Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility
Les Chroniques de Londres
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 :: THE ARCHIVE ROOM :: Rp terminés Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

[O-S] Run.

Invité
Anonymous
Invité


Message() / Lun 20 Fév - 22:12
Invité
Ce rp est un one-shot. Il s'agit d'un pan de l'histoire de Rhéa pendant l'intersaison. Il se situe en septembre.

[ATTENTION]

Il comporte des triggers : de violences verbales et physiques notamment.

& I’m running for my life, trying to open up my eyes from this bad dreams
Posant sa main sur un tronc, Rhéa reprend un instant son souffle. Un court instant.

C’est important, important pour la suite.

Un regard par dessus l’épaule, l’inquiétude se lit sur son visage. Les lippes sont entrouvertes. Elle ne peut nier l’évidence, elle est coincée et seule. Le cœur battant, le sang vibre dans ses tempes. Alors qu’elle regarde autour d’elle, la Duchesse se demande par où elle doit passer.

C’est important, important pour la suite.

Sa robe est tachée, maculée par la terre irlandaise, boue agressive. La fraîcheur commence à ancrer le derme de la rousse. La chevelure n’a plus rien de superbe. Après tout, elle n’est pas habillée pour un quelconque évènement. Les paupières papillonnent. Un soupir, et les phalanges arriment le tissu pour reprendre la course. Alors que les rires retentissent, les cris aussi, la Duchesse tente un second regard en arrière, manque de chuter, titube, se redresse afin de poursuivre sa fuite. Les mains fouettent désormais l’air, la respiration se fait plus grande. Elle doit trouver une solution.

C’est important, important pour la suite.

Mais pour connaître la suite, il faut en apprendre le commencement.


You’re a nightmare, all the faces that you wear
La fin de journée sonne au domaine de Barons Court. Le soleil décline alors et les rires gras s’échappent du salon. La toux secoue le Duc qui faiblit de jour en jour. La santé décline et la folie l’atteint. Des fois, oublie t’il qu'il est de la haute société et se comporte comme plus bas qu’un être des bas fond. Et puis, d’autres jours, la brute redevient lucide, presque comme avant. Loin du mâle dont elle était finalement tombée amoureuse, Thaumas tente de se racheter, de se montrer plus clément. Mais le cœur de Rhéa n’est plus sensible comme cette débutante naïve.

Rhéa n’est plus entièrement ce qu’elle fut. Elle s’est effacée et n’est plus patiente. La frustration la ronge, la honte et la tristesse la plongent dans une spirale infernale. La Duchesse sent les flammes de l’enfer lui lécher les courbes en se délectant de ses moindres doutes, qui s’effritent. Le voile de l’amour s’est défait non sans douleur, et si elle pense que le dossier est clos, les remous de cette relation à jamais damnée s’écrasent sur sa carne et son cœur fragilisé.

Dans le petit salon, au détour de ce couloir sombre, on la fait mander. La jeune servante part ensuite se retirer dans l’aile réservée au personnel de maison. La rousse n’a plus l’habitude de se faire appeler en cette heure tardive, surtout à cet endroit de la demeure. L’orage zèbre une dernière fois le ciel comme un avertissement que Rhéa ne semble entendre. Son cœur lui crie de ne point se présenter mais son esprit sait qu’elle n’a point le choix. Elle déglutit, Rhé. Elle prend une profonde inspiration et s’élance alors.

Poussant la porte, la Duchesse est frappée par une odeur forte de tabac et découvre la scène. Le Duc et sa chevelure hirsute. Sa chemise sort à moitié de son pantalon et le col est ouvert. Des perles de sang ont tâché les tissus. Sa respiration siffle alors qu’il essaie de s’égosiller. Quand il voit son épouse, le regard semble s'éclairer, comme jadis. Le cœur palpite un instant. Sensation étrange, ça la fige, la tend. Aidoneus est il rentré ? D’un regard inquiet, elle balaie la pièce mais ne voit aucune figure rassurante parmi les trois hommes présents. Le palpitant déraille et l’insécurité gonfle sa peur comme un ballon. L’odeur du tabac vient chatouiller et imprimer ses narines comme un second avertissement.

