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Les Chroniques de Londres
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Born from the Ashes |Pv Adam

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Message() / Lun 18 Avr - 17:48
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Aucune flamme ne peut égaler le feu de ma volonté.
Le feu. Cette créature vivante qui n'a pourtant ni cœur, ni cerveau. Cette créature démone qui ronge, dévore tout ce qui se trouve sur son passage, qui emporte les biens et les vies dans la plus violente des douleurs. J'avais goût ses morsures, les crocs de ces flammes qui s'étaient enfoncé dans ma chair, dévorant mes jupes, mes chairs, mes cuisses. Me laissant hurler à la mort, blessant mes mains qui avaient tenter de repousser la bête, me laissant là, pantelante, blessée, abîmée. J'avais pourtant eu la chance d'être sauvée. C'était un miracle, je ne pouvais le qualifier autrement qu'ainsi. Un pur miracle que je sois toujours en vie, que je sois sortie de ce lieu emplit de flammes avec ma vie. Certes, j'étais blessée, mais je me remettrais. N'est ce pas ?

J'avais voulu le croire j'avais voulu croire que le pire était derrière moi. Mais le pire, s'en venait. Car si la flamme ne vous dévore plus, son venin parcours les veines, les chairs et vous fera souffrir bien des jours plus tard. Cela, je l'apprenais à ma triste expérience.
J'avais été sorti du marché par un homme fort dont je ne connaissais pas le nom. J'avais été secouru des flammes par un second qui marchait avec une canne et maintenant...
Maintenant que j'avais été sorti du bâtiment, j'avais été prise en charge par les pompiers, hommes du feu qui m'avaient amené à un endroit ou d'autres blessés étaient présent. Des ambulance étaient de partout, des infirmières, nonnes au voile blanc qui emmené des hommes et des femmes hurlant, pleurant suppliant. Des corps couverts de linge, de veste, de quelconque vêtement pour cacher leurs visages. J'étais une survivante, une épargnée des flammes de l'enfer et dès que cela fut possible, dès que les plus grands que moi eurent été emmené on me mis sur l'un des brancards, hurlant de douleur à la moindre sensation de l'air sur ma chair à nue. Les tissus me faisaient souffrir le martyr, le vent, la brise, toute chose qui s'approchait de moi me donnait l'impression que les flammes mordait de nouveau, cherchaient à aller plus loin encore dans mes chairs. Pourtant, je parvins à l’hôpital avec tant d'autres.

Alignements de lits, cris et pleurs, supplications et médecins, infirmières qui couraient en tous sens. Les bandages en main, les onguent et tout ce qui était possible pour soulager. Nous étions tant à avoir été coincé dans ce marché, à avoir souffert des flammes, des coups, des piétinements. Nous étions des victimes, des blessés, nous souffrions tous à plus ou moins grande échelle. Mais pour moi, sur l'instant, j'étais parmi celle qui souffrait le plus. Je hurlais, encore et encore, me tordant alors que j'entrapercevais mes chairs, rougis, noircie, les cloques infâmes, la substance visqueuse et jaunâtre qui coulait de certaines cloquent déjà percé et cette douleur, lancinante, cuisante. Dieu pourquoi m'infligeait il cela en plus de tout le reste ?

Les infirmières se démenaient  autour de moi, je les entendait me dire de me calmer, de les laisser faire, mais comment être calme quand votre corps brûle de l’intérieur ? Quand le moindre mouvement trop proche, même sans toucher la peau vous donne l'impression qu'une lame vous transperce ? Elles m'ont attachée au lit, entravant mes mains, en faisant de même pour mes chevilles et je hurlais de plus belle en sentant le tissus sur ma cheville à vif, sur mes mains blessés. Elles devaient faire la détersion. Enlever les chair à vif, morte, brûlée pour que la brûlure cesse. Elles devaient y aller à la lame, me raclant tel un jambon pour m'arracher tranche après tranche de chair brûlée. Et bien qu'on tenta de me calmer, bien qu'on apposa sur mon visage un linge imbibé d'un produit pour me calmer, je hurlais de plus belle, suppliant qu'on cesse de me faire souffrir. J'appelais son nom, j'implorais son nom.

