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Les Chroniques de Londres
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Cecelia • Part of that world

Cecelia Templeton
Cecelia Templeton
Rang sur le forum : Administratrice
Emploi : fille d'un diplomate, elle n'a que l'oisiveté pour métier.
Messages : 54
Date d'inscription : 12/06/2023


Message() / Lun 12 Juin - 22:39
Cecelia Templeton

  Cecelia Templeton
  La vie est pleine de choix douloureux...n'est ce pas ?
 

 

 
ft. Jessica Alexander - OrcinusOrca
fille - cadette

 
nom  Templeton, un nom commun, un nom courant. LE nom d'un homme qui a offert vingt ans de sa vie dans les lointaines contrées danoises pour assurée la paix et l'entente de nos deux nations et qui reviens aujourd'hui sur les terres de sa jeunesse pour profiter d'une retraite plus que méritée prénom  pour vous, ce sera Cecelia, un prénom plus anglais, moins difficile à prononcé que mon vrai nom qu'est Caecelia. Il appartenait à ma grand-mère maternelle partie bien trop tôt. Je suis un peu de son héritage, un peu de sa mémoire par ce prénom. âge les dix-neuf printemps ont sonné à ma porte. L'âge d'être femme et non plus fille. Je m'imaginais déjà faisant mon entrée à la cours danoise et rencontrait quel bon monsieur, mais telle la colombe, j'ai dû m'envoler pour des contrées inconnues espérant répondre aux attentes que l'on a de moi.   origines socialesje suis fille de diplomate, fille d'un homme qui a pris la mer il y a des années de cela pour représenter la couronne d'Angleterre au Danemark. J'ai grandi dans la dualité de ma patrie et de mon pays d'accueil, ne sachant jamais vraiment si j'étais l'une ou l'autre. Aujourd'hui rentrée au pays, père est devenu chevalier, sans armure, ni épée et je ne sais si je suis rapatriée ou exilée   situation sentimentale mon cœur est brisé d'avoir dû quitter le Danemark, laissant derrière moi une vie, des amis, des époux potentiel. Mon cœur, comme celui de toute jeune fille à déjà battu plus fort à la vue d'un monsieur, mes joues ont rougis et pourtant, ce cœur brisé d'avoir perdu un foyer n'a jamais aimé et reste donc à prendre, pour qui saura le recoller et lui montrer la beauté d'un monde nouveau. statut/métier père ayant été fait chevalier, je suis une jeune fille de bonne famille que vous appellerez Miss. Je n'ai d'autre emploi que celui d'être la fille de... D'autres emplois que de travailler à m'intégrer dans ce pays, d'autre emploi que d'être une fille à marier, une fille à aimer. richesse nous ne vivrons jamais dans le faste et dans le luxe, modeste diplomate que nous sommes. Pourtant, les richesses de notre famille sont confortables et suffisantes pour nous assurer une vie convenable. Nous n'avons ni les plus beaux tableaux, ni les plus beaux bijoux, mais nous avons tant d'autres choses qui ne peuvent être évalué par l'argent. orientation sexuelle des épaules larges et un corps svelte. Des bras puissants et des jambes fougueuses. Un visage carré et une pilosité naissante. Des yeux aussi clair que l'océan. Voici ce qui fait vibrer mon cœur. Suis-je donc autre chose que ce que toute personne est ? Attirée par le sexe opposé. groupe Gentry
 