“Ma douce !” L’homme vient arracher un baise main pompé d’une révérence titubante. “Ma douce, je vous le dis, je ne suis plus loin du trépas” La surprise traverse le regard de la rousse dont le corps refuse de bouger, par politesse ou par réflexe, elle bredouille “Non ne dites point cela.” Mais elle est sommée d’arrêter par un index dressé. “Ma douce taisez vous ! Fermez cette jolie petite bouche.” Elle note les regards glissés sur elle. Le malaise s’installe comme les frissons sur son échine. Les muscles se braquent. “Je vais mourir, soyons francs, soyons honnête. Et !” Il marque une pause, c’est presque théâtrale. “Je ne veux point vous laisser seule. Ainsi, je veux vous trouver un nouvel époux.”

La claque mentale assomme Rhéa sans prévenir. Les yeux trahissent son mal être. “Mais… Il ne faut guère penser à cela, je n’ai pas…”. Le tonnerre gronde. “Taiiiis toiiiii Rhéa !” La silhouette traverse la pièce, l’ombre plaque la rousse contre un pan de mur. La paume se referme sur sa mâchoire. La respiration de la Dame se fait plus rapide et sa cage thoracique s’opresse. Elle se sent piégée. “Je l’ai décidé et c’est ainsi !” Thaumas relâche sa prise, se détourne puis dévoile. “Cela va te plaire… Je crois avoir entendu que tu aimais fuir.” Rhéa, intriguée, penche sa tête sur le côté. “Courir comme une petite lapine dans un labyrinthe, à couiner comme une proie candide.” Elle sait alors… Ce moment qu’elle pensait réservé à deux âmes, s’était révélé aux yeux de tous. “L’intéressé n’étant point de nôtres; il ne pourra pas jouer. Tu comprends ?”

Jouer. Jouer ?

“Que… Que voulez vous dire ?” Elle se recule par réflexe et secoue la tête pour affirmer son mutisme. “Avec mes deux amis ici présents, volontaires, vous allez jouer. Le premier qui t’attrape sera ton prochain époux. N’est ce pas palpitant ma chère ?” Rhéa est terrifiée, et lorsqu’elle aperçoit les regards des hommes, elle ne peut réprimer un frisson. De sa main, elle cherche le réconfort de l’encablure de porte qui lui indique l’échappatoire la plus proche. Un regard vers l’arrière l’informe d’une présence plus loin dans le couloir. Présence qui s’efface aussi vite que Rhéa détourne les yeux pour revenir à son époux. “Tu reconnais cette boîte à musique ?” La Duchesse acquiesce et attend. “Je vais la remonter au maximum et lorsque la musique s’arrêtera, ces messieurs se lanceront à ta poursuite.”

La situation lui semble irréelle et pourtant… pourtant l’homme est d’une folie sérieuse ou d’un sérieux de fou. La Dame déglutit et enserre le bois sous ses phalanges qui blanchissent. “Nous te laissons de l’avance c’est fair-play.” Il ricane et reprend “nous pourrions abréger le plaisir mais ce ne serait pas aussi enthousiasmant” Il marque une nouvelle pause, levant une main et l’autre tenant son verre dont le liquide tangue dangereusement. “Moi, cela m’enthousiasme énormément.” Il lève les bras et le liquide s’envole et retombe lourdement au sol. “Allons-y”


A monster, I fell for a monster


Cric. Cric. Cric. Cric. Cric. “Votre… grâce… Que faites-vous … ? Je vous en supplie, ce n’est point raisonnable…” le bout des doigts maintient la goupille, et l’homme regarde son épouse, l’observant avec un dédain et un je m’en foutisme avéré, avant de relâcher sa prise. “Tic tac, Rhéa…” dit-il simplement avant de sourire avec cet air machiavélique. La mélodie imprime son être et alarme son esprit. Son corps lui dicte de fuir. Son palpitant manque de sortir de sa poitrine. Dans sa course, elle croise la servante,Lucy, la main devant sa bouche, se retirant des yeux de tous. Et Rhéa… Rhéa ne peut l’impliquer dans cette menace. Menace de prédateurs dont elle ignore les limites, si tant est qu’il y en est.