« Pitié, je vous en supplie ! Arrêtez, j'ai mal ! J'ai si mal ! Adam, ou est Adam ! Pitié j'ai si mal ! Je veux Adam ! ADAM ! »

Mais le brouillard m'emporta avec un nouveau linge sur mon visage. Du chloroforme. Je perdit rapidement conscience, laissant ainsi certainement le champs libre aux infirmières, mais pas avant d'avoir entraperçu dans le brouillard, la silhouette d'un grand ours, ma main se tendant désespérément vers lui, les larmes coulant à flot de mes yeux alors que je prononçais une dernière fois son prénom avant de sombrer.
‹c› Vanka
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Message() / Mar 10 Mai - 23:22
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La nouvelle se répandit comme une traînée de poudre, le tout nouveau marché était la proie des flammes, faisant plusieurs morts et un nombre incalculable de blessés. Rapidement tous les hôpitaux environnants furent surchargés en frais de patients et tout le personnel médical de chacun des établissements fût demandé d'urgence. L'hôpital Rose ne faisait pas exception à la règle et je dû donc me rendre sur les lieux dans les plus brefs délais.

Le spectacle qui s'offrait à nous était des plus terrifiants pour quelqu'un n'ayant jamais vécu cela et je vis rapidement mon jeune frère perdre tous ses moyens devant autant de blessés criant et hurlant à la mort. Le pauvre s'était enfermé dans une catatonie des plus désarmante provoquant une recrudescence de l'état de panique de tout le personnel. Mon expérience comme médecin militaire me fut des plus salutaire et je pus aisément prendre le contrôle de la situation et les rênes de la gestion du personnel.

Rapidement ma force de caractère et mon flegme se fit sentir sur le personnel et tout doucement la panique laissa place à une cohésion efficace. Chaque patient était promptement trié selon l'état de ses blessures, calmé et rassuré. Tout se déroulait rondement, je passais d'un patient à l'autre, m'assurant que le maximum des soins était donné pour chacun d'eux. Bien que mon métier exige un sang froid hors pair et un détachement de ses patients, je conservais malgré tout une légère émotivité, m'impliquant corps et âme dans le bien-être des personnes que je devais traiter. Ceci faisait de moi un médecin intransigeant, refusant tout laxisme et découragement. Oui tôt ou tard la grande faucheuse viendra nous prendre tous et chacun, mais il est de mon devoir de retarder sa venue autant que possible.

Je pensais avoir le contrôle de la situation, mais ceci c'était sans savoir la suite des choses. Rapidement des cris se firent entendre, des hurlements à me transpercer le cœur. Quelqu'un, une femme, une tigresse criait mon nom et hurlait de douleur. Non par pitié… pas elle. Mon Dieu pas ma sublime Rosie, je vous en pris, tout, mais pas elle… Je perdis alors mon calme, cherchant à me rapprocher de ma douce moitié par tous les moyens, quitte à jouer du coude et des poings pour me frayer un chemin jusqu'à elle si besoin.

Ce fût l'intervention inopinée de mon fidèle serviteur et ami Kamran qui m'empêcha de commettre quelques graves inconduites. Il vint se poster devant moi et par ses paroles rassurantes il réussit à me recentrer sur mes fonctions premières. L'homme laissa ainsi place au médecin et je fis rapidement le nécessaire, pour que ma tigresse cesse de souffrir le temps que l'on puisse la traiter.