 La demoiselle est née avant terme, à un moment des plus impromptue. Sa mère se promenant sur la plage avec quelques amies, elle faillit naître sur cette même plage. ◊ Amoureuse de l'océan, on la retrouvait souvent à marcher pieds nus dans le sable ou aller se baigner quand elle le pouvait. ◊ Musicienne née, elle a appris à jouer du piano tout petit avec un talent digne des plus grands. Pourtant ce n'est point tant sa dextérité au piano que sa voix de sirène qui sait charmer un auditoire. ◊ Elle n'est pas très friande de chaussure et déambule pied nu dès que possible, ce qui a toujours horrifié sa gouvernante comme ses parents. ◊ Elle déteste le poisson. Elle trouve que le goût, comme l'odeur est ignoble. Il en va de même pour les fruits de mer. Elle a testé des huîtres un jour et... Disons qu'elle a redécoré la table. ◊ Elle ne parle pas bien anglais. Son père ne parlait quasiment que danois à la maison et bien qu'elle a tenté, elle n'a jamais vraiment accroché à cette langue. Aujourd'hui, c'est devenu... Quelque peu handicapant. ◊ Sa couleur favorite est le violet, malheureusement, elle est trop sombre au goût de sa mère pour ce qui l'attend. Elle se retrouve donc à avoir l'impression d'être une meringue couleur lilas ou lavande... ◊ Elle est passionnée par la mythologie grecque et ne cesse de chercher à s'informer sur les mythes et créatures qui peuplent les livres qu'elle peu trouver. Elle rêverait de visiter la Grèce. ◊ Aimant les arts, elle aime à s'inventer des mondes et des univers. Enfant, elle faisait beaucoup de spectacles avec ses amies. Aujourd'hui jeune femme, elle voudrait continuer ces petites pièces de théâtre amateur, mais... Ce n'est pas convenable pour une jeune fille paraît il. ◊ Elle a un certain conflit avec son père, qui bien qu'il ne souhaite que son bonheur est trop rigide et sévère à son goût, provoquant régulièrement des disputes, des quiproquos ou des moments de silence entre les deux. Elle a un jour pensé à fuguer, mais ou irait elle ?  
 
Que faites-vous à Londres ? Je viens y passer ma pénitence, moi la fille arrachée à son foyer, la fille d'un pays étranger, d'un pays ennemi durant de longues années qui à la chance d'avoir un père venant de vos contrées. Il m'aime et veut me protéger. Il m'aime et veut me sauver. quoi de mieux ainsi que de m'offrir en pâture à la saison mondaine qui approche ?

Lorsque vous n'êtes pas à Londres, où êtes vous ?  
J'étais à Copenhague, une ville belle et merveilleuse, fourmillante de vie et de senteur, j'étais dans un pays qui sentait le sel et les fleurs. Mais aujourd'hui je n'ai vu de ce pays que cette maison de Londres, que ces rues tristes et grises. Père aurai une maison à la campagne...je ne saurai dire ou, je ne retiens pas bien ces mots qu'on utilise ici.

Votre place dans la société londonienne actuelle vous convient-elle ?   Comment le pourrait elle ? Je suis une demoiselle qui voulait vivre dans son pays, proche de ses sœurs. Je me retrouve expatriée et mise sur un marché maritale dont je ne comprends rien.

Quelles sont vos attentes concernant la saison ? Vivre, libre. Courir et sauter, aller voir la mer et y tremper mes jambes, rire et chanter. Je veux profiter, je veux m'amuser. Mais je sais que je ne pourrais. Alors ...j'espère simplement trouver comment être heureuse dans ce pays étranger.

 

 
votre pseudo Lykath Votre âge je suis éternel Comment es-tu arrivé ici ? 1er membre inscrit monsieurs/dames Remarques à faire sur le forum ? je l'aime Présence sur le forum ? plus dur de me déloger qu'une bernique! Autre chose à ajouter ? Fulbert vous salut!

 
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Cecelia Templeton
Cecelia Templeton
Rang sur le forum : Administratrice
Emploi : fille d'un diplomate, elle n'a que l'oisiveté pour métier.
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Message() / Lun 12 Juin - 23:06
Cecelia Templeton

  Histoire de dire
  Pauvre âme en perdition
 
C'est sur l'océan que la vie me mène, que l'oiseau si léger me porte vers les terres encore enneigées de l’Angleterre. Sur le pont, j'observe, l'air éphémère de l'hiver, le vent qui vire, tournoi, les ailes des oiseaux marins qui se déploie et l'aube grise du levant.
J'ai quitté ma patrie il y a plusieurs semaines de cela maintenant. Du moins est ce l'impression que j'en ai, moi qui ne suis plus désormais qu’une fille de l'eau, une naïade, une sirène, chantant et voguant vers un avenir bien loin de son passé, bien loin de ses racines et pourtant, n'est ce pas vers là que je m'envole sur le calme océan ?