Ses pieds nus foulent le sol de la demeure, dévalent les escaliers. Le froid harponne le derme quand elle franchit le seuil pour atteindre l’extérieur. Pour gagner un peu de temps, elle ferme la porte derrière elle. La Duchesse tremble désormais, vibrant au rythme de cette chasse. Un oeil vers la dépendance…. Ades. Ades… Poussant sur ses mains, elle se propulse vers la dépendance. Le corps se jette sur la porte comme une vague sur un rocher. L’antre est close. ”Ades ?!” Les paumes s’impriment avec force sur le bois pour frapper, frapper, frapper, et frapper.“Ades… Ades… Je t’en supplie ouvre moi !” Mais la tanière reste silencieuse, éteinte et dépourvue de vie.  Ouvre moi. Sois là… Mais il ne semble pas avoir âme qui vive. Il est évident qu’il est sorti… N’est ce pas ? N’est ce pas ?

Le front contre la porte, Rhéa tente de reprendre ses esprits, vainement. Et alors que cela semble s’agiter à l’étage, la carcasse de la rousse quitte le perron de la dépendance pour rejoindre les écuries afin d’y trouver une cachette, mais rien, rien ne lui vient comme une évidence, non. Rien Rien. Elle reprend alors sa course là-bas vers la forêt.

Ainsi… Ainsi… Vous connaissez le commencement.

Mais.

Mais… rappelez-vous, il est important d’en apprendre la suite.


Cause it’s 4 in the morning and this fighting’s exhausting


Les rires se rapprochent à mesure que Rhéa s’enfonce dans les bois. L’avancée est fastidieuse et elle ignore réellement où elle va. Dans la danse des ombres, elle pense apercevoir Adès. Le cœur battant, l’esprit vibrant, elle court en cette direction mais le corps tombe lourdement sur le sol, soudainement coupé dans son élan par un poids massif. Un ricanement essoufflé et sinistre retentit dans les oreilles de Rhéa qui tente de s’extraire. ”- Nan nan nan… Reste là… On va s’amuser.” dit Ethan en attrapant les chevilles nues de la Duchesse pour l’attirer à lui. ”- Tu devrais pas… Ethan…” Voyant l’homme rester dans sa ligne de conduite, et la gifle qu’il lui assène, Joshua recule et ajoute ”- J’suis pas venu pour ça…” Il se détourne ignorant les “non” murmurés puis hurlés par Rhéa. Les drapés glissent. La dame se débat mais subit un nouveau coup, plus violent qui la sonne alors, la rendant inapte à se défendre… Le visage de l’assaillant se déforme annonçant l’attaque redoutée. Un cri masculin familier ainsi qu’une menace viennent le détourner de son acte. Rhéa reprend ses esprits, laisse ses mains atteindre une lame qu’elle tire du fourreau. L’arme glisse alors sur la peau de son agresseur et entaille une part du cou sous l’oreille puis la joue et au niveau de l’arcade au-dessus de l'œil.

Honteuse et souillée, Rhéa subit la transe et ne veut plus de cette danse. Elle sombre alors, s’extrayant non sans peine. Elle entend son rang être balancé dans l’urgence. Elle croit reconnaître le palefrenier et monsieur Campbell. Mais elle ne peut supporter leur regard et
leur jugement alors… Alors, sous les derniers cris d’aller quérir immédiatement le frère du Duc et une soigneuse, la Déchue glisse dans le lit de la rivière pour se laisser emporter par les flots. Les clapotis sur son visage laissent échapper des cris encore puis plus rien. Elle sent juste son corps s’apaiser sous la froideur des eaux et se reposer. Peut-être que ces dernières la tueront, abrègeront cette mascarade absurde ou la réveilleront de ce cauchemar plus que réel. C’est ça… Je cauchemarde et je vais me réveiller, en sécurité. Les lippes se scellent alors que le cours d’eau semble l’avaler.


