pour qu'il reçoive la meilleure éducation possible, mais en échange il attendait de son héritier qu'il excelle en tout.

Si bien sûr personne ne pouvait parvenir à ce niveau d'excellence, car chaque homme avait forcément des faiblesses, cette intransigeance paternelle aida du moins Phileas à devenir un homme accomplis de bien des manières, ainsi qu'à forger son caractère et son amour des choses bien faites, encore aujourd'hui. Cette abondance de savoirs et d'enseignements ne lui fut pas seulement utile sur le simple plan des compétences ou des connaissances, mais en tant que personne de manière générale, car Phileas fit siennes une grande partie des valeurs que ses précepteurs lui inculquèrent, peut-être mieux encore que son propre père, si intransigeant fut-il. Du reste, grâce notamment à Sophia, sa mère, Phileas ne grandit pas non plus totalement coupé de l'idée d'amour familial, même s'il était essentiellement l'élève de son père, sa mère ayant déjà ses nombreuses sœurs pour s'occuper, elle qui fut ainsi forcée d'enfanter encore et encore jusqu'à ce qu'enfin vienne au monde son frère cadet.

Une fois que son fils eut fini sa formation, le vieux Marquis décida en effet très vite de commencer lui-même à lui apprendre comment être un jour un Lord digne de ce nom – ou plutôt digne de leur nom – en commençant à l'associer à ses affaires, à lui montrer ce qu'on aurait pu appeler plus vulgairement, chez des gens de moindre extraction, les ficelles du métier. Il tenait à ce que son fils soit prêt à reprendre la barque le moment venu et il transmis une bonne partie de ses compétences en matière d'administration de ses domaines et de relation avec les autres nobles. Continuant sur cette lancée, il le fit prendre place au parlement pour le Staffordshire dès qu'il le pensa prêt – et d'aucuns auraient sans doute dit qu'il fit cela un peu trop tôt, même si, formé toute sa jeunesse à ce genre de tâche, Phileas ne s'en tira finalement pas si mal. Quelques années encore, et le jeune héritier fut convoqué à la Chambre des Lords par un bref d'accélération, sous le titre de Baron Gowar, le titre junior de son père, se retrouvant ainsi plongé dans cette institution au sein de laquelle il siège toujours avec honneur aujourd'hui.

Phileas fut ainsi introduit à la cour d'Angleterre. C'était bien entendu une occasion à laquelle il avait été préparé par son éducation et par sa famille, et il savait qu'il se devait de se montrer à la hauteur de leur nom et de leur longue histoire familiale. De fait, c'est ce qu'il fit, autant par son comportement et son allure que par le charisme naturel qu'il dégageait, surtout au temps de sa jeunesse. De nombreuses jeunes femmes se retournèrent sur son passage, car il fallait avouer qu'autant par son nom que par celui de sa famille, il était un parti plus que digne de l'attention de ces dames. Néanmoins, son père ne le poussait pas vers un mariage précipité, et lui-même préférait prendre son temps pour trouver un bon parti, de sorte qu'il ne noua aucun engagement en cette époque où il commençait à assumer réellement le destin qui était le sien.

Ce destin, il dû néanmoins rapidement l'assumer dans un contexte difficile, puisque sa première grande affectation, diplomatique, fut en France, à l'époque même de la révolution qui secoua ce pays. Que des choses aient été à changer là-bas, Phileas en convenait volontiers, mais les extrémités auxquels en arrivèrent les français en ce domaine furent évidemment loin de trouver grâce à ses yeux, surtout sur le temps long... néanmoins, en ce début de sa carrière, le jeune homme s'en sorti bien en dépit de son inexpérience, sans doute parce qu'il avait été préparé durant toute sa jeunesse à une telle tâche, et transmis de précieux rapports sur l'évolution d'une situation pourtant tendue à ses supérieurs. Néanmoins, l'emprisonnement de la famille royale française finira par rompre les relations diplomatiques entre les deux royaumes – dont un qui ne l'était hélas plus pour longtemps – et Phileas rentra à Londres, profondément marqué par cette première grande affectation.

À son retour dans la capitale anglaise, Phileas refuse plusieurs postes qui lui sont proposés, bien qu'il soit rapidement, pour ses bons conseils, introduit au conseil privé de Sa Majesté, ce qui est évidemment pour lui un grand honneur, pour se consacrer à un de ses devoirs les plus importants en tant que futur Marquis de Stafford : trouver une épouse et ainsi perpétuer la lignée. Évidemment, dans cette matière, le cœur n'avait guère sa place pour quelqu'un comme le jeune noble, guidé plutôt par des considérations d'intérêts, pour lui et pour sa famille. C'est ainsi que, après avoir soigneusement choisi son parti et l'avoir courtisé, il fini par épouser une belle jeune femme de cinq ans sa cadette, Elizabeth, Comtesse suo jure de Sutherland. Outre le rang de celle-ci, son titre, qui serait transmis à leurs enfants tout comme les siens, était évidemment une excellente raison politique à ce mariage, et lui et la dame s'entendaient convenablement. Si de l'amour devait finir par naître de ce mariage, il se fit avant tout par intérêt, pour l'un comme pour l'autre, mais Phileas n'avait après tout jamais soupiré à autre chose.