J'avais pourtant pensé faire ma vie en ce pays qui m'a vue naître, ce pays qui est le mien, bien plus, peut être, que l’Angleterre d’où viens mon père, l’Angleterre qui l'a vu naître, l’Angleterre qui est sa patrie. Mais je suis sa fille, l'enfant qu'il a eu avec cette femme qu'il a rencontrée par un beau matin de juin dans les rues de Copenhague. Je suis cet enfant né de l'amour entre deux pays et voici que l'on m'arrache à celui que j'ai toujours connu.
Pourtant, tout avait si bien commencé. Quatrième enfant de l'ambassadeur de la couronne d'Angleterre à la cours du Danemark, je suis la plus jeune et bien sûr, la plus turbulent selon notre mère. Je n'ai jamais pensé que nous partirions. J'ai profité de l'air salé de ce pays qui m'a vu grandir, de sa beauté, de sa chaleur. Des braves gens aux sourires immenses, des rires et des chants qui ont bercé mon enfance. Je suis danoise. Purement danoise. Et pourtant...

Pourtant, le monde n'en a pas décidé ainsi. Père a rejoint ce pays, il y a plus de vingt-cinq ans. C'était une période complexe nous a t'il souvent dit, car elle avait vu la fin de la monarchie française qui avait choqué bon nombre de monarchie européenne. Décapiter un roi, quelle hérésie ! Cela m'avait fait rire, légèrement, car lui qui ne cessait de parler de la grandeur de l’Angleterre et de la barbarie de ces Français oublié que ces mêmes Anglais avaient fait décapité l'une de leur reine. Cela avait amené aux guerres napoléoniennes, ce nabot, comme il l'appelait, qui avait voulu gouverner le monde et à bien des soucis entre nos deux pays.
Après environ sept ans de loyaux service et de travail acharné pour maintenir des relations avec ce pays qui avait tant envahi le nôtre des siècles auparavant, père avait dû se résoudre à informer le gouvernement de leur choix de neutralité dans cette guerre contre les Français, pire à une alliance avec d'autres pays contre le Royaume-Uni et son embargo français.

Ce fut la première fois que père eut à fuir. Avec femme et enfants. J’avais tout juste un an et mes sœurs à peine plus âgées que moi avaient elles aussi dues se glisser dans la nuit avec nos parents pour éviter les représailles d'un pays qui s'était fait ennemi de celui de mon père.

Il était reparti dans sa chère Angleterre, tandis que notre mère, avait rejoint de la famille dans les campagnes danoise où je grandis. La campagne était un lieu paisible et calme, empli de champs de fleurs et d'animaux. Mère venait d'un village au sud de Copenhague où nous avons été élevées par elle-même et nos grands-parents. Mariée à un Anglais, elle dut cacher sa condition en ces temps difficiles ou le pays du thé n'était pas en odeur de sainteté et cela ne viendrait pas à s'améliorer. Pourtant, alors que la paix entre nos pays était signée, notre père revint à la cour et nous le retrouvâmes.