C'est le regard emplit de tendresse et d'amour que je lui serrais la main, alors que le chloroforme l'emportait dans les brumes de l'inconscience. Si je suis d'un naturel acharné, ne s'avouant jamais vaincu avant d'avoir absolument tout tenté, je vous laisse imaginer mon état actuel des choses. Oui j'étais calme, je pourrais même ajouter que j'étais d'un calme effrayant. Demeurant au chevet de ma douce tigresse jour et nuit tel un dragon protégeant son trésor le plus précieux. Je veillais à ce que chaque traitement se fasse avec la plus grande attention et minutie. Si quelqu'un commettait par mégarde une erreur, je m'approchais promptement, le renvoyant à ses occupations d'un simple grondement, accompagné d'un regard des plus noir pour ensuite faire la tâche moi-même.

Kamran avait tenté plus d'une fois de me raisonner, de me convaincre d'aller dormir, mais rien, ni personne ne parvenait à me déloger de là. Je me faisais maître de tout, établissant mon quartier général aux côtés de ma rouquine, veillant sur son bien-être et le roulement de l'hôpital, trouvant des forces que je ne me connaissais pas. Peut-être est-ce le fruit des nombreuses prières de mon majordome. Est-ce que celui-ci aurait supplié l'une de ses divinités de m'apporter endurance et ténacité, je ne peux le dire, mais quelque chose était à l'œuvre ça c'est certain.
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Message() / Jeu 26 Mai - 22:52
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Aucune flamme ne peut égaler le feu de ma volonté.
La nuit tombe sur ma vie, alors que la lumière s'éteint sur la silhouette de cet homme que j'appelle de mes vœux. Il n'y a pas d'étoiles, là ou je vais. Il n'y a pas de lumière, rien que l'obscurité, croissante, pesante, elle m'enveloppe, m'enserre, me meurtris.
Je revois des flammes s’élever de la nuit, m'englober tel un draps, une robe, une langue de feu qui ne cesse de me lécher, me faisant hurler dans un cri silencieux alors que ma bouche ne cesse de former cet arrondis immense qui ne veux laisser échapper aucun son. Je suis seule. Si seule.

Je me sens chuter dans les ténèbres, toujours plus profondément alors que mon corps, mon vrai corps subit les affres de la douleur et de la torture. Car comment appeler cela autrement que de la torture ? Ce n'est plus que de la chair, à vif, sanglante, brûlée, carbonisée, boursouflée. Mes mains sont rouge et luisante des brûlures infligées et si les cataplasmes, les crèmes rafraîchissante, les onguent et les bandages d'un blanc immaculé qui ne tardent jamais à se teinter de rouge ne peuvent rien faire pour leur rendre leur apparence d'autre fois, elles ne sont pas vide, maintenant dans d'autres mains, que l'on n'aurait jamais pensé voir être si douce, si précautionneuse.

Car si mes mains sont blessés, meurtries, accablés des cicatrices les plus disgracieuses, que devrait on dire de mes jambes, de ma taille ? Certes, celle ci ne gardera pas de cicatrices, mais mes jambes. Comment cet homme, cet ours, cet exilé revenu auprès de mon cœur peut il parvenir à observer cela sans broncher ? Comment peut il observer les lambeaux de chair qui se décollent, noir, rouges, blanc, suintant, le pus qui se forme déjà sur cette plaie nécrotique ? Et ces personnes, ces infirmières, ces médecins qui ne cessent d'enlever, lambeaux après lambeaux, couche après couche les couches d'épiderme pour éviter l'infection, pour éviter la mort, pour sauver ce qu'ils peuvent de ce corps ? Car ce n'est pour l'instant rien de plus qu'un corps.