Cette union fut rapidement sanctifiée par la naissance de leur fils premier-né, assurant ainsi la continuité familiale et faisait évidemment le bonheur de Phileas, qui mis évidemment beaucoup d'espoirs dans le jeune homme, Alister. Son propre père vécu assez longtemps pour voir son petit fils et le tenir dans ses bras, mais périt quelques années plus tard, hélas, des suites d'une longue maladie. Ce fut également à peu prêt à cette époque que Phileas accepta finalement d'occuper un nouveau poste un peu plus concrètement en devenant Maître Général des Postes, une position qu'il occupera pendant plusieurs années, se montrant discret mais efficace dans la gestion du vaste service postal anglais, et œuvrant ainsi à son échelle à la bonne marche du royaume.

Les honneurs ne manquent pas non plus pour le nouveau Marquis sur le plan militaire, puisqu'en 1795, il devient Colonel du nouveau régiment de cavalerie du Staffordshire, mettant là aussi à profit l'éducation dispensée par son père et par les précepteurs choisis par celui-ci en démontrant des qualités aussi bien de meneur d'hommes que de tacticiens, se montrant plus que capable sur le plan martial de faire honneur à son pays et à son lignage. Sur un plan plus civil, il enchaîne également les honneurs, puisqu'il devient Lord Lieutenant du Staffordshire dès 1794, puis Lord Lieutenant de Sutherland quelques années plus tard, représentant ainsi l'autorité de la Couronne britannique dans ces régions auxquelles il est forcément très lié. Finalement, son plus grand honneur fut sans nul doute son entrée dans l'Ordre de la Jarretière en tant que Chevalier en 1806, peu de temps après qu'il soit arrivé au bout de son mandat en tant que Maître Général des Postes.

Parallèlement à tout cela, la vie privée de Phileas fut longtemps tout autant fructueuse puisque, même si sa femme fit hélas plusieurs fausses couches, elle n'en mena pas moins à termes quatre enfants, deux garçons et deux filles, Elea, Lucinda et Francis venant avec les années assurer solidement la descendance d'un couple qui par ailleurs vit fleurir avec les années une sincère affection entre les deux époux qui, apprenant à se comprendre, se respecter et s'apprécier au fil des années, transformèrent ce mariage d'intérêt en ce que l'on aurait pu plus franchement appeler un mariage d'amour. Bien qu'il aime évidemment également ses enfants, Phileas se montra également toujours strict sur l'éducation des deux aînés, Alister et Elea, même s'il lâcha plus de lest avec Lucinda, laissant sa femme prendre plus largement en main son éducation, bien qu'il doive parfois le regretter avec le temps vu les tendances que cela engendra parfois chez sa fille cadette.

Néanmoins, si sur le plan professionnel les choses continuèrent de se passer au mieux, le Marquis siégeant honorablement à la Chambre des Lords où il fini par devenir apprécié de certains et respecté de beaucoup, outre ses autres responsabilités, sur le plan personnel les dernières années furent plus difficiles, marquées d'abord par le décès de Francis, son fils cadet, emporté par la pneumonie, qui frappa durement Phileas, même s'il s'efforça de ne rien en montrer au monde et même à sa famille, autant parce que les émotions n'étaient sans doute pas son domaine d'excellence que parce qu'il considérait que, sur le plan familial, c'était son rôle de père et d'époux d'encaisser les choses pour permettre aux autres de s'appuyer sur lui pour traverser leur chagrin...

Hélas, les drames n'allaient pas s'arrêter là, puisque récemment, alors qu'il espérait que l'entrée d'Elea dans le monde londonien, après avoir été retarder, pourrait peut-être permettre à sa famille de retrouver un peu de joie de vivre – sans compter évidemment les enjeux que cet événement avait pour leur famille – ils furent marqués par un nouveau drame, avec l'annonce de la disparition d'Alister, dont Phileas perdit la trace quelque part dans le sud des Pays-Bas. Malgré ses efforts, le Marquis n'a pour l'instant ni pu retrouver son fils aîné, ni pu confirmer ce qui lui était arrivé, ni même confirmer sa mort éventuelle... refusant de croire en la disparition volontaire d'Alister, même si ce dernier avait beaucoup voyagé ces derniers temps, il garde toujours espoir de le voir revenir prochainement, étant profondément attaché à son fils, et pas seulement parce que de sa survie dépend pour l'heure celle de l'héritage familial qu'il a si patiemment fait fructifié...

Même si le coup fut rude pour lui, il a bien conscience qu'il le fut plus encore pour sa femme mais, en dehors de lui offrir la stabilité qu'il conserve toujours, en dépit de ses sentiments intérieurs, il ne sait pour l'heure que faire pour l'aider, sinon retrouver leur fils. En attendant, ses espoirs se sont plus encore qu'au part avant reportés sur Elea, dont la réussite de l'introduction dans le monde de la noblesse anglaise devient plus capitale encore maintenant que son aîné n'est plus là – et ce même si c'est comme le Marquis l'espère momentanément – pour assurer la position de leur famille. Peut-être parce qu'il a lui-même porté bien des fardeaux dans son jeune âge, il ne se rend pas, ou sans doute pas assez, compte du poids qu'il fait ainsi peser sur les épaules de sa fille, qu'il aime pourtant sincèrement comme chacun de ses enfants...

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Message() / Lun 30 Oct - 19:21
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Rebienvenue parmi nous Phileas Leveson-Gower 1730138348

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Message() / Lun 30 Oct - 19:45
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Rebienvenue par ici ! Phileas Leveson-Gower 1177566594
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Message() / Lun 30 Oct - 21:16
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Rebienvenue :gentil: Vous avez deux filles très charmantes Phileas Leveson-Gower 1177566594 j'espère qu'on va bien s'entendre Phileas Leveson-Gower 1933255705
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