Nous étions heureuses avec mes sœurs. Notre père avait pour mission de convaincre la cour danoise d'abandonner les camps français pour se joindre à eux. Se battant chaque jour pour sa place et sa dignité. Les discussions étaient âpres et difficiles. Tous le savaient et pourtant, nous n'avions jamais été si heureuses. Nous jouions de la musique pour ses retours à la maison, prenions le temps de lui parler de nos journées, cet homme à l'accent anglais fort dans son danois qui nous parlait de la mère patrie, de la reine et de sa grâce, des jardins de Londres et de la tamise. Mère avait refusé que nous puissions apprendre l'anglais. Elle avait peur qu'on ne le parle dans des moments inappropriés et que cela amène à notre perte. Pourtant, ce qu'il racontait, ce qu'il nous imageait nous faisaient rêver, nous qui ne le voyons que peu, mais nous n'étions pas dupe. Les choses allaient mal et il fallu à nouveau qu'il disparaisse lorsque pour la seconde fois en moins de dix années, l’Angleterre se mit à bombarder les côtes danoises et la capitale pour affirmer sa domination, sa supériorité en septembre 1807. Ma sœur aînée fut emportée par les incendies qui ravagèrent Copenhague, par cette guerre insensée qui avait fait rage quatre jours durant. Quatre jours à peine. Et alors que les Anglais, vainqueur quittaient l'horizon avec la flotte danoise, les liens furent brisés et la conséquence fut simple. Notre pays, rejoint la coalition française et avec ma famille, nous fîmes de nouveaux profils bas. Nous l'épouse et les filles de l'ambassadeur d'Angleterre. Pour notre sécurité, notre mère nous répartit, mes sœurs et moi dans des couvents différents où l'on prendrait notre éducation à cœur et où nous deviendrions des demoiselles comme tant d'autres, prenant le nom de jeune fille de notre mère. Andersen. Comprenez-vous pourquoi aujourd'hui entendre le nom de Templeton me perturbe tant, car je ne m'y reconnais point. Moi la fille d'un homme qui jure m'aimait, mais qui par deux fois nous abandonna dans un pays qu'il avait laissé à feu et à sang. J'avais huit à peine et je ne comprenais pas pourquoi notre père ne nous avait pas emmenées avec lui en Angleterre, pourquoi il n'avait pas sauvé sa famille, cette famille qu'il s'était fait dans ce pays ou il avait officié. La raison était simple, notre mère avait refusé et avait le poids de toute une famille pour l’empêcher d'emmener femme et enfants. Notre mère était danoise et refusée de quitter le Danemark, pas quand le pays de son époux maltraité tant le sien.

Aussi nous a t'elle privé de lui. Aussi a t elle changé nos noms en nous cachant dans des couvents sous couvert de nous protéger des danois qui pourraient ne pas apprécier notre filiation. Nous fit passer pour morte auprès de notre père. Toutes mortes dans des représailles à Copenhague. Mais tout cela... Je ne le sais pas, c'est vous, lecteurs, qui l'apprenaient, car moi, je ne vois en mon père qu'un homme m'ayant abandonné avec mes sœurs.

De mes neuf ans à mes dix-huit ans, je fus élevé par les sœurs, faites et travaillées pour devenir une dame du monde, une future épouse. Je n'avais pas toutes les qualités que l'on attend des Anglaises, mais pour une Danoise, j'étais plutôt jolie, intelligente, charmante. Ma voix était celle d'un ange et je me débrouillais à merveille dans plusieurs arts féminins.

Je sortis du couvent en 1818. Dernière enfant de la famille, ayant fut notre pays glissé lentement vers la misère et la tristesse au travers des barreaux de ma cellule au couvent. Mes sœurs, Adela et Alana avaient été marié à quelques messieurs bien né. L'une à une prussien, l'autre à un militaire danois. Quant à moi... Qu'allais-je devenir ? Quel était mon avenir ? Moi l'enfant qui aimait courir pied nu dans les près et sur les plages. Qui y plongeaient mes mollets dès que l'occasion se présentait, qui n'aimait pas avoir les cheveux attachés. Moi qui étais libre et qui malgré mes années de couvent, malgré la cloche que j'avais laissé s'apposer sur ma flamme, n'avais jamais cessé de rêver, de penser, de vouloir cette liberté. Qu'allait-il advenir de moi ?