Rosalie, la flamboyante Rosalie, la sauvage Rosalie, n'est plus. Elle est dans ce monde fait de limbes ou les rêves ne peuvent traverser les ténèbres, ou la pensée elle même semble assaillie, muselée, enchaînée, pour ne laisser que l'âme, cette chose petite et nue, cette chose recroquevillée sur elle même, tel un enfant qui pleure et qui se demande pourquoi, pourquoi le monde, la vie, le destin lui impose tant de souffrance. Elle revoit en ce monde faire d'obscurité les événements les plus tragique de sa vie, son aîné avait fini en terre. Sa mère et son cadet avaient fini noyé dans les eaux d'un étang. Fallait il qu'elle devienne celle qui attirerait le troisième des éléments de ce monde ? Elle revoyait ce soleil ardent qui semblait la brûler au plu profond d'elle même alors que la silhouette d'un bateau disparaissait à l'horizon. La solitude, les moqueries, la haine, la violence, le rejet de soit, le rejet des autres, l'auto destruction, ces hommes qui passaient sur elle, en elle, qui la transformaient, qui la faisait pleurer alors que le soleil se lever sur un nouveau jour, ou elle ne pensait pas avoir le droit de vivre, ou elle ne pensait pas pouvoir supporter le poids de ce qu'elle était. Maudite, infâme, sorcière, démone.

Puis la lumière revenait, fulgurante, faisant explosé ses nerfs, sa chair encore à vif. La douleur était intenable, insupportable et alors qu'elle ouvrait les yeux sur le monde pour mugir tel un animal blesser, rugissant, se débattant, pleurant, hurlant, elle serrait à s'en souiller les bandages cette main qui était dans la sienne, elle croisait ce regard qu'elle voyait trouble à travers ses larmes, elle suppliait qu'on mette fin à ses souffrances, qu'on la laisse en paix, mais la nuit retombée et avec elle le vide de son existence. Combien de fois cela se répéta t il ? Ces réveils jours et nuit, ces hurlements, ces pleurs alors qu'on la roulait de part et d'autre pour changer ses bandages, pour continuer à arracher les chairs morte de son corps ? Un instant elle cru reconnaître son père, homme dont les épreuves avait fait blanchir bien vite les cheveux, elle cru reconnaître ces sanglots qu'elle avait tant entendu enfant lorsqu'ils ne s'étaient plus retrouvés que tous les deux. Avait il peur d'être seul ? Avait il peur, qu'elle aussi rejoigne cette famille qui leur avait été arraché bien trop tôt ? Cette famille qu'elle aurai voulu construire et qui lui a été volé avant même de pouvoir rêver ?

Püis, le brouillard, lentement s'éclaircit. La douleur... Dieu que la douleur était atroce. La moindre respiration, le moindre mouvement était un supplice. Il lui semblait que son corps continuais de s'enflammer doucement, les bandages la blessée, objets immondes qui frottaient contre ses plaies, mais que faire d'autre pour appliquer les soins ? Elle poussa pourtant un gémissement plaintif sourd, cherchant à se redresser, observant autour d'elle pour ne voir personne si ce n'est un homme au crâne couvert d'un turban...Kamran. Tendant la main vers lui, d'une voix éraillée, les lèvres sèches et craquelée elle prononça le prénom de son maître. Ou était il ? L'avait elle rêvé ? Puis dans un son qui ressemblait plus à un croassement qu'a une voix humaine elle dit...non tant pour lui que pour elle...

« Il...doit savoir...que...je l'aime... »
‹c› Vanka
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Message() / Mar 4 Oct - 2:17
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Adam
Rose


Born from the ashes

Existe-t-il pire douleur que de voir souffrir un être cher. Chaque cris, chaque pleurs, chaque hurlements de souffrance était pire qu'un poignard en plein cœur. Il ne pouvait y avoir de torture plus terrible que d'assister impuissant au supplice de ma tigresse bien-aimée. Je faisais tout ce qui était en mon pouvoir pour soulager ses souffrances et éviter que l'infection se crée, veillant sur elle tel un ours sait le faire. Je mangeais peu et ne dormait presque pas, veillant à ce que les soins attribués à Rosalie soient adéquats et attentionnés n'hésitant pas à renvoyer d'un grognement quiconque manquant de délicatesse.