You’re a psycho


Lucy a toujours été la plus endurante des filles de son village. Sa mère lui a souvent dit que cela ne lui servirait pas. Sauf s’il s’agissait d’aller quérir les médecins pour la naissance d’héritier. La femme de chambre n’avait jamais eu à le faire ici, chez les Hamilton. Non. Mais elle n’avait jamais jugé sa maîtresse, jamais. Lire la déception et la honte sur son visage lui criait que la Duchesse se fustigeait déjà bien assez. Et Lucy… Lucy n’était pas de celle-là. Elle préférait de loin son rôle de confidente et cette place presque d’ami que lui conférait Lady Rhéa. Et elle le sait et le pense actuellement, elle ferait tout pour elle. C’est pour cela qu’elle court, parcourant couloirs et pièce à la recherche du personnel masculin de la maison.

Il lui a été compliqué d’expliquer clairement ce qui se passait dans le foyer. Cependant, Monsieur Campbell semblait comprendre. Entendant les rires graveleux des mâles et les inepties balancées à la volée dans le salon bibliothèque, le majordome ne se posa pas plus de question et s’élança vers la pièce d’intérêt de la maison. Il croise les hommes et interpelle le Duc. ”- Votre grâce, je vous en prie, cessez cette folie.” La tempête s'immisce dans le salon qui vibre autant par la toux de Thaumas que par son courroux capricieux. “- De quoi je me mêle Campbell ?! Ma femme m’appartient, je fais bien ce que je veux !! Vous allez faire quoi, hein ? Rien de ce que vous ferez ne pourra arrêté ce qui a été lancé.” Il sourit, le sang perlant au coin de ses lèvres. “- Mais si vous voulez essayer… C’est maintenant.”

Le majordome fronce les sourcils. ”- Vous ne me laissez effectivement pas le choix, votre grâce.” L’homme recule et se détourne du maître de maison qui se poste devant la fenêtre afin d’observer. La silhouette de l’employé principal de maison se dessine aux yeux de Lucy qui guettent l’ordre dans une nervosité palpable rien qu’à son regard perdu. ”- On les prend en chasse nous aussi. La Duchesse est notre priorité. Je ne veux pas qu’il lui arrive quelque chose de fâcheux que le Duc pourrait amèrement regretter dans un moment de lucidité, si tant est qui lui en reste encore.” Le palefrenier se présente sur le chemin de ses collègues, se rhabillant pour participer à la poursuite. “- Monsieur le frère du Duc n’est pas dans ses appartements. J’ai entendu la Duchesse l’implorer mais il n’a point ouvert, je crains qu’il soit parti hors du domaine. "

Les échanges se font tout en marchant, arrivés à l’orée du bois, le pas se presse pour suivre les rires qui s’éloignent et se font de plus en plus menaçant. La marche devient une course. Au loin, les regardant les yeux fuyants, Monsieur Joshua fait le chemin inverse, ce qui ne rassure point Campbell qui jure et accélère le pas.

Le mal commence. Monsieur Ethan est bien trop proche. Un râle de rage s'échappe de la cage thoracique de Samuel, le palefrenier. Il menace, jure, détournant l’homme de son crime. La riposte de Rhéa fait naître un sourire de satisfaction et de soulagement sur la trogne des employés de maison. L'agresseur fuit, mais l'employé d'écurie veut défendre l'honneur de sa maîtresse de maison. Mais Monsieur Campbell le retient, laissant fuir l'homme sous son regard avisé. ”- Il paiera bien assez tôt cet acte ignoble, Samuel. Il n'échappera à personne. Que quelqu’un aille quérir le frère du Duc et faites mander une guérisseuse. Une pas un. Lucy… Tu seras en charge des soins de madame.” exige fortement Monsieur Campbell alors que Lucy acquiesce. Soudain, Samuel se fige et se précipite en avant. ”- Non ! Votre grâce" A ces cris, ceux de la femme de chambre s’ajoutent. “- Rhéa !”