Je n'avais pas vu mon père depuis des années, lui l'ambassadeur d'Angleterre qui avait du affronter tant de difficultés dans son emploi, lui qui avait tout fait pour nous retrouver sans grand succès. Il fallut attendre janvier de cette année pour que, mère nous quittant d'une vilaine grippe et me trouvant soudain sans plus de famille que mes sœurs et leurs époux, l'on ne retrouve trace de mon père. Les relations anglo-danoises s'étaient apaisées avec le temps et celui-ci officiait toujours à Copenhague. C'est ainsi, que je lui fus confiée moi la dernière de la famille, la blanche colombe danoise, ne parlant pas sa langue natale. La fille revenu du passé qu'il pensait avoir perdu plus d'une décennie plus tôt.

Il souhaitait s'occuper de moi. Il souhaitait se faire pardonner, il souhaitait... Me protéger. Lui, qui a mes yeux, ne l'avait jamais fait. Sa décision fut ainsi prise de demander son congé et de rentrer en Angleterre avec sa fille. Cette demoiselle qui crut vivre des mois d'errance dans les brumes de l'océan d'hiver quand le voyage ne prenait que deux semaines. Cette jeune fille qui observait les oiseaux volant autour des mâts et qui se demandait si elle pourrait plonger et vivre parmi les animaux de l'océan plutôt que de devenir cette fille que son père attendait qu'elle devienne.

Cette fille qui avait subi nombre de cours d'anglais par un précepteur des plus dur, qui avait du apprendre cette langue qui semblait lui brûlait la bouche tant elle lui semblait ardu. Mais elle n'avait pas le choix. Car son père le lui avait annoncé. Elle ferait son entrée dans le monde à la saison prochaine et il l'aiderait à trouver une situation, un époux...

Et si elle ne parlait pas bien... Peu importait. Les Anglais n'aiment pas les pipelettes. Ils trouvent que les bavardes sont insolentes ! Que lorsqu'une dame sait tenir sa langue, elle est toujours bien plus charmante et qu'après tout... À quoi ça sert d'être savante ? À quoi ça sert... De pleurer une vie arrachée ?
 

 
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Georgiana Mountbatten
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Message() / Lun 12 Juin - 23:07
Georgiana Mountbatten
Welcome back, Ariri! Cecelia • Part of that world 3981476725

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SO AFRAID TO BE HUMAN
by EXORDIUM.
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Henry Paget
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Message() / Mar 13 Juin - 20:12
Henry Paget
Re bienvenue parmi nous Cecelia • Part of that world 1177566594

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Absence & Ralentissement ─ 6/05 au 15/06
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Whistledown
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Message() / Dim 18 Juin - 10:13
Whistledown
Félicitations ! Tu es validé(e) !
   

   
   

Petit commentaire de Coco:
"Charmante demoiselle ! On a hâte de la voir en action pendant cette superbe saison !"

Bravo ! Tes efforts sont récompensés, tu es validé(e)! Bienvenue sur Les Chroniques ! Tu rejoins, donc, le groupe GENTRY.

Petite aide à l'intégration :

Comme dans tous les forums, il y a des endroits incontournables, pour t'aider à gérer ton personnage et surtout, pour aider le staff à te recenser partout. Passe donc , afin d'être certains qu'on n'oublie rien. Tu peux également avoir   des questions ou des suggestions ou carrément, une requête.

Une fois la paperasse administrative terminée, nous t'enjoignons à créer ta fiche de liens et de rp's. Et tu aimes te laisser surprendre ou que tu ne sais pas comment trouver de rp, nous te suggèreons de faire appel à la communauté en faisant une demande de rp.

Tu peux également, si tu en as besoin et que tu as un imaginaire débordant, créer un scénario ou des pré-liens

Ensuite, n'hésite pas à te mêler aux autres membres, en participants simplement aux évenements et/ou intrigue proposé par le staff. Ou encore, en participant au flood et jeux du forum.

Enfin, si tu peux rejoindre le le discord du forum, afin de faire un peu plus connaissance avec nos membres. Et au moindre soucis, n'hésite pas à un contacté un des membres du staff, soit par le biais du compte PNJ Whistledown ou un de leur compte principaux.

Encore une fois, bienvenue sur notre forum, le staff est enchanté de t'avoir sur son forum et il espère que tu t'amuseras !
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