Malheureusement, malgré toutes mes bonnes volontés du monde, je ne suis pas un surhomme et après quelques jours la fatigue ou plutôt l'épuisement complet commençait à se faire sentir. Je ne parvenais plus à faire un simple bandage tellement mes mains tremblaient et que dire de mon caractère qui ne s'améliorait pas. Je le reconnais il n'y a pas plus obstiné que moi, une vraie tête de mule. Les infirmières et même mon frère avaient beau essayer de me rassurer et tenter de me convaincre d'aller prendre du repos, je refusait obstinément de bouger de mon poste de garde. Ce fut mon fidèle ami Kamran qui sut m'apaiser et qui finalement m'intima d'aller dormir. J'avais toute confiance en lui et son regard qu'il me jeta me confirma toute l'affection et le dévouement qu'il avait pour ma personne.

C'est donc quelque peu à regret et le cœur lourd, que je vins déposer sur les lèvres de ma bien-aimée, le plus tendre des baisers. J'aurais tant aimé être un prince charmant et que par la simple pureté de mes sentiments pour cette splendide princesse au cheveux de feu, celle-ci se réveille et que tous ses soucis ne soient plus qu'un mauvais rêve. Hélas je ne suis qu'un ours bourru et mal léché, je n'ai pas grand chose de pur si bien que mon baiser ne changea absolument rien de la situation de ma tigresse. Caressant une dernière fois sa douce chevelure, je lui susurra un dernier je t'aime avant d'aller hiberner profondément quelque temps dans une petite chambre pas très loin.

***

Le pauvre Kamran était profondément inquiet pour son maître. Celui-ci semblait s'être enfermé dans un mutisme désarmant, veillant sur le corps de mademoiselle Rosalie tel un Dvarapala. Nul ne pouvait approcher la demoiselle sans faire preuve d'une extrême délicatesse sinon il était âprement expédié hors de la chambre dans un grognement des plus féroce. Plus d'une fois d'ailleurs il dû s'interposer afin d'éviter le pire. Si son maître oubliait occasionnellement les bonnes manières, c'est tout le contraire pour le jeune hindou. Celui-ci ayant grandi dans la servitude, savait tous les rudiments de l'étiquette par cœur et c'est avec affection qu'il ramenait son maître dans de meilleures dispositions.

Sauf que là, il était clair pour le jeune hindou que son maître avait besoin de repos et c'est alors qu'il décida de s'interposer auprès d'Adam. Celui-ci dodelinait de la tête,  tout en tentant de refaire un bandage, vraisemblablement l'ours luttait contre le sommeil. Kamran se leva alors et vint poser sa main avec douceur et fermeté sur celles, tremblantes, de son maître.

"Sahib… Laissez-moi le faire. Allez vous reposer. Je veillerai sur kumaaree Rosie avec tout le dévouement que vous me connaissez. Je vous en prie Sahib."

Les deux hommes échangèrent alors un long regard, mais le jeune majordome ne flancha jamais devant son maître. Puis finalement il vit le regard de l'ours s'attendrir et c'est non sans peine que son maître quitta la pièce, confiant son trésor le plus précieux aux bons soins de son fidèle majordome. Une fois Adam sortit se reposer, Kamran finalisa le changement des pansements avec la plus grande des douceurs. Cela fait, il vint s'asseoir délicatement au chevet de miss Egerton et veilla sur celle-ci avec dévotion, tel qu'il l'avait promis à son bon maître.

Ce n'est que quelques heures plus tard, que finalement la blessée se réveilla, gémissant de douleur, cherchant éperdument du regard et appelant un homme qui lui était cher à son cœur. Kamran se leva prestement et tenta de calmer du mieux qu'il put la demoiselle en détresse.

"Kumaaree Egerton, restez allongée, je vous prie. Sahib Adam va revenir sous peu. Il est parti dormir un peu, il veille sur vous depuis tant de temps qu'il peinait à rester debout. Vous aurez bientôt le loisir de tout lui dire ce que vous désirez."

Codage par Libella sur Graphiorum

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