Voyant l’ampleur de son acte, Ethan encore sa main sur son visage, recule prestement et s’enfuit, se rhabillant vaguement pour faciliter sa course. ”- Sauvez la Duchesse, retrouvez-la à tout prix. Je m’occupe du reste. Samuel ?” Le majordome pose une question muette, celle qui se prononce avec les yeux. Ils acquiescent entre eux et entament leur course.

Campbell serre alors les poings et fait demi tour pour se rendre au manoir qui désormais le répugne au plus haut point. Le plan a toujours été simple. Si la Duchesse est sauvée, elle serait mise en sécurité, et l’emplacement ainsi que l'état de la Duchesse seraient caché du Duc. Le majordome redoute un instant l’attitude dAidoneus, cet homme absent depuis si longtemps de leur vie. Mais il se tiendrait au plan et il n'aurait aucun regret. A peine passé la porte, l’homme entend des rires plus ou moins nerveux ainsi que des phrases dont les tons varient. Des bris de verre tranchent l’air de leur tintement cinglant. Alors qu’il monte l’escalier, le majordome tombe nez à nez avec Joshua qui géné s’éloigne. Le seuil étant atteint, il ne reste plus beaucoup de distance à parcourir pour arriver au salon. Sans demander son reste, Campbell fait son entrée. ”- Votre grâce.”

Le Duc se fige et se tourne vers son employé en espérant voir son épouse. “- Alors où est la perdante, vous me l’avez pas ramenée ? Est elle en train de pleurer ?” balance t’il sans une once de culpabilité. Les phalanges du majordome blanchissent et avec une retenue froide, il retorque. ”- Je vois que votre invité ne vous l'a pas annoncé. Mais…” il marque une pause avant de reprendre ”- La Duchesse, votre épouse a disparu” Le rire du Duc fait trembler les murs et le corps de Campbell “- Où ça ? Je suis sûr qu’elle fait un caprice dans les écuries.” Et alors avec une colère débordante, la voix tremble et répond. ”- Non, votre grâce… La Duchesse, votre épouse, s’est jetée dans la rivière. Nous ne l’avons point vu revenir à la surface, je crains désormais pour sa vie…”

“- Mais non… Si c’est une blague ce n’est pas drôle Campbell…” déglutit le Duc. ”- Croyez moi, je n’oserai rigoler à ce sujet et au sujet de la Duchesse…” il prend une inspiration forte avant d’ajouter ”- Votre jeu est allé trop loin…” L’éventualité semble affecter l’époux Hamilton qui se retourne vers son seul ami qui lui reste pour le fusiller du regard. “- Qu’as tu fait ?” L’intéressé déglutit non sans peine avant de reculer d’un pas. “- C'est pour ça que ta gueule ne ressemble à rien ? Tu devais juste l’attraper et la ramener. Au lieu de cela, on me dit qu’elle a disparu… Je justifie cela comment moi ?” Le Duc se laisse tomber dans un fauteuil. “- ça pourrait m’être égal mais là… là… on va me demander des comptes… La maison Hamilton est foutue et j’aurai l’air de quoi… Je veux pas mourir dans la haine des autres pour une femme.”

This is the end, the end


Et c’est ainsi… Ainsi que l’histoire se termine.
Ou bien, est-ce juste un chapitre qui se ferme ?

Ainsi disparaît Rhéa Hamilton.
Ainsi, disparaît une Duchesse.
(c) AMIANTE

Revenir en haut Aller en bas



Page 1 sur 1Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
-



Sauter